Air pollution studies on local and regional scales. Space and temporal modeling using a method of episodical scenarii.
Analyse de la pollution atmosphérique aux échelles locale et régionale. Modélisation spatiale et temporelle à l'aide d'une méthode de scénarii épisodiques
Résumé
To evaluate the impact of long-term exposure to an average and/or high air pollution, it is necessary to carry out long time simulations (several months, or several years). In the case of photochemical pollution, the computing time that it represents push towards intensification of runs with the parallelization of the computer codes, or towards the simulation of scenarios representative of the study period. During this thesis, we proceeded to the parallelization of TRANSCHIM code. The efficiency obtained for simulations with photo oxidant chemistry is satisfying, but the reduce time remains limited for inert simulations. Moreover, within the framework of CITY DELTA project, a method of episodical scenarios was developed to evaluate the background concentrations on Paris area. This method, based on the tri statistics of meteorological days, was validated by confrontation with measurements of monitoring sensors for the studied period (April at September 1999).
Pour évaluer l'impact d'une exposition à long terme à une pollution atmosphérique, il est nécessaire de procéder à des simulations sur de longues périodes (plusieurs mois, voir plusieurs années). Dans certains cas comme la pollution photochimique, le temps de calcul est rédhibitoire. Cela pousse soit vers une intensification des calculs grâce à la parallélisation, soit vers la simulation de scénarios représentatifs. Durant cette thèse, nous avons procédé à la parallélisation du code TRANSCHIM. L'efficacité obtenue pour des simulations avec une chimie photo oxydante est satisfaisante, mais le gain de temps reste limité pour des simulations inertes. De plus, dans le cadre du projet CITY DELTA, une méthode de scénarios épisodiques à été développée pour évaluer les concentrations de fond sur la région parisienne. Cette méthode, basée sur le tri statistique de journées météorologiques, a été validée par confrontation aux mesures de capteurs pour la période étudiée (avril à septembre 1999).