, Concernant le travail de Jean-François Lyotard dans la conception de l'exposition Les Immatériaux, on se reportera tout particulièrement à Jean-Patrice Courtois, « Abstraction, matière et immatériau chez Lyotard », dans Lyotard et les arts, édité sous la direction de Françoise Coblence et Michel Enaudeau, Nous utilisons dans ce chapitre le terme « immatériaux » par référence au titre d'une exposition à laquelle travailla Jean-François Lyotard au milieu des années 1980, pp.45-60, 1985.
Anne Kessler dans Poussière, mise en scène Lars Norén, Comédie-Française, 2018. ,
, The Gnosis of writing », traduit en français et paru dans la revue Lexi/texte, publié dans Rêve d'automne, Violet, Vivre dans le secret, p.181, 2005.
« The Deepest need for speechlessness », An Angel walks through the stage, op. cit, pp.28-31 ,
, Cette théorie du langage se développe dès l'essai de jeunesse « Sur le langage en général et sur le langage humain », sur lequel il s'appuiera en 1933 pour rédiger « Sur la capacité mimétique
, , 1970.
,
, Le nom est ce par quoi rien ne se communique plus et en quoi le langage se communique lui-même er de façon absolue, Sur le langage en général et sur le langage humain, p.148
, Walter Benjamins Theorie der Sprachmagie, 1980.
,
, Comme chez Fosse, l'identité lygrienne est engagée dans un exode : « on pourrait dire
une écriture assez minimale, un espace-temps un peu suspendu, une tendance à s'abstraire du réel -une dimension symbolique. Mais dans le minimalisme de Fosse, le silence me paraît essentiel : c'est un peu comme si le texte bordait du silence. La fonction du langage chez Lygre est différente : c'est une fonction de nomination -je pense que chez lui, le langage nomme ; et donc le silence est beaucoup moins important. Ce qui importe [chez Lygre], c'est la façon dont les mots prononcés sur scène dessinent une réalité -je crois que l'idée de dessin est très importante ,
, Le réel n'est donc jamais une donnée stable mais le fruit d'une fabulation dont les mouvements sont exhibés dans leur facture
, , p.3
« Un théâtre de mots qui dessinent le monde », propos recueillis par Anne-Françoise Benhamou, Outrescène n°13, « Arne Lygre, p.44 ,
Elle regarde droit devant elle ,
Je pense aussi à ce qu'on appelle la compassion. J'en ai la capacité, je pense, mais en réalité non. Pas parce que je suis froide ou cynique ou méchante, mais parce que ce n'est pas possible. Je peux soupçonner quelque chose de l'état de quelqu'un d'autre, je peux avoir un instant l'impression, peut-être, de comprendre, d'être triste ou affligée de ce que je sais qu'une autre personne éprouve ,
une place vide qui nous regarde, comme le suggère la mise en scène de Stéphane Braunschweig. [Fig. 39 a et b] Annie Mercier dans Je disparais, mise en scène Stéphane Braunschweig, Théâtre de la Colline, 2007. ,
, Brecht, il s'agit du duo formé par Begbick et Moïse la Trinité 466
, FRERE Tout une? ville ? PETER Ne recommence pas ! J'ai pris ma décision. Ici elle sera
Dans une contrée désertique s'arrête un camion en mauvais état » (Bertolt Brecht, Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny, p.7, 1983. ,
, Homme sans but, issue.7, 2007.
, Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny, Paris, L'Arche, 1983, p. 8) La première pierre. Peter s'éloigne un peu. Il choisit un autre endroit. Ou? Non. Peter revient à l'endroit où il était. Ici. Ici nous la poserons
,
Le centre de la ville. La grande place d'où partiront les rues principales 467 ,
, Peter est un esprit visionnaire dans la mesure où il voit ce que les autres ne voient pas et ne désirent qu'inconsciemment. Il forme ainsi dans le sensible un projet qui flottait jusqu'alors dans les esprits
,
Homme sans but, p.7 ,
Mahagonny] -son contenu, c'est la jouissance. Le plaisir donc non seulement comme forme, mais aussi comme matière ,
, Il apparaît ici sous sa forme historique actuelle : en tant que marchandise » (Bertolt Brecht, « Note sur l'opéra Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny », Ecrits sur le théâtre, vol.2, p.327
De la maison ,
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/halshs-01539168
, Si tu fais partie de ceux qui peuvent acheter tout ce qu'ils veulent, qu'est-ce que tu vas faire de ma propriété ? De ma maison ? PETER La mienne. Maintenant. PROPRIETAIRE Qu'est-ce que tu vas en faire ? PETER La raser, PROPRIETAIRE Quoi ? PETER D'abord la raser
, PROPRIETAIRE Des immeubles ? Des rues ? Des magasins ? PETER Tout. PROPRIETAIRE Ici ? PETER Oui. PROPRIETAIRE Pour qui ? PETER Pour tous ceux qui voudront habiter les logements pas chers qu'on va construire, p.469
, Frère et Propriétaire repose sur un décalage humoristique
dont nous connaissons le projet, a une vision parfaitement claire de ce à quoi il destine le site, contrairement à Propriétaire, qui va de découverte en Mets-la dehors ,
,
, FRERE Il ne l'avait encore jamais vue dans un tel état. Jusqu'à ce jour
, SOEUR Elle se force à pleurer ! FEMME Elle pouvait rester, a-t-il dit 478
Que devient le jeu lorsque le maître du jeu disparaît ? que devient le récit lorsque le maître du récit disparaît ? C'est ce genre de situation, on pourrait dire d'expérience, que Lygre nous propose » (Stéphane Braunschweig, « Un Théâtre de mots qui dessinent le monde, pp.40-41 ,
Par le travail de la suggestion, l'inconscient ,
Peter Szondi perçoit ainsi l'importance de l'atmosphère dans l'écriture du drame : Le drame lyrique n'est pas enraciné dans la fusion actuelle du sujet et de l'objet ou dans leur séparation statique, mais en revanche dans leur identité essentielle et originelle. Sa catégorie centrale est l'atmosphère. Mais celle-ci n'est pas propre à l'intériorité de l'individu ; à l'origine, l'atmosphère [?] n'est précisément rien qui existe "en" nous. Mais dans l'atmosphère, nous sommes par excellence "dehors", non pas face aux choses, mais en elles, et elles sont en nous, p.482 ,
, Dans le suspens dont je parle, l'espace-temps se démaille en entier. Vous ne savez quoi raconter. Rien à dire, trop à dire. Pas envie de dire. Mais rester. Les repérages de la destination pas possibles. Un espace-temps pas distribué, inexploitable, un instant ici
, Arnaud Rykner (dir.), « L'oeil immersif -Devenirs du regard dans les pratiques immersives du tournant des XXe et XXIe siècles au théâtre », Colloque international organisé par le CEREG et l'IRET, 2018.
Théorie du drame moderne, p.76, 1956. ,
Toutes ces notions restant en attente de leurs déterminations, stupides. Je ne parle pas de fascination. L'esprit n'est pas ligoté. Ce n'est pas un arrêt par un empêchement. Ce serait avant l'esprit, 1964. ,
, Du symbolisme au néo-symbolisme, l'esthétique du diaphane met donc en oeuvre une théâtralité pré-politique et pré-sémiotique qui
, Une orientation tranchée ne produit pas moins de pensée -y compris celle de son objection -qu'une orientation tue, a fortiori lorsqu'elle ne saurait tout à fait disparaître des formes que l, p.486
, Aussi longtemps que l' « oeuvre d'art totale » signifie que la totalité est un délayage, aussi longtemps donc que les arts doivent être « complètement fondus », les divers éléments seront nécessairement tous également dégradés
, Pour Brecht, l'esprit totalisant qui anime la dramaturgie wagnérienne et qui
, Que peindre ? Adami, Arakawa, Buren, sous la direction de et introduit par Herman Parret, pp.127-128, 2012.
La Représentation du monde sans jugement : réalisme et neutralité dans la dramaturgie moderne et contemporaine, thèse de doctorat sous la direction de Jean-Loup Rivière ,
, , p.107, 2019.
« Note sur l'opéra Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny », Ecrits sur le théâtre, 2, trad, pp.329-330, 1979. ,
je me projette à ma guise dans les hors champs, je monte, je cadre, j'invente, je comprends, je me paume, je déteste, je me trouble, je divague, je choisis (ou non) d'être affecté, je suis confronté à d'autres intimités à mes côtés qui réagissent à leur façon ,
Changer un monde signifie, parmi d'autres, ne plus reconnaître tout à fait celui-là, être éventuellement troublé de ne plus le reconnaître. Ce monde ainsi changé est, en puissance, celui de chacun, fussent-ils plusieurs ce soir-là, p.493 ,
Neveux mène à partir notamment des travaux de Nicole Loraux 494 , invite notamment à interroger les théâtralités contemporaines qui font de la fabulation un « cheval de Troie » pour interroger le politique et qui, à l'instar de symboles ont pour fonction de le conforter, de le rassurer, p.136 ,
, , p.132
,
beaucoup moins convaincue de la validité d'une hypothèse trop fonctionnaliste et trop complaisante dans sa conception de l'éducation (paideia) tragique pour qu'elle puisse pertinemment restituer la complexité d'un processus comme la représentation théâtrale ,
, La pertinence de la notion aristotélicienne de purgation, pour qui veut comprendre le genre tragique, se déploie moins sur le plan du public comme collectivité civique qu'au niveau du spectateur comme individu : en quelque sorte les gradins du théâtre isolaient au lieu de rassembler, to theatron ne désignait pas une collectivité » (Nicole Loraux, La Voix endeuillée -essai sur la tragédie grecque, p.131, 1999.
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,
Pour un moment, 2016. ,
,
, ENTRETIENS Entretiens réalisés à Rennes le 25 novembre 2017 à l'occasion du spectacle Rêve et folie, d'après Georg Trackl, dans la mise en scène de Claude Régy, Ce dernier n'était pas présent à Rennes pour raison de santé
, Entretien avec Yann Boudaud, vol.497
, Julien Botella-Comment qualifieriez-vous le travail que vous avez réalisé avec Claude Régy ? Yann Boudaud-Quand on travaille avec Claude, la scénographie est déjà faite, il y a déjà le décor
Je me suis rendu compte que c'était les places qu'il fallait, dans cette lumière, avec le son de Philippe [Cacchia] qui a une incidence sur la parole, sur la manière de dire le texte, sur la manière de le traverser. Dans ce type de travail il n'y a pas de place pour le hasard. Le travail avec Claude consiste au fur et à mesure à éliminer le hasard pour arriver à faire de vrais choix, à faire des choix très forts. C'est ça je dirais, Il faut trouver la place dans cet espace ,
Quelle évolution percevez-vous dans la collaboration avec Claude Régy depuis les spectacles des années 1990 ? Y. B.-Melancholia fait partie de ma première partie de collaboration avec ,
Je crois que c'est cela qui change. Nos parcours de vie ne sont plus les mêmes. Aujourd'hui, je connais mieux ma vie, je connais mieux qui je suis ,
, Yann Boudaud a joué dans plusieurs mises en scène de Claude Régy : La Mort de Tintagiles, Melancholia, La Barque le soir et Rêve et folie
Rêve et folie], nous sommes enveloppés dans une semi-pénombre. Comment cette atmosphère influence-t-elle votre travail ? Y.B.-La pénombre aide à descendre dans le travail perceptif. C'est une belle protection pour ne pas travailler pour le public. Ce travail-là ne s'adresse à personne, il s'adresse à autre chose que personne, il s'adresse à autre chose, à une autre partie. Evidemment il y a des gens, évidemment je suis là. Mais sur le plateau il ne se passe rien. Ce sont les gens qui font le travail, Dans les deux derniers spectacles ,
, Je n'ai pas envie d'être exposé en dehors de ce travail, ça me suffit déjà. Cette pénombre permet de ne pas se soucier de l'image, de descendre dans le travail perceptif qui est à l'origine du travail sur les images
La pénombre, cet espèce de rideau invisible, permet d'aller sans pudeur dans les images les plus folles puis, à partir de ces images, de faire un travail perceptif et ensuite de corréler l'ensemble avec les pulsions d'action. Le mouvement arrive alors. Il y a de multiples variantes : parfois un mouvement crée de l'image qui crée de la perception. Parfois c'est le mouvement qui crée une perception qui crée de l'image, Trackl possède une très grande amplitude d'images ,
Parfois il faut les retenir pour qu'elles se développent à l'intérieur. C'est comme ce que dit Sarraute sur l'écriture. C'est très important de retenir les pulsions d'action. Il y a beaucoup de moments dans le travail où je sens la perception liée aux images qui sont dites. Il y a une durée de la perception, une durée de l'image et une durée de l'action, Comment travaillez-vous avec ces pulsions d'action ? Y.B ,
, Ensuite elle peut se déployer dans le texte, elle peut s'expandre. C'est une grande base de travail avec Claude : il faut que ça soit réellement éprouvé pour être dit. Il est très important parfois de retenir et parfois et on arrive à toucher le système nerveux. L'idée n'est pas de donner du clair ou de faire comprendre ce que nous faisons
Quelle est votre approche des textes lorsque vous travaillez à la scénographie d'un spectacle ? ,
-c'est l'interstice, c'est l'espace blanc entre les lignes qui fait naître l'image ,
Après cela, il ya un autre moment dans le travail, un moment terrifiant. Il y a ce moment où l'on a trouvé quelque chose et où il faut en parler, le communiquer. C'est un moment très délicat, car quand on essaie d'exprimer la sensation on l'écrase. Avec Claude surtout, ce n'est pas la volonté d'agir qui compte. Ce qui apparaît surgit sans qu'on l'ait décidé ,
est-ce qui vous aide ensuite à concevoir les dispositifs scéniques ? S.K. -Le travail de la maquette est essentiel. La maquette n'est pas inerte. Elle crée du vivant. Elle capte la vie, elle active la vie. Quand je parle de vie, je parle de vie de la vision, de l'imaginaire. La maquette aiguillonne la vision dans sa temporalité ,
,
Cette très fine membrane sensorielle que nous faisons naître ne peut exister que par le travail sur le dispositif, qui est constitué par le frottement de tous les éléments, qui crée un corps, qui crée un être capable de transmettre cela. La forme peut être différente [Fig. 6] James Turrell, « Accretion disk », musée Freider Burda, Il y a l'intuition, et il y a le dispositif, qui doit aiguillonner la perception du spectateur, p.1892, 2007. ,
Juin 1912/II. [Fig. 13] Intérieur, de Maurice Maeterlinck, mise en scène Claude Régy, festival d'automne à Paris, 1985, photographie Marc Enguerand [Fig. 14] Sergueï Soudeïkine, esquisse de costume pour La Mort de Tintagiles, mise en scène de Vsevolod Meyerhold, Théâtre-Studio, Moscou, 1905, papier, crayon, aquarelle. [Fig. 15] Sergueï Soudeïkine, esquisse de costume pour La Mort de Tintagiles, mise en scène de Vsevolod Meyerhold au Théâtre-Studio, Moscou, 1905, papier, crayon, aquarelle, Moscou, Archives d'Etat de la littérature et de l'art (RGALI), Chaliapine dans le rôle de Méphistophélès, personnage du Sabbat à Broken d'Arrigo Boito, 1997. ,
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