. Ibidem, , p.75

. Ibidem, , p.50

. Ibidem, , p.80

. Ibidem, , p.49

, Laura 365 , l'écrivain manifeste ses talents de fabuliste. Il appelle ses textes, des poèmes-fables sur lesquels on ne remarque pas forcément une logique de progression. Cependant, à l'observer de près, sur les 32 poèmes-fables, 8 sont animaliers, 3 ont pour héros, Dieu, le ciel et la terre, vol.4

. Idem, , p.61

W. Sassine, Légende d'une vérité suivi de Tu Laura, Limoge, Le bruit des autres, pp.41-61, 2000.

«. -le-mythe-de-maïé, . Maïeto, and . Zékia-»-le-poème-de-bohui, Il a pour espace indirectement le pays Wé 419 et de façon directe le pays Krou (Bété, Dida, Godié) à l'ouest et au centre-ouest de la Côte d'Ivoire. Au centre de ce mythe, il y a eu un conflit. A l'origine des temps, hommes et femmes vivaient séparés et chacune de ces communautés ignorait l'existence de l'autre. Un jour, un chasseur en déplacement découvre un champ de champignons. Il en cueille quelques-uns et remarque en même temps des traces de pas. Les femmes en arrivant sur les lieux constatent que leurs champignons ont été volés et courent rendre compte à Maïé qui les gouvernait. Chez les femmes, vivait un seul homme, Zouzou, et l'équilibre de cette communauté reposait sur le dualisme Maïé-Zouzou. Maïé décida de tendre une embuscade aux hommes. Le chasseur revint et les femmes le tuèrent. C'est le début de la guerre

C. Qu,

, Mais avant la rédition, Maïé prend soin de tenir un conseil de guerre pour donner des consignes à ses soeurs : « Vous savez que Zouzou est mort mais ce n'est pas la fin de la guerre

, Désormais vous la continuerez par d'autres moyens. Le premier, c'est la puissance que je vais vous donner, et elle les initie à la sorcellerie-, le deuxième moyen, c'est votre sexe

J. Girard-dans-la-dynamique-de-la-société-wobé, Etat édité par l'IFAN Dakar, a révélé, le mythe de Gnrondékan. Les hommes et les femmes vivaient dans deux communautés séparées à l'origine des temps. Les femmes ont fini par entrer en guerre contre les hommes. Sous la direction de Gnrondékan (une femme qui portait la barbe) les femmes malmenaient et humiliaient les hommes à chaque affrontement. Ces derniers finirent par aller supplier Dieu (Gnonsao) de leur donner les moyens de venir à bout de la cheftaine

. C'est-alors-que-gnrondékan-prit-peur and . De-battre-en-retraite, Chaque homme captura deux ou trois femmes. Ainsi s'explique l'origine du mariage et de la polygamie. A ce propos, Roland Barthes dira que : « Tout texte est intertexte ; d'autres sont présents en lui, à des niveaux variables, les textes de la culture antérieure et ceux de la culture environnante, p.421

, Le poème Maïeto pour Zékia est un hypertexte dont le texte initial

. Le and . Dans-le-poème-du-début-À-la-fin, Comment ? La critique sémiotique s'intéresse au texte à plusieurs niveaux de l'étude des signes. La sémiotique, soutient Van Zoest « est l'étude des signes et tout ce qui s'y rapporte : leur fonctionnement, leur relation avec d'autres signes, leur production et leur réception pour ceux qui les utilisent, p.422

, Il ne s'agit pas d'une adaptation comme le font les traditionnistes Hampaté Bâ, Massa Makan Diabaté avec les épopées peule ou malinké. Mais bien il s'agit d'une création car le texte de sortie est bel et bien un texte original. Quels sont les référents du mythe ancien sur lequel l'oeuvre nouvelle fut bâtie ? Autrement dit, de quelle manière le poème récupère-t-il certains éléments du mythe de Maïé ? Mais d'abord relevons les sources d'inspiration du poète : Le préfacier 423 qui partage la même culture que l'auteur de ce texte fournit les clefs, Le niveau sémantique de l'étude des signes nous plonge directement dans la perspective d'analyse des ''signes avec leurs référents avec l'interprétation qui en est le résultat

, Barthes cité par Michèle Aquien, Op.cit, p.159

. Van-zoest, Théorie de la littérature, sous la dir. d'Henri Hierche, présenté par Kibédi Varga, p.242, 1981.

Z. Zaourou, Il signifie à la fois la mère, l'amante et le poète comme trinité fécondant la vie. Du coup, l'expression ''Zékia '' devient une sorte de liturgie de la vie, servant à l'ouverture de tout ce qui est occulte, à la libération de toutes les énergies étouffées. Au final, avec

, Femmes/Hommes se convertit en antagonisme Zékia-Prédateurs et consacre la nouvelle alliance ''hommes et femmes

, Ce même mot joue un grand

R. Au-plan,

, et à chaque fois il martèle le poème, à la manière du maître de choeur qui bat la mesure. La place qu'il occupe dans le poème est celle d'un ''agent rythmique'' 425 . En règle générale, l'Agent Rythmique ponctue la parole en l'amortissant, la tempérant, la débarrassant de tout ce qu'elle peut contenir d'offensif. En poésie, le rendement poétique d'un tel processus donne à la parole les contours d'une spirale qui s'arrête pour des raisons pratiques, car elle a une vocation d'éternité. Et le noeud de la spirale est l'Agent Rythmique. Le passage de la parole du locuteur au récepteur constitue une séquence. Les séquences peuvent être composées d'éléments figés mais également de variantes, mais au centre, ''se trouve Zékia''. Ce que nous remarquons aux pages 19, vol.20, p.26

, La dimension dramatique du poème fonctionne sur l'antagonisme de type moderne et tout à fait actuel qui est l'opposition entre oppresseurs et opprimés. Dès la page 15, le ton est donné. Il s'agit d'une élégie qui correspond aux initiations de conflit suprême. A la page 19, le passage ''Aux hommes du pardon/ J'ai dit mon adieu/ Et nous étions tous prêts pour la libération'' confirme le fait que c'est par la violence que le problème sera réglé

, L'agent rythmique est une expression employée par Zadi Zaourou pour désigner le personnage -relais

. Bohui, nous nous permettons de lire un autre extrait au détail près aux pages 19 à 22. C'est un poème d'essence mystique contenant du mouvement, un élan épique néfaste, des images fortes. Le style est savant avec un lexique recherché. Avec cet extrait, le rythme n'est pas pertinent. Ce poème revêt une dimension mystique. C'est à travers des personnages impliqués dans les strophes 6, 9, 10 : Doundari, Gblignaba, Gbagbamlins, Femme-serpent, Mari de nuit que cela se remarque : « Montre-moi tes seins de grenades Zékia Femme-serpent, p.21

. Une-femme, Gblignaba, un génie capable de soustraire un homme à la mort peut mettre quelqu'un en contact avec l'esprit des morts. « Face à tes idoles maître de la nuit Nous lutterons

. Le-mot-''idole, contient un aspect religieux mais renferme surtout l'idée de faux dieux et de tout ce qui suppose de la magie noire, de la sorcellerie, du charlatanisme, des sacrifices et des rituels macabres, en un mot, toutes sortes de pratiques qui symbolisent le Mal. Mais ce vers-ci : « Mais ! Ma gorge ne peut étouffer le

, Cela se passe quand, au cours d'une assemblée funéraire, l'esprit du mort est transféré dans le corps d'un membre de cette assemblée pour dire qui l'a tué. Cette opération se manifeste par la transe. Le ''maître de la nuit, Le Gbadou est un rituel par lequel on interroge les morts

. Au-plan-littéraire and . Poétique,

, « Nous chantions les mélopées de Gblignaba Nos Gbagbamlins sortirent de l'ombre, p.20

. «-d', où cette offrande de mouton blanc et de cauris, p.21

, « Avec ton amant perfide la nuit, p.21

, Toutes ces références montrent que le récepteur de ce discours est différent des hommes. C'est un discours qui s'adresse aux ancêtres tutélaires

L. Qu, on y compte de nombreuses actions, ce qui suscite le mouvement qui caractérise l'élan épique. De la première à la sixième strophe, on repère, pêle-mêle, ''montre-moi'', ''frotte-toi contre moi

. L'épopée, chante les hauts faits des héros, des personnages hors du commun. Or, dans cette action guerrière, le personnage principal est un couple qui se compose de Zékia, une femme et de Kpatchi Zikei

, C'est le couple guerrier qui symbolise les combattants dont le signe est le pronom pluriel associatif ''nous'' qui jalonne le texte, non seulement l'extrait que nous examinons mais également la suite du texte : « Et nous étions tous prêts pour ta libération

, secours Ta force n'est pas d'ici-bas Mais nous demeurerons Le regard sans faille

. Ainsi, Refaire le soleil, tisser le soleil renvoient tout simplement à la renaissance, c'est-à-dire la rupture avec les idéologies et les pratiques anciennes intribitrices. Pour finir cette analyse, soulignons la présence des images. Elles relèvent de la triple thématique, elles ont donc trait à la guerre

. «-poitrine-de-feu,

, « Coeurs déchirés », issue.4

. Ces, Toute la strophe 5 présente l'image du chaos après la guerre : « Ils seront là nos morts et nos vivants A même les hautes herbes du maquis A même la forêt des cadavres tués » III.2. Ecriture d'une notion structurante L'auteur qui nous intéresse ici est Noël Ebony. Sous cette rubrique, la poésie de Noel Ebony nous paraît représentative. Le poète, en effet, a développé un processus d'énumération qui confère une fluidité à ses textes et cela a consacré son style. Nous jetons un regard sur deux textes : un passage de Déjà vu et un poème titré de Chutes, « Amour d'une chaise

, Ce poème est extrait du premier (« Portrait des siècles meurtris ») des

, « Portrait des siècles meurtris » est, du point de vue du style, un n'zassa. (Prose et lyrisme se partagent l'espace) et, au plan sémantique, un poème militant, engagé sur des fondements politiques. C'est un drame comme l'est Et les chiens se taisaient d'Aimé Césaire avec lequel il affiche une certaine affinité

U. Rebelle,

. Le-texte-de-référence-«-ebène, Le morphème ''je'' est un ''je-pluriel'' mis pour le peuple

, Le texte s'achève sur un néologisme ''Afree ! ka'' qui, bien entendu, est mis pour l'Afrique mais qui revêt un autre intérêt. Il s'agit d'un mot composé d'un préfixe ''A'', du radical ''free'' en anglais et ''ka'' le suffixe, un jeu de mots par lequel ''Je '' est Afrique, mais ''Je'' est également liberté. En rapport avec ces thèmes, une métaphore de base très opératoire : Je = Ebène « (Je suis) l'ébène entassé dans les caves des navires, Nombreux sont les thèmes de cet extrait. Nous relèverons les plus importants : la violence, la race et l'exploitation (ou l'esclavage)

, D'ailleurs, c'est l'encodage symbolique qui relie ce texte au suivant intitulé « Amour d'une chaise

, Amour d'une chaise » extrait de DEJA VU Extrait de ''chutes'' un feuillet détaché mais à l

D. E. , Il aurait pu s'intituler soit ''Amour et trahison'' soit ''Mal amour'', soit ''Exil'' à cause de l'avant dernière strophe qui semble du reste porter la clé de ce noyau symbolique

, De tout cela, se dégage une évidente souffrance, une douleur que dévoile l'avant dernière strophe : « Depuis lors Je pleure ma chaise Et je cours debout à travers le monde Cherchant une chaise à aimer où m'asseoir, p.427

, Dans un style simple et dépouillé, ce texte est fondamentalement émotif

, Cependant, il tire toute sa substance et sa beauté du noyau symbolique

, On sait que l'auteur nous conduit à la lisière de la prosopopée sans lui offrir la moindre occasion d'éclater, de s'épanouir, de se dérouler comme telle. C'est justement cette opacité

, Le texte semble donc construit sur la base d'une métaphore in absentia

L. , Que représente-t-elle ? Une femme ? Un pays ? Un pouvoir politique ? Un pouvoir économique ? Là encore, c'est cette seconde constante du second versant du mot imageant qui est esthétique, l'objet-repère restant, lui, stable. La poésie d'Ebony relève de ce qui est communément appelé '' tranche de vie'' mais le poète ne se livre pas à travers ses propos. Il communique sa pensée profonde en termes voilés. Autre texte tout aussi énigmatique

, La porte'' extrait de la Veste d'intérieur de Tchicaya U Tam'si

, La deuxième expérience relative à un choix théorique est centrée sur la création de nouveaux symboles et l'enrichissement des anciens

, « Amour d'une chaise » in Chutes

. S-c-a, , vol.2, p.13

, Ou sans verbe comme les vers 16, vol.19, p.20

, Mais ce style dépouillé n'enlève rien à la richesse de ce texte sur lequel, après observation, nous allons faire quelques remarques sur le rendement stylistique et sémantique

, Au niveau de l'énonciation, on note le couplage de la fonction émotive

. Le-terme-''porte''-que-le-poème-affiche-en-titre-est-un-mot-thème, Il apparaît directement ou indirectement sur sept vers (1, 2, 7, 10, 11, 19, 21). C'est à partir de lui que tous les autres éléments se positionnent. Pertinence du temps grammatical du passé. Les verbes sont pour la plupart à l'imparfait ou au passé composé. Le poète n'opère que par rapport à la souvenance

C. Le, Dualité du temps historique et dualité de l'espace sont inscrits dans le poème : ils saisissent le poète à deux moments de son existence. Le temps 1 présente le poète devant la porte de la mort

, la mort, c'est le lieu de l'exil. Pertinence du parallélisme sémantique aux vers 1 et 7 : v1 : « j'ai oublié la porte » v7 : « où est la porte ? » Dans un cas (v.1), c'est une situation hors-mémoire

, Aux vers 1 et 7 « la porte oubliée », c'est bien entendu, l'absence de mémoire, l'égarement de l'être, le désarroi, l'errance. Comme pour dire ''J'ai perdu le chemin de'' que situe dans ce temps le vers 2 par l'emploi de l'imparfait de l'indicatif pour concrétiser cette porte : « elle était de pierre », une idée de fortification, d'impénétrabilité. Au plan sensoriel, la porte est aussi présence de la mort (v.10, v.21). C'est l'incommunicabilité, ce que confirme le vers 11 « on n'entre pas, on meurt, A présent, voyons ce à quoi renvoie tout cet encodage : d'abord, le référent principal : « la porte

. L'eau-est-un-thème-récurrent-chez-tchicaya, Elle représente la mer

. Fleuve-congo, Mais quand elle provient des yeux, on l'appelle larme. Il s'agit ici des larmes des petits peuples, autres procédés métonomiques pour parler de leur souffrance

, Aux vers 6 et 13, on a « Elle était sable », l'eau qui se change en sable

, Au plan politique, il n'a plus de repère ni d'idéal. Aux vers 8 et 20 : v.8 « j'ai oublié mes pas » v.20 « les pas dans un refrain » Les ''pas'' renvoient à l'idée d'errance ; le poète, voyageur perpétuel, faute de mieux

«. Ma and . Bois, Au plan stylistique, cette expression est copiée sur une autre expression toute faite « la gueule de bois » qui, ordinairement, est utilisée pour qualifier l

, Donc, il s'agit là d'une manière d'exprimer l'insensibilité

, Et pourquoi le poète semble avoir choisi l'exil ? C'est le vers 8 « j'ai oublié mes pas » qui décrit les sensations du perpétuel voyageur qu'il peut interpréter de la façon suivante : « j'ai marché si longtemps que je ne sais plus quelle distance j'ai parcouru ». Pour quelles raisons ? Au vers 9 nous avons la réponse : « c'était l'or et le vent ». L' ''or'' renvoie à la richesse et le ''vent'' est symbole de discours, ces paroles qui s'envolent et cela, il refuse de l'admettre, « l'or l'oubli tenace » (v.16) ; l' ''oubli'', c'est-à-dire qu'il peut s'empêcher d'y penser permanemment et de le dénoncer, Ce léger parcours de ce poème nous permet de tirer des conclusions à partir des repères qui seront apportées à deux questions liées : où mène cette porte, pp.17-18

, Voilà ce qui explique le choix pour le départ volontaire et le chant. C'est la poésie présentée comme solution (« les pas dans un refrain

, Concluons cette analyse qui parle de l'univers carcéral chez Tchicaya U

. Tam'si-en and . Qu, de divorce entre ce poète et son pays. C'est le pays qui s'est verrouillé de l'intérieur et est devenu une citadelle. Du coup, on ne peut avoir accès à son coeur. Que devrait-on alors y chercher, si ce n'est la mort au bout du compte. « On n'entre pas on meurt

. Le-précurseur-de-la-poésie-post-négritudienne, U. Tchicaya, and . Tam, Il donne à voir comment un peuple aussi riche pu déchoir à un certain moment de son existence face à une civilisation qui

, L'exemple que nous venons de voir illustre l'écriture d'un type d'univers carcéral, en univers symbolique

, Synthèse pour un idéal

, Le dernier exemple de la série réservée à la symbolique tire sa

, Synthèse pour un idéal est un poème composé de trois séquences. Amour, passion, Amitié sont les thèmes qu'il développe. La particularité (ou l'originalité aussi) de ce texte, c'est que toute sa structure s'appuie sur trois couples lexicaux : les pronoms personnels je/moi, tu/toi, il/lui. Cela entraîne une structure tout en parallélismes syntaxiques distribués selon deux cas, vol.432

+. Pps and . Ppco+,

+. Pps and . Attribut, Tu es vivant » (v2)

+. Pps and . Cod,

, Second cas : il concerne la construction de la séquence ''Passion''. Les trois premiers vers sont bâtis sur la combinaison suivante, Ces parallélismes syntaxiques sont réitérés dans toute la séquence intitulée ''Amour, p.433

. Cette, Ce serait une erreur. En fait, il s'agit là d'une ouverture à l'universel. Ces trois phrases « Je suis moi », « tu es toi », « il est lui » fonctionnent comme un postulat et ouvrent successivement les différents 432 Pps : pronom personnel sujet. Ppco : pronom personnel complément d'objet. 433 VC : Verbe copule Ppa : Pronom personnel Attribut mouvements de la sous-séquence en question. C'est, en définitive

, Marie-José Hourantier, dans la préface du livre explique le bien fondé de cette technique de répétition : « Son arme essentielle demeure la répétition comme pour appeler avec insistance les forces de la nature et les obliger par la puissance du rythme à réveiller en soi l, p.434

, Synthèse pour un idéal, en tant que poème introductif, contient les germes des autres poèmes du recueil et la thématique sera développée de façon détaillée. Ce sont les thèmes de l'amour, de la métamorphose

L. Ainsi and . Thème-de-l'amour-débouche-sur-celui-du-''pouvoir''-traité-dans-le-poème, Il s'agit du pouvoir que nous représentons et dont nous ne sommes pas conscients, pp.44-45

. Wèrè-wèrè-liking, On ne raisonne pas le venin

. Wèrè-wèrè-liking, Ces textes semblent dire que nos sens sont si limités qu'ils sont incapables de percevoir ce qui apparaît évident. Ils ont donc un besoin d'initiation dont le poème, p.45

C. Wèrè-wèrè, Il est avant tout intuition de l'autre, car il s'agit de voir, de regarder, surtout de ''dériver'' l'autre pour vivre en complicité avec lui. Vu de cette façon, l'amour recrée l'être, et suscite les actions qui sont exécutées à travers moult passion. L'amitié, la célébration du beau sont des passions. L'amour est également liberté

, Le venin est le symbole de tout ce qui provoque l'extinction de l'amour, cette passion bâtisseur de monde. C'est donc le renoncement, le défaitisme, la bassesse

. D'une-manière-générale, en ce qui concerne l'influence de l'oralité, la forme des poèmes n'est pas reliée à un modèle comme nous avons pu le constater dans la première catégorie. Cependant, une tendance s'impose, c'est la recherche d'un syncrétisme qui allie la parole poétique à d'autres arts

, de ce travail qui est une anthologie de poèmes ayant servi pour la plupart de support aux différents aspects de l'analyse théorique, Les auteurs cités dans cette rubrique sont ceux que nous avons retenus dans le, vol.2, 1971.

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