, 1648-1714), nommé en 1685 président du Conseil des finances, à qui le roi a confié l'éducation du jeune dauphin

L. .. Madame-de-sévigné and P. Viii, , p.1073, 2010.

L. .. Madame-de-sévigné, , p.1239

L. .. Madame-de-sévigné, , p.1270

I. Decrusy, R. .. Et-jourdan, and . Op, , vol.20

, Claude Croubois (dir.) L'officier français, p.62

V. Belhomme, Histoire de l'infanterie française, tome II, p.97

, SHD, X, vol.1, p.12

X. Shd, ordonnances royales des 20 août 1679 et 10 juillet 1680, vol.1, p.14

, SHD, A, vol.1, p.488

, SHD, X, vol.1, p.12

X. Shd, , vol.1, p.15

A. Babeau, La vie militaire sous l'Ancien Régime, p.6

, (chiffres donnés par Michel Nassiet dans son ouvrage La noblesse à l'époque moderne : une démilitarisation ?), confirmés par André Corvisier, p.277

I. Decrusy and R. Et-jourdan, , vol.18

I. Decrusy and J. Recueil, , vol.20, p.71

, SHD, A, vol.1, p.141

. An, , p.511

, Idem note 1127 ci-dessus

J. Lynn, Women, armies and warfare, p.13

J. Lynn, Women, armies and warfare, p.35

J. Lynn, Women, armies and warfare, p.199

A. Tranchant, Les femmes militaires, p.1866

E. Duparcq-de-la-barre, Histoire militaire des femmes, p.1673

P. Jean-de, 1647-1720) est un auteur de romans d'aventures, de nouvelles historiques et d'histoires galantes 1207 L'abbé Pérau, Description historique de l'Hôtel Royal des Invalides, p.24

, VI e arrondissement se nommait au XVIIe siècle rue du Chasse-Midy, en raison d'un grand cadran solaire qui s'y trouvait, et la place de la Croix-Rouge porte ce nom parce qu'un grand bâtiment des Prémontrés la bordait (Victor Fournel, 2000.

, Voir notamment le tableau de Louvois présentant l'Hôtel des Invalides à louis XIV, annexe XXII

A. Corvisier and . Louvois, , p.216

L. Pérau, Description historique, p.26

, SHD, A, vol.1, p.117

, SHD, A, vol.1, p.1215

, SHD, A, vol.1, p.30

, Les bêtes devant servir de nourriture aux troupes ne sont pas toujours fournies par les munitionnaires, et ce sont les gestionnaires du département de la

. Guerre, intendants et commissaires des guerres, qui assurent eux-mêmes les achats de bétail. Cette procédure est même la préférée de Louvois, qui, le 1 er juin 1690

. Versailles and . Saint-pouange,

, acheter auprès d'éleveurs locaux à un prix inférieur 1282 . Quelques jours plus tard, le 24 juin 1690, il sermonne Saint-Pouange en lui ordonnant de cesser d'acheter la viande au vivandier mais d'acheter les bêtes sur pieds 1283

N. Dans-de and . Cas, Philippsbourg, adresse à Louvois un état des pays qui doivent donner des vaches à l'armée et qui se présente ainsi : « Estat des lieux qui doivent fournir 600 vaches pour la subsistance de l, le bétail fait partie des contributions exigées dans les territoires occupés, vol.14

L. Marquisat-de-bar, Baden et ses dépendances

D. Le-marquisat, Baden Dourlacet ses dépendances

, La ville et baillage d'Heydelberg et autres dépendances du Palatinat, p.60

.. .. La-ville-d'hailbron,

.. .. Le-baillage-de-bretem-du-palatinat,

.. .. Le-baillage-de-ladebourg,

, Il s'agit des villes et seigneuries 1286 qui sont à portée des troupes assiégeant la place de Philippsbourg, et qui peuvent à tout moment subir pillages, destructions et incendies programmés par le commandement français. Ces sites n'ont plus de protection par rapport aux Français et se trouvent dans l'obligation de fournir ce qui est demandé 1282 SHD, Lietemberg ou Dershem et les autres villages du duché de Wirtemberg qui sont à portée de Philisbourg, vol.1

, SHD, A, vol.1, p.278

, SHD, A, vol.1, p.100

, des baillages de Brettheim (aujourd'hui partie de Rot am See), de Senheim, et de Ladenburg, ainsi que villes et villages du Wurtemberg. en perd dans un combat; je presse, je sollicite fort pour que non seullement on fasse des exemples durs à l'égard des soldats et des cavaliers

, Cela pourrait lui valoir des représailles de la part de ces hommes ou de leurs familles. Cependant, Les officiers de cette armée ne constituent pas un véritable « corps » au sens contemporain du terme. Leurs origines différentes les empêchent d'avoir des comportements collectifs, qu'il s'agisse d'apprécier ou de combattre certaines mesures. De plus, Saint-Pouange semble bien connaître cet environnement militaire où se côtoient dans les parages du dauphin, des hommes dont les familles sont à la cour et d'autres qui n'y ont aucune attache. Saint-Pouange n'arrive peut-être pas à convaincre le dauphin d'être plus dur avec l'encadrement, aussi adresse-t-il de tels avis à Louvois, sachant que le roi en aura connaissance et agira auprès de son fils, De tels propos sont certainement propres à jeter le trouble dans l'esprit du roi sur la manière dont son fils tient ses troupes

, Le roy a écrit à Monseigneur qui a répondu avec quelque chaleur que les officiers l'avoient assuré que cela n'est jamais arrivé. Je vous prie de me mander ce qui en est, et de vous conduire sur ce que je vous mande de manière que Monseigneur ne sçache pas que le roy m

A. Départ, un de ces courriers de Saint-Pouange à Louvois qui n'est pas anodin, puisqu'il y dénonce vraisemblablement le comportement des officiers de la Maison du roi. L'affaire est d'importance puisque le roi lui-même demande des explications à son fils. Ce dernier, sans effectuer ni faire effectuer de vérifications, semble courroucé de ce qu'on l'accuse de mal tenir ses troupes

, Il s'agit très certainement d'une demande expresse du souverain que Louvois transmet

, On peut estimer là le poids réel de Saint-Pouange dans le domaine de la Guerre et de la confiance dont il bénéficie de la part de Louis XIV qui lui fait demander de contrôler les 1344 SHD, A 1 975, p.176

, SHD, A, vol.1, p.113

M. Dangeau, et par Thierry Sarmant (Louis XIV, p.382

. Antoine-v-de-gramont and . De-guiche, 4 e duc de Gramont (1671-1725), issu d'une famille de militaires célèbres, il débute comme mousquetaire à 13 ans. Sa carrière militaire est prestigieuse. En 1694 il est maréchal de camp. Il participe à toutes les grandes batailles de la fin du règne de Louis XIV. Membre du Conseil de Guerre sous la régence

, SHD, A, vol.1, p.141

, SHD, A, vol.1, p.43

, Les capitaines et les colonels connaissent de grandes difficultés financières pour assurer la bonne tenue de leurs unités, mais c'est l'Etat qui finance la guerre, SHD, A 1 1258, folio 137. des responsabilités majeures commence dès que l'on parle du financement des campagnes

, Le 13 juillet 1694, de Blanche-Oreille, Saint-Pouange adresse une lettre à Barbezieux lui donnant les consignes suivantes

, je croys devoir vous dire qu'il est à propos que vous ne fassiez point faire d'envoy d'argent en particulier pour ladite armée [de Boufflers], et que vous ordonniez que tout celuy qu'on enverra soit adressé au commis de l'extraordinaire qui est dans l'armée de Monseigneur ; j'auray soin, si vous le trouvez bon ainsy de faire donner à celuy qui est dans celle de M. de Boufflers l'argent qui sera suffisant pour la subsistance des troupes qui la composent à proportion des payements que l

, Cette mise au point est très claire, et fixe bien les responsabilités de chacun

, Les généraux commandent leurs armées, mais c'est un agent du département de la Guerre qui dispose des fonds et les distribue selon les instructions reçues du roi ou de son secrétaire d'Etat

, Les fonds doivent d'abord transiter par le représentant de la Guerre, c'est-à-dire lui

, Allemagne en août 1693, provoquée en raison du manque d'approvisionnement des hommes et des bêtes en presque toutes de bois a esté consommée en six heures sans qu, 1356.

, alors que le bâtiment était gardé. Il regrette que son avis sur l'installation de cette boulangerie n'ait pas été pris en compte, ce qui aurait peut-être évité ce sabotage. Les propos de Saint-Pouange sont d'autant plus amers qu'il sait que Stuttgart se trouve en dehors du massif montagneux

. L'armée-doit-donc-se-retirer-faute-de-nourriture.-l'erreur-stratégique-de-chamlay, et sa méconnaissance des questions de logistique, empêchent l'armée du dauphin de se maintenir en Allemagne faute de provisions. C'est une démonstration majeure de l'importance des données logistique et de leur prise en compte par les commandants d'une opération militaire. Là encore, Saint-Pouange fait preuve d'une certaine clairvoyance, mais qui n'est pas prise en compte par le dauphin, certainement incapable de résister aux propositions des maréchaux qui l'entourent. Le 31 août 1693, arrivé au camp de Berghausen , c'est-à-dire sorti du piège de la forêt Noire, après trois jours de marche

. Berghausen,

M. , Lorge qui a cru qu'il ne pourroit pas avoir de fourrage pour la cavalerie et qu'il estoit difficile qu'elle pust trouver de la subsistance que vers Rachtatt [Rastatt], s'est avancé jusqu'icy et fait estat d'aller camper demain entre Esttling, 1357.

, La fin de la lettre montre que la campagne se termine de cette manière peu glorieuse, sans résultat et chacun des maréchaux reprend ses troupes pour se rendre là où il compte les protéger. Boufflers, avec l'artillerie et les unités d'infanterie qui l'accompagnent se rendent en garnison à Graben 1358 en attendant des ordres de marche

. Le-maréchal-de-lorges-avec-la-cavalerie and . Les-dragons-se-porte-À-rastadt-sur-le-rhin, Le dauphin, dont l'armée éclate ainsi, sans qu'il fasse quoi que ce soit pour empêcher cette dispersion, s'apprête à revenir sur Versailles. C'est un Saint-Pouange amer qui lui organise son voyage retour, en lui prévoyant les étapes avec les intendants et les commissaires des guerres qui se trouvent sur le parcours

A. Shd, , p.62, 1215.

, actuellement en République Fédérale d'Allemagne, dans le Land de Bade-Wurtemberg. s'intéresser à cette campagne inutile et coûteuse, mais tous attendent la réunion du père et du fils pour participer aux fêtes qui ne vont pas manquer d'être données en cette occasion. Comme le dauphin sait que son père va venir au devant de lui à son arrivée en Ile de France

X. Louis, accueille son fils à la limite de Paris le 9 septembre 1693, et ils regagnent Versailles ensemble 1360

, Avec la personne de Saint-Pouange qui participe aux réunions des plus hauts responsables de l'armée, c'est bien l'administration civile du royaume qui s'implante. Face aux deux maréchaux de France, tous deux ducs issus de grandes familles nobles du royaume, il n'a pour s'imposer que sa charge de conseiller du roi, certainement beaucoup d'allant

. Cependant, ses avis ne sont pas toujours pris en compte, parce que le dauphin manque de clairvoyance et de fermeté. Il ne sait pas, comme son père, comprendre les situations et imposer ses vues. Timoré et peu formé aux affaires militaires, il s'en remet totalement aux hommes placés à ses côtés. Compte tenu de sa personnalité, de son éducation et de son manque de perspicacité, il écoute plus facilement un maréchal

. Ii, . Un, and . De-l'etat-proche-du-roi-quand, chargeoit une même personne de la guerre et des finances, et encore quel homme ? On jugea que tout iroit de travers 1361 » Cette réflexion montre la considération que ce vieux militaire a pour les deux conseillers du roi, ses Mémoires, le comte Quarré d'Aligny, évoque ces changements de personnes de la manière suivante : « Je dirai que lorsqu'on vit, après la mort de M. de Barbesieux, qu'on n'avoit pas fait ministre de la guerre M. de Saint-Pouange, ou M. de Chamlay

C. Levantal, Chronologie d'un règne, tome II, p.578

P. Quarré-d'aligny and . Mémoires, , p.227

A. , Des relations personnelles avec le roi et sa famille

, Saint-Pouange est un grand commis de l'Etat. C'est un proche du roi, mais aussi de sa famille

. Guerre, Saint-Pouange travaille avec Louis XIV, mais est aussi auprès de la famille royale, faisant partie, comme serviteur

, Si après avoir succédé à son père au département de la Guerre en 1663, il peut acheter une charge d'intendant des ordres du roi en 1671, c'est justement parce que, Villacerf ou Saint-Pouange représentent une garantie de sérieux, et que lui-même ayant déjà eu rôle important, il est le responsable des finances de Marie-Thérèse d

, Lorsqu'en début d'année 1678 Louis XIV part avec son armée, une grande partie de la cour le suit. La reine et madame de Montespan sont toutes deux du voyage. Saint-Pouange, qui accompagne le roi, adresse à Louvois qui est resté à Saint-Germain, une lettre écrite le 9 février 1678, de Provins, dans laquelle il rend ainsi : « Depuis ma lettre escrite le Roy a leû ce soir chez M me de Montespan pendant qu'on jouait à la bassette 1362 une partie de celles que vous m

C. , époque où Louis XIV n'a aucun secret pour Madame de Montespan, et Saint-Pouange travaille chez elle avec le roi

, Jeu de cartes très en vogue sous le règne de Louis XIV

, SHD, A, vol.1, p.179

, Le 20 mars 1678, il lui donne une lettre à adresser à la reine 1367 . La favorite qui s'était portée sur Landau en quittant la reine, revient en même temps que le roi, et ils se dirigent ensemble vers Saint-Germain, Stenay, ville où ces Dames le quittent 1364 et Madame de Montespan quitte la reine le 23 février 1678 1365

, Saint-Pouange peut acheter la charge de secrétaire ordinaire de la chambre et du cabinet du roi. Il entre désormais dans l'intimité du roi d'une manière officielle et publique, puisque il assiste au petit lever du souverain. Il est probable qu'à l'occasion de la procédure du petit lever, le roi et Saint-Pouange peuvent évoquer de façon discrète certaines questions qu'ils peuvent difficilement aborder devant des tiers. Ces petits entretiens ajoutés aux réunions de travail entre Louis XIV et Saint-Pouange peuvent avoir donné l'idée au roi de le nommer secrétaire d'Etat de sa Maison en 1690 ou même de remplacer Louvois en 1691, comme l'écrivent Thierry Sarmant et Mathieu Stoll 1369 . Madame de Maintenon n'aime pas Louvois, et cette méfiance vis-à-vis du ministre doit également s'étendre à tout le clan. Aussi fait-elle certainement de fortes pressions, aidée en cela par une partie des courtisans qui pensent comme elle, pour empêcher, « J'ay fait vos compliments à Madame de Montespan laquelle les a bien reçus 1368 » Louvois, et Saint-Pouange doivent présenter leurs hommages à la favorite aussi bien qu'à la reine, s'ils veulent garder l'estime que le roi leur accorde. Déjà très proche de la famille royale et du souverain lui-même, en 1681

, SHD, A, vol.1, p.166

, SHD, A, vol.1, p.81

, SHD, A, vol.1, p.25

, SHD, A, vol.1, p.34

, SHD, A, vol.1, p.106

T. Sarmant, M. Stoll, . .. Régner, and . Op, Duras commande effectivement l'armée dite « du dauphin », et c'est lui qui donne tous le ordres tactiques pour prendre le plus vite possible les places désignées par Chamlay et Louis XIV. C'est naturellement Vauban qui accompagne également le dauphin et doit mettre en oeuvre les moyens techniques pour prendre ces fortifications. Saint-Pouange doit organiser et contrôler toutes es fournitures, dont la nourriture de l'armée. Il doit également veiller à ce que le prince s'habitue aux moeurs militaires, et qu'il tienne la main à la discipline des troupes, officiers compris. Enfin, comme il doit vérifier les comptes des trésoriers et des vivandiers, le roi lui confie la lourde tâche de tenir la caisse du dauphin. Louvois doit superviser cette campagne en fonction des rapports que doit lui écrire Saint-Pouange presque quotidiennement, p.295

, Si le roi confie lui cette mission d'accompagnement dès 1688, il sait que son fils doit être sérieusement encadré à tous points de vue. En effet, il exige beaucoup du prince et il lui écrit une longue lettre de conseils et d'instructions, dont le passage suivant, très souvent cité par les mémorialistes : « En vous envoyant commander mon armée, je vous donne des occasions de faire connaître votre mérite ; allez le montrer à toute l'Europe, afin que, quand je viendrai à mourir, puisque Saint-Pouange garde cette fonction auprès du dauphin au cours des campagnes de 1688 à 1694

, Saint-Pouange est déjà sur place à Philippsbourg pour attendre le prince

. Celui-ci and M. De-sa, Dangeau décrit ainsi l'ambiance du voyage : « On apprend que Monseigneur [le dauphin] continue son voyage fort gaiement et fort heureusement ; tous ceux qui ont l'honneur de l'accompagner sont charmés de ses manières

, Le dauphin n'a rien d'un chef de guerre regagnant son armée, Cependant

D. Marquis-de, Journal, op. cit, p.171

. Marquis-de-dangeau and . Journal, Dans ses courriers Saint-Pouange ne fait jamais aucune allusion à ces unités. Certains documents permettent de comprendre comment sont gérés les soldats envoyés pour combattre ces troubles internes. En 1675, lors de la révolte dite « du papier timbré » ou des « bonnets rouges », la Bretagne connaît de nombreuses émeutes et des agressions graves contre les nobles et les commis chargés des finances. La violence augmentant partout, le gouverneur de la province, le duc de Chaulnes 1388 , a peur pour sa vie et celles des siens et quitte Rennes pour se réfugier avec sa famille à Port-Louis, toutes les sources consultées, on ne trouve aucune trace de l'intervention du secrétariat dans la gestion des troupes engagées pour mater ces mouvements populaires, p.180

L. Roi, par l'intermédiaire de Louvois ordonne à certaines unités de faire mouvement vers l'Ouest. A priori, la procédure administrative est simplifiée

«. Le-bailli-de-forbin, Lieutenant général et le marquis de Vins, capitaine d'une compagnie de mousquetaires, se dirigeaient sur la Bretagne avec six mille hommes

, Ils venaient de loin et ils marchaient lentement, car l'ennemi ne pouvait leur échapper? Les rebelles furent défaits à la première rencontre 1389

, Presque tous les émeutiers pris sont pendus, et la de Sévigné : « [Le Gouverneur] précédé de deux compagnies de mousquetaires, de six compagnies de gardes françaises et de gardes suisses, de six cents dragons, de plusieurs régiments d'infanterie, d'un millier d'archers de la maréchaussée, tant à pied qu'à cheval. Ils s'avançaient quatre par quatre, mèche allumée des deux bouts, la balle à la bouche, Arrivée sur place cette armée, sous l'autorité du gouverneur et de ses officiers conduit une répression féroce

, les soldats ont carte blanche pour « punir » la population, ce qui n'empêche pas le gouverneur de lancer des procédures pénales contre les meneurs les plus connus

, Lors de l'insurrection des Landes de Gascogne en mai 1694, les paysans s'élèvent contre la gabelle, impôt géré par l'une des grosses fermes du royaume

. Charles-d'albert-d'ailly and . Duc-de-chaulnes, 1625-1698) a fait d'abord une carrière militaire qui l'a conduit au grade de lieutenant général des armées du roi en 1655, chevalier des ordres du roi en 1661, p.1693

P. Clément, La police sous Louis XIV, p.310

P. Clément, L. Police, X. Louis, and O. , qui cite Madame de Sévigné. pas oubliée ; je suis ravie de l'avoir lue ; je vous la renvoie avec mille remerciements. Pour moi je crois que vous aurez la permission de vendre la compagnie du marquis ; j'espère, p.312

, très heureuse de savoir que le plus jeune membre de sa famille, qui est aux armées, se trouve sous la protection de Saint-Pouange. Saint-Simon qui n'est pas très favorable aux Le Tellier et qui ne manque pas de lancer ses pointes contre Saint-Pouange, reconnaît dans ses Mémoires que ce dernier a fait son métier convenablement vis-à-vis de lui : « Enfin, vers le milieu d'avril [1693], Saint-Pouange m'envoya demander si je voudrais bien accepter une compagnie dans le Royal-Roussillon qui venait de vaquer, mais fort délabrée et en garnison à Mons. Je mourais de peur de ne point faire la campagne qui s'allait ouvrir; ainsi je disposai mon père à l'accepter. Je remerciai le roi qui me répondit très obligeamment

, N'ayant pas encore de commandement en avril

, Saint-Pouange se trouve naturellement mêlé à certaines affaires qui heurtent les esprits de cette époque, Proche des grands

. Soisson, Olympe Mancini 1393 , et l'une de ses amies la marquise d'Alluye 1394

. Madame-de-sévigné and . Lettres, , p.1239

. Saint-simon-mémoires-op.-cit and I. Tome, , p.113

O. Mancini, 1637-1708) est une nièce du cardinal Mazarin. Après avoir été courtisée par le très jeune Louis XIV

, Bénigne de Meaux du Fouilloux 1634-1721), qui avait été une très belle dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche, épouse en 1666 Paul d'Escoubleau, marquis d'Alluye (le frère de François d'Escoubleau marquis de Sourdis) citées dans les documents de l'enquête

, Les rumeurs vont bon train, tant à Paris qu'à Versailles et personne ne sait avec précision ce que l'on peut reprocher à l'une ou l'autre de ces deux dames. Cependant, elles sont toutes deux menacées d'être emprisonnées en Bastille et la comtesse de Soissons quitte Paris rapidement, entrainant son amie dans sa fuite. Primi Visconti, dans ses mémoires, évoque l'intervention de Saint-Pouange au bénéfice de cette dame d'Alluye : « Cependant la marquise d'Alluye

, Louvois et de son premier commis, qui était ami du chevalier de Sourdis 1395 , beaufrère d'Alluye 1396 , est revenue en France par la grâce du Roi ; on lui a donné le conseil de se brouiller avec la comtesse de Soissons. La duchesse de Bouillon est aussi rentrée à Paris, 1397.

, Le mémorialiste se perd un peu dans les noms et les fonctions des

. Sourdis, et Saint-Pouange qui ont certainement beaucoup travaillé ensemble au cours de campagnes passées

. Escoubleau and . Surcroit, a la réputation d'être une fort jolie femme. Les documents concernant cette affaire des Poisons n'existent plus (tout laisse à penser que Louis XIV, qui les conservait auprès de lui, les aurait détruits en 1709 1398 )

, En dehors de ses fonctions auprès des armées, Saint-Pouange gère également ses affaires familiales et privées. Un maître apothicaire de Paris, nommé Mathieu-François Geoffroy, raconte dans son journal son étonnante rencontre avec

. Le-lundy, où estoit M. de Louvois. De là nous fusmes à l'abbaie de Saint-Saëns, à Dieppe, au Havre, à Rouen. Veu Gaillon en passant et de là à Vernon et à Bonnières, où je rencontré un escuyer de M. de Saint-Pouenges

C. François-d'escoubleau and . De, Sourdis (+1707) dit le comte de Sourdis, lieutenant général. Sa fille unique épouse en mars 1702 François

. Paul-d'escoubleau, Alluye et de Sourdis (+1690) est le frère du chevalier de Sourdis 1397 Primi Visconti Mémoires op. cit, p.166

, Documentation Ministère de la justice via internet : http/justive.gouv.fr/ Accueil > Histoire et patrimoine > Procès historiques > L'affaire des poisons. me fit retourner à Vernon pour l'abesse qui estoit soeur de M me de Saint-Pouenges et très malade

, Un simple valet, qu'il désigne comme « écuyer », suffit à lui faire faire demi-tour et revenir sur ses pas

L. Noblesse, Le 6 février 1694, il indique à cet agent qu'il aurait appris par Saint-Pouange qu'on envoyait en Limousin des commis pour acheter quantité de boeufs pour le roi (en fait pour l'armée). Le marquis demande à son agent sur place d'exiger de ses éleveurs qu'ils se fassent payer « argent comptant » et de refuser tous les billets. Le 20 février 1694, le marquis de Pompadour critique l'un des acheteurs parisiens qui, rendu en Limousin, « remet toujours », lui reprochant : « S'il avait mené les boeufs comme il me l'avait dit de ce Carnaval, comme la grande bourgeoisie s'intéresse aux fournitures des armées, sachant qu'il y là des marchés intéressants où l'on peut spéculer et gagner beaucoup d'argent

. Limousin, « Ce qui fera débiter les bestiaux et donner de l'argent dans la province, cela me fera payer les arrérages considérables qui me sont dus 1400

M. Olivier and . Lafont, Personnalisation des rapports individu-puissance publique, ou Geoffroy et la famille Le Tellier, vol.79, p.21

, citant Correspondance de François Marie d'Hautefort et de Marie Françoise de Pompadour, marquis et marquise de Pompadour, avec Messieurs Maîtres Pierre et François de Bigorie, Correspondance des Intendants, p.115

. Le, X. V. Louis, J. De-le-conférer-À-sa-favorite, and . Poisson, Les Pompadour dont s'agit ici n'ont rien à voir avec Jeanne Poisson. personnages de toute nature. Manifestement, il y a une erreur dans ses informations, et il craint que l'arrivée sur le marché des bêtes normandes ne fasse chuter les cours. Saint-Pouange ne lui avait pas menti, mais l'information n'était pas totalement exacte puisque les agents de l'armée viennent en Limousin pour tuer les bêtes et prendre la viande. Il y gagnera quand même de quoi balancer ses manques de loyers. Ces exemples montrent l'ascendant de Saint-Pouange auprès de personnes qui appartiennent déjà à des classes privilégiées du royaume. L'apothicaire est certainement un bon bourgeois de la capitale et le marquis de Pompadour, même noble de province est considéré comme une courtisan, c'est-à-dire fréquentant Versailles. Pour ces personnes, il représente l'Etat avec toute la considération que des personnes de classes moyennes et supérieures peuvent avoir vis-à-vis de ce concept nouveau

, / Le train d'un grand seigneur

, Saiont-Simon évoque l'excellence du travail de Saint-Pouange, tout en lui prêtant de très mauvaises habitudes de vie : « ...travailla avec un autorité et une distinction qui le rendit un échappé de ministre avec lequel tout militaire, quelqu'il fût, avoit à compter. C'étoit un bon homme, obligeant, sûr et bon ami, de peu d'esprit et d'une gloire insupportable en tout genre, qui lui sortoit de partout

. L'envoyé-extraordinaire-de-brandebourg, Ezéchiel Spanheim, dit à peu près la même chose du personnage : « Il [Barbezieux] est secouru par M. de Saint-Pouenge et de très habiles commis (peu estimé, glorieux, ambitieux

, Les termes peu diplomatiques, utilisés également par Spanheim reflètent certainement l'impression que donne Saint-Pouange par son comportement à la cour

, Fréquentant le roi presque journellement par sa charge du cabinet du roi et par ses fonctions à la Guerre, il se montre certainement très hautain et très fier de sa situation auprès du souverain. Il est certainement très mal perçu par les courtisans soucieux de se faire remarquer par le souverain, et qui n'y arrivent pas. La cour est un milieu sans pitié, p.373, 1402.

E. Spanheim, Relations de la cour de France en 1690, p.414

, de peur que ne voulusse pas revenir à Paris en carrosse. Cette petite femme s'en va à Fontainebleau ; car il faut profiter de tout : elle prétend s'y bien divertir ; elle y a une jolie place ; elle est jeune, les plaisirs lui conviennent ; elle a même la joie de partir à six heures du soir avec bien des relais pour arriver à minuit : c

, Voici ce qui l'attends : elle verse en chemin, une glace lui coupe son corps de jupe, et entre dans son corps si avant, qu'elle s'en meurt. On me mandoit de Paris qu'elle étoit désespérée

, jeune, elle n'a que 33 ans, qui est mariée depuis cinq ans, et certainement jolie femme, aimant les plaisirs, et ayant « une jolie place », c'est-à-dire bien en cours, grâce à son mari et à la famille Le Tellier

. «-mme-de, Son mari s'est signalé par les soins qu'il a pris pour la sauver : il a tiré pour cinq cents pistoles un homme de prison qu'on lui dit très habile pour la cure des plaies. Il a fait dire huit cents messes. Il a donné deux cents pistoles aux pauvres pour prier Dieu pour sa femme, et il couche dans sa chambre pour la veiller et pour la servir, Saint-Pouanges n'est pas encore morte, mais elle n'est guère mieux, 1409.

, Est-ce exagération ou réalité ? Aucun autre document ne vient contredire ou

, Les fonctions, le train de vie, et peut-être aussi le comportement de Saint

, Pouange attirent l'attention du moraliste La Bruyère dont les « clefs » donnent plusieurs

L. O. Madame-de-sévigné, T. Cit, and . Vi, , pp.454-818

, s s y -Rabutin (1618-1693), cousin de la marquise de Sévigné, avec laquelle il entretien une correspondance régulière

. Madame-de-sévigné and . Lettres, En 1701, le roi profite de la mort de Barbezieux, pour effectuer des changements de personnes au sein des dignitaires des ordres royaux. Torcy 1412 devient chancelier de l'Ordre à la place de Barbezieux, et c'est Saint-Pouange qui le remplace en qualité de grand trésorier et commandeur des ordres du roi 1413 . Ce dernier était intendant de l'Ordre depuis 1671, qui, selon Saint-Simon, « est une petite charge, mais dont il portait mal volontiers la petite croix à la boutonnière 1414 ». Dès lors, il n'a plus à avoir honte du signe de cette « petite charge, vol.818, p.454

, Il entretient des relations très amicales avec Sourdis, lieutenant général, dont Saint-Simon affirme : « Son ami intime, M. de Sourdis, chevalier de l'Ordre, lieutenant général, qui lui devait grande reconnaissance de tous les mauvais pas dont il l

, Sourdis est seigneur de Gaujac et de la principauté de Chabanais, mais il est pratiquement ruiné et il n'a qu'une fille comme seule héritière. Le 24 mars 1702

, « Dans son contrat de mariage qui est présenté à la signature du roi, un espace blanc avait été laissé devant le mot de Chabanais. Le roi fait écrire le mot marquis devant, 1417.

. Saint-pouange-ne-peut-devenir-prince, mais désormais, pour tous les documents qu'il signe, il ajoute Chabanais à son nom. Le 23 septembre 1705, il adresse une lettre au Collège des Quatre Nations pour demander que l'établissement reçoive une jeune garçon

, Grand Colbert), diplomate et secrétaire d'Etat aux Affaires Etrangères à partir de 1689, c'est lui qui négocie le testament de Charles II offrant la couronne d'Espagne au duc d'Anjou, petit-fils de Louis XIV, pp.1665-1746

. Saint-simon, annotations du Journal, p.373

T. Saint-simon and . Politique, , p.1010

M. C. An and . Lxxv, , pp.1676-1719

P. Anselme, .. .. Histoire-généalogique-et-chronologique, and . Vii, bataille de Frederlingue 1418 , et ce courrier est signé : « Saint-Pouenge de Chabanais, p.293, 1419.

C. La, fin du dernier Le Tellier Le 16 janvier 1706

, Neuve des Petits Champs à Paris 1420 . Il est inhumé le 22 octobre 1706 dans la chapelle Chabanais de l'église du couvent des religieuses des Capucines 1421

, où le 14 octobre 1702, les armées royales, commandées par le maréchal de Villars ont remporté une éclatante victoire sur les impériaux

. Shd, , vol.89, pp.293-294

, à la hauteur du 22 rue des Petits-Champs, à l'angle de la rue Chabanais percée en 1773 à la place de l'hôtel Saint-Pouange et Chabanais, la suite d'une opération immobilière de lotissement du quartier

, Ce couvent se trouvait à l'emplacement de l'actuelle place Vendôme, dans l'emprise géographique des grands travaux de rénovation urbaine du baron Haussmann. Il a été détruit lors de la percée du boulevard des Capucines et des constructions de ses abords immédiats. dernières années de sa vie par de fréquentes méditations

, L'auteur a pour obligation de faire ressortir les hauts faits de sa vie, et surtout ses qualités morales et religieuses. Il est cependant intéressant de noter que cette épitaphe fait bien allusion au rôle de Michel Le Tellier dans la vie de Saint-Pouange, mais omet totalement Louvois et Barbezieux. En mourant, Saint-Pouange lègue à son épouse et à son fils une véritable fortune tant en biens immobiliers qu'en fonds et titres divers, comme en témoigne l'inventaire réalisé à sa mort, Il s'agit naturellement d'une épitaphe volontairement laudative par rapport à la réalité du caractère et de la vie du défunt

, particulier Saint-Pouange et Chabanais -La moitié de l'hôtel particulier de Villacerf à Paris -Une petite maison rue Tiquetonne, qu'il loue pour 500 livres par ans 1424 -110 491 livres en 308 objets meublants divers (voir annexe XXII, Cet inventaire après décès fait état des biens suivants : -L'hôtel

. Luc-normand, Sa mort en 1706 permet à Chamillart de s'y affirmer « cependant, la guerre ne s'en porte pas mieux 1425 » Cette phrase peut résumer dans une langue contemporaine, le pouvoir politique, administratif et social de cet homme dans l'Etat de Louis XIV

E. Raunier, Epitaphier du vieux, p.138

M. C. An and /. Lxxxv/, , vol.474

M. C. An,

L. Tellier, L. Face-aux-colbert, and . Tellier, , p.497

, Cette ordonnance précise dans son article 111 : « Et pour ce que telles choses sont souvent advenues sur l'intelligence des mots latins contenus dans lesdits arrêts, nous voulons dorénavant que tous arrêts, ensemble toutes autres procédures, soit de nos cours souveraines et autres subalternes et inférieures, soit de registres, enquêtes, contrats, commissions, sentences, testaments, et autres quelconques actes et exploits de justice, ou qui en dépendent, soient prononcés, enregistrés et délivrés aux parties

R. Descimon, L. Autres, and . Roi, les fondations de la modernité monarchique en France (XIV e -XVIi e siècles, p.11

M. Foucault, Ce que les hommes du règne de Louis XIV découvrent en servant le roi, c'est la manière de gérer une entité géographique, et sociale, un pays, quel que soit son régime politique. Comme l'écrit Michel Foucault : « On s'aperçoit que le roi se définit comme un personnage qui a un rôle particulier, Il faut défendre la société, p.68

, Tous ces hommes qui se pressent autour de Louis XIV pour le servir de leur mieux, travaillent effectivement pour le souverain, pour le royaume, mais ils ont la préscience, non encore consciente, d'être en fait les promoteurs de la notion d'Etat qui va s'enraciner au plus profond des coutumes administratives et politiques de la France, par-delà les régimes qui s'y succèdent depuis Louis XIV

. Louis, Etat c'est moi », elle affirme également que sur son lit de mort il aurait dit : « je meurs mais l'Etat demeurera toujours

M. Foucault, C. Au-collège-de, and F. , , p.294

, 2 ème bataillon, 15 compagnies -Régiment de Normandie : 1 er bataillon, 17 compagnies, 2 ème bataillon, 15 compagnies Régiment de Feuquière : 1 er bataillon, 16 compagnies, 2 ème bataillon 15 compagnies Régiment de Saux : 1 bataillon de 15 compagnies Régiment de Vaubécourt : 16 compagnies ne formant pas bataillon Régiment d'Auvergne : 1 er bataillon, 16 compagnies, 2 ème bataillon, 15 compagnies Régiment d'Anjou, 1 bataillon de 17 compagnies Régiment de Limousin : 16 compagnies ne formant pas bataillon Régiment de Jarzé : 16 compagnies ne formant pas bataillon, Régiment de Picardie : 1 er bataillon, 17 compagnies 2 ème bataillon , 15 compagnies -Régiment de Champagne : 1 bataillon, 17 compagnies -Régiment de Piémont : 1 er bataillon, 17 compagnies

, Baïonnette à douille et à coquille -1694

, Le chien porte le silex entre ses mâchoires (1) au moment de la détente

, Au moment du choc, le silex produit des étincelles, soulève de couvre-bassinet (3) et enflamme la charge déposée dans le bassinet

, Régiments des Gardes Suisses, régiment des Gardes Françaises : piquier, mousquetaire, sergent, p.1667

D. Gustave, , pp.1816-1896

M. Paris and . De-l'armée-rmn269054-cote-cliché, Fonds : Estampe ANNEXE XVI, vol.87, pp.6-530771

, Substantif masculin, est un marbre nuancé d'un grand nombre des plus belles couleurs, ce qui le fait ressembler à de l'étoffe

, Partie des, fauteuils, chaises et tabouret qui représente le siège sur lequel l'utilisateur s'assied

, Se dit de l'or qui a été amalgamé avec du mercure, pour l'appliquer sur des pièces d'argent ou de cuivre que l'on veut dorer solidemen

, Il s'agit de la série complète de huit tapisseries représentant Les amours de Gombault et Macé, thème d'un roman pastoral du XVIe siècle qui évoque l'amour entre un berger et une bergère

, Il s'agit de tissus en peluche de soie représentant des tableaux de Jean Michelin peintre (1623 -1670), dont le style rappelle celui des frères Le Nain Ci fait et n'estant plus rien trouvé à inventorier

M. Berthemet-de-st-pouenge,

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, Je dois également beaucoup à tous les personnels, civils et militaires, du

, Service Historique de la Défense, et plus particulièrement aux trois Conservateurs que j'y ai connus. Qu'il s'agisse de Thierry Sarmant, Emmanuel Pénicaut et

B. Funk, leurs conseils ont toujours été utiles et intéressants

, Je soulignerai l'aide plus particulière de Thierry Sarmant, qui m'a vraiment assisté et dont les avis m'ont toujours été très précieux, tant dans les recherches que dans la rédaction de cette thèse

, Hervé Drévillon à Paris I, m'ont apporté l'enthousiasme de leur jeunesse, allié à leurs grandes connaissances et à leur ouverture d'esprit. Qu'ils en soient remerciés ici

, et qui a subit les tous contrecoups de mes découragements et de mes enthousiasmes, à toi, Elske, épouse discrète, mais efficace, je peux maintenant avouer que sans toi, ce travail n'aurait jamais été terminé. Si je le dédie à nos petits enfants, c'est dans la perspective d'une famille dont tu as toujours été le pivot, Enfin, à celle qui m'a soutenu durant toutes ces années de recherches, qui m'a corrigé

, Que vous tous, cités ici, trouviez l'expression de toute ma gratitude pour m'avoir aidé, d'une manière ou d'une autre, à réaliser mon rêve

J. Rolin,