, Is it life that disclaims this, or death that disowns?) Mere dead metal, scrawled bars--ah, one touch, you make music! Love's worth saving, youth doubts

, en mettant l'accent sur le chaos et le silence qui précèdent le retour final de la voix : « Learn to bear with dead calms by remembering cyclones », « till silence begets tones ». Ici aussi, comme souvent dans l'Heptalogie et dans l'art poétique de Swinburne de manière générale, la destruction et la décomposition sont les conditions sine qua non à tout renouveau. « Burn our souls out, shift spirits, turn skins and change zones » : le changement de forme et la disparition de la forme précédente sont ici nécessaires à la création artistique : « Mere dead metal, scrawled bars-ah, one touch, you make music! », qui ne peut se construire qu'au prix de la décomposition « dead » et d'un chaos apparent « metal, Ces deux strophes mettent en place un mouvement semblable au poème-parodie qui reprend « The Poet and the Woodlouse », à la différence notable que ce passage dilue et ralentit l'apparition de la voix poétique renouvelée

, Le thème de la décomposition physique

». Woodlouse, G. De-dante, and . Rossetti, le sonnet intitulé « Sonnet for a Picture ». Rédigé plus tôt que le reste du recueil, le poème-parodie semble avoir été composé pour l'amusement de la confrérie préraphaélite, p.479

J. Wagner-lawlor, , pp.249-479

. B. Iii and . Nephelidia,

. Dans-son-ouvrage-de-référence and . Swinburne, An Experiment in Criticism, Jerome McGann écrit que « Nephelidia « résume très précisément et très vivement l'écriture de Swinburne. Il écrit ainsi, « ['Nephelidia' is] the very symbol of complete self-definition, p.484

, offre un reader's digest volontairement outrancier de ses propres travers poétiques, une représentation si fidèle qu'elle frôle la défiguration. Il s'agit en effet ici du pastiche non pas d'un poème en particulier, mais d'une diction poétique en général

». Nephelidia, on pourrait interpréter comme « petits nuages » en grec, rappelle le Nephelai (???????) d'Aristophane, comédie qui caricature les intellectuels athéniens et de la volatilité de leur pensée, p.486

, On pensera par exemple à Grant Allen qui écrit dans un essai que Swinburne est « a nebulous hazy thinker, who cloaks platitudes or unintelligible sayings in that grand, eloquent high-souled phraesology » . Swinburne prend 487 sa diction poétique. Le poème se construit ainsi comme l'espace insaisissable McGann, p.80

L. Hutcheon, A Theory of Parody: The Teachings of Twentieth-Century Art Forms

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M. Porée and . Swinburne-par-lui-même, , vol.486, p.137, 2009.

G. Allen and . The, Fortnightly Review, vol.37, pp.339-351

, L'apparente rigueur affirmée de-ci de-là n'est que l'effet d'un profond relâchement, de l'abandon d'un essentiel qu'est de toute façon

, Eliot et le New Criticism. L'apparent paradoxe d'un manque de rigueur (la « diffusion » pointée du doigt par Eliot) qui permette de révéler ainsi l'affleurement d'une forme de rigueur plus souterraine nous

, Ainsi que l'explique Vincent Vivès, qui reprend les termes de Bataille : La poésie ne fonde rien, ni un discours sur le monde, ni une oeuvre : elle est l'annulation de l'oeuvre et l'annulation des fondements, étant l'expérience qui permet à l'homme de se maintenir hors de l'engluement sordide du monde familier que divisent et régentent l'équerre et le rail, -et qui, demeuré seul, p.515

, La poésie apparaît comme un Ourobouros qui oeuvre continuellement à sa propre destruction, une énergie qui s'efface et s'annule elle-même dans un mouvement de repli

. Bataille and . Swinburne, qui se manifeste comme une exploration dangereuse des limites de la poésie, qui engendre peut-être sa disparition : l'exploration de la surpoétisation et l'inflation virtuellement infinie du matériau poétique, assorties à la constriction de la forme, s'apparentent dans ce contexte à une forme de prise de Bataille, Georges, Méthode de méditation, OEuvres Complètes, vol.514, p.196, 1973.

V. Vivès, ». Anarchipel--poésie-et-désordre-philosophique, and I. Littérature, , vol.515, pp.47-64, 2008.

. Dans-le-même-mouvement-de-pensée, on songe ici à la définition proposée par Bataille de l'éclipse et du silence qui suivent le punctum extatique, ce moment d'hyper-réalisation de la poésie qui se fait jour au prix d'un silence et d'une disparition, semblable au « sommeil suprême » évoqué par Swinburne au vers 203 d'« Anactoria ». Bataille explique ainsi dans La Religion surréaliste que : C'est dans la mesure où la poésie est portée jusqu'à l'absence de poésie que la communication poétique est possible. Ceci revient à dire que l'état de l'homme conscient qui a retrouvé la simplicité de la passion, qui a retrouvé la souveraineté de cet élément irréductible qui est dans l'homme, est un état de présence, p.517

, La poésie a ce pouvoir de détruire ce qu'elle met en place, et comprend en elle la violence d'une destruction, qui se matérialise chez Swinburne à la fois dans la constriction de la forme et dans le démantèlement physique des personae poétiques. Cette violence, associée dans l'oeuvre poétique de Swinburne à l'ambivalence du terme « bondage », explore la violence de la vie humaine, asservie à la conscience de sa mortalité

, En effet, cette articulation de l'accomplissement poétique et de sa violence destructrice chez Swinburne se comprend mieux à la lumière de son étude de Blake. Aussi, le sadisme et la violence physique qui ont démarré le processus de désintégration des personnages d'« Anactoria » sont repris à la fin du poème dans un contexte métaphysique (« the bondage Bataille, Georges, La religion surréaliste, p.392

, elle un « ravage réparateur », qui fait du désordre et de la décomposition l'élément même 519

, une exploration radicale de la pensée et de la conscience, nécessaire à un éveil à la vérité

, Comme l'explique Vincent Vivès, dans la lignée de Bataille et Heidegger, « la poésie expose la charpie qui balaie les restes de ce que l'humanité ne veut pas regarder, p.520

, explore précisément cette charpie, cette matérialité décomposée qui constitue le matériau, une fois recyclée, de son oeuvre poétique

. C. Iii and . Le,

, Un autre terme de la description de la gravure de Williame Blake retient ici notre attention, celui des plis, décrits comme étouffants (« stifling folds »), qui établit un pont entre

M. Swinburne, Se manifeste ici chez Swinburne l'idée d'un implicite et d'un retour futur, présent dans la trame, dans la texture du texte présent. L'idée d'un (re)pli poétique est présent tout au long de la carrière de Swinburne, dès la première édition des Poems and Ballads. Prenons en exemple « Fragoletta », un des poèmes du recueil : Ah sweet, the maiden's mouth is cold, Her breast-blossoms are simply red, Her hair mere brown or gold, pp.41-45

G. Bataille, L. 'expérience-intérieure, and V. Oc, , p.169

V. Vivès and . §30,

P. Andria, , 2018.

, En 1961, la publication de L'Univers Imaginaire de Stéphane Mallarmé par Jean-Pierre Richard a contribué à la popularisation des textes de Mallarmé auprès des philosophes de l'époque. Ainsi, l'oeuvre mallarméenne est l'objet de nombreuses relectures et analyses par Genette, Kristeva ou encore Derrida. Entre ce dernier en particulier et Swinburne, se tisse ainsi un intercepte intéressant, par le truchement de Mallarmé. Cette idée de « pli » devient ainsi un des concepts centraux des pensées deleuzienne et déridéenne, Cette idée de multiplication du pli, « fold over simple fold », rappelle la critique de Stéphane Mallarmé qui qualifie les poèmes de Swinburne d' « interminablement beaux » dans sa lettre de 1871, que nous avons évoquée dans notre introduction

, Dans des termes mallarméens, le pli représente une totalité close, une multiplicité contenue, une infinité limitative. Il en fait un des éléments centraux de sa dialectique de l'interminable, cet «

«. Pli, une des expressions mallarméennes les plus emblématiques, tant et si bien qu'elle fut utilisée par le compositeur comtemporain Pierre Boulez comme titre pour l'un de ses morceaux les plus audacieux. L'expression mallarméenne est utilisée verbatim par Gilles Deleuze dans son essai sur Leibniz intitulé Le Pli. Leibniz et le Baroque : « le trait du Baroque, c'est le pli qui va à l'infini, pli sur pli, pli selon pli ». Une pliure qui distend l'espace-temps

. Troublante, L. P. Gilles, . Leibniz, and . Le-baroque, Deleuze voit dans la philosophie de Leibniz, baroque par Deleuze, pp.5-521, 1988.

P. Andria, , 2018.

, une exploration qui s'articule autour de la récurrence de l'idée de pli : une mise en

». Fragoletta, L. Tournure-mallarméenne-de-«-pli-selon, and . Pli, recyclée par Deleuze trouve un écho troublant dans le « Fold over simple fold » swinburnien. Dans La Belle nature, Mallarmé définit ainsi la création artistique comme l'articulation complexes d'éléments fugaces : Semblable occupation suffit, comparer les aspects et leur nombre tel qu'il frôle notre négligence : y éveillant, pour décor, l'ambiguité de quelques figures belles, aux intersections. La totale arabesque, qui les relie, a de vertigineuses sautes en un effroi que reconnue, p.523

, Ainsi que l'explique Elizabeth McCombie, c'est précisément ce jeu d'intersection qui rend possible la dynamique du texte (« [when elements] inhabit the same structural breathing space »). 'organisation et de désorganisation que ce repli intersectionnel articule : The complete picture, the sum of the contained, conflicting, three-dimensional movements of text and music as they create ruptures, Le motif de l'intersection apparaît ainsi lorsqu'un modèle littéraire est consciencieusement élaboré et reconnu, ce qui permet une résonance de la structure dans le texte

, On pense ici à la tournure de Baudelaire, l'idée d'un « infini diminutif » que nous avons 522

, Comme l'« infini diminutif » maritime, l'idée du pli liebnizien met en oeuvre la même idée d'une mise à échelle d'un infini autrement imperceptible. À la différence de l' « infini diminutif », le pli se construit toutefois comme une matérialisation de cette

S. Mallarmé, OEuvres Complètes op. cit, pp.647-648

E. Mccombie and D. Mallarmé, Unheard Music, Unseen Text, p.524

, La dynamique d'intersection est palpable dans l'extrait, en ce sens que la mention du pli apparaît comme un déclencheur de la décomposition physique du troupeau aux lignes suivantes (« All cattle waste and rot, and their ill smell / Grows alway from the lank unsavoury flesh, pp.125-126

, Pour analyser cet extrait en des termes derridéens, qui reprennent ceux de Mallarmé : le pli est inséparable de l'espace-temps, il localise le sujet dans un ici et maintenant poétique, qui mettent en place une répétition altérée, une multiplication différenciante, une « différance supplémentaire ». La pliure ordonne et articule la physicalité des images, p.526

, Cette articulation d'un surplus multiplié fait écho au tout début du poème « At Eleusis » : Beside a growth of builded olive-boughs Whence multiplied thick song of thick-plumed throats-Also wet tears filled up my hollow hands By reason of my crying into them-And pitied me; for as cold water ran And washed the pitchers full from lip to lip, pp.10-17

, La multiplication lexicale (on remarque la répétition de l'adjectif « thick » au douzième vers, et celle de « lip » au seizième vers, qui reprend l'idée d'une pliure et d'une béance, p.527

, coïncide avec un épaississement de la matière poétique, qui devient pour ainsi dire visqueuse

, Cet épaississement se manifeste de façon sensorielle par une densification phonétique, par exemple avec « thick-plumed throats » au onzième vers, qui donne à prononcer une Derrida, p.261, 1967.

, En répétant « pli » par anagramme ?

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