G. Battista and R. , Père Marin Mersenne, une observation soignée

. Riccioli,

, Almagestum Novum nous donne la description des cinq expériences mises en place au sujet de la chute libre, et surtout du processus suivi pour arriver au résultat mentionné plus haut. Dans son ouvrage volumineux, dont seul le premier Tome a été publié 507 , de 1504 pages, l'auteur traite d'une grande variété de sujets. Ces expériences sont réalisées 502 Ibid, pp.30-31

G. B. Riccioli, Almagestum novum astronomiam veterem novamque complectens observationibus aliorum, 1651.

, Résultat critiqué par Marin Mersenne lors de sa lettre à Nicolas Fabri de Peiresc, le 15 Janvier 1635, P. Marin Mersenne, pp.24-25, 1959.

G. B. Riccioli, , pp.384-386, 1651.

C. Huygens, Note 6. (pied rhénan = 24*326,596/25=313,532 mm ; soit une hauteur de chute de 4,7m en 1 seconde. Comme g=2h, cela donne 9, Oeuvres complètes. Tome XVII, p.277, 1932.

A. Koyré, Note No 39, 229, 1953.

, adressée aux Académiciens, dont trois sont liées à la précision dans la mesure du temps de manière directe ou indirecte

«. 12, Envoier des horologes a pendule sur mer avec les instructions necessaires et une personne qui en aie soin, pour pratiquer l'invention des Longitudes, qui a desià si bien reussi dans les experiences qu'on en a faites

, Mesurer les temps et proportions de la descente des corps pesants dans l'air

, Establir pour jamais la mesure universelle des grandeurs par le moyen des pendules, et en suite aussi celle des poids, p.568

T. Dans-la, De cette sorte les savants qui accompagnent les Horloges sur le navire effectueront des observations sur la stabilité et la régularité des Horloges. Par ces deux propriétés des Horloges, ils vont pouvoir aisément déterminer la position longitudinale apparaît dans le Journal des Sçavans 572 provocant la réaction de M. Renau. Il s'agit de deux distances différentes parcourues par un vaisseau, selon M. Renau, dans un même temps dans l'objectif de « prouver la position la plus avantageuse de la voile et du vaisseau, non seulement pour gagner au vent mais mesme pour faire quelque route que ce puisse estre, si la dérive du vaisseau n'y estoit pas comprise » 573 . Huygens voit dans la démonstration mathématique du dernier une erreur concernant la méthode de calcul de la vitesse du vaisseau et sa relation avec les forces qui l'environnent, la résistance de l'eau, le vent etc. La réponse du Général apparaît dans les numéros suivants du Journal 574 les 16 et 23 Mai 1695. Dans sa réponse, l'auteur soutient ne pas voir d'erreur de sa part car il imagine deux forces différentes, on trouve l'idée de l'application des Horloges à pendules pour la détermination des longitudes

, Huygens n'a pas donné suite à cette affaire

, Académie des inscriptions et belles-lettres (1695), pp.207-212

. Ibid, , p.239

. Ibid, , pp.219-225

L. Vii and . Gravitationnelle,

J. Richer,

, application de la théorie gravitationnelle est l'hypothèse newtonienne sur la forme de la Terre

, Une découverte inattendue sur la longueur du Pendule à secondes, un pendule simple, un corps attaché à un fil, dont la longueur semblait dépendre de la latitude du lieu est venu chambouler les idées. Ce phénomène a été observé pour la première fois par Jean Richer

X. Louis and . De-reconquérir-l'isle-de-cayenne, Jean Richer est parti à là-bas afin de réaliser des observations astronomiques dans l'objectif d'établir les effets de deux phénomènes qui interviennent lors des observations astronomiques : la réfraction et la parallaxe des astres et des planètes. Jean Dominique Cassini ou Cassini I, premier directeur de l'Observatoire de Paris, effectuait les mêmes observations que Richer sur la même durée temporelle dans l'objectif de les comparer dès son retour à Paris et d'en déduire les effets de réfraction et de parallaxe lors de l'observation des astres et des planètes

, Un Observatoire « sauvage » à l'image ses architectes nous dit Fontenelle dans son Histoire de l'Académie des Sciences. C'était une sorte de cabane « couverte de branches & de feuilles de Palmier, & fermée par les côtés avec des écorces d'arbres » 575 qui n'était pas à la hauteur des instruments de grande précision qui accompagnait les astronomes. Outre les instruments astronomiques, Richer avait à sa disposition deux Horloges à pendules 576 pour la mesure du temps, une qui bâtait la seconde

M. D. Fontenelle, Histoire de l'Académie Royale des Sciences, depuis son établissement en 1666 jusqu'à 1686, Imprimerie Royale, p.105, 1733.

J. Richer, « Recueil d'Observations astronomiques et physiques faites en l'île de Cayenne, Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, 1679.

. Vostre, Mais ne nous reprochez point l'impatience puisque, consideré l'enuie que nous avons de voir vos traittez, il y a dix ans que nous les attendons, vol.586

, Je ne trouve pas qu'il soit necessaire d'egaler le mouvement du pendule par les portions de Cycloide pour determiner cette mesure, mais qu'il suffit de le faire mouvoir par des vibrations fort petites, les quelles gardent assez pres l'egalitè des temps, et chercher ainsi quelle longueur il faut pour marquer par exemple, une demie seconde 587 par le moyen d'une horologe qui soit desia en train de bien aller, et ajustee avec la Cycloide. Dans l'experience que vous allez faire de la vertu de cette ligne, si l'evenement ne respond pas tout a fait a ce que j'en ay demonstrè vous pouvez estre assurè que la cause en est le medium de l'air, qui n'est pas considerè dans la theorie

C. Huygens, Oeuvres complètes de Christiaan Huygens, pp.427-428, 1890.

, a scavoir depuis le point de suspension jusqu'au centre de la boule, que je prenois de diverse grandeur et differente matiere ». Note 13 : « 91?2 pouces de Rhinlande font 248,56 mm. Or, pour la latitude de la Haye, la véritable longueur du peudule à secondes est de 994,25 mm (1 vibration = 1 aller dans ce cas), donc celle du pendule à demi-secondes de, Ibid. 440 « J'ay trouvè cette longueur de 91?2 pouces bien exactement de nos pieds de Rhynlande, vol.248

, Isle de Tycho Brahe pretend 591 avoir trouvé la mesme longueur qu'au Cap de Cete et a Paris

, Richer je ne scay ce qu'il faut croire touchant ce phaenomene. C'est pourqoy je vous prie Monsieur de me mander au plus tost, si vous en avez d'autres informations qui vous persuadent qu'il y a effectivement cette variation dans la nature ce qui me semble fort vraisemblable, quoyque je puisse aussi rendre raison

, J'attens sur ce sujet les observations faites au Cap de Bonne Esperance par deux

, Abbé Picart à Uranibourg où il a trouvé la longueur du Pendule à secondes la même valeur que celle définie à Paris à savoir 36 pouces 3 lignes et demie, Observations Astronomiques faites en divers endroits du Royaume

, Monsieur Picard de l'Académie Royale des Sciences » in Mémoire de l'Académie des Sciences

, Mariotte donne une description du pendule à secondes qu'il utilise lors de ses expériences : « Pour marquer le tems de l'écoulement, on se servoit d'un pendule de fil très-délié, chargé à son extrémité d'une balle de plomb de 8 lignes de diamétre. La longueur du fil étoir de 3 pieds & 8 lignes jusques au centre de la balle depuis le poit de suspendion. Ce pendule emploïoit une seconde à chaque battement, & on s'en assûroit en le comparant à une pendule ou horloge très-juste qui marquoit les secondes. (?) Dans les païs proche de la Ligne le pendule soit être plus court, à cause que le mouvement de la surface de la terre en ces endroits est plus grand qu'en France. Mr. Richer & Mr. Varin en ont fait des observations ; le premier à la Cayenne, où il a trouvé plus court de 1 ligne ! ! (donc une différence de longueur de 1,25/144 pied et donc une variation relative de longueur pour un pendule de 3 pieds et 8 lignes qui vaut 2,84 10 -3 ; sur la période, cela correspond à une desynchronisation relative de moitié soit d'une oscillation sur 700 environ, La valeur trouvée pour la longueur du pendule dans l'Ile de Gorée par Varin est de 3 pieds, 6 lignes et demie. Ce résultat se trouve dans l'ouvrage de Mariotte E. (1740), pp.413-414

, & l'autre en l'Isle de Gorée proche du Cap-Verd, où il le faloit seulement de trois pieds 6 lignes ! !

, Les personnes en question sont Thomas Helder et Isaak de Graaf. Thomas Helder est l pilote du vaisseau « Alckmaer » et Isaak de Graaf chargé par Chr. Huygens de diriger les expériences des horloges à pendule pour la détermination de la longitude sur mer. Huygens nous donne des informations relatives au voyage

, Dans celle-là il dit avoir vu le vaisseau qui transportera ces Horloges et il exprime sa crainte « que si les horloges peuvent se maintenir la dedans avec un temps médiocre, l'on ne doutera pas qu'ils ne puissent souffrir la tempeste » jusqu'au Indes Orientales. Il ajoute par la suite qu'un jeune mathématicien accompagnera ces Holroges. De la deuxième nous avons qu'un très bref résumé en Hollandais et en Français de la fonction de Thomas Helder et de sa mort l'axe. Il attendoit pourtant le succés de nos dimensions, Septembre 1685 et elle est destinée à son père, vol.597

, Photographie de la figure originale de la Diatribe de, Source : Gallica)

J. D. Cassini, « De la meridienne de l'observatoire royal prolongée jusques aux Pyrenées, Histoire de l'Academie Royale des Sciences, 1701.

, Couplet et fils, Lisbonne et Paraïbe (6 ? 38?)

, Grenade (12 ? 6?, Cayenne (4 ? 55?)

P. Feuillée and P. , , p.44

, Le nombre de ses observations n'a pas cessé d'augmenter. Deux expéditions phares qui ont déterminé la vérité de la théorie newtonienne sont celles organisées par l'Observatoire de Paris. L'objectif était de mesurer la longueur du Pendule à secondes aux deux points clés pour la détermination de la forme terrestre

, Ces deux expéditions sont bien connues et leurs divers aspects sont déjà étudiés par l'historiographie par des études directes ou indirectes. Avant que les voyages des Astronomes français soient décidés une expédition anglaise voit la lumière du jour et est jugée comme la plus

, Une expédition peu étudiée et dont la traduction française contient une carte très originale

J. Bradley and J. De,

, S qui a contribué à l'avancement de l'astronomie. Ces observations sont communiquées aux Phil. Trans. par l'astronome et F.R.S. James Bradley. Selon Bradley, les observations publiées qui précèdent celles-ci n'ont pas été capables de communiquer un résultat avec une précision suffisante « sufficient Exactness » 608 . Ce que cherche à établir cet article est une certitude sur la détermination de la Figure de la Terre

B. Graham, John Harris a commencé les expériences à la Jamaïque mais du fait de sa mauvaise santé il a été obligé de rentrer à Londres avec les premiers résultats en main. D'après des observations effectuées de 22 Janvier au 20 Février 1732, avec grand soin et grande précision, le pendule, conservant la même longueur qu'à Londres

G. Graham, C. Campbell, and J. Bradley, concerning the Going of a Clock; In Order to Determine the Difference between the Lengths of Isochronal Pendulums in Those Places, Philosophical Transactions, vol.38, issue.427, pp.302-314, 1733.

. Ibid, , vol.302

J. Bradley, Miscellaneous Works and correspondence of the rev, éds, p.395

, When the pendulum was reduced to the same length it had here, saving what was owing to the differences of heat, it went slower there than at London two minutes and about six secondes in a sideral day ; it was observed from the 22d of January to the 20th of February with great care and exactness. ». Le jour sidéral étant de 23h 56 min et 4s, soit 86164s, le retard relatif est de 126/86164=1, vol.46, pp.92-102

J. Bradley, Miscellaneous Works and correspondence of the rev, Rigaud S. P. (éds), p.395

R. S. Stearns, Science in the British Colonies of America, pp.373-375, 1970.

G. Graham, C. Campbell, and J. Bradley, « (Campbell) whose Knowledge and Abilities in every respect qualifies him for the Improvement of Arts and Sciences; and whose Genius prompts him to cultivate them so assiduously, that I doubt not but we shall soon have the Satisfaction of receiving many other valuable Observations from him, particularly such as relate to Astronomy; he having furnished himself with an Apparatus of Instruments not unworthy the Observatory of a Prince. » identique. Le traducteur de cet article en français M. De Brémond nous donne une description de cette Horloge qui dit être la même que celle utilisée par Louis Mareau de Maupertuis et son équipe durant leur expédition en Laponie. L'Horloge en question est loin d'être une Horloge à pendules simple ou habituel, vol.303, 1733.

, Cette Verge est terminée supérieurement par une pièce d'Acier qui lui est perpendiculaire, & dont les extrémités sont deux coûteaux, qui, au lieu d'être reçus entre deux Plans inclinés, ou entre les Cilindres, portent sur deux Tablettes planes d'Acier toutes deux dans le même Plan Horisontal. On est assuré de la situation de ce Plan, lorsqu'une pointe qui fait l'extrémité de la Verge du Pendule, répond au point o d'un Limbe dans le Plan duquel elle doit se trouver, & ce Limbe sert à mesurer les Arcs décrits par le Pendule

. Centre, Pour transporter cet instrument sans le déranger, on éléve avec une vis, par le moyen d'un chassis mobile, le Pendule, de manière que le tranchant des couteaux ne porte plus sur rien, & que la pièce d'Acier qui forme les coûteaux, se trouve appuyé au défaut de leur tranchant

, Lentille y été mise, est recouverte d'une autre, & pour lors la Verge & la Lentille ne peuvent avoir aucun mouvement, p.614

J. Bradley, 1733] 1740), « Observations faites à Londres

. Jamaïque, Transactions Philosophiques de la Société Royale de Londres, traduites par De Brémond M, pp.111-112

, Un autre exemple frappant de cette distinction est donné par

S. Drake, U. Geminus, and . Contemporain-d'hipparque, Toutes les explications causales étaient l'affaire des physiciens, qui étaient des Philosophes de la Nature. » 624 Tout un monde séparait le travail de mesures et d'observations, de celui de l'acquisition de la connaissance scientifique. La science en ce sens était la recherche des causes, non pas par le biais des mesures et des expériences (comme la technè), mais par le biais du raisonnement. On peut expliquer cette distinction qui aujourd'hui nous paraît hiérarchique (la pensée avant l'expérience), si l'on prend en compte l'objectif de ce qu'on appelle à cette période : la connaissance scientifique. Le centre d'intérêt principal de cette connaissance était l'homme et sa finalité (que ce soit l'âme qui retrouve la vérité oubliée du monde des Idées, interdisait tout simplement aux Astronomes de considérer les causes des mouvements célestes, car ils n'étaient point compétents pour le faire et qu'ils n'en avaient pas besoin pour leur travail non plus

. Dieu, La technè ne concernait que le monde dans ses aspects pratiques, Nous en avons

, On peut voir Galilée comme un savant de son époque, d'éducation classique, qui s'est posé une simple question : comment peut-on faire de la Philosophie Naturelle, parler des phénomènes naturels, quand nos raisonnements ne sont pas en accord avec l'observation (ou expérience réelle ou de pensée)

, Aristote l'aurait fait s'il avait été leur contemporain. Galilée ainsi, comme le dit Drake, « a commencé à mesurer tout ce qui pouvait être mesuré mais qui ne l'était pas encore

D. St, pers.: « Geminus, a contemporary of Hipparchus, simply forbade astronomers to consider causes of celestial motions, which they neither were trained to do nor needed for their work, Essays on Galileo and the History and Philosophy of Science, vol.1, 1999.

, En Angleterre par exemple, en 1707, le désastre naval de Sorlingues entraina la mort de près de 2 000 hommes d'équipage, y compris celle de Sir Cloudesley Shovell, le commandant en chef. La raison de cette tragédie, l'une des plus meurtrières de l'histoire de la navigation, était l'incapacité des navigateurs à se positionner en mer, tout spécialement par gros temps. Assurer la sécurité des navigateurs devint une priorité évidente, Dans les pays européens, l'importance de la détermination des longitudes au XVII e et au XVIII e siècle prenait une place majeure dans les travaux scientifiques appliqués

, Et si l'on creuse encore la question, c'est bien la relation entre navigation et commerce qui a créé l'urgence de trouver une solution au problème des longitudes. L'importance des sommes d'argent engagées et la compétition internationale renforçaient ce besoin impérieux pour les grandes nations. Dans l'encyclopédie Britannica publiée en 1823, au terme Navigation cette relation est mise particulièrement en valeur. « (...) on peut établir comme une maxime que le rapport entre le commerce et la navigation

, Dans tous ces exemples, il est nécessaire de souligner un aspect important de la précision dans la mesure du temps. Le temps n'est jamais mesuré pour lui-même. La mesure du temps indépendamment de sa précision

T. Dans-la, En pratique pour mesurer des longueurs d'instruments, pour la précision des mesures astronomiques, en navigation pour déterminer les longitudes, en géographie pour mesurer des distances etc. La mesure du 632 (1823) Encyclopedia Britannica ; Or a Dictionary of Arts, Sciences, and miscellaneous Literature ; Enlarged and Impoved, vol.14

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