, Ayant le statut de polis à partir de la fin du I er siècle av

, HARTAL, pp.1-2, 1985.

. Ma'oz, TZAFERIS et ISRAELI, 1991.

. Ma'oz, , p.1, 1995.

, TZAFERIS, pp.7-8, 2008.

, TZAFERIS, pp.10-11, 2008.

, GRABOÏS, pp.48-55, 1970.

, TZAFERIS, pp.2-3, 1998.

, Noms anciens : Tzer, Tzed, Beth Saïda

?. Utm,

?. Nitm, , vol.260, p.758

. ?-altitude,

, Le site se trouve à 2,3 km au nord-est du lac de Tibériade

. Au and . B?tei?a, appelé et-Tell, et s'étend sur un axe nord-sud (400 m de longueur et 200 m de largeur), vol.III

, D'après des études géologiques et géomorphologiques, la plaine d'd'al-B?tei?a était, il y a vingt siècles, couverte par les eaux du lac de Tibériade 358 . À l'époque romaine, la rive nord-est du lac se situait plus au nord-est et

. Outre-la-proximité-du-lac-de-tibériade and . Du-jourdain, Ces conditions hydrographiques furent sans aucun doute des facteurs importants pour l'occupation du site, Nos prospections archéologiques et celles des missions qui fouillent sur le site, p.359

, montrent que ce dernier se composait de deux zones : la ville basse qui s'étend sur les

A. Josèphe and . Xviii, , pp.27-28

. Shroder, , pp.65-73, 1995.

E. Le-site-fut-visité-par and . Robinson, Ce dernier l'identifia comme et-Tâbghah (et-Tâbigha), site qui se trouve en réalité à 9 km au sud-ouest, sur la côte nord du lac 361 . En 1885, L. Oliphant prospecta le site, le décrivit et émit l'hypothèse de son identification à Bethsa?da, p.362

, Ce n'est qu'en 1968 que de nouvelles prospections du site furent réalisées

C. Epstein and S. Gutman,

, Enfin, nous avons prospecté le site à plusieurs reprises : en juillet / août, 2008.

, Le site est fouillé depuis 1987 et jusqu'à aujourd'hui par une équipe de l'Université du Nebraska (États-Unis), sous la direction de R

, URMAN, p.121, 1985.

. Robinson, , pp.358-359

. Oliphant, , pp.244-245

G. Epstein, , pp.276-277, 1972.

?. En, C. Epstein et S. Gutman, vol.706, 1967.

G. Epstein, , p.282, 1972.

G. Epstein, Inscriptions Aucune inscription n'a été mise au jour ou trouvée sur le site lors des fouilles de, vol.12, p.282, 1972.

, Ma?oz et pendant nos prospections

. Ma'oz, , pp.32-33, 1982.

. Ma'oz, , pp.32-33, 1982.

. Ma'oz, , pp.32-33, 1982.

L. Jurn?yeh and . Plateau-de-law?yeh, Deir ?Az?z et elle rejoint la voie qui longe la côte orientale du lac de Tibériade. La voie qui provient de l'est passe par ej-Ju?ad?r, el-?u?n?yeh, er-Ram?an?yeh et es-S?ndianeh. À ce dernier village, elle se divise en deux branches : la première continue vers l'ouest en direction de J?ssr Ban?t Ya?qoub

, Dans ses recherches pendant les années 1970 sur les voies romaines en

, Roll parle de quatre voies, déjà mentionnées

I. , La voie Bani?s-Damas longe la rive gauche (méridionale) de wadi S?ar, passe par Buq??th? et Trenjeh, longe ensuite les versants méridionaux du massif de l'Hermon et continue vers Damas

. Ii, . La-voie-bani?s-?awr?n, . Passe-par-?ein-f?t, K. Z??rah, and . Naff??, el-?u?n?yeh, el-Far?, ej-Ju?ad?r, le pont méridional de Nahr ar

, IV. La voie Bani?s-Scythopolis qui longeait probablement les pieds des versants occidentaux du plateau du ?awl?n, la côte est du lac de Tibériade et continuait jusqu'à la ville de

, De cette voie, des parties préservées ont été retrouvées au sud-ouest et au nord-ouest de Sussita-Hippos 730 . Les sections préservées de ces voies d'époque romaine ont donc été découvertes -que ce soit pendant nos prospections archéologiques ou pendant celles des autres chercheursdans les endroits suivants

. Manqa?-ez-zeit, entre les villages contemporains de Mas?adeh et de Buq??th? et d'Uf?nia et Buq??th? 732

. Pendant, C. M. Le-?awl?n, . Dauphin, and . Gibson, Dauphin a retrouvé des vestiges de la voie romaine qui passe par Kafar Naff??. Elle parle également d'une borne millliaire non inscrite sur le site de Na?r?n, à 6 km au sudouest de Kafar Naff??, pp.11-14, 1992.

. Ma'oz, . Goren-inbar, and . Epstein, , p.537, 1993.

, URMAN, p.113, 1985.

&. De-manqa and . Dans-le-relais-routier-de-law?yeh, nous disposons d'autres éléments de datation qui sont représentés par des bornes milliaires 737 retrouvées sur et autour du plateau : en 1973, pendant des prospections archéologiques menées dans la partie nord-est du plateau par D. Urman, deux bornes milliaires, dont une qui portait une inscription, ont été retrouvée dans le village de Trenjeh. Grâce à l'inscription 738 , on a pu dater ces bornes milliaires de l'an 162 apr, vol.736, pp.161-180

, D'autres bornes milliaires inscrites ont été retrouvées près de ??rbet el-Taw?fïq el

, Fawq? à l'extrémité sud du plateau, à Beth-Yera? (Sennabris/??rbet el-Kerak/Philotheria) sur la côte sud-ouest du lac de Tibériade et près de Dan, à l'extrémité nord de la plaine

, 740 , celle de Beth-Yera? date également du même siècle (règne de Marc Aurèle) et commémore une rénovation de la voie Tibériade -Beth-Yera? -Gadara -Bostra 741 et celle de Dan, qui appartenait manifestement à la voie Tyr -Bani?s

, Ces bornes milliaires témoignent de l'entretien que le réseau routier de la Palestine connut après la répression de la révolte de Bar Kokhba

. Ma'oz, , pp.32-33, 1982.

. Ma'oz, . Goren-inbar, and . Epstein, , p.537, 1993.

, Il faut faire attention au fait que la présence de bornes milliaires ne veut pas toujours dire qu'un entretien ou un développement du réseau routier a eu lieu. Les voies romaines pouvaient rester souvent sans indications comme c'est le cas de voies en Judée et en Arabie. (ISAAC, 1992, p. 108). À ce propos M. Dunand rapporte « on sait que les voies stratégiques n'étaient pas, p.552

, Faute de publication, nous ne disposons pas de cette inscription

, URMAN, pp.109-110, 1985.

. Ma'oz, . Goren-inbar, and . Epstein, , p.537, 1993.

, URMAN, p.113, 1985.

. Avi-yonah, Cette borne milliaire rentrerait dans le cadre de « la deuxième campagne » de l'entretien que le réseau routier de la région connut avant l'expédition que Sévère Alexandre entreprit en 231 contre les Perses, p.111, 1950.

, et l'illustration d'une façade d'un temple tétrastyle sur le revers des monnaies du type n o 1, qui furent frappées à Bani?s au début du I er siècle apr. J.-C. (sous le règne d'Hérode-Philippe), Z. U. Ma?oz propose de restituer un plan d'un temple prostyle tétrastyle d'ordre ionique 772 . D'après lui il s'agit du temple, D'après les vestiges du bâtiment mis au jour, vol.III, p.167, 2008.

, ALIQUOT, vol.124, pp.125-126, 2009.

, FREYBERGER, p.15, 2004.

. Ma'oz, , pp.54-56, 1998.

. Ma'oz, , 2009.

, Une montagne y dresse son sommet à une immense hauteur et ouvre dans la cavité de son flanc un antre obscur, où plonge jusqu'à une profondeur inaccessible un précipice escarpé ; une masse d'eau tranquille y est enfermée, si énorme qu'on a vainement essayé par des sondages d'atteindre le fond. De cet antre au pied de la montagne, jaillissent extérieurement les sources qui, suivant l'opinion de plusieurs, Quand plus tard l'empereur (Auguste) lui (à Hérode) fit présent de nouveaux territoires

, Hérode, à son retour, lui éleva sur les de l'extension de la ville vers le sud. Elle reproche aussi aux fouilleurs de ??rbet ?Omrit l'utilisation partielle à la fois des données archéologiques pour la datation et des textes de Josèphe pour la localisation de l'Augusteum. Pour soutenir son argument, elle s'appuie aussi sur la datation -faite par S. Rozenberg 779 -du décor stuqué du Temple I de la fin du I er siècle av, Après avoir accompagné César jusqu'à la mer

, Une proposition de localisation pour ce bâtiment différente des deux autres a été faite en même temps par E. Netzer 780 . Se basant sur des vestiges de deux murs parallèles construits horizontalement sur la pente, à 90 m à l'ouest de la caverne de Pan, selon la technique de l'opus reticulatum

D. D'un-autre-côté, Ma'oz 781 avec d'autres plans schématiques du même bâtiment publiés auparavant, pendant les années 1990, par ce même auteur 782 . Dans sa comparaison il reproche à Z. U. Ma?oz l'interprétation des données archéologiques en indiquant que, dans ses plans schématiques, ce dernier a imposé imprudemment le plan d'un temple qui ne correspond pas exactement à la réalité archéologique et aux vestiges des constructions mis au jour. En s'appuyant sur un article d'A. Kushnir-Stein 783 qui porte sur les trois descriptions du Paneion chez Josèphe 784 , D. Marniquet parle aussi des incohérences entre ces trois descriptions que l'article d'A. Kushnir-Stein révèle. Les récits de Josèphe -auxquels Z. U. Ma?oz, puis A. Berlin, se réfèrent pour localiser le temple -qui se contredisent et qui décrivent le Paneion et l'

, ROZENBERG, vol.55, pp.66-67, 2011.

. Ma'oz, , p.41, 2009.

. Kushnir-stein, , pp.87-90, 2007.

D. Guerre, Guerre III, 506-515 et Antiq. XV, pp.359-364

, Près des sources : dans Guerre I, 404, emploi de la préposition ???? avec l'accusatif, pp.60-61, 2011.

, Cependant, l'absence d'installations hydrauliques dans le corps de la construction a conduit à écarter cette hypothèse

, Après quatre campagnes de fouilles archéologiques sur le site, A. Segal et

M. , Eisenberg ont déterminé qu'il s'agissait bien d'une kalybè 891 , c'est-à-dire un sanctuaire du culte impérial à ciel ouvert 892 . Une autre acception de ce terme est proposée par A

D. Lui, la kalybè était une construction dédiée à la représentation du pouvoir, pour la pratique du culte impérial qui abritait l'image de l'empereur divinisé, reproduite sous la forme d'une statue. La construction était destinée à exprimer la loyauté

. Le-terme-grec-est-«-kalybè--kalybai, En Orient ce mot fut employé -dans une inscription à Umm az-Zeitun en Syrie du Sud -pour différencier ce type de construction de nature religieuse des sanctuaires et des temples « classiques, pp.41-43, 2008.

E. Segal, , p.14, 2004.

C. , dès l'an 27 av. J.-C., que le culte impérial fut institué. Des temples entretenus par des prêtres furent édifiés en l'honneur de l'empereur vivant, de ses prédécesseurs, de ses successeurs et de tous les membres de sa famille pour le culte impérial (AMER et GAWLIKOWSKI, pp.12-14, 1985.

, Les premiers sanctuaires dédiés au culte impérial provincial sont apparus dans la province d'Asie, en

, Asie mineure, pendant la première moitié du I er siècle apr

, Antioche fut la première cité à accueillir le culte impérial provincial

À. Subséquemment and . L'époque-d'hadrien, ce culte commence à se répandre dans les provinces romaines, pp.117-138

. Damas-accueille-l'«-Éparchie-»-de-koilè-syrie,

, Attesté en Arabie à partir du milieu du III e siècle apr. J.-C., les recherches archéologiques montrent l'absence du culte impérial provincial en Judée, qui devint province de Syrie-Palestine à partir de l, p.135

.. , hormis les cultes municipaux attestés à Césarée Maritime, à Jérusalem, à Samarie et dans d'autre cités, pp.476-480, 2001.

, Les cités qui possédaient des sanctuaires du culte impérial se nommèrent neokoroi

, Afin d'avoir l'honneur de posséder un sanctuaire, une cité devait obtenir l'approbation des néocories de la province d'appartenance, qui se réunissaient sous forme de koinon (assemblée provinciale), pour pratiquer le même culte impérial (SAWAYA, p.593, 2011.

, Le culte impérial dura pendant toute l'époque romaine et ne disparut que vers la fin du III e siècle apr, p.114, 2001.

, par rapport à ses dimensions, pour l'accueil de l'image divine célébrée, et normalement représentée par une statue. Cependant, le développement des pratiques cultuelles traduit par le dépôt d'offrandes et l'installation de parèdres à coté de l'image divine a conduit, faute d'espace et pour une meilleure présentation digne aux divinités adorées

, « Les kalybés présentent un élément nouveau, que l'on ne trouve pas dans l'architecture gréco-romaine -du moins pas employé de cette façon -et qui remplace l'abside en cul-de-four ou la niche rectangulaire des adytons, p.271, 2008.

, L'une des deux inscriptions de fondation gravées sur sa façade mentionne que cette « sainte kalybé » d'Umm az-Zeitun, fut consacrée à des divinités célestes et fut construite en l'an 282 « pour la santé et la victoire de l'empereur M. Aur, Probus Auguste », p.43

G. Amer, , pp.1-15, 1985.

, Pour plus d'information sur le sanctuaire impérial de Philippopolis, cf, AMER et GAWLIKOWSKI, pp.1-15, 1985.

, présent menées sur le plateau, seule une construction semble avoir fonctionné comme nymphée, d'après V. Tzaferis, le fouilleur de ce bâtiment, Il s'agit du bâtiment à colonnes appelé The Colonnaded Building 928 à Bani?s, vol.III

, TZAFERIS, p.17, 2008.

, Dans ce groupe de temples, nous avons classé les édifices dont l'identité et la fonction

. L'édifice-dit-«-temple-de-livie, plan 17), sur l'emplacement de cet édifice au sommet de la colline, sur son orientation selon un axe est-ouest, Temple of Livia-Julia) » à et-Tell (Bethsa?da / Julias ?) En s'appuyant sur le plan très ruiné, vol.III

, RATTÉ, p.15, 2008.

, GROS, pp.242-243, 2011.

, La topographie accidentée du site de Tipasa a conduit à la construction de la basilique en plan oblique au forum (BALTY, 1991, pp.88-90

, BALTY, pp.129-130, 1991.

, Les dimensions modestes de cet odéon/bouleutérion, le nombre peu élevé de gradins et l'absence d'une summa cavea n'ont pas nécessité la construction en-dessous de la cavea de galeries de circulation, ambulacra, et de passages souterrains radiaux, vomitoria, comme c'est le cas dans les bâtiments d'Elusa (Palestine)

(. Tauromenium and . Sicile, Les gradins furent construits sur un entassement de terre, comme c'est le cas dans les odeia/bouleuteria de Scythopolis

. Ptolémaïs, , vol.III, pp.70-71

. Le-fond-de-la-scène, frons scaenae, disparu, était sans doute, comme dans les théâtres, les odeia et les bouleuteria du monde gréco-romain, richement décoré

, Le sol de l'orchestra et des aditus maximi était manifestement, comme nous l'avons mentionné dans la description du bâtiment, pavés en dalles rectangulaires de marbre vert-gris veiné, noir et blanc jaunâtre. Le plancher de la scène était probablement recouvert de bois

. L'absence-d'un-système-de-drainage and . Dans, 1024 et l'orientation de la cavea vers le sud-est, face au soleil, amènent à supposer que cet odéon était couvert 1025 . Cependant, l'absence de tuiles (malgré la mise au jour de quelques fragments de tuile sur le côté sud de la construction) 1026 et de restes de bois calciné dans les fouilles éloigne l'hypothèse qu'il ait été couvert en poutres de bois et en tuiles comme dans la restitution proposée par A. Segal dans son rapport de fouilles de, pp.538-540, 1991.

, Les caveae dans les théâtres gréco-romains qui ne sont pas couvertes sont en général orientées vers le nord ou vers le nord-ouest, comme c'est le cas du possible odéon/bouleuterion de Bani?s, p.47, 2009.

A. Segal, Mais même si l'on admet que cette construction fut démontée, il ne serait pas logique de ne pas trouver des restes et des fragments de tuile dans les zones de la cavea, p.48, 2009.

, le poids, que nous trouvons relativement léger, d'un toit en bois recouvert de tuiles. la plus vraisemblable, comme c'est le cas au grand théâtre d'Argos en Grèce 1028 . La couverture de l'odéon était destinée surtout à se protéger du soleil, puisque la moyenne de jours de pluie dans la région est peu élevée (40 jours par an). Le nombre élevé des jours ensoleillés et la présence d'une basilique couverte dans la ville, p.47, 2009.

L. Corridors-d'entrée, étaient manifestement couverts, comme c'est le cas dans les théâtres et les odeia de la même époque, en voûtes en berceau. La mise au jour

, les dimensions de l'odéon de Sussita-Hippos nous permettent d'éloigner l'hypothèse qu'il s'agisse d'un bouleutérion ou d'un théâtre 1030 : en effet, les bouleuteria -et certains odeia -de la période romaine sont en général, à part certaines exceptions en Orient 1031 , de plan rectangulaire, et les théâtres sont de dimensions plus grandes. Cet odéon est cependant de dimensions modestes par rapports aux odeia connus de la même période dans le monde gréco-romain 1032 : sa cavea ne comprend que deux cunei, Même si la distinction entre les théâtres, les odeia et les bouleuteria est assez aléatoire 1029

, Entre l'usage des odeia et des bouleuteria, À propos de la difficulté dans la distinction entre les théâtres et les odeia, cf. note n o 17 de BALTY, vol.661, p.563, 1991.

, Pour éclaircir l'usage diversifié des odeia et des bouleuteria, J. Ch. Balty, p.cite, 1991.

J. B. Ward-perkins, Roman Imperial Architecture, Harmondsworth, p. 262 : « many of the so-called odeion of the Greek-speaking world (e. g. at Aphrodisias and Ephesus or at Ptolemais in Cyrenaica) may well in fact have been bouleuteria, or even have done double duty as places of civic assembly and of cultural entertainment, 1981.

, Comme nous l'avons déjà mentionné, la ville de Sussita-Hippos avait -à la lumière de l'inscription retrouvée sur un fût de colonne monolithe datée de l'an 238/239 apr. J.-C. (302 de l'ère pompéienne) -sa propre administration locale. Elle disposait donc, fort probablement, d'un Conseil (?????) ou d'une Assemblée du peuple (?????) qui utilisait cet odéon pour ses rassemblements

, Il est important de souligner que les bouleuteria rectangulaires en Orient ne sont pas aussi courants que dans le reste des contrés de l'Empire romain (notamment en Asie Mineure et en Grèce). À Scythopolis en Palestine et à Doura Europos en Syrie on propose d'identifier les petits edifices de plan semi-circulaire mis au jour comme bouleuteria, p.307, 2006.

, BALTY, vol.247, p.503, 1991.

F. , Sear identifie les odeia sur la base de leurs dimensions (entre 40 m et 80 m de diamètre pour la cavea), du nombre des gradins (de 15 à 35 gradins) et du nombre des personnes qu'ils peuvent accueillir (de 1500 à 5500 personnes), pp.39-40, 2006.

, FILGIS, pp.1-6, 1988.

. Installations and . Défensives, Dans la grande majorité des occupations du Levant sud les fortifications d'époque romaine furent construites sur des fortifications d'époque hellénistique 1047 . Les recherches archéologiques effectuées jusqu'à présent sur le plateau montrent que les centres urbains d'époque romaine (Bani?s « Caesarea Philippi », et-Tell « Bethsa?da / Julias ?», ?aml? et Sussita-Hippos « Antiocheia Hippos ») disposaient d'aménagements défensifs sous la forme d'enceintes -munies de tours et de portes -encerclant les sites et de fortins avancés, p.40, 2010.

, EISENBERG, p.83, 2008.

, Voici la liste des enceintes, portes et fortins mis au jour sur le plateau, classés selon un ordre chronologique : a. L'enceinte de ?aml?, datée de la fin du I er siècle av

. L'enceinte-d', Bethsa?da / Julias ?), datée (de la première moitié) du I er siècle apr

, L'enceinte et les murailles avancées de Sussita-Hippos, datées du I er siècle apr

, La porte avancée de Sussita-Hippos, datée du I er siècle apr

, La porte orientale de Sussita-Hippos, datée de la fin du I er siècle apr

, La porte occidentale de Sussita-Hippos qui est postérieure à l'époque romaine

, Les fondations de l'enceinte à l'est de la ville de Bani?s et les tronçons d'enceinte dans la périphérie méridionale, datés entre le II e et le IV e siècle apr

, Le possible fortin dit Tal Fortress à Sussita-Hippos, daté du I er siècle av.-I er siècle apr

.. Cette-enceinte, n'est construite, comme nous l'avons mentionné dans sa description, que sur le côté est de la ville car cette dernière est défendue naturellement par des vallées sur les côtés, et nord 1048, vol.III

, Elle fut, à la lumière des données des fouilles archéologiques, construite sur des fondations de fortifications qui semblent remonter à l'âge du Bronze ancien et à l'époque hellénistique 1049

. Dans-la-région, on connait des villes et des villages fortifiés qui remontent à l'âge du Bronze ancien, comme Labwe qui se trouve au sud-est du Léj? 1050

, Les vestiges de brèches attestées dans certains endroits de l'enceinte et les restes de flèches et de pierre d'onagres constituent des témoins de l'occupation romaine violente de la ville qui, Dans son Guerre des Juifs, Josèphe raconte comment Vespasien établit des postes et construit des tours devant l'enceinte afin de pénétrer dans la ville

, GUTMAN, pp.84-85, 1984.

Y. Syon, , pp.5-6, 2001.

. Braemer, , pp.111-118, 2010.

, Étant donné le fait que les vestiges préservés de l'enceinte sont postérieurs à l'époque romaine, les parties fouillées datant des époques hellénistique et romaine ne suffisent pas pour reconstituer un plan de l'enceinte de la ville de ces périodes

, Des bornes milliaires ont été retrouvées dans la gorge du wadi ej-Jamouss?yeh qui borde le promontoire sur son côté sud

, AVIAM, pp.63-71, 1998.

. Cf and . W. Marsden-e, Greek and Roman Artillery: Technical Treatises, 1999.

, EISENBERG, p.162, 2008.

, PATRICH, p.1674, 2008.

, Except in the smallest forts, gates were usually placed between projecting towers, as they often had been since the first invention of projecting towers (?) », (SHELAGH, 1997, p.137

, GRABOÏS, p.7, 1970.

, et 3 (cont.) ; diagrammes n os 1b et 1c, vol.II

, HARTAL, p.7, 1985.

, TZAFERIS, p.22, 2008.

, HARTAL, p.7, 1985.

, et 3 (cont.) ; diagrammes n os 1b et 1c, vol.II

, HARTAL, p.7, 1985.

, Dans cette catégorie nous étudierons une seule maison qui se trouve à ?aml? 1082 . Il s'agit de la maison 1700 ou Wall House qui date de la fin du I er siècle av.-début du I er siècle apr

. Les-«-insulae, À la lumière des données des prospections et des fouilles archéologiques, ces types de constructions domestiques urbaines sont attestés uniquement dans les sites de Bani?s et de Sussita-Hippos 1087

Y. Syon, , p.111, 1994.

M. A. Hartal and . Oz, HARTAL, issue.8, pp.8-9, 1985.

, HEINZELMANN, pp.138-139, 2004.

. Schuler, , pp.50-78, 2010.

. Bostra, Elles sont comparables aussi à des domus, insulae ou villae suburbaines à Pompei en Italie comme la maison de Surgeon 1090 , la maison du Faune 1091 et la maison des Vettii 1092

, Leurs plans devaient sans doute se composer -comme les domus de Pompei -de fauces, d'atrium, de tablinum, de peristylum, d'alae, de triclinium, de culina, de cubicula, de tabernae, de posticum

M. A. Hartal and . Oz, HARTAL, issue.8, pp.8-9, 1985.

, BROTHERS, p.35, 1996.

, BROTHERS, p.36, 1996.

, BROTHERS, p.37, 1996.

. Cf, , p.419

, plan 31), nous trouvons que son plan n'est pas très différent de ceux des domus ou insulae connues dans les villes du monde gréco-romain du bassin méditerranéen 1095 : elle se compose d'un vestibule (fauces « 9 »), d'une cour nord (atrium « 10 ») et d'une cour à péristyle (peristylum « 1 ») entourés de plusieurs pièces (tabernae, cubicula, alae, triclinium, culina, posticum), et vraisemblablement d'un jardin (hortus « 9 ? »). Son plan est comparable à celui de la maison appelée N1-N2 à Palmyre, datée de la deuxième moitié du II e siècle apr, bâtiment dit Northeast Insula (NIP) à Sussita-Hippos Cette construction qui date de la fin du III e -début du IV e siècle apr. J.-C. constitue apparemment une des insulae de la ville. À la lumière de la partie ouest mise au jour, vol.III

, Les fondations de l'escalier construit parallèlement au mur ouest de la cour à péristyle

, en opus sectile ont conduit M. Schuler à supposer qu'il peut 1094 HEINZELMANN, pp.138-139, 2004.

, Sur les plans des insulae dans les villes gréco-romaines du bassin méditerranéen cf, pp.33-38, 1996.

, GROS, p.227, 2006.

. Adam, , p.328, 2008.

, BROTHERS, p.37, 1996.

, À la lumière des restes de plâtre de couleurs rouge foncé et jaune qui ont été retrouvés sur les murs des chambres n os 4 et 5 du bâtiment dit Northeast Insula (NIP) à Sussita-Hippos, il est vraisemblable que les murs de ce bâtiment étaient revêtus en plâtre coloré. Les portions de plâtre mises au jour sur les sols des chambres n os 4, 5 et 8 nous donnent aussi une idée sur les sols des pièces qui entourent la cour à péristyle

. Schuler, , p.71, 2010.

. Schuler, , p.51, 2010.

. Schuler, un espace consacré à l'habitat et un espace consacré à la réception ou à la gestion du domaine. Ces trois espaces sont construits sur les trois côtés d'une cour, comme c'est le cas dans la région voisine de ?awr?n « trois ailes en fer à cheval autour d'une cour 1119 ». Le quatrième côté de la cour est généralement bordé d'un mur qui comprend la porte d'entrée de la maison. L'espace consacré aux activités économiques se compose d'une salle à arcs et d'une pièce à deux niveaux : le niveau bas est utilisé comme étable et le niveau haut sert de lieu de stockage, maisons de la Batanée, des trois espaces définis par P. Clauss-Balty 1118 : un espace consacré aux activités économiques (l'élevage et le stockage), p.50, 2010.

, L'accès à ce niveau se fait par un escalier en pierre dont les marches (larg, vol.80

, La superficie de ce type de maisons n'est pas inférieure à 100 m² 1120

, dont la première phase d'occupation date vraisemblablement de la période romaine provinciale-byzantine précoce, II e /III e -V e siècles apr. J.-C. 1121 , représente ce type de maisons. Elle est composée de trois ailes construites autour d'une cour : l'aile sud est consacrée aux activités économiques, en plus de l'entrée (pièces K, L, M et N 1122 ), cette aile comprend l'étable (pièces C et D), une salle à arcs (salle B) et une pièce qui semble avoir servi de lieu de stockage (pièce O). L'aile ouest (pièces E, F et G) semble avoir été consacrée à l'habitat et l'aile nord (pièces H, I et J), qui est loin de l'aile qui est consacrée aux activités économiques, vol.III

. Clauss-balty, , p.62, 2008.

, Dans ce type de maisons à cour nous remarquons de manière générale que la superficie de la cour est à peu près égale à celle des ailes qui l'entourent

, La vraisemblable pièce N et la pièce K semblent avoir servi de lieux de stockage

, plan 47), -sur la base des piédroits qui sont toujours préservés in situ sur les côtés est et ouest de cette salle -nous restituons une hauteur égale à la hauteur cumulée des deux niveaux de la maison, Cette maison disposait d'un deuxième niveau qui était consacré à l'habitat 1123 . Si nous restituons l'arc de la salle B, vol.III

, Le niveau supérieur était apparemment accessible par un escalier qui était aménagé

, Des maisons de ce type sont connues sur le plateau

«. Rafid and . Vol, , vol.III

, Mu'arribeh 1127 , occupées pendant la période s'étendant du III e au VI e siècle apr

. Les-«-maisons-tours, Hirschfeld comme un sous-type des maisons appelées « simples » (The Simple House) 1128 . Il a été appelé ainsi (the tower-like dwelling 1129 ) par ce dernier chercheur. Ce type de maisons n'apparait que dans les établissements ruraux, il est en général de plan carré ou rectangulaire et est muni d'une courentourée d'une muraille -aménagée devant sa façade. Influencé par l'architecture militaire, ses murs sont plus épais que ceux des maisons à « plan clos

, Ce niveau a été quasiment entièrement reconstruit quand la maison a été réoccupée par les habitants syriens depuis le XIX e siècle et jusqu'en, 1967.

. Clauss-balty, , pp.57-59, 2008.

, HARTAL, p.222, 2006.

, CLAUSS-BALTY, issue.15, pp.83-84, 1985.

, HIRSCHFELD, pp.21-36, 1995.

. Dans-un-des-papyrus-d'oxyrhynque, -198), une double maison-tour est mentionnée, p.197

, plan 42), datée de la période romaine provinciale-byzantine précoce, III e -IV e siècles apr. J.-C. 1130 , semble représenter ce type de maisons sur le plateau. Occupant plus de 80 m² de superficie, La possible maison-tour D à ??rbet Z?arta Cette possible maison-tour, vol.III

, Sa position surplombant la plaine d'el-?oulah et les versants est des montagnes de la

, 90 et 1,10 m) laissent penser qu'il s'agit d'une « maison-tour » dont Y. Hirschfeld parle en Palestine 1131 . Ce bâtiment semble avoir servi pendant les périodes de son occupation à la fois comme maison mais aussi comme poste de guet depuis lequel on surveillait la voie romaine Scythopolis-Bani?s, Haute Galilée (en milieu rural), sa façade orientée vers le sud-ouest et l'épaisseur de ses murs

, Ce type de maisons apparaît en Palestine à la même période

, Umm Ri?an 1132, vol.III

, L'ensemble de ces bâtiments domestiques en milieu rural sur le plateau sont très pauvres en décor architectural

. Diagramme-7b,

, HIRSCHFELD, pp.21-36, 1995.

, HIRSCHFELD, pp.35-36, 1995.

, D'après les données des prospections archéologiques

, En effet, nous avons trouvé de la céramique d'époque hellénistique qui pourrait témoigner de possibles occupations de cette période dans certains sites qui constituaient des relais routiers ou des relais routiers-fortins sur des voies de la période romaine provinciale 1136

, Ce réseau est probablement apparu dès le début de l'époque romaine (au dernier quart du I er siècle av. J.-C.) 1139 et s'est développé à partir du II e siècle apr, les témoignages des données archéologiques et des sources historiques 1137 nous montrent que le plateau comprenait un réseau routier lui permettant de communiquer avec les régions à l'ouest et à l'est 1138

. «-en-syrie, organisation routière s'inspire de celle des Séleucides et remonte par eux à l'Empire perse, p.245, 1997.

, Comme les sites du relais routier-fortin de Manqa? ez-Zeit et du relais routier-fortin au sud-est de Manqa? ez-Zeit (cf. diagrammes n os 10 et 11)

G. Josèphe, . Autobiographie, and . Lxxi, Josèphe mentionne une route qui monte vers la Trachonitide au sud-est : « Phialé -la coupe -se trouve en montant vers la Trachonitide, à cent vingt stades de Césarée (de Philippe), à droite et à peu de distance de la route 1144 ». La mention de cette route par Josèphe concerne apparemment la voie qui reliait Bani?s avec Damas (la voie de Bani?s -Mas?adeh -Buq??th? -Uf?ni? « Ôph?ni » -Sa?s? -Damas) et qui fut indiquée trois siècles plus tard dans la table de Peutinger. Dans son Autobiographie, en parlant des mouvements de l'armée romaine dans la région lors de la répression de la révolte juive des années 60 apr, 398. prospections archéologiques -de la céramique datant du début de l'époque romaine dans les relais routiers de Manqa? ez

, Outre les bornes milliaires, datées des II e et III e siècles apr. J.-C., retrouvées dans la région, la table de Peutinger (Tabula Peutingeriana) 1146 -comme source historique -qui fut établie au IV e siècle apr

. Elle-illustre-la-voie-qui-relie-tyr, Tyro) avec Damas (Damaspo), en passant par Bani?s (Cesareapaneas), et celles entre les stations sur la voie Bani?s-Damas sont de XXVIII et de XXVIII milles romains, vol.III

, Césarée Maritime) et celles de la Syrie intérieure (Damas, Palmyre) et les villes de Syrie du

. Sud, Bostra) en passant par ou à proximité des centres urbains et/ou cultuels comme Bani?s et Sussita-Hippos

G. Josèphe and . Iii, , p.510

A. Josèphe and . Lxxi, , p.398

, Table de Peutinger, segment IX

, Les relais routiers (mutationes), placés -en fonction de la topographie et de la présence de points d'eau -tous les 6 à 9 km (tous les quatre à six milles romains), furent onstruits sur les voies pour servir de lieux de repos pour les voyageurs, de tours de guet pour l'envoi de signaux optiques 1148 et -le cas échéant -pour le changement de monture. Ils pourraient aussi avoir été utilisés par les stationarii (la police routière) 1149 qui luttaient contre le brigandage et ramassaient les droits de péage. Les relais routiers maintenaient la poste impériale (cursus publicus) 1150 créée par Auguste 1151 . Les relais routiers-fortins (mansiones) jouaient le même rôle que celui des relais routiers (mutationes), Les relais routiers et les relais routiers-fortins Les voies romaines furent pourvues de relais routiers (mutationes) et protégées par des relais routiers-fortins (relais-auberges militaires routières, phrouria ou mansiones)

, Tous les trois ou quatre relais routiers (mutationes) 1153 , (environ 20 à 35 km), un relais routier-fortin (mansione) était aménagé 1154 (de préférence à un point de rencontre de plusieurs 1147 CHEVALLIER, p.308, 1997.

, SARTRE, p.250, 1997.

.. Le-système-de-la-police-routière, , p.276, 1997.

. Adam, , p.276, 1997.

, L'organisation et la sécurité des voies romaines de la région étaient de la responsabilité des centurions légionnaires, Ein Gedi en Judée, pp.136-137, 1992.

, Les distances entre les mansiones varient, car elles dépendent à notre avis de la topographie et de la sécurité de la région traversée par les voies, p.283

. Adam, En plus de son rôle de phrourion, le mansione constituait un lieu d'étape qui comprenait souvent une auberge pour éventuellement y passer la nuit et un service d'écuries (stabulum muni de magasins à blé et fourrage 1156 ) pour l'entretien, p.312, 2008.

, long des voies, comme ceux construits le long de la Via Nova de Trajan au sud de Bosra (Bostra), sur la voie du Léj? en Syrie du Sud qui constitue une partie de la voie Damas-Suweida 1157 et sur la Strata Diocletiana qui relie la Damascène avec Palmyre et l'Euphrate 1158 . Sur la voie qui relie Bani?s avec Damas, le relais routier-fortin de Manqa? ez-Zeit et de celui au sud-est de Manqa? ez-Zeit ont été découverts. D'autres relais routiers ou relais routiers-fortins semblent avoir été construits sur cette voie, des relais routiers et des relais routiers-fortins furent construits -en grande majorité vers le milieu du II e siècle apr, p.754400

, 5 km (un mille romain) à l'ouest du relais routier-fortin de Manqa? ez-Zeit, et qui est devenu une agglomération occupée aux époques byzantine et médiévale, nous avons trouvé de la céramique qui date de la période provinciale romaine-byzantine précoce, NITM : 268 791) qui se trouve sur le côté sud de cette voie

. Trenjeh, on a repéré des vestiges qui semblent appartenir aussi à une occupation (un relais routier ?) sur cette voie 1160, ces dernières trois occupations, il est vraisemblable que des relais routiers ou des relais routiers-fortins furent installés

, Sur la voie qui relie la côte nord-est du lac de Tibériade à l'ouest avec Nâwa à l'est le relais routier de Law?yeh a été repéré et fouillé partiellement. Un possible relais routier qui 1155 CHEVALLIER, p.284, 1997.

. Adam, , p.313, 2008.

, Un relais routier avec une borne milliaire inscrite qui date de l'an 214 apr. J.-C. a été répertorié par Th. Bauzou pendant ses prospections sur la voie romaine Bosra-Mafraq-Gerasa, p.136, 1985.

, HARTAL, pp.79-80, 1989.

, URMAN, pp.109-110, 1985.

, donne sur le lac de Tibériade semble, selon Z. U. Ma?oz 1161 , avoir été construit aussi sur cette même voie

C. À-na?r?n and . Dauphin, Gibson parlent d'une mansione qui était aménagée sur la

, Via Maris 1162 . Il s'agit d'après eux d'une construction rectangulaire (55 m sur 45 m) qui

, Si on considère qu'il y avait le long des voies romaines une mutatione tout les quatre à six milles romains 1165 et une mansione tous les deux

, NITM : 272 767) et des mansiones sur les sites de Na?r?n et d'el-Khushniyeh (UTM : E762830m, N3654820m ; NITM : 276 767), séparés par une distance de huit à neuf milles romains

C. D'après and J. Dauphin, Schonfield 1166 , les sites de Kafar Naff??

. E755750m, UTM : E745615m, N3655780m ; NITM : 259 768), situés au nord-est et au sud-ouest de Na?r?n, sur la voie J?ssr Ban?t Ya?qoub -Damas, comprenaient des mutationes. D'après les distances entre les mutationes et les mansiones, NITM : 269 774) et de J?ssr Ban?t Ya?qoub, pp.32-33, 1982.

, Pendant ses prospections sur le site en 1983, C. Dauphin a décelé une borne milliaire romaine. Cette borne milliaire ne porte aucune inscription, p.268, 1984.

. Dauphin and . Gibson, , p.11

. Dauphin and . Gibson, Comme nous l'avons mentionné dans la description du site et de ses vestiges architecturaux, nous n'avons pas trouvé pendant nos prospections des vestiges qui pourraient appartenir à une telle construction : il ne s'agit de fait que de constructions domestiques qui datent apparemment de la période byzantine et qui ont été remployées par les habitants syriens du village, p.11

. Toutefois, Étant donné le fait que le site de Na?r?n se trouve sur le côté sud de la Via Maris et à un embranchement de voie continuant vers le sud-est, vers el-Khushniyeh puis vers Naw?

, Nous rappelons qu'un mille romain égale à peu près à 1,5 km

S. Dauphin, , pp.197-204, 1983.

, E763510m, N3668880m), sur la même voie romaine J?ssr Ban?t Ya?qoub -Damas

, Les relais routiers ou relais routiers-fortins furent abandonnés au début de la période byzantine, en même temps que « la disparition des institutions qui leur avaient donné naissance 1167 », cependant, les voies continuèrent à être fréquentées et entretenues jusqu

, 52 et 53). Ils ont dû servir comme phrouria puisqu'ils sont aménagés sur des buttes et protégés par des murailles défensives. La topographie accidentée de la région (la pente de la rive gauche du wadi S?ar) explique à notre avis le fait que la distance qui les sépare est inférieure à la distance habituelle entre les mansiones. Sur cette partie de voie, passant par une vallée, il est plus difficile de lutter contre le brigandage que dans les zones plates et ouvertes. Ces relais routier-fortins avaient pour fonction, Les relais routiers-fortins à Manqa' ez-Zeit et au sud-est de Manqa' ez-Zeit Ces relais routiers-fortins, qui datent de la période s'étendant du II e au début du IV e siècle apr. J.-C. 1169 , sont composés, comme nous l'avons vu dans la description de leurs vestiges architecturaux, de tours carrées ou rectangulaires construites au milieu de cours entourées de murailles, vol.III

, et 55). D'après les vestiges préservés il s'agissait d'une mutatione : un lieu de repos pour les voyageurs et une tour de guet pour l, Le relais routier de Law?yeh Ce relais routier, qui date de la deuxième moitié du II e siècle apr. J.-C. 1170 , ne dispose pas d'une muraille défensive, vol.III, p.54

, Étant donné le fait qu'elle est construite sur le côté nord de la voie, son entrée devait être sur son côté sud. La pièce n o 1 servait probablement de salle de séjour et la pièce n o 2 devait servir de chambre à coucher

, SARTRE, p.625, 2001.

, Ces relais routiers et relais routiers-fortins sur le plateau, séparés par une distance d'un mille romain, semblent avoir servi, comme ceux de Syrie du Sud 1172 , d'observatoires et de postes pour les stationarii

, Des relais routiers et relais routiers-fortins de ce type ont été identifiés sur la Via Nova de Trajan, sur la voie du Léj? en Syrie du Sud et sur la Strata Diocletiana qui relie la

. Damascène-avec-palmyre, Sur la voie du Léj?, une série de tours a été repérée : la tour de Manâra es-Sleiman, qui est encerclée par une muraille (un relais routier-fortin ?), la tour de Manâra el-'Aoura (un relais routier), la tour de Manârat Henû (un relais routierfortin ? ou un sanctuaire routier), la tour de Manâra Musha'sha (un relais routier), la tour de Manâra el-Bîré (un relais routier), la tour de Manâra e-Shrabat

, Il est important de mentionner que ces trois relais-routiers (de Manqa' ez-Zeit, de celui au sud-est de Manqa' ez-Zeit et de Law?yeh) ne disposent pas de décor architectural, puisqu'ils constituaient des occupations de nature militaire

, nord et sud) : pendant l'époque hellénistique il était partagé entre les Séleucides (nord) et les Lagides (sud) ; au premier quart du I er siècle av. J.-C. la partie sud tombe sous la domination du souverain hasmonéen Alexandre Jannée 1174 et la partie nord sous la domination des Ituréens 1175 . Le plateau tomba sous la domination romaine, après que Pompée mit fin à la dynastie séleucide, au règne hasmonéen et réduisit les territoires du royaume Ituréen. Au début de l'occupation romaine, le plateau est divisé en deux zones (nord et sud) : la partie sud est intégrée aux territoires de la ville de Sussita-Hippos, UNE HISTOIRE COMPLEXE Pendant toute la période s'étendant de l'époque hellénistique à l'époque byzantine le plateau du ?awl?n était divisé en deux zones, pp.40-74

;. Zénodore, Auguste accorda des territoires de la Transjordanie septentrionale, y compris de la Gaulanitide, à Hérode le Grand 1177 . Le plateau fit partie du royaume d'Hérode jusqu'en 4 av. J.-C. où il fut intégré dans la tétrarchie de son fils Hérode Philippe 1178 qui comprenait le plateau avec la plaine d'el-?oulah, les régions méridionales d'Iturée et la Batanée en Syrie du Sud

.. , sa tétrarchie fut annexée à la province de Syrie 1179 mais la dynastie hérodienne, représentée par Agrippa I, reprit en l'an 37 apr. J.-C. la tutelle sur la région 1180 . Après le règne d'Agrippa I qui ne dura que sept ans, le plateau, qui resta entre 44 et 53 apr

, Il conquit également Gaulana, Séleucie et le lieu dit "Ravin d'Antiochos" ; s'emparant en outre de la forteresse très sûr de Gamala (?) » (JOSÈPHE, Guerre, I, pp.104-105

, HARTAL, pp.388-391, 2005.

V. , X. , and «. Xvii, Dans son Histoire naturelle Pline l'Ancien mentionne Bani?s « Panéade » comme une des villes de la Décapole, SARTRE, vol.1, pp.59-65, 1991.

A. Josèphe and . Xv, Pendant cette période, au troisième quart du I er siècle av, la région de Bani?s au nord était gouvernée par Lysanias, fils de Ptolémée, puis par Zénodore, tétrarque d'Iturée (SARTRE, pp.59-65, 1991.

, Sauf la ville de Sussita-Hippos qui passa sous la domination de la province de Syrie (JOSÈPHE, Antiq. XV, 217 ; XVII, 320 ; Guerre, I, 396, vol.II, p.97

A. Josèphe, XV, 217 ; XVII, 320 ; Guerre, I, 396, vol.II, p.97

A. Josèphe and . Xviii, , pp.235-237

, Caesarea Philippi) la capitale de sa tétrarchie comprenant la partie nord du plateau, les régions nord de la Batanée et la plaine d'el-?oulah 1181 . Pendant son règne qui est caractérisé en général par une stabilité politique et économique 1182 , des affrontements eurent lieu dans la région entre les habitants représentés notamment par ceux de la ville de majorité juive de ?aml? et les forces romaines. Ces affrontements ont fini en 67 apr. J.-C. par l'étouffement de la révolte juive et par la chute de la ville de ?aml?. Après la mort d'Agrippa II (entre 85/86 et 96 apr. J.-C. 1183 ), le nord du plateau fut annexé à la province de Syrie 1184 , pendant que le sud fut intégré à la province de Judée, renoummée à partir de l'an 135 apr, vol.1186

S. Sévère, ) -à la province de Syrie-Phénicie 1187 . La partie sud du plateau resta pendant le II e siècle apr. J.-C. dans la province de Syrie-Palestine, Cette dernière fut appelée pendant les III e et IV e siècles « province de Palestine, pp.193-211

. Cependant, la partie nord du plateau fut intégrée aux territoires de la Phoenice Paralios 1188 et la partie sud à la province de la Palestine Seconde, ci fut divisée en trois provinces à la fin du IV e -début du V e siècle apr

G. Josèphe and . Iii, , p.514

, SARTRE, p.193, 1985.

, SARTRE, p.240, 2011.

C. Ptoléméé and I. V. Geographia, Sur la carte géographique de l'est méditerranéen de Claude Ptolémée, pp.35-36

, SARTRE, p.606, 2001.

, HARTAL, pp.279-281, 2006.

, SARTRE, p.31, 1991.

, TZAFERIS, p.3, 1998.

, HARTAL, pp.279-282, 2006.

, TSAFRIR, p.372, 1984.

D. Grégoire-de-chypre and . Orbis-romani, , pp.1028-1041

E. Segal, dont les différences de texture ont un effet direct sur les techniques de construction, est classable en trois types principaux 1191 : les Cover basalts 1192 , le basalte de Dalweh et le basalte de la Golan formation 1193 . Les sites du plateau ont utilisé à toutes les périodes historiques le basalte local, disponible sur place. Quand le site se trouvait dans une zone où les trois types du basalte sont disponibles, les trois types étaient généralement utilisés de façon différenciée : le basalte solide des Cover basalts était utilisé pour la production de longues dalles et de grands blocs (destinés à la couverture, aux façades principales et aux encadrements des ouvertures), tandis que les basaltes moins solides et vacuolaires de Dalweh et de la Golan formation étaient utilisés dans la construction des façades secondaires, des murs intérieurs et des murailles des cours, p.19, 1984.

. En-ce-qui-concerne-le-calcaire-travertin, ce matériau de construction est utilisé -dans de faibles proportions par rapport au basalte -sur les sites qui sont proches des vallées, comme ?aml? et Sussita-Hippos, où la couche calcaire recouverte par les couches basaltiques affleure en raison de l'érosion de l'eau

. S?ar, . De-??rbet, and . ?omrit, qui se trouve à 4,3 km au sud-ouest de Bani?s, le matériau de construction principal est le calcaire travertin local des versants sud-ouest du Mont Hermon

, Ce matériau importé fut intégré dans l'architecture religieuse et civile monumentale de la Palestine à partir de la période d'Hadrien (117-138), en particulier après la répression de la révolte de Bar-Kokhba en l'an 135 1194 . Avant cette période, il était utilisé uniquement dans le décor architectural (revêtement, opus sectile), Comme on l'a vu plus haut, le marbre ne fut utilisé que dans les grands centres urbains et/ou cultuels comme Bani?s au nord et Sussita-Hippos au sud

, SCHULMAN, p.180, 1962.

, À part dans les villes côtières, qui jouaient le rôle d'intermédiaires dans l'importation du marbre pendant les II e et III e siècles, l'utilisation de ce matériau dans les villes de la Syrie et de l'Arabie reste occasionnelle par rapport à son utilisation dans les villes de la Palestine

;. Scythopolis, . Williams-thorpe, and . Henty, Son utilisation occasionnelle dans les villes de l'intérieur est due à la difficulté et au coût élevé du transport de ce matériau de poids et de prix élevés, p.155, 2000.

, Bien qu'il ait été présent dans la région depuis l'époque hellénistique (pour le décor architectural et la sculpture de statues), son utilisation culmina donc, Les bases de colonne peuvents faire partie du décor architectural. des bâtiments qui portent de lourds poids 1196

, il est possible d'affirmer que le marbre importé dans la région à l'époque romaine (entre le I er et le III e siècle apr. J.-C.) est originaire de la Turquie (notamment de la Troade), d'Égypte (Assouan), de la Grèce, de la Tunisie et d'Italie (Sardaigne, Elbe) 1198 . Du fait de leur proximité géographique, la Troade et Assouan fournissaient la majeure partie du marbre importé 1199, D'après les fouilles archéologiques, les recherches en l'histoire de l'art et les analyses isotopiques 1197

, La construction sur le plateau à l'époque romaine est en général une construction sèche, sans liant, on le trouve surtout dans les grands centres urbains et/ou cultuels comme à Sussita-Hippos et à Bani?s. Son utilisation était très rare dans les sites ruraux -villageois et militaires

, Le mortier utilisé à Sussita-Hippos et à Bani?s est un mortier de chaux originaire de la pierre calcaire locale. À Sussita-Hippos, il est souvent mélangé avec des résidus de charbon, et à Bani?s il contient parfois du gravier. Sur ces deux sites

, Jusqu'à présent, nous ne disposons pas de preuves directes de l'utilisation du bois dans la construction, pp.323-327, 1996.

. Pearl, , pp.295-303, 1991.

. Williams-thorpe and . Henty, et 163), deux types principaux de colonnes de marbre ont été importés en Palestine à l'époque romaine : le marbre gris et violacé de Troade, D'après des analyses techniques faites par O. Williams-Thorpe et M. M. Henty, pp.155-157, 2000.

. Williams-thorpe and . Henty, Parmi les 314 colonnes en marbre étudiées et analysées dans sept sites d'époque romaine en Palestine (Askelon, Jérusalem, Césarée Maritime, Scythopolis, Nazareth, Tibériade et Sussita-Hippos), 195 colonnes sont de provenance de la Troade et 113 colonnes sont originaires des carrières d'Assouan, pp.155-163, 2000.

L. Villes, . Les, and . Périurbains-l, architecture urbaine comprend des constructions de nature religieuse

, L'évolution architecturale de l'architecture religieuse Nous n'avons identifié des consrtuctions religieueses que dans les centres urbains et cultuels. Dès l'invasion romaine de la région, des constructions de nature cultuelle furent bâties, comme la chapelle à ??rbet ?Omrit qui aurait été construit sous Aulus Gabinius, pp.57-55

.. ). De-pompée, Plasiuers types de constructions religieuses se dévélopèrent apparemment à l'époque romaine : les temples sur podium, les espaces cultuells à ciel ouvert, les sanctuaires du culte impérial (kalybè-s), les tombeaux-temples, les nymphées et d'autres édifices de nature cultuelle comme les tours funéraires, nefesh, monumentales. Ces constructions ont évolué pendant l'époque romaine, et en les observant nous constatons une différence au niveau des plans et du décor architectural entre ceux du début de cette époque (I er siècle av

, La deuxième phase de la chapelle à ??rbet ?Omrit, vol.III

, cet édifice serait apparemment un temple pseudo-périptère, tétrastyle, d'ordre corinthien. Sa construction remonterait au troisième quart du I er siècle av. J.-C. 1202 . Ses vestiges préservés in situ et ceux mis au jour à proximité nous conduisent à supposer que les influences architecturales romaines étaient déjà présentes dans la région bien avant le règne d'Hérode le Grand. Les pièces architecturales retrouvées autour de son podium (la base de colonne attique mise au jour in situ sur l'angle est du podium, un bloc d'un pilastre, un tambour de colonne, un chapiteau corinthien, des blocs d'architraves, des blocs de frises doriques, des blocs de corniches, un bloc de fronton) et les fragments de stuc de couleurs variées et à moulurations de motifs floraux -dont des fleurs d'acanthe -ou d'être vivants, constitue apparemment le plus ancien temple sur podium d'époque romaine attesté sur le plateau. Daprès les vestiges (vestiges du podium et pièces architecturales) mis au jour

, 65 et 68 ; OVERMAN et SCHOWALTER, ROZENBERG, p.101, 2011.

, Le Temple I à ??rbet ?Omrit est aussi, à la lumière de ses vestiges préservés, vol.III

, Ses dimensions moyennes (long. 25,20 m ; larg. 13,20 m) reflètent la récente installation romaine dans la région. Comme c'est le cas de la deuxième phase de la chapelle, les pièces architecturales retrouvées autour de son podium, en-dessous du sol du Temple II (bases attiques de colonnes, tambours de colonnes, blocs de pilastres engagés, chapiteaux corinthiens, blocs d'architraves et blocs de frises et de corniches) et les fragments de stuc

, Dans la partie précédente nous avons abordé les différents points de vu relatifs à la localisation de l'Augusteum et nous avons trouvé que sa localisation à ??rbet ?Omrit serait la plus logique. Il est donc possible que le Temple I de ??rbet ?Omrit soit lui-même l'Augusteum

, et 26) est contemporaine à celle du possible Augusteum à ??rbet ?Omrit, vol.III

, à la fin du I er siècle av.-début du I er siècle apr. J.-C. 1207 . Il comptait parmi les lieux de culte installés dans la région au début de l'époque impériale 1208 . À la lumière des vestiges préservés, il serait de dimensions modestes (long. 27 m ; larg. 11,70 m), il était apparemment un temple prostyle tétrastyle ou distyle in antis de plan rectangulaire. Les pièces architecturales retrouvées dans la zone de cet édifice (des tambours de colonnes, un bloc d'un pilastre engagé à base attique, deux chapiteaux ioniques, au moins douze blocs d'architraves, trois blocs de frise dorique, Bani?s. Il fut vraisemblablement construit sur un temple d'époque hellénistique 1206 , peu de temps après la deuxième phase de la chapelle de ??rbet ?Omrit

, OVERMAN et SCHOWALTER, pp.102-103, 2011.

, ROZENBERG, vol.55, pp.66-67, 2011.

E. Segal, , pp.27-29, 2004.

B. M?ynarczyk and . Seigne, , p.41, 1986.

D. , Mazor 1210 , ce temple représente le développement de l'architecture publique impériale qui commença dans la région vers le milieu du I er siècle apr

Z. Le-«-temple-de, . Héliopolitain, and . De-pan-»-À-bani?s, III, plan 5), daté de la fin de la période du règne d'Agrippa II, fin du I er -début du II e siècle apr

, Bien que ce temple fut construit après le Temple II de ??rbet ?Omrit, il est de dimensions plus petites (long. 16,70 m ; larg. 10,80 m). La superficie limitée dans l'espace cultuel dit sanctuaire de Pan n

, À propos de son plan, à la lumière des vestiges conservés de son podium et des pièces architecturales retrouvées, il se composait vraisemblablement d'un portique, pronaos, ouvert en façade et accessible par un escalier, et d'une cella, correspondant probablement à un temple prostyle-tétrastyle d'ordre corinthien. Les pièces architecturales retrouvées (une base attique, trois chapiteaux corinthiens «, vol.III, issue.5

. Ainsi, Au début de l'époque romaine les temples étaient de plan tétrastyle ou pseudo-périptère tétrastyle et à la deuxième moitié du I er siècle apr. J.-C. fut introduit dans la région le plan du temple périptère-hexastyle. Le décor architectural à la deuxième moitié du I er siècle apr, développement architectural des temples sur podium montre qu'ils sont devenus plus grands et plus somptueux au fil du temps

, Avec la mort d'Agrippa II à la fin du I er siècle apr, le plateau fut partagé entre les provinces romaines (Syrie-Phénicie au nord et Syrie-Palestine au sud) et par conséquent les projets édilitaires furent apparemment abandonnées

Z. U. Le-fouilleur-du-sanctuaire, Ma'oz, n'a pas publié d'informations sur la nature du décor architectural que porte cette dalle. Cependant, le motif qu'elle porte ressemble, d'après lui (MA'OZ, 1998, p. 21), à un motif décoratif appliqué sur une dalle de la tour, Comme nous l'avons déjà mentionné

, Le creusement de ces deux niches rentre dans le cadre de l'évolution de la pratique du culte de Pan et des nymphes et représente l'embellissement de cet espace cultuel consacré à ces derniers, adorateurs des divinités et les niches creusées dans la falaise furent propablement consacrées à l'accuil de statues votives des nymphes, comme Écho et Maïa 1216

, III, plan 6 et fig. 7) reflète l'évolution architecturale de ce type d'espaces cultuels à ciel ouvert dans la région, Cet espace cultuel

, Cette distinction vient du fait qu'elle était l'exécutrice de la justice de Zeus, la responsable de la vie et de la mort de ses adorateurs 1218 et elle était parfois considérée comme « la déesse de la vengeance et de la justice » et la marraine des activités liées aux combats de gladiateurs et aux exécutions capitales des prisonniers 1219 . Son culte fut favorisé par les Antonins et les Sévères à l'occasion des célébrations liées au culte impérial 1220 et son espace cultuel fut probablement construit en lien avec les jeux romains 1221 « les Ludi, On consacra à cette déesse/nymphe (Némésis) son propre espace cultuel parce qu'on la distinguait des autres nymphes qui étaient adorées avec Pan

. Le-temple-de, III, plan 8 et fig. 9) et qui fut construit -vraisemblablement faute d'espace aux pieds de la paroi rocheuse -devant le sanctuaire, Pan et des chèvres, qui est de plan semi-ovoïde à abside ouverte vers l'ouest

, qui date vraisemblablement du milieu du II e siècle apr. J.-C., atteste la consécration de ces niches à l'accuil de statues votives des nymphes, p.62, 2004.

, HORNUM, pp.6-13, 1993.

, Par ses dimensions, (long. plus de 11 m ; larg. 7,50 m), il est le plus vaste parmi les espaces cultuels à ciel ouvert mis au jour à Bani?s. Les monnaies des types n os 5, 7 et 8, datées des années 222-223 de l'ère de Bani?s (219-221 apr. J.-C.), illustrent sur leurs revers Pan en train de jouer de la flûte devant des chèvres qui dansent dans ou devant une abside semi-circulaire

, La pratique du culte de Pan avec les chèvres sacrées qui accomplissent des danses rituelles exigea apparemment la construction d'un tel espace cultuel-plate-forme à ciel ouvert plus vaste en superficie. La construction de cet espace cultuel eut apparemment lieu sous des influences cultuelles originaires d'Égypte où le culte animal était répandu, comme par exemple à Umm el-Baragat (Tebtynis au Fayoum) et au temple de Khnoum sur l'île de l'Éléphantine, des inscriptions sur des piliers de Memnon trouvées à Thèbes

.. Philae,

, En plus du fait que Pan est un dieu-bouc -mihomme mi-bouc -et que les chèvres furent toujours associées à son culte

, Elle fut vraisemblablement construite peu de temps après l'apparition des premières kalybè-s dans la province de Syrie pendant la première moitié du I er siècle apr, La façade à abside (kalybè / sanctuaire du culte impérial) à Sussita-Hippos est la seule construction (de culte impérial) mise au jour jusqu'à présent sur le plateau, vol.III, 1225.

, Comme elle est jusqu'à présent la seule possible kalybè attestée sur le plateau

, Néanmoins, les kalybè-s en Syrie du Sud (les kalybè-s d'Umm az-Zeitun, de Shaqq? et de 1223 MA'OZ, p.127, 2009.

, SARTRE, pp.476-480, 2001.

). Hayat and .. , 1226 sont à notre avis un développement architectural de cette façade à abside (kalybè / sanctuaire du culte impérial) de Sussita-Hippos. L'évolution des pratiques cultuelles représentées par le dépôt d'offrandes et l'installation de parèdres à coté de l'image divine dans l'abside conduisit, faute d'espace et pour une meilleure représentation des divinités adorées

, Les vestiges préservés de notre façade à abside ne nous permettent pas d'affirmer qu'il s'agit d'une kalybè. Cependant, il est vraisemblable que nous sommes devant une façade à abside semi-circulaire -dont l'abside devait être couverte d'un quart de sphère -qui ait été

, Elle fut problablement construite pendant la deuxième moitié du I er siècle apr. J.-C. Néanmoins, comme nous l'avons déjà signalé, la présence de tuyaux et la construction de ce bâtiment à proximité des sources ne suffisent pas pour lui attribuer la fonction de nymphée. L'absence de bassins et d'une fontaine monumentale -qui sont des éléments architecturaux caractéristiques des nymphées dans le monde gréco-romain -écarte l'hypothèse de V. Tzaferis. En nous basant sur les colonnades mises au jour, il pourrait s'agir d'un bâtiment public (une basilique ?) édifié dans le centre urbain de la ville, Une construction qui fut identifiée par V. Tzaferis, son fouilleur, comme nymphée a été mise au jour dans le centre urbain de Bani?s, vol.III

, III, plan 19 et fig. 27), daté de la fin du I er siècle av.-début du I er siècle apr. J.-C., serait l'unique synagogue d'époque romaine qui a été jusqu'à présent découverte sur le plateau, L'édifice 1000 à ?aml?

, Les sièges en gradins et les plate-formes -derrière les sièges -dans le hall principal ont conduit S. Gutman, le fouilleur de cet édifice, à proposer l'hypothèse que cette possible synagogue a servi comme lieu de réunions pour des assemblées 1230 . Étant donné le fait que cet édifice constitue la seule possible synagogue d'époque romaine découverte jusqu'à maintent sur le plateau, de deux chambres d'enseignement (6 et 7), d'un bain rituel (mikveh

. Ma'oz, , pp.12-179, 1981.

, GUTMAN, pp.108-109, 1994.

L. Le-site-de-?aml?-constitue, ou plutôt la grande localité la plus ancienne implantée sur le plateau. Son infrastructure -qui date de la première moitié du I er siècle apr. J.-C. -, représentée par des ruelles et des escaliers qui assuraient la communication entre ces dernières

, Les voies de ces deux derniers sites furent aménagées selon un plan en damier : une ou deux voies à colonnades principales et des voies -à colonnades -secondaires, et dans celle de Sussita-Hippos, vol.III

, La ville de Sussita-Hippos était dotée d'un forum et celle de Bani?s disposait probablement d'une place publique circulaire bordée d'une colonnade

, L'infrastructure de Bani? date de la période de la dynastie hérodienne, I er siècle apr

C. Sussita, Hippos date de la deuxième moitié du I er -début du II e siècle apr

, Les édifices civils monumentaux (édifices publics urbains

.. ?aml?, Ce bâtiment (basilique tribunale ?) est d'une petite taille (long. 15 m ; larg. 16 m) par rapport aux bâtiments de la même nature dans les villes grécoromaines du bassin méditerranien et il ne dispose pas par ailleurs de décor architectural. Cela est lié à l'ampleur modeste et à la topographie accidentée de la localité dans laquelle il se trouve et, aussi, constitue la plus ancienne construction publique d'époque romaine sur le plateau, vol.III

, L'évolution de ce type de constructions est représentée chronologiquement par l'édifice appelé « palais d, par un possible odéon/bouleutérion à Bani?s et par la basilique, vol.III

, À la lumière de ses dimensions et de ses vestiges mis au jour, l'édifice appelé « palais d'Agrippa II » constituait vraisemblablement une cour royale somptueuse et fortifiée qui aurait été construite par Agrippa II au troisième quart du I er siècle apr

, datée de l'an 223 de l'ère de Bani?s (221/222 apr

.. La-basilique-de-sussita-hippos, est de dimensiones plus grandes (long. 55 m ; larg. 30 m) que celle de l'« Édifice public » (possible basilique) de ?aml?. Elle est, contrairement à ce dernier bâtiment

, dimensions modestes (diamètre de la cavea : 29,35 m) par rapport aux odeia/bouleuteria mis au jour dans les villes gréco-romaines du bassin méditerranien. Cependant il est assez riche en décor architectural. Étant donné le fait qu'il est le seul odéon/bouleutérion d'époque romaine mis au jour jusqu'à maintenant sur le plateau, l'évolution architecturale de ce type de constructions n'est pas observable via ce seul bâtiment. Ces édifices « hérités de l'architecture grecque

, L'évolution architecturale des installations urbaines défensives Les aménagements défensifs urbains de ?aml? (fin du I er siècle av

, « Bethsa?da / Julias ?» (« première moitié ? » du I er siècle apr. J.-C.) et de Sussita-Hippos (I erdébut du II e siècle apr. J.-C.) représentent les aménagements de ce type d'époque romaine sur 1231 BALTY, p.574, 1991.

.. L'enceinte-de-?aml?-fut-renforcée, Cependant, étant donné le fait que cette grande localité fut abandonnée après l'étouffement de la révolte juive des années 60 apr. J.-C., ses constructions défensives ont cessé de se développer après cette date, après l'an 67 apr, En revanche, celles d'et-Tell (Bethsa?da / Julias ?), de Sussita-Hippos et probablement celles de Bani?s furent devéloppées et munies de tours et de portes, 1232.

. L'enceinte-d', Bethsa?da / Julias ?) fut probablement renforcée par Hérode

. Philippe, Hérode le Grand, quand ce dernier accorda à la ville en l'an 30 apr, C. des franchises municipales

, Dans l'enceinte de Sussita-Hippos, les postes de surveillance (casemates) couvert de

, À partir de la deuxième moitié du I er siècle apr. J.-C. nous constatons que la construction sans liant commence à disparaitre et que l'utilisation du mortier devient habituelle, Les fortifications de la ville de Sussita-Hippos constituent ici un exemple, p.1233

, puisqu'elles datent du I er -début du II e siècle apr

, La qualité de la construction de l'enceinte est, d'après Vitruve 1234 , liée à la nature des matériaux de construction disponibles et à l'emplacement des constructions défensives

, L'évolution architecturale des bâtiments domestiques urbains La maison 2100 qui est à « plan clos » et la maison 1700 ou Wall House qui est à plan en U à ?aml? représentent les plus anciennes constructions domestiques urbaines d

, L'évolution architecturale de ce type de constructions est représentée par les vraisemblables insulae de Bani?s et de Sussita-Hippos : les constructions domestiques urbaines (insulae) du début de l'époque romaine

, GUTMAN, pp.85-86, 1994.

, EISENBERG, p.83, 2008.

I. Vitruve, , pp.10-16

, alors que celles de la période provinciale sont à plan composé d'un atrium et d'une cour à péristyle (peristylon, peristylum, peristylium) entourés de plusieurs pièces (fauces, tabernae, alae, cubicula, triclinia, culina, etc.) et vraisemblablement d'un jardin (hortus). Le bâtiment dit « Northeast Insula (NIP) » à Sussita-Hippos

, La romanisation ou les influences architecturales romaines sur ce type de constructions sont donc claires à partir du II e siècle apr

L. Sites-ruraux,

, L'architecture villageoise est représentée essentiellement par des installations domestiques. Les études menées jusqu'à présent sur les occupations rurales sur le plateau montrent que ces dernières ne comprenaient pas des constructions défensives (enceintes munies ou non de tours et de portes fortifiées, Ces occupations furent installées sur des

, Sur le site de ?aml?, bien que nous ayons classé cette occupation (grande localité) avec les centres urbains, nous constatons qu'il y a des constructions domestiques à « plan clos » (maison 2100) et à plan en U (maison 1700 ou Wall House) qui datent de la période pré-provinciale romaine. Ces mêmes plans se retrouvent dans des occupations rurales qui datent de la période provinciale romainebyzantine précoce comme à ??rbet Namrah (maison K « plan clos, Les influences architecturales romaines étaient moins importantes dans les zones rurales, vol.III

?. Z?art?-;-maisons-d-et-e-«-plans-clos, ». , and «. Vol, plan 44 ») et à el-Far? (maisons A « plan en U, plans 41 et 42 »), à Na?r?n (maison E « plan clos, vol.III

, Cet arc qui est « un élément fondamental de la conquête de l'espace introduit par les romains 1235 » fut également employé dans les maisons des villages qui datent de la période provinciale romaine-byzantine précoce comme dans la maison E à Na?r?n, Au niveau des techniques de constrution, nous remarquons qu'on employait l

L. Militaire,

, AUX INFRASTRUCTURES Les sites de nature militaire, extra-urbaine et liés aux infrastructures sont représentés par le réseau des voies romaines sur le plateau, par les relais-routiers (mutationes) et par les relais routiers-fortins (mansiones)

, Comme nous l'avons déjà mentionné, il est vraisemblable que certaines voies d'époque romaine aient été construites sur des anciennes voies d'époque hellénistique ou perse

, apr. J.-C.) 1236 -à partir du début du II e siècle apr. J.-C. : le réseau routier fut maintenu et élargi et les voies furent munies de relais routiers, de relais routiers-fortins et de bornes milliaires, pp.117-138

, L'innovation et le maintien de ce réseau se poursuivit pendant le II e siècle -notamment

.. J. Sous-marc-aurèle-;-apr and .. -c.)--et-le-iii-e-siècle-apr, avant l'expédition de Sévère Alexandre en 231 contre les Perses 1237 . Des bornes milliaires -dont certaines portaient des inscriptions -ont été retrouvées en Judée, dans la plaine d'el-?oulah, près de Dan ( ???? ???????? , ???? ), à l'extrémité nord de cette plaine et sur le plateau, à ??rbet el-Taw?fïq el-Fawq? ( ???? ?????????? ?????? ?????? ) à l'extrémité, pp.161-180

. Kerak/philotheria and . ???????-?, ????? sur la côte sud-ouest du lac de Tibériade 1238 . Ces bornes milliaires témoignent de cette innovation

. Clauss-balty, , p.57, 2008.

. Avi-yonah, , p.111, 1950.

, URMAN, pp.109-113, 1985.

. Ma'oz, . Goren-inbar, and . Epstein, , p.537, 1993.

L. Plateau, À partir de la deuxième moitié du I er siècle apr. J.-C., la romanisation de l'architecture se confirme dans les occupations urbaines (sous la forme de temples, d'infrastructure urbaine et d'installations civiles-monumentales « voir ci-après ») et les influences architecturales romaines s'imposent avec le Temple II à ??rbet ?Omrit. Cet édifice constitue un développement architectural de l'architecture publique impériale. Après observation, nous remarquons que, dans les centres urbains, la romanisation de l'architecture apparaît plus tôt que dans les occupations rurales. Pendant le I er siècle apr. J.-C. les deux centres urbains de Bani?s (Caesarea Philippi) au nord et de Sussita-Hippos (Antiocheia Hippos) au sud étaient traversés par des voies à colonnades -decumani et cardos -et munis de fora, de constructions religieuses (temples et probablement kalybè-s et nymphées) et de bâtiments publics urbains (basiliques, odeia/bouleuteria, palais royaux). Ils furent munis aussi, La romanisation de l'architecture apparaît assez tôt dans la région 1239 et elle se manifeste tout d'abord dans l'architecture religieuse 1240

.. J. , la superficie des centres urbains augmente. Dans les sites de Bani?s et de Sussita-Hippos des quartiers résidentiels (le quartier nord-ouest et le quartier sud à Bani?s et le quartier à l

». La-«-paix-romaine and .. , contribua à la romanisation de l'architecture dès le I er siècle dans les occupations urbaines et à partir du II e siècle apr. J.-C. dans les occupations rurales

, Les influences architecturales romaines sont attestées sur le plateau depuis le dernier quart du I er siècle av. J.-C. Elles sont attestées dans le « temple en marbre blanc » mentionné par Josèphe (JOSÈPHE, Guerre, I, 404), qui a été probablement construit vers l'an 19 av, puis à l'operosum antrum « la grotte artificielle » dans la cour de Pan et des nymphes à Bani?s, p.85, 2015.

, Les temples de la période pré-provinciale romaine sur le plateau furent construits avant ceux des régions voisines du ?aur?n et du Djebel el-?Arab. Le ?aur?n et le Djebel el-?Arab sont resté sous le pouvoir des Nabatéens jusqu'au début du II e siècle apr. J.-C., ce qui n'est pas le cas du ?awl?n qui est rentré sous le pouvoir romain dès le début de l'époque romaine. Les occupations militaires (voies romaines, relais-routiers et relais routiers-fortins)

, commencent à se développer à partir du début du II e siècle apr. J.-C. Pendant ce dernier siècle le réseau routier fut muni -notamment sous Hadrien et Marc Aurèle -de bornes milliaires et de relais-routiers (mutationes), (comme le relais routier de Law?yeh), et relais routiers-fortins (mansiones), (comme les relais routiers-fortins de Manqa? ez

. Manqa?-ez-zeit, Bien qu'intégré au coeur d'une région romanisée, nous trouvons que le plateau a conservé son caractère rural qui définit son identité architecturale pendant l, De plus, de nouvelles voies furent consteruites et rajoutées à ce réseau

, L'économie fondée essentiellement sur l'élevage et sur l'agriculture ne favorisa pas l'évolution des sites ruraux vers des sites urbains. De plus, en raison de sa répartition administrative entre les provinces romaines de Syrie

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G. Des-termes-ala, les alae désignent des ailes ou exèdres sur les deux côtés de l'atrium dans la maison gréco-romaine 1244

, Atrium : cour intérieure dans la maison gréco-romaine qui se trouve après le vestibule et qu'autour de laquelle se répartissent les salles d'habitation et les activités domestiques 1245

, Cubiculum : chambre à coucher dans la maison gréco-romaine, destinée à recevoir les habitants pour le sommeil. Il désigne également les chambres funéraires dans les catacombes romaines 1246 . Culina : la culina désigne la cuisine dans la maison gréco-romaine 1247

, Elle est composée d'un vestibule (fauces), d'une cour intérieure (atrium) et d'une cour à péristyle (peristylium) qui sont entourés de plusieures pièces (fauces, tabernae, alae, cubicula, triclinia, culina), Domus : ce terme désigne une des habitations urbaines de qualité (domus, insula, villa suburbaine) connues à l'époque romaine

, Emplecton : des blocs pseudo-isodomes à double cours, posés bord à bord sans liant, et surmontés de parpaings. Epicranitis : un bloc de couronnement de mur

, Eustyle : espace de deux diamètres et un quart entre les colonnes 1248

, GROS, pp.23-24, 2006.

, GROS, p.22, 2006.

, GINOUVÈS, p.160, 1998.

, Fauces : la fauces constitue la salle d'entrée (le vestibule) qui précède à l'atrium dans la maison gréco-romaine 1249, GINOUVÈS, p.161, 1998.

, Hortus : c'est un jardin qui faisait partie de l'habitation urbaine (la domus et la villa) pendant l'époque romaine. Il est habiteullemet aménagé sur la partie arrière de l'habitation et est souvent doté de péristyle

, Hérôon : mausolée ou autel en Grèce antique dédié à un héros ou un dieu et qui était proche du point de vue architectural et fonctionnel des tours-tombeaux connues dans la région du Proche-Orient

, Insula : ce terme désigne une des habitations urbaines (insula, domus

R. Connues-À-l'époque, Il s'agit d'un immeuble d'habitaion collectif qui se compose de plusieurs appartements

, Le plan des appartements n'est pas très différent de celui de la domus. L'accès aux étages supérieurs se faisait par des escaliers. Comme la domus, l'insula est construite à l'intérieur de la ville et elle apparut au début de l'époque impériale pour resoudre le problème de la densité de la population 1250

, Khan : le khan est une construction d'époque ottomane qui était consacrée aux voyageurs comme lieu de repos. Il est construit sur les routes, entre les villes, et on le trouve aussi à l'intérieur des villes. Son plan est en général composé d'une cour -qui comprend des bassins et des fontaines -accessible par un vestibule et entrourée de chambres pour passer la nuit

, Motif de rhomboïdes : motif décoratif d'opus reticulatum et comme un filet dont la disposition est à 45° de l'horizontale. Nahr : rivière

I. Vitruve, , vol.3, p.7

, GROS, p.39, 2006.

I. I. Vitruve, , vol.8, p.17

, Operosum antrum : héritée de la civilisation grecque et hellénistique, c'est une grotte artificielle, à voûte en berceau, taillée dans une falaise et elle constituait une partie d'un espace cultuel à ciel ouvert comme par exemple la « cour de Pan et des Nymphes à Bani?s

, Elle était destinée pour abriter une représentation de la divinité adorée dans l'espace cultuel

, Son utilisation comme élément pour les pratiques cultuelles dura jusqu'à la deuxième moitié du II e siècle apr

, Opus caementicium : c'est également une technique de construction d'époque romaine dans laquelle les matériaux de construction sont composés d'une mélange de pierre de différentes tailles avec du mortier. Son nom dérive du latin « caementum » qui veut dire « moellon, agrégat, etc. ». Opus quadratum : c'est une technique de construction murale

, Opus reticulatum : c'est une technique de construction -et de décor architectural -d'époque romaine connue aussi sous le nom « appareil en filet ». Il s'agit d'une construction d'un mur de parement en pierre, composé de petits moellons de forme pyramidale

, Opus sectile : une technique de construction et de décor architectural qui se compose de découpage et d'assemblement de pierres (souvent en marbre de couleurs différentes) de façon à constituer un dessin géométrique et décoratif de revêtement mural ou de pavement, Cette technique était répandue surtout pendant les II e et III e siècles apr. J.-C. 1251 . Pedum : houlette pour berger ou pour l'apparat

, Peristylon, peristylum, peristylium : une aire plus ou moins vaste longée sur ses quatre côtés par un portique périphérique 1252

. Pearl, , pp.295-303, 1991.

, GROS, p.24, 2006.

. De-la-ville, Habitée par une famille riche, son plan n'est pas très différent de celui des domus. Cependant, elle est souvent construite en deux étages et elle dispose de bains et d'un jardin extérieur (hortus) ou cour à péristyle qui