L. Leconte-de, , p.19

, Leconte de Lisle est très proche de Renan et de son article intitulé « La poésie de l'exposition », art

L. Leconte-de, préface des Poèmes et poésies, op. cit, p.23

L. Il-se-moque-de and . Figuier, l'un des vulgarisateurs les plus populaires d'alors, dans « Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, p.154, 2009.

Y. Voir-À-ce-propos, . Nakaji, and . La, Biblioteca della ricerca. Cultura straniera », 2005 et enfin l'entrée « Science(s) » rédigé par Aurélia Cervoni pour le Dictionnaire Rimbaud, vol.43, pp.613-616, 2004.

. Dans-une-note-glosant-une-rime-entre-«-libellule, et « mandibule 529 », il affirme : « De tels temps, et que le mot d'origine scientifique, à l'usage, peut très bien entrer en langue commune. En somme, il n'est pas de nature lexicale inapte à être employée en poésie

, Comme l'atteste encore le bactériologiste, médecin et biologiste belge, Émile Laurent, vol.530

, On ne peut les accueillir que s'ils sont vraiment indispensables et correspondent à une idée non exprimée ou mal exprimée jusque-là

J. V. Monbarlet and ». Dans-le-premier-chapitre-intitulé-«-fiat-lux, évoque de façon très allusive les animaux qu'a déjà commencés à révéler la science paléontologique : La nature vivante, informe tenancière D'un monde son domaine, était seule sans voix. Peut-être, en ce temps-là, recherchant un asile, Un immonde repas, le silence et le frais, Quelque monstre sans nom

, De fait, si la nature n'a pas de « voix », les animaux ne sont pas nommés et restent « sans nom

, en a pas, et peut-être s'agit-il d'un souci réaliste : nommer ces bêtes en utilisant

A. Pierre, . Piorry, and . Dieu, Poëme suivi de fragments poétiques sur les médecins, sur Napoléon, sur la Révolution, op. cit., p. 21 pour la localisation de la rime dans le poème, pp.42-43

É. Laurent, La Poésie décadente devant la science psychiatrique, p.35, 1897.

J. V. Monbarlet and L. Antéhistorique, , p.8, 1867.

J. Verne, Poésies inédites, Christian Robin (éd

J. Delabroy, Jules Verne et l'imaginaire, ses représentations et ses fonctions principales dans la période de formation de l'oeuvre romanesque, p.5

R. Herbert, J. Lottman, and . Verne, , p.21

, Il fait l'hypothèse que dans les poèmes de jeunesse « apparaissent les signes du charme et de l'originalité » des Voyages extraordinaires. D'ailleurs certains de ses héros partagent ses talents poétiques : Sinclair propose dans Le Rayon vert un éloge de la mer, Hector Servadac et Lionel « réemploient des poésies déjà composées par l'écrivain, pp.230-234

J. Verne, Poésies inédites, Christian Robin (éd.), op. cit., p. 26. 608 [sic], ibid, p.27

, Un nombre important de pièces de La Mer donne voix aux êtres et éléments marins

. Ibid, , p.158

. Ibid, , p.156

J. Richepin and L. Mer, , pp.319-350, 1886.

V. Sonnet, , p.9

X. Sonnet, , p.12

. Ibid, 262 et 263, dans la section « Étant de quart ». Elle avait vu s'ouvrir ses entrailles fumantes, Surgir ses volcans roux aux gueules véhémentes Crachant leur haine rouge aux constellations, vol.708

A. Comte, Premier cours de philosophie positive : préliminaires généraux et philosophie mathématique [1830], Presses Universitaires de France, coll. « Quadrige. Grands textes, p.39, 2007.

«. Voir-À-ce-propos-yohann-ringuedé, Et cherchant du passé les chemins inconnus, La poésie positiviste des origines et le traitement fictionnel du savoir », colloque international La science en fiction, organisé par Éric Lysøe et Gaëlle Loisel

R. Voir-alain, Dictionnaire historique de la langue française, 1992, op. cit., t. I, p.739

L. Conte-populaire-français and T. Iii, « I.1.1. Récits étiologiques », Paul Delarue et Marie-Louise Tenèze, Paris, édition en un seul volume reprenant les quatre tomes publiés entre, pp.7-16, 1976.

, Marie-Louise Tenèze reprend et traduit ici la définition structurelle du récit étiologique qu'elle emprunte à Lutz Röhrich, pp.7-8

J. Rameau, L. Paris, and P. Ollendorf, Trois ans plus tard, il reviendra au thème scientifique dans Nature, p.1891, 1888.

, voir notamment Paul Fort et Louis Mandin, Histoire de la poésie française depuis 1850, p.233, 1926.

«. La, Chanson des étoiles », premier poème de la première section, « Étoiles du ciel », La Chanson des étoiles, p.4

P. Officier-du-génie, . Devoluy, . De-frédéric, and . Mistral, La période qui précède sa participation au Félibrige le voit oeuvrer auprès de René Ghil dans le mouvement symboliste. Voir à son propos Catherine Bernié-Boissard, Michel Boissard et Serge Velay (dir, Petit dictionnaire des écrivains du Gard, pp.85-86, 1904.

P. Devoluy, . Flumen, and . Évolutif, , p.1890

. Ibid, , pp.10-11

. Ibid, , pp.12-13

, L'ange devint l'esprit, et l'esprit devint l'homme

L. Tomba,

, Pour un historique complet de cette découverte, voir La Science moderne de 1450 à 1800, René Taton (dir.), op. cit, pp.574-577, 1958.

A. Béguin, L. Romantique, and . Le-rêve, , p.61

V. Hugo, L. Contemplations--ii, and X. Aujourd'hui, , pp.534-552

V. Hugo, . Paris, .. Gallimard, and . Classiques, au fil desquelles l'éditeur fait le lien entre cette « nouvelle science » et « Ce que dit la bouche d'ombre », qui constitue une nouvelle inspiration dans la poésie hugolienne. Parmi ces séances de spiritisme, il et intéressant pour notre propos de remarquer la présence de l'esprit de Galilée, auprès de qui Victor Hugo cherche en vain à connaître la véritable nature des constellations. Galilée formule une réponse évasive : l'univers est incommensurable pour l'homme qui n'en saisira jamais les causes ni les explications, Le Livre des Tables, p.75, 2014.

V. Hugo, Les Contemplations, p.534

P. Bourdieu, Les Règles de l'art, Genèse et structure du champ littéraire, pp.85-86, 1992.

, Il s'agit de visions polémiques qui méjugent le romantisme en ignorant la valeur prophétique du poète

, « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, Théophile Gautier, préface à Mademoiselle de Maupin [1835], repris dans Romans, contes et nouvelles, Pierre Laubriet (éd.), p.230, 2002.

, La question reste encore ouverte chez Baudelaire qui continue à penser la poésie en termes de « déchiffre, Les Fleurs du Mal [1857], repris dans les OEuvres complètes, Claude Pichois (éd.), Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade, pp.9-10, 1975.

V. Hugo, , p.133, 1976.

. Voir-notamment-«-l'avant-dire-»-au-traité-du-verbe-de-rené and . Ghil, et la « Crise de vers », qui théorisent une poésie tournée avant tout vers la forme, qui « implique la disparition élocutoire du poëte, qui cède l'initiative aux mots, vol.II, p.211, 2003.

«. Baudelaire, ». Gautier, and L. Romantique, Voir à propos de cet anathème qui frappe la poésie à message, l'article de Dominique Combe, Le poème philosophique ou "l'hérésie de l'enseignement" », Études françaises, vol.41, pp.63-79, 1869.

. Voir, ?. De-peut-on-enseigner-la-littérature-française, and M. Leroy, Perspectives littéraires, pp.129-205, 2001.

A. Vaillant and L. De-la-littérature, Études romantiques et dixneuviémistes, p.12, 2016.

W. Rapak, Entre langage et silence -Discours allusif », dans Jacques Lajarrige et Christian Moncelet (dir.), L'Allusion en poésie, p.53

. Ibid and . Avant, , p.8

.. I. , L. Premier, ». La-terre, L. T. Dans-le, and C. , , p.13, 2009.

P. Flottes, Histoire de la poésie politique et sociale en France de 1815 à 1939, p.7, 1976.

, Voir notamment « La Poésie de l'exposition » et L'Avenir de la science

, Par ailleurs, cette remarque s'inscrit probablement dans le débat autour du technolecte : il n'est pas de poésie

A. Bellin, , p.2

A. Chénier, , vol.184, p.236

, Cette lecture est d'ailleurs validée par l'ouverture du troisième chant, qui déclare avoir suivi les préceptes de Chénier, et plus particulièrement ceux exposés dans L'Invention, pour composer son poème, pp.39-40

D. Le, Invention se voulait un art poétique pour aider à la composition d'épopées modernes. Voir à ce propos la notice de Gérard Walter, dans son édition des OEuvres complètes d'André Chénier, pp.877-878, 1958.

A. Bellin,

A. De and Q. , La Race prussienne, introduction, Paris, Librairie Hachette et c ie , 1871, p.8

J. Arbelot, La Création et l'humanité, op. cit, p.203

L. Quatrefages and . Race, La citation, tronquée, p.182

J. Arbelot, La Création et l'humanité, op. cit, p.8

. «-gloire-aux-cuvier, . Brongniart, . Beaumont, . Hébert, . Vibray et al.,

/. Le-cours-de-cette-liste and ?. , Bien que l'on doive, en tout, être un peu formaliste). / Chez les Anglais, pourtant, citons d'autres savants : / Lyell, Flower, p.16

. Rimbaud, Au flux de verbe sans arrêt, / Dont la parole infatigable / Criant vocable sur vocable / Se déroulerait comme un cable / Et comme un taureau rugirait. », « Les algues, Et les poteaux télégraphiques / Vont orner, -lyre aux chants de fer, / Tes omoplates magnifiques ! », « Ce qu'on dit au poète?, p.70, 1889.

V. Hugo, « Force des choses, p.94

. Ibid, Ce sera aussi la théorie de Michelet, qui fera de la sorcière le premier médecin de l'histoire, 1862.

V. Hugo, « Force des choses, p.195

, Épître d'un trappeur du Texas, op. cit, p.2

. Ibid,

. Ibid,

A. Sylvestre, Voir aussi « Les lys, ces clystères d'extase ! » en ouverture de « Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, O balançoirs [sic] ! ô lys ! clysopompes d'argent ! », dans l'Album zutique, p.149, 1971.

. «-le-clysopompe, dans les Poèmes incongrus [1887], repris dans les Poèmes mobiles, oeuvres complètes de Maurice Mac-Nab, François Caradec (éd.), p.144, 2002.

«. Polichinelles-dieux, R. Pouilleux-sur-leurs-trônes, !. .. Dans-le-poème-«-veder-napoli, and . Mori, Voir aussi le très irrévérencieux poème de jeunesse « Légende incomprise de l'apothicaire Danet, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, pp.863-864, 1873.

L. , qui considère que les « philosophes de la vapeur et des allumettes chimiques », c'est-à-dire « tout bon français qui lit tous les Il y a fort à parier que Jean Richepin se souvient de Victor Hugo lorsqu'il compose La Chanson des gueux qui paraît en 1876 1054 . Ce recueil qui célèbre les humbles (le prologue est 1047 Ibid, p.247

L. Hugo and . Contemplations, , pp.263-268

L. Hugo, Légende des siècles, Première série [1885], Poésie II, op. cit, pp.813-815

«. Hugo and . Réponse-À-un-acte, , p.265

J. Richepin, Éditions d'Aujourd'hui, coll. « Les Introuvables, 1876.

. Ibid and . Ii,

P. Flottes, Histoire de la poésie politique et sociale en France de 1815 à 1939, p.426

J. Richepin and L. Blasphèmes, , 1884.

. Est-ce-ce-que-reproche-verlaine-À-richepin, lorsqu'il évoque, dédaigneux, un texte écrit « d'après la poétique de Jacques Delille, Voir Les Hommes d'aujourd'hui, p.780, 1972.

J. Richepin and L. Mer, , p.306

J. Roger, . Buffon, . Paris, . Fayard, and . Xiii, , pp.250-255

G. Minois, L. 'église, . La-science, T. Histoire-d'un-malentendu, D. Ii et al., Nouvelles études historiques, pp.237-241, 1991.

, Cette hésitation est à la source du poème « Le positivisme » de Louise Ackermann, pp.91-92

H. Marchal, Muses et ptérodactyles, op. cit, pp.61-62

. Chateaubriand,

O. Génie-du-christianisme, , pp.557-601

A. Bertrand, Lettres sur les révolutions du globe, vol.5, pp.356-357, 1824.

, sous les étoiles d'or ! Pourtant, avant WASMUTH, qui guérissait les CORS 1249 ? Les ANNEAUX de WASMUTH, répètent les Français, Sont vraiment pour nos CORS de merveilleux bienfaits 1250

, Celui qui met un frein à la fureur des flots Créa contre les CORS : WASMUTH et ses ANNEAUX 1251

, Un point sur lequel tous nous sommes bien d'accord C'est que grâce à WASMUTH, nous n'avons plus de COR 1252

, « Comment on devient Centenaire

, J'emprunte ces éléments à un court article de Thierry Lefebvre intitulé « Il y a 110 ans : les Anneaux de Wasmuth », Revue d'histoire de la pharmacie, vol.92, pp.315-317, 2004.

G. Blas, , vol.25, p.3

G. Blas, , vol.18, p.3

, Gil Blas, jeudi 1 er août 1895, p.3

G. Blas, , vol.8, p.3

G. Blas, , vol.15, p.3

G. Blas, , vol.22, p.3

J. Gouvard and L. Versification, , p.242

A. Boileau, , pp.93-98

M. Berranger, Les Genres mineures dans la poésie moderne, op. cit, p.30

B. Degott and . Ballade, est pas morte » : étude sur la pratique de la ballade médiévale depuis 1850, op. cit. Voir également à ce sujet l'ouvrage de Jacques Roubaud, La Ballade et le chant royal, Les Belles Lettres, coll. « Architecture du verbe, pp.345-365, 1998.

G. Lanson, Histoire littéraire française, cité par Yann Mortelette dans son introduction à Le Parnasse, p.13, 1894.

A. Beaunier, L. Parnassiens, ». Les-symbolistes, L. Poésie-nouvelle, M. Paris et al., cité par Yann Mortelette dans son introduction à Le Parnasse, pp.13-14, 1902.

F. Brunetière, . La, and . Du-naturalisme, Yann Mortelette cite cette leçon dans son Histoire du Parnasse, leçon à la Sorbonne du 10 mai 1893, recueillie dans L'Évolution de la poésie lyrique en France au XIX e siècle, p.129

F. Brunetière, ». La-renaissance-du-naturalisme, and L. Dans, Évolution de la poésie lyrique en France au XIX e siècle, p.137

T. Gautier, S. Leconte-de-lisle, L. Prudhomme, J. Ménard, and . Heredia,

C. Maurras, « Question sur les Parnassiens », Gazette de France, 13 juillet 1902, vol.327, pp.327-328

P. Heredia and . Du-parnasse, , p.9, 2006.

F. De-brunetière and «. Heredia, Sully Prudhomme et François Coppée », leçon à la Sorbonne du 24 mai 1893, recueillie dans L'Évolution de la poésie lyrique en France au XIX e siècle, p.199

, Le poète se sent lui-même seul dans un monde où les esprits hauts se font rares. Une pièce 1405 Ibid, p.68

, Dont il loue particulièrement L'Atlantiade ou la théogonie newtonienne (1812). Voir, pour une présentation du poète et de ce texte, Hugues Marchal (dir.), Muses et ptérodactyles, op. cit, pp.135-136

L. De and R. , , p.161

. Louis-xavier-de-ricard, ». Le-mercure, and L. Parnasse, , pp.115-116

H. Cazalis, Tristesse des choses, p.174

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A. Cosnard, ». Sur-un-insecte, and I. , , p.275

«. Fabrice, Fabricius, qui a établit les bases de la classification moderne des insectes. Voir à son propos Biographie universelle ou dictionnaire historique [?] par une société de gens de lettres, pp.1030-1031

A. Barbier, ». Saturne, and I. , , pp.328-330

, La mention des huit lunes respecte le savoir actuel de l'époque : Flammarion en fait mention en 1865 dans Les Merveilles célestes -Lectures du soir à l'usage de la jeunesse, Librairie Hachette et C ie , coll. « Bibliothèque des merveilles, p.222, 1865.

A. Barbier and . Saturne, , p.328

. Le-parnasse-contemporain, , 1971.

L. Dierx, L. Étoiles, ». , and I. , Voir à son propos la présentation qu'en font Paul Fort et Louis Mandin dans Histoire de la poésie française depuis 1850, pp.33-35

S. Prudhomme and L. Zénith, Aux victimes de l'ascension du ballon le Zénith, pp.393-404

A. Theuriet, L. Étoiles, ». , and I. , Ce poète lorrain, romancier et folkloriste, connut un relatif succès qui lui valut un poste à l'Académie française. Voir à son propos Paul Fort et Louis Mandin, Histoire de la Poésie Française, pp.90-91

, Ô Soleil ! vieil ami des antiques chanteurs, Père des bois, des blés, des fleurs et des rosées, Éteins donc brusquement tes flammes épuisées

C. De and M. , Leconte de Lisle, entre utopie et république, op. cit, p.379

, Poème composé en 1866, rajoutée à l'édition des Poèmes barbares de 1872, OEuvres complètes, op. cit, pp.215-216

J. Voir-À-ce-propos and . Verdet, Une histoire de la cosmogonie, Aux origines du monde, pp.81-91

L. Leconte-de, OEuvres complètes, p.216

. Ibid,

F. Vauquelin, Examen chimique des larmes et de l'humeur des narines », Annales de chimie ou recueil de mémoires concernant la chimie et les arts qui en dépendent, t. X, juillet 1791, pp.113-130

. Voir-mathieu-orfila, Éléments de chimie appliqués à la médecine et aux arts, p.431

C. Barel-moisan and . Le, Langage des sciences : savoir et narration dans La Recherche de l'absolu de Balzac, Le Partage des savoirs, XVIII e -XIX e siècles, Lise Andries (dir.), Lyon, Presses Universitaires de Lyon, coll. « Littérature et idéologie, p.75, 2003.

L. Balzac, La Comédie humaine, t. X, Études philosophiques, Madeleine Ambrière (éd.), p.719, 1979.

M. Ambrière and . Balzac, Du réel à l'imaginaire, le document et ses métamorphoses », Romans d'archives, Raymonde Debray-Genette, pp.11-37, 1987.

. Musset, repris dans les Poésies posthumes, dans Poésies complètes, p.529, 1957.

D. Cabanès, Les Cinq sens, pp.148-149

P. Marrot, L. Chemin-du-rire, and L. Paris, Voir à propos de ce poète le Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIX e siècle, p.185, 1881.

L. Chat and N. , , vol.111, p.2

, Ah ! c'en est trop, morbleu ! je veux une vengeance

, Je veux par tous moyens, décimer cette engeance. Il me faut un fléau sûr de son résultat

, Et le Très-Haut lâcha les médecins sur terre

G. Flaubert, L. Bouilhet, . Maxime-du, and . Camp, Yvan Leclerc et Guy Sagnes (éd, vol.II, pp.1073-1100, 2013.

. Ibid, acte 3, scène IV, p.1091

A. Allais, ». Anesthésie, and . Dans-À-se-tordre, , pp.64-66

A. Allais, ». Cupides-médicastres, and A. Dans, , pp.785-786

L. Trézenik, ». Un-coin-de-genèse, and L. Tout-paris, Sur Léo Trézenik, voir le portrait qu'en fait de son vivant Willy (« Express-Silhouettes -Nos collaborateurs : Léo Trézenik », Nouvel écho, Revue littéraire et dramatique illustrée, n o 11, 1 er juin 1892). Voir aussi la notice que lui consacre Nathalie Prince dans Petit musée des horreurs, ancien Hydropathe) du 26 juin 1880, p. 6, et repris dans Les Gouailleuses, poésies fantaisistes, pp.1084-1085, 1882.

, elle compte parmi ses contributeurs les anciens poètes Hydropathes, Vivants et autres Hirsutes. Voir à ce propos Mariel Oberthür, Le Cabaret du Chat Noir à Montmartre, pp.217-231, 2013.

, Voir à ce propos la notice biographique proposée en appendice aux Dix ans de bohème d, p.541, 2000.

, Voir François Caradec, Christophe, Le génial auteur d'immortels chefs-d'oeuvre, 1981.

, Allais fait paraître dans Le Chat noir en 1882 sous le titre « Un peu de chimie » au sujet desquels nous reviendrons. Voir François Caradec, Christophe, Le génial auteur d'immortels chefs-d'oeuvre, Caradec pense bien sûr aux poèmes qu, pp.138-139

C. , Vie et aventure du savant Cosinus (fin) », dans Le Petit Français illustré du 25 novembre 1899, 11 e année, vol.561, p.623

A. Allais and . Le, Traitement de la laryngite chez les girafes du Haut-Niger, pp.377-379

A. Allais and . La, Question des ours blancs devant le Captain Cap », Deux et deux font cinq [1895], repris dans les OEuvres anthumes, ibid, pp.546-548

A. Allais and . Où, , pp.678-680

A. Allais, De quelques réformes cosmiques, pp.892-894

A. Allais, Nouveau traitement du ver solitaire, pp.908-909

A. Allais and . Post, Ne nous frappons pas, pp.944-945, 1900.

, Alphonse Allais, « Où l'ivrognerie mène les lapins

!. Oui, Peupler ma solitude et flotter à mes yeux. De mes bras caressants j'entoure son image, Je crois sentir ma lèvre effleurer son visage, Et d'un secours furtif aidant la volupté, Je goûte avec moi-même un bonheur emprunté 1624

R. Castel and L. Plantes, Le possessif se rapporte à un « vieillard haletant ». Ce poème pourrait être un excellent exemple de l'usage massif des périphrases, lui qui, à la même page, p.86, 1811.

L. Voltaire and . Mort-de-césar, Baudoin frères, coll. « des Meilleurs ouvrages de la langue française en prose et en vers, p.372, 1828.

L. Delille and . Conversation, chant II, repris dans les OEuvres complètes, p.287, 1812.

P. Nom and . Esmenard, auteur du poème didactique La Navigation (1805), qui l'utilise comme nom féminin -« Elfride », la princesse dace -dans Le Triomphe de Trajan, tragédie lyrique à la gloire de Napoléon. Esménard, Le Triomphe de Trajan, p.1807

B. Flaubert and D. Camp, La Découverte de la vaccine, op. cit., acte I, scène 4, p.1082

M. Mac-nab and L. Clysopompe, dans les Poèmes incongrus [1887], repris dans les Poèmes mobiles, oeuvres complètes de Maurice Mac-Nab, François Caradec (éd.), op. cit, p.144

A. Sylvestre, Voir aussi « Les lys, ces clystères d'extase ! » en ouverture de « Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, O balançoirs [sic] ! ô lys ! clysopompes d'argent ! », dans l'Album zutique, p.149, 1971.

T. Corbière, Légende incomprise de l'apothicaire Danet », repris dans les OEuvres complètes, pp.863-864

. Le-poète-breton-léon-durocher, . Du-chat, . Noir, . Dans-«-corbière, and . Au, Chat Noir" de Salis », un article paru dans les Marches de la Provence, août-septembre 1912, p.19

T. Corbière, Les Amours jaunes, repris dans les OEuvres Complètes, pp.781-782

. «-[c]himiste-français, né en 1808, se consacra, suivant un double penchant, à la musique et aux sciences, particulièrement aux manipulations chimiques. L'un des premiers inventeurs de la dorure et de l'argenture sur métaux par l'action de la pile voltaïque, le nom de Ruolz est resté attaché à ses procédés, et il sert à désigner toutes les utiles et économiques applications qu'on doit à ses recherches, p.1592

M. Dansel, . Langage, . Chez-tristan-corbière, L. Paris, and . Nizet, , p.108, 1974.

T. Corbière, OEuvres complètes, p.1311

. À-propos-de-paulin-gagne, , p.760

, En particulier par l'historien de la littérature Léon Gautier, dont toute la volumineuse entreprise d'histoire littéraire consacrée à l'épopée se donne pour but premier de prouver que le roman médiéval constitue l'épopée de la nation française. Les Épopées françaises, Étude sur les origines et l'histoire de la littérature nationale, p.1865

, reprise en fac-simile, à Osnabrück, chez Otto Zeller en 1966. Pour la réfutation de l'essai de Voltaire, vol.II, pp.670-671

, De Victor Hugo et sa théorie des trois âges qui proclame en 1827 la mort de l'épopée, dans la « Préface de Cromwell, p.1, 1827.

G. , Paris : « il est clair que l'épopée [?] a bien achevé de mourir, p.51, 1914.

, 379 : « Il n'y a que les gens un peu au fait de l'histoire, et dont l'esprit est très-formé, qui lisent avec fruit nos grands tragiques, Léon Gautier s'appuie ici sur l'essai intitulé « Fable », paru dans Connaissance des beautés et des défauts de la poésie et de l'éloquence dans la langue française [1749], repris dans les OEuvres complètes de Voltaire, op. cit., t. XXIII, 1879

L. Gautier, Les Épopées françaises, op. cit, vol.I, p.6

V. Hugo, . Préface-de, and . Cromwell, « la poésie a trois âges, dont chacun correspond à une époque de la société : l'ode, l'épopée, le drame. Les temps primitifs sont lyriques, les temps antiques sont épiques, les temps modernes sont dramatiques, p.14

L. Gautier, Les Épopées françaises, op. cit, vol.I, p.4

. «-c', est la narration poétique qui précède les temps où l'on écrit l'histoire », selon Paulin, Les Épopées françaises, vol.I, p.6

. Ibid, , pp.84-94

A. Bellin,

J. Fabre, . Chénier, and H. Paris, « Sur l'origine et la première raison d'être des tableaux ») ainsi que dans l'historiographie de la première moitié du XIX e siècle (voir en particulier l'article de Paule Petitier, « L'histoire romantique, l'encyclopédie et le moi, Ce concept est également fondamental dans les sciences naturelles de la seconde moitié du XVIII e siècle (voir Thierry Hoquet, vol.104, pp.27-37, 1965.

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, Maria Do Rosário Pontes, « André Chénier et Homère », art. cit, p.166

P. Fort and . Louis-mandin, Histoire de la poésie française depuis 1850, p.46, 1926.

J. De and S. , , p.1866

J. De and S. , La Mêlée des races, p.3, 1874.

P. En-particulier-dans-ahasvérus and A. Guyot, , p.1836, 1834.

. Et-prométhée, E. Bruxelles, and . Laurent, Il y a fort à parier que le projet de ces épopées ait été inspiré au jeune Quinet par l'étude poussée qu'il mena sur les épopées françaises du XIIe siècle, dont témoigne le Rapport à M, Ministre des travaux publics sur les épopées françaises du XIIe siècle restées jusqu'à ce jour en manuscrits dans la bibliothèque du roi et de l'arsenal, 1831.

E. Voltaire, , p.363, 1726.

L. Cellier and . Quinet, , p.234

, Étude sur l'Ahasvérus d'Edgar Quinet, Eugène Fromentin et Paul Bataillard [1841], édition critique par Barbara Wright et Terence Mellors, Textes littéraires français, p.49, 1982.

, 28 : « le grand sujet épique, le seul sujet épique pour une épopée moderne est découvert : le poète chantera l'humanité en marche. » 1801 Introduction à l'Étude sur l'Ahasvérus d'Edgar Quinet, Léon Cellier résume cette formule dans L'Épopée humanitaire et les mythes romantiques, op. cit., p, p.105

». De-«-pleine-mer, signale la fin du monde de l'épopée traditionnelle ; le navire de guerre a disparu des vastes mers épiques : Ce monde est mort. Mais quoi ! l'homme est-il mort aussi

. L'océan and . Désert, Ce n'est plus que du flot que le flot est témoin. Pas un esquif vivant sur l'onde ou la mouette Voit du Léviathan rôder la silhouette

. Le-milieu-de-l'épopée, La variation de l'adverbe « là-bas » en « là-haut », soulignée par la mise sous accents métrique (tantôt à la césure, tantôt en fin de vers) ainsi que le décrochage typographique, insiste poétiquement sur un phénomène d'ascension que reprend la structure du recueil : du « bas », milieu que l'homme a désormais quitté, celui d'un monde belliqueux

. L'humanité-est-encore and «. Dans, Plein ciel », regardée comme un équipage de navire, un héros collectif : « Qu'est-ce que ce navire impossible ? C'est l'homme. » Or, cette ascension, fruit d'un effort héroïque, repose principalement sur le progrès scientifique : C'

. C'est, Isis qui déchire éperdument son voile ! C'est du métal, du bois, du chanvre et de la toile, C'est de la pesanteur délivrée

, L'ascension humaine s'appuie sur la découverte scientifique, représentée par le déchirement du voile d'Isis, qui, d'une part, donne à l'homme la maîtrise technique sur les éléments de la nature, qu'égrène le vers suivant (au sein d'un éloquent chiasme rythmique -4un tremplin : L'homme enfin prend son sceptre et jette son bâton

V. Hugo and . Pleine-mer, La Légende des siècles, première série, p.810

V. Hugo, , p.811

«. , ce qui meut ce nouvel héros, c'est la poursuite de la connaissance, nouvelle quête de l'épopée à venir : sur le pont de ce navire, on n'entend pas le bruit des armes mais uniquement « Le cri vertigineux de l'exploration 1814 ! » La science à venir est symbolisée par cette immense nef industrielle que décrit longuement Hugo 1815 : Oh ! ce vaisseau

, Elle tente de déstabiliser l'aéroscaphe, image du progrès, qui, bousculé un moment, n'en poursuit pas moins son ascension, imperturbablement, en une histoire des transports qui voit l'homme toucher du doigt la possibilité des voyages interastraux : L'homme est d'abord monté sur la bête de somme, Afin de respecter la topique épique, la suite du poème dépeint une gigantesque tempête métaphorique 1817

, Puis sur le chariot que porte les essieux

, Puis sur la frêle barque au mât ambitieux

. Puis, L'onde et l'ouragan, l'homme est monté sur la flamme [?] Et peut-être voici qu'enfin la traversée Effrayante, d'un astre à l'autre

V. Hugo-le-qualifie-comme-tel-dans and L. Contemplations, Pindare serein plein d'épiques murmures », dans « A propos d'Horace, p.276

, À propos de l'« aéroscaphe », mot forgé par Hugo, p.125

. Ibid,

. Ibid,

. Ibid,

, Quand mon esprit aspire à la pleine lumière, Je sens tout un passé qui me tient enchaîné, p.816

, Je sens rouler en moi l'obscurité première : La terre était si sombre aux temps où je suis né ! Mon âme a trop dormi dans la nuit maternelle : Pour monter vers le jour, qu'il m'a fallu d'efforts ! Je voudrais être pur

, Et je voudrais pourtant t'affranchir, ô mon âme, Des liens d'un passé qui ne veut pas mourir

, Je voudrais oublier mon origine infâme, Et les siècles sans fin que j'ai mis à grandir

, Mais c'est en vain : toujours en moi vivra ce monde De rêves, de pensers, de souvenirs confus, Me rappelant ainsi ma naissance profonde, Et l'ombre d'où je sors

, Et que mon âme était, sous tous ces corps divers, La conscience, Et que j'ai transmigré dans des formes sans nombre

. Le-«-je,

, est en proie à un sentiment de l'ordre de l'informulé et de l'évanescence, ce qu'indique la mise sous accent métrique, à la césure des vers deux et cinq, des adverbes « obscurément » et « confusément » après l'anaphore « Je sens ». Le sujet lyrique se rappelle comme en un songe, à la première personne, les états antérieurs de la vie et de l'humanité, créant ainsi, à regret, la possibilité d'un lyrisme plus universel

, Alors que chez Cazalis l'unification poétique de la vie est réalisée à contre-coeur

E. Haraucourt, membre des Hydropathes et auteur de La Légende des sexes dont j'ai déjà parlé, assume ouvertement, dix ans plus tard dans « L'Étape », cette assimilation de la voix lyrique, pronominalement omniprésente, à la voix de la vie universelle : La terre incandescente a rugi dans l'abîme Où tournoyait la ronde ardente des soleils, J'étais. Et dispersé, nombreux

J. ,

J. ,

, édénique 1837 -les théories physico-chimiques de l'analyse fractale et des « rayons », qui, quelques vers auparavant, envahissent la forêt d'une joie vivante et débridée 1838 . Bernier défend une poétique hugolienne syncrétique, qui, précisément, se fait épique dans sa constitution

E. Bernier, Du Caractère de l'épopée dans « La Légende des siècles, pp.12-13

J. Marmontel, Cité dans Hugues Marchal (dir.), Muses et ptérodactyles, op. cit, p.70, 2005.

V. Hugo and . Le-sacre-de-la-femme, La Légende des siècles, Première série, p.572

, Ces vers peuvent être lus comme autoréflexifs, puisque le chant de la création, considérée sous un jour à la fois spirituel et scientifique, met en branle, « Les vents et les rayons semaient de tels délire / Que les forêts vibraient comme de grandes lyres

, poète, sa fabrication même, à la catégorie des entreprises épiques, voire démiurgiques, qui fondent les civilisations. Hugo est ce nouveau héros qui

. De-fait and . Babel, hugolienne est le fruit d'une poétique où se mêlent, comme l'ont remarqué un nombre important d'observateurs, tous les registres qui scindent l'histoire en âges successifs, selon la théorie énoncée dans la « Préface de Cromwell, 1842.

. C'est-un-contemporain-d'hugo, Banville lui-même, qui semble l'avoir dit le premier, et peut-être avec le plus de force, dans un article paru dans Le National -l'organe de presse républicain -, en date du 5 mars 1877, intitulé « Victor Hugo : La Légende des siècles, 1843.

, est encore le poëte le plus moderne, le plus contemporain, le plus actuel de notre France et de notre temps, dont il écrit, dans La Légende des siècles, l'épopée éblouissante et définitive, 1844.

E. Bernier, Du Caractère de l'épopée dans « La Légende des siècles, p.94

«. Il, Ce qui manque au roman [?], c'est l'état général, originellement poétique, du monde, d'où procède la véritable épopée. », Hegel, Esthétique [1818-1829, Benoît Timmermans et Paolo Zaccaria (trad. et éd.), Paris, Librairie générale française, coll. « Classiques de la philosophie, pp.549-550, 1997.

, Poète épique, op. cit.), à Claude Millet (« Les Larmes de l'épopée. Des Martyrs à La Légende des siècles », art. cit.), en passant par Pierre Laforgue (« Épopée et histoire chez Victor Hugo (1852-1862) », 2000, art. cit.) et Marie Blain-Pinel (« Pour une dynamique des genres au sein de l'épopée dans La Légende des siècles (Première série) », Formes modernes de la poésie épique : nouvelles approches, pp.137-151, 2004.

«. Théodore-de-banville, P. J. Victor-hugo-;-artistique, P. S. Edwards, .. I. Hambly, . Poésie et al., Textes de littérature moderne et contemporaine, pp.77-91, 2003.

H. O. Selon-la-formule-empruntée-À-kapil-raj and . Sibum, « Globalisation, science et modernité », article introductif au tome deux de Histoire des sciences et des savoirs, Dominique Pestre (dir, Modernité et globalisation, Kapil Raj et Heinz Otto Sibum (dir.), t. II, p.26

L. Baudelaire and R. Et-laforgue-:-les-lyrismes-analytiques-«-c, est tout mon sang, ce poison noir !, p.1876

G. Chateaubriand,

, Voir la liste de poèmes apocalyptiques, en vogue depuis Le Dernier homme de Grainville (1805), qu'Hermine Riffaterre liste dans L'Orphisme dans la poésie romantique. Thèmes et styles surnaturalistes, pp.274-275, 1970.

A. De-lamartine and «. Immortalité, Méditations poétiques [1820], repris dans les OEuvres poétiques complètes, Marius-François Guyard (éd.), op. cit, pp.15-18

, Hymne de l'ange de la terre après la destruction du globe, Harmonies poétiques et religieuses [1830], repris dans les OEuvres poétiques complètes, pp.457-463

L. Révolutions, , pp.510-519

A. Bertrand and . Le-deuxième-homme, Textes de littérature moderne et contemporaine, pp.247-248, 2000.

A. De-vigny and . Paris, Poèmes antiques et modernes [1822], repris dans les OEuvres complètes de Vigny, François Germain et André Jarry (éd.), t. I, op. cit, pp.105-112

A. De-musset, «. Dupont, and . Durand, Poésies nouvelles [1850], repris dans les Poésies complètes de Musset, Franck Lestringant (éd.), Paris, Librairie générale française, coll. « Classiques de poche, pp.466-475, 2006.

«. Baudelaire, ». L'héautontimorouménos, and L. Fleurs, , p.78, 1857.

Y. Vadé, invention de la modernité », Ce que modernité veut dire, Presses universitaires de Bordeaux, t. I, pp.51-72, 1994.

L. Baudelaire and . Peintre-de-la-vie-moderne, , p.694, 1863.

E. Littré, Dictionnaire de la langue française, Librairie Hachette et C ie , t. III, 1874, p.365

, Ce fanal obscur, invention du philosophisme actuel, breveté sans garantie de la Nature ou de la Divinité, cette lanterne moderne jette des ténèbres sur tous les objets de la connaissance ; la liberté s'évanouit, le châtiment disparaît. Qui veut y voir clair dans l'histoire doit avant tout éteindre ce fanal perfide. Cette idée grotesque [?] a déchargé chacun de son devoir, délivré toute âme de sa responsabilité, dégagé la volonté de tous les liens que lui imposait l'amour du beau : et les races amoindries [?] s'endormiront sur l'oreiller de la fatalité dans le sommeil radoteur de la décrépitude, p.580

«. Baudelaire and . Gautier, Nous nous entretînmes également de la grande fatuité du siècle et de la folie du progrès. ») et 128 (« l'Industrie et le Progrès, ces despotiques ennemis de toute poésie, p.108

, suis convaincu que les progrès mal appliqués de la photographie ont beaucoup contribué, comme d'ailleurs tous les progrès purement matériels, p.618

. Ibid,

, Caroline de Mulder l'identifie également dans les Notes nouvelles sur Edgar Poe qui sont de cinq ans antérieures au texte sur Hugo. Caroline de Mulder, « Poésie parnassienne : poésie scientifique ? », art

L. Baudelaire, V. Poétique, and . Hugo, , pp.137-138

C. De and M. , Poésie parnassienne : poésie scientifique ? », art. cit

«. Baudelaire and . Hugo, , p.139

V. Emanuel-swedenborg, ;. Saint-amand, L. N. Jérusalem, M. Paris, . Minot et al., Dans un article de L'Art moderne, en date du 3 juillet 1887, il écrit : Chaque poésie, calculée, a la rigidité précise d'un théorème. Du reste, il y a quelque chose de mathématique dans l'esprit et dans l'oeuvre de Baudelaire. On en trouve ci et là plus d'un exemple, Jacques-François-Étienne Le Boys des Guays (trad.), vol.2987, p.180

. Ailleurs, . Dans-les-petites, and . Vieilles, il écrit encore : Il me semble toujours que cet être fragile S'en va tout doucement vers un nouveau berceau, À moins que, méditant sur la géométrie, Je ne cherche, etc. Certes, nous sommes loin de l'océan furieux qui gronde dans l'inspiration de Hugo et de Lamartine, ce lac mélancolique dans un isolement de verdure. Chez Baudelaire, il n'y a ni scorie, ni trop-plein : le poète fait l'effet d'un calculateur

R. Fait-de-baudelaire, en écho aux déclarations du poète lui-même, un semeur du haschisch : Ainsi les mathématiques se lient à la poésie comme elles se lient à la musique, car l'ivresse du haschisch transpose, paraît-il, toute musique en chiffres

, Dans cette préface, il insiste sur le caractère mathématique de l'esprit du poète des Fleurs du Mal : D'un air très simple, très naturel et parfaitement détaché, comme s'il eût débité un lieu commun à la Prudhomme sur la beauté ou la rigueur de la température, il avançait quelque axiome sataniquement monstrueux ou soutenait avec un sang-froid de glace quelque théorie d'une extravagance mathématique, Théophile Gautier, un an après la mort de Baudelaire, préface une édition posthume des oeuvres complètes 1905

, Il s'agit de « Les Sept Vieillards

G. Rodenbach, ». Reportage-posthume.-charles-baudelaire, and L. Moderne, Un demi-siècle de lectures des Fleurs du Mal (1855-1905), André Guyaux (éd.), Paris, Presses de l'Université Paris-Sorbonne, coll. « Mémoire de la critique, vol.3, p.730, 2007.

G. Rodenbach, ». Le-tombeau-de-baudelaire, and L. Paris, , vol.1894, p.847

O. Baudelaire and . Complètes, Michel Lévy frères, t. I, 1868, pp.465-520

, Surnommé Humilis, le poète, qui finira lui-même ses jours à Bicêtre, constate que la science aliéniste d'alors postule une adéquation entre l'arithmétique, la musique, la peinture et l'idiotie, p.468, 1912.

, Le poète s'avoue lui-même passionné de tous ces arts : J'aime beaucoup l'arithmétique

, Ne disons pas cela trop haut

, Mais la musique ! Oh ! la musique ! Je suis peut-être un idiot

L. Certes and . Poème-de-nouveau, auteur friand de l'énonciation ironique, joue d'une forme de confession qui feint de prendre au sérieux l'analyste Legrand du Saulle pour se moquer de lui

L. Néanmoins and «. Deux-vers, , 1885.

J. Rigoli, . Lire-le-délire.-aliénisme, and . En-france-au-xix-e-siècle, Fayard, pp.459-460, 2001.

V. Hugo, . Les-grandes, and . Lois, La Légende des siècle -Dernière série, repris dans Poésie III, p.571

G. Nouveau and . Idiot, Pour des éléments biographiques, voir L'Écharde dans la chair, repris dans les OEuvres complètes de Lautréamont et Germain Nouveau, p.610, 1970.

G. Nouveau and . Fou, , pp.602-603

. Baudelaire, Un demi-siècle de lectures des Fleurs du Mal (1855-1905), op. cit, p.517

E. Baudelaire and . Poe, sa vie et ses oeuvres [1856], repris dans les OEuvres en prose, p.1046, 1951.

«. Théodore-de-banville and . Baudelaire, La Revue contemporaine, 25 mars 1885, p.664

, Quinze jours après la publication » du mémoire de Baillarger, d'après ce dernier, ibid, p.20

J. Falret, Mémoire sur la folie circulaire, forme de maladie mentale caractérisée par la reproduction successive et régulière de l'état maniaque, de l'état mélancolique et d'un intervalle lucide plus ou moins prolongé, dans le Bulletin de l'Académie impériale de médecine, t. XIX, dix-huitième année, pp.382-400

J. Falret, Leçons cliniques de Médecine mentale faites à l'hospice de la Salpêtrière, Première partie : Symptomatologie générale des maladies mentales, p.249, 1941.

L. Baudelaire and P. Spleen-de, , p.353

, Il décèle en elle une de ces « bizarreries » qui fournit des sujets de poèmes à qui « sait se promener et regarder, p.355

, C'est Baudelaire qui souligne, pp.355-356

, on débattait encore de la possibilité de pouvoir diviser ces vers sans leur ôter la vie, ce qui renforce le lien entre les deux textes liminaires de Baudelaire. Voir par exemple Félix Dujardin

M. Pierssens, Vulgariser les sciences en 1855. Entre Baudelaire et Babinet, vol.73, pp.30-45, 2014.

, Isidore Ducasse semble s'être souvenu de ce discours auquel il a probablement assisté : il s'empare de ce poncif comme d'autres lieux communs de son temps. Après s'être moqué des effusions subjectives des poètes romantiques, p.42, 1947.

J. Diaz, pour la citation. C'est l'auteur qui souligne, Un siècle sous influence, p.13, 1997.

A. Pizzorusso and . Le, Mauvais vitrier ou l'impulsion inconnue », art. cit. L'expression « homme désaccordé » est une citation de l'étude que Baudelaire a fourni sur Poe, Edgar Poe, sa vie et ses oeuvres [1856], repris dans Edgar Allan Poe, OEuvres en prose, p.1046

M. Barthélemy, La Poésie des sciences, p.1867

I. Ducasse, Poésies I [1870], repris dans les OEuvres complètes de Lautréamont, p.271, 2009.

J. Ainsi, I. Steinmetz-propose-par-exemple-un-rapprochement-entre-ducasse-et-lucrèce, . Ducasse, ». Le-langage-des-sciences, J. Dans et al., UFR Langues Littératures, Maison des Sciences de l'Homme et de la Société, p.155, 2001.

. Dans, L. Beau-»-de-l'encyclopédie, . Breton, . Durand, . Briasson et al., , pp.169-181

M. Voir, «. Viroux, . Lautréamont, ». Le-dr-chenu, and M. De-france, Désiré Coussadi, « Le docteur Chenu, co-auteur des Chants de Maldoror », Cahiers Lautréamont, 2 e semestre 1988, livraison VII et VIII, Feuilles de Figuier », Cahiers Lautréamont, 2 e semestre 1992, livraison XXIII et XXIV, vol.1, pp.57-60

». and C. Lautréamont, 2 e semestre 1997, livraison XLIII et XLIV, Naruhiko Teramoto, « La greffe du discours scientifique dans Les Chants de Maldoror : une expérimentation physiologique de Paul Bert, pp.82-88

, L'exemple archétypal de ce type d'approche peut être illustré par l'ouvrage de Claude Bouché, Thèmes et textes, pp.136-139, 1974.

, Bien plus, c'est d'un bout à l'autre les savoirs qui cadrent le sens et la légitimité de la narration. Par rapport à ce que la langue des savoirs permet de poser, sans ambiguïté, sans contestation possible, sans équivoque -, la langue de la littérature ne fait que multiplier les détours, 1964.

J. Steinmetz, Isidore Ducasse et le langage des sciences, p.160

M. Pleynet, . Lautréamont, É. Paris, and . Du-seuil, Écrivains de toujours, p.175, 1967.

M. Pierssens, . Lautréamont, and . Éthique-À-maldoror, , p.77, 1984.

. Lautréamont, Les Chants de Maldoror [1869], repris dans les OEuvres complètes, pp.101-105

M. Pierssens, Ducasse et Lautréamont : L'envers et l'endroit, p.71, 2005.

. Steinmetz, « [l]a justification recherchée s'impose par ce seul type d'écriture

H. Scepi, Théorie et poétique de la prose, d'Aloysius Bertrand à Léon-Paul Fargue, Unichamp, p.121, 2012.

C. Pérez, «. Disgracier-le-poème-;-livraisons-lv, L. , and D. Lérot, Maldoror, la science et le caramel », dans Les Poésies d'Isidore Ducasse, pp.159-168, 2001.

A. Alonso and . Les, Sciences à l'aide de l'imaginaire. Le registre scientifique dans l'univers fantastique de Lautréamont », Lautréamont, L'autre de la littérature, Actes du VIII e colloque international sur Lautréamont, p.193, 2006.

J. Steinmetz, Isidore Ducasse et le langage des sciences, pp.161-162

I. Ducasse, Les Chants de Maldoror, Chant premier, vol.1868

;. Lautréamont, . Ii, . Ii, V. Iv, V. ). Bruxelles et al., Les Chants de Maldoror, p.1869

, Pour une étude de ces variations, voir la préface de Jean-Luc Steinmetz à son édition des OEuvres complètes, pp.p. X-XI

F. Caradec, I. Ducasse, and . Comte-de-lautréamont, , p.277, 1970.

;. Lautréamont and . Steinmetz, op. cit., chant V, strophe 1, pp.189-190

. Lautréamont, OEuvres complètes, op. cit., note 6 de la septième strophe du chant IV, p. 646 : « Ducasse se montre informé des théories de l'évolutionnisme exposées par Darwin dans son livre, 1859.

. Lautréamont, Les Chants de Maldoror, op. cit., chant IV, strophe 7, p.180

, Le terme est mis sous emphase, puisque Ducasse le glose dans une parembole qui affirme que le terme est employé à dessein : « (puisque amphibie il y a, p.181

. Ibid, , vol.3, pp.199-200

O. Rimbaud, (car, jusqu'ici je n'ai été que concis, ce que même plusieurs n'admettrons pas, à cause de mes longueurs, qui ne sont qu'imaginaires, puisqu'elle remplissent leur but, de traquer, avec le scalpel de l'analyse, les fugitives apparitions de la vérité, p.340

. Lautréamont, Les Chants de Maldoror, op. cit., chant IV, strophe 8, p.185

. Ibid and V. I. Chant, , p.238

J. Steinmetz, Isidore Ducasse et le langage des sciences, p.154

. Lautréamont, Les Chants de Maldoror, op. cit., chant IV, strophe, vol.3, p.167

, L'attitude de cette voix n'est donc pas sans rappeler les déviances de « Mademoiselle Bistouri

, Si elle vient couper le lyrisme flamboyant des fantasques "élucubrations" (sa manière à elle de miner, de transformer ce discours dominant dans l'oeuvre), la parenthèse adopte volontiers le discours, les tours d'un discours savant, À propos de la présence des parenthèses et de leur rapport avec les sciences, voir notamment Rym Abdelhak, p.89, 2005.

. Lautréamont, Les Chants de Maldoror, op. cit., chant IV, strophe 8, p.186

. Ibid,

. Ibid and . Vi, , pp.251-255

. Ibid,

. Ibid,

É. Littré, Dictionnaire de la langue française, p.1879

. Lautréamont, Les Chants de Maldoror, op. cit., chant I, strophe 9, p.52

. Ibid,

. Ibid, , p.60

I. Ducasse, I. Poésies, and O. , , p.267

, organisme littéraire qui est atteint de cette phtisie, puisque Ducasse incrimine immédiatement après « les pleurnicheries odieuses

«. Poitrinaire, C'est dire si le lyrisme, épuisé et exsangue, doit appeler de ses voeux une régénération par le biais d'une nécessaire évolution, quitte à en passer, 2025.

. Maldoror,

A. Comme-le-note and . Alonso, La forme même du poème en prose se justifie donc

. Le-choix-du-poème-en-prose, fondé sur l'union de contraires, exigeait l'acceptation des contradictions et des hybridités, puis la revendication d'une libération des lois formelles et, finalement, le désir de se créer une forme personnelle, née de l'exploration « des champs illimités des horizons incertains » (Chant VI). Dans ce cadre générique, Ducasse pouvait configurer son foyer poétique et incorporer « la prose pure, dépouillée de tout ornement artificiel, 2026.

, « Les lettres à la base, les sciences au sommet, tel doit être le dernier mot de cette bifurcation

. Ibid,

S. Bernard and L. Poème-en-prose, Ana Alonso cite approximativement Suzanne Bernard qui écrit en réalité « la prose pure, Nizet, p.435, 1988.

A. Alonso and . Les, Sciences à l'aide de l'imaginaire. Le registre scientifique dans l'univers fantastique de Lautréamont, p.193

M. Barthélemy, Discours prononcé à la Distribution Solennelle des Prix du Lycée impérial de Pau, le 12 août 1867, « La Poésie des sciences, p.2

Ô. Christ and . Christ, éternel voleur des énergies Dieu qui pour deux mille ans vouas à ta pâleur Cloués au sol, de honte et de céphalalgies, Ou renversés, les fronts des Femmes de douleur 2039

». «-l'impossible, I. ;-«-l'éclair, ». , and I. ;-«-angoisse, Les poèmes en prose évoquent très souvent la « science » (dans Une saison en enfer, « Mauvais sang », repris dans les OEuvres complètes, André Guyaux et Aurélia Cervoni (éd.), op. cit, p.248

. Rimbaud, Les Premières Communions, p.147

. Rimbaud, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, p.151

. Ibid, Ce mot est considéré comme l'équivalent scientifique de « boa

«. Rimbaud and . Assis, , p.156

. Rimbaud, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, p.153

J. Chambon, Matériaux pour l'exégèse des Premières Communions, pp.43-46, 1986.

. Rimbaud, Les Premières Communions », repris dans les OEuvres complètes, p.147

«. Rimbaud and . Assis, , pp.155-156

H. Friedrich, Structure de la poésie moderne [Die Struktur der modernen Lyrik, Michel-François Demet (trad.), p.108, 1956.

«. Rimbaud and . Assis, , p.155

. Voir and . Ma-bohême, OEuvres complètes, op. cit., p. 106, mais aussi « le front plein d'éminences » de l'enfant de « Les Poètes de sept ans » [1871] sous lequel se cache son « âme [?] livrée aux répugnances », c'est-à-dire aux déviances qui le mèneront à une poétique vicieuse, ibid, où la « rosée » au front coïncide avec la création poétique, Rimbaud, p.157

. Izambard, Elle sera, pour Rimbaud, « toujours horriblement fadasse. » 2049 La solution qu'envisage le jeune poète doit être l'inverse de cette poésie subjective, elle doit être objective 2050 : Rimbaud propose pour ce faire d'appréhender la poésie comme une opération visant à « faire sentir, palper, écouter » les inventions du poète. La nouvelle poétique devra résumer empiriquement ce que les sens -certes déréglés -de ce nouveau Prométhée lui font ressentir : « parfums, sons, couleurs » 2051

, La poésie repose donc sur une forme d'objectivité de la déstabilisation empirique. Quoique contrariés, ce sont les sens, et non le cerveau, l'âme ou le coeur du poète, qui lui dictent cette nouvelle poésie de , en l'occurrence -de la conception rimbaldienne : [V]ous prenez les pensées les plus incohérentes, les mots les plus hétéroclites, vous les accouplez tant bien que mal, 2052.

, Le mot peut d'ailleurs susciter un calembour sacrilège et mal sonnant : « saint -si -pute

Y. Frémy, « Te voilà, c'est la force », Essai sur Une saison en enfer de Rimbaud, pp.23-25

. Rimbaud, , p.339

, Cet avenir sera matérialiste », professe Rimbaud à Demeny, ibid, p.346

. Rimbaud,

, C'est Rimbaud qui souligne, p.340

, L'énonciation d'un poème comme « Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs 2056 », écrit deux mois après les lettres de mai 1871, l'un des plus riches en références scientifiques, relève d'une

G. Izambard and . Lettre-À-rimbaud, vers le 15 mai 1871, reprise dans les OEuvres complètes de Rimbaud, p.341

. Rimbaud, , p.344

«. Rimbaud and . Ce, , pp.149-154

». Poèmes and . Électriques, La « Rime », qui apparaît par l'opération de l'analyse chimique, 2066.

L. Chénier, repris dans les OEuvres poétiques, t. II, Georges Buisson (éd.), op. cit, p.184

. Rimbaud, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, pp.152-153

. Ibid,

B. Bensaude, -. Vincent, I. Stengers, ;. Paris, L. Découverte et al., Sciences humaines et sociales », 2001 : chapitre « "Explosion démographique" des corps simples, p.147, 1992.

. Rimbaud, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, pp.153-154

, La première conséquence d'une telle analogie, est de battre en brèche le mythe de la spontanéité de l'expression lyrique : le texte, comme la préparation chimique, est le résultat d'un travail d'analyse. La poésie devient une aventure critique au sens chimique (et premier) du terme : elle disjoint et diffracte le sujet d'énonciation. Le vers suivant et son terme technique, dire par décomposition et isolation d'un élément particulier

, Le verbe à la voix pronominale n'est pas choisi au hasard : il signifie en poursuit : De tes noirs Poèmes, -Jongleur ! Blancs, verts, et rouges dioptriques, Que s'évadent d'étranges fleurs Et des papillons électriques 2072 !, 2069.

, Steve Murphy identifie ce terme comme un nom d'élément chimique, dans Stratégies de Rimbaud, op. cit, p.167

. Rimbaud, Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs, p.153

E. Littré, Dictionnaire de la langue française, p.1451

. C'est-donc, que s'énonce l'inspiration poétique, en prenant image dans le fonds scientifique moderne. La fin du poème, après avoir chanté la magnificence démesurée d'une lyre dont les cordes seraient des fils électriques, forme une pointe finale qui frappe, d'un coup d'estoc à l'ironie plus éclatante encore, le projet d'une poésie qui prend sa source dans les oeuvres de vulgarisation : Surtout, rime une version Sur le mal des pommes de terre ! -Et, pour la composition De poèmes pleins de mystère Qu'on doive lire de Tréguier À Paramaribo, rachète Des Tomes de Monsieur Figuier, -Illustrés ! -chez Monsieur Hachette 2073 ! s'agit d'une traduction, non plus du latin, mais d'une langue source, celle du traité agronomique, en une langue cible, celle de la poésie

L. ,

, qui, dans « La Poésie des races celtiques 2076 », loue justement dans le caractère et la production lyrique des bretons 2073 Ibid, p.154

, De La Betterave ou l'art de cultiver cette plante et d'en extraire le sucre, poème didactique et critique, par un planteur, 1898.

, Que l'on songe, par exemple, aux « Poètes de sept ans, pp.125-126

E. Renan and . La, 308) condamne les apports illusoires de la science moderne (comme le socialisme utopique) et que la science est une des causes de la damnation dans « L'Impossible, Revue des deux mondes, 24 e année, seconde série de la nouvelle période, t. V, janvier 1854, vol.II, pp.271-273, 1947.

O. Rimbaud and S. Bernard, , p.532, 1960.

, Cette édition est reprise et complétée par André Guyaux en, 1991.

«. Rimbaud and . Mouvement, Illuminations, repris dans les OEuvres complètes, André Guyaux et Aurélia Cervoni (éd.), op. cit, pp.312-313

. Rimbaud, , p.1875, 2007.

D. Rimbaud and J. Baronian, op. cit., article « Science(s), pp.613-616

«. Rimbaud and . Le-bateau-ivre, , p.164

«. Rimbaud, ». Nuit-de-l'enfer, U. Saison-en, and . Enfer, , pp.255-257

«. Rimbaud, ». Mauvais-sang, and I. , , pp.247-253

, science rêvée à la science de son temps, qui, regrette-t-il, n'est pas suffisamment rapide 2086 . Par franchise première, 2087.

. Qu'étais-je-au-siècle-dernier-:-je-ne and . Hui, Pour le corps et pour l'âme, -le viatique, -on a la médecine et la philosophie, -les remèdes de bonnes femmes et les chansons populaires arrangés. Et les divertissements des princes et les jeux qu'ils interdisaient ! Géographie, cosmographie, mécanique, chimie !? La science, la nouvelle noblesse ! Le progrès. Le monde marche ! Pourquoi ne tournerait-il pas ? C'est la vision des nombres. Nous allons à l'Esprit. C'est très-certain, c'est oracle, ce que je dis, Je comprends

«. Ah, !. La-science-ne-va-pas-assez-vite-pour-nous-!-»-(«-l'impossible, ». , and I. , « Je connais le travail, pp.275-276

«. Rimbaud and . Angoisse, , p.308

«. Rimbaud and . Matinée, , pp.297-298

S. Voir-À-ce-propos-le-commentaire-de and . Bernard, dans son édition telle que l'a reprise André Guyaux des OEuvres de Rimbaud : « Rimbaud va reprendre "l'hymne à la Science" chanté avant lui par Michelet et Renanet, plus récemment, p.460

. Rimbaud, Une saison en enfer, OEuvres, op. cit, Mauvais sang, p.248

F. Xix-e-siècle-en, publié pour la première fois en 1857 et remanié en 1868. Voir à ce propos Jean Lefrance, « Psychologie et histoire : Taine critique de Cousin », Revue philosophique, pp.128-129, 1987.

, De l'intelligence paraît en 1870, et Rimbaud évoque son nom (en mauvaise part) dans sa lettre à Paul Demeny du 15 mai 1871, en faisant référence aux travaux que Taine avait consacrés à La Fontaine (Essai sur La Fontaine et ses fables, thèse

H. Taine, ;. De-l'intelligence, L. Paris, . 'harmattan, and . Encyclopédie-psychologique, fac-simile de l'édition de 1870, t. II, p. 177, cité par Daniel Grojnowski dans « Jules Laforgue et "le monde changeant des phénomènes" », dans Le Sujet lyrique en question, Serge Nicolas (introduction), vol.1870, p.137, 2005.

T. Ribot, L. Maladies-de, and L. Personnalité, cité par Daniel Grojnowski, qui se trompe de prénom, appelant Ribot « Théodore », et le cite approximativement, puisque « un tout de coalition » devient « un tout de cohabitation, vol.18, p.137, 1885.

, voie de formation, s'appuie sur la constatation d'une absence de sujet monolithique : l'esprit

, Ainsi Grojnowski peut-il mesurer l'écho tardif de ces théories dans la poésie de Jules

«. Laforgue, . Le-grand, and . Chancelier, Analyse 2097 », dont les derniers vers, édités de façon posthume, portent ce constat déchirant pour le sujet lyrique : Oyez, au physique comme au moral, Ne suis qu'une colonie 2098 de cellules De raccroc

». L'incise-«-dit-on and . Dans-le-poème-de-laforgue, met sous emphase l'influence d'une voix scientifique métonymique (Taine, porte-voix des sciences psychologiques) sur la façon

, Voir notamment « Analogies naturalistes » dans l'essai de Nathalie Richard, Hippolyte Taine. Histoire, psychologie, littérature, op. cit, pp.173-175

J. Laforgue and . Dimanches, , p.310

, La référence à la psychologie moderne est ici mise sous emphase, puisque Théodule Ribot évoque « une conscience coloniale » constituée « par la coopération de consciences locales, p.3

J. Laforgue and . Ballade, Laforgue répètera la même idée dans « Cas rédhibitoire (mariage) », où le sujet constate son hétérogénéité (« Oh ! le suffrage universel / Qui se bouscule et se chicane, / À chaque instant, Des Fleurs de bonne volonté [1890], repris dans le tome II des OEuvres complètes, op. cit., p. 198, cité par Daniel Grojnowski, art. cit, p.137

, OEuvres complètes, p.525

, « De même que le corps vivant est un polypier de cellules mutuellement dépendantes, de même l'esprit agissant est un polypier d'images mutuellement dépendantes, pp.138-139

E. Braun, La Logique de l'absolu, une loi de l'esprit humain et sa portée philosophique, p.150

. Ibid,

H. Spencer, Serge Nicolas (introduction), p.160, 2007.

E. Braun and L. , Le temps s'ouvre et s'enfonce? Au delà plus d'histoire. Ni siècle enseveli, ni trace de mémoire. Volcan, d'où te venaient et ta lave et tes feux ? Etoiles, qu'êtes-vous que foyers grandioses ?, p.150

«. Qui, ?. , V. Hugo, and «. Fenêtre, , p.497

, Littré indique 1860 dans la version de La Philosophie Positive

É. Littré, ». La-terre, and L. Philosophie, , vol.1, pp.142-144

É. Littré, . Littérature, D. Paris, and . Ie, , pp.454-457

. De-cette-seconde-moitié-du-siècle, Ernest Cotty le répète en 1876 dans Antediluviana 2124 , à propos de l'époque primitive qu'il juge trop lointaine pour être dépeinte : Je laisse de côté l'épais brouillard gazeux

, Que dirais-je, d'ailleurs, de cette nuit lointaine ? La meilleure hypothèse est peut-être incertaine? Je ne saurais donc pas, des vieux rocs primitifs Exhumer en détail les Schistes collectifs

, Le peu que j'en dirais, pouvant être équivoque, Je quitte, en son Chaos, la Terre, à cette Epoque !

. Dix, . Est-reprise, and . Développée-par-jean-richepin-dans-«-la-gloire-de-l'eau, Comment sous l'action et les forces amies Du soleil, des foyers souterrains, des chimies, Du temps, comment a pu s'opérer en un point Cette genèse, c'est ce que l'on ne sait point. Des corps simples à la cellule, à la monère, Par quels chemins passa la substance ternaire, Puis quaternaire, pour s'albuminoïder Et s'agréger, vivante, on n'en peut décider. Le carbone de l'air, alors en abondance Dans l'atmosphère encore irrespirable et dense. Avec les gaz de l'eau d'abord combina-t-il Ou l'âcre ammoniaque ou l'azote subtil ? Ou bien est-ce plutôt par le cyanogène Que se noua l'anneau primitif de la chaîne, Comment dans cette vase aux clapotements mous Où les derniers volcans soulevaient des remous

, Il est encore question de chemin sous la plume de Richepin : la connaissance est une voie

E. Cotty, Antediluviana, poème géologique, op. cit., chant I, époque primitive, p.2

J. Richepin and L. Mer, , pp.326-327, 1886.

, Les coeurs sont-ils si loin, l'amour est-il si vaste, Que la clarté vers qui notre suprême espoir, A travers l'infini de nos rêves, s'élance, Peut-être aussi nous vient du glacial silence D'un coeur depuis longtemps sombré dans un ciel noir 2139 ?

, En 1881 Auguste Dorchain, le disciple de Sully Prudhomme, reprend dans La Jeunesse pensive cette analogie à l'occasion d'un poème intitulé « Les Étoiles éteintes » dont voici le début : À l'heure où sur la mer le soir silencieux Efface les lointaines voiles, Où, lente, se déploie, en marche dans les cieux, L'armée immense des étoiles, Ne songes-tu jamais que ce clair firmament, Comme la mer, a ses désastres ? Que, ne peut explorer et qui peut décevoir, ce que proposait déjà Sully Prudhomme dans « La Voie lactée » en 1867

. Vois-tu, cette étoile nageant Dans les flots de l'éther sans borne ? L'astronome m'a dit que sa sphère d'argent N'était plus rien qu'un cercueil morne

. Jadis, D. Dans-un-superbe-Épanouissement, E. Féconde, L. Enfantait-majestueusement-l'amour, . Pensée et al.,

, Tous ses bruits, un par un, se sont tus sous le ciel, L'espace autour d'elle est livide

, Dans le funèbre ennui d'un silence éternel Elle erre à jamais par le vide

. Pourtant, elle est si loin que depuis des mille ans Qu'elle va, froide et solitaire, Le suprême rayon échappé de ses flancs N'a pas encor touché la terre

. Aussi, est changé pour nous : chaque matin La clarté de l'aube l'emporte, Et chaque soir lui rend son éclat incertain

L. Dierx, L. Étoiles, ». , and L. Parnasse-contemporain, On a vu précédemment des poèmes optimistes qui mettent en scène un moi polymorphe race 2143 (et métaphoriquement, surtout chez Richepin, de la poésie 2144 ). Le dinosaure, d'un point de vue lexical (en termes de masse et de sonorités), Slatkine Reprints, pp.72-73, 1879.

, De la même façon que les mondes sublunaires peuvent s'éteindre, l'idée selon laquelle les mondes organiques -les espèces vivantes -sont mortels commence à inquiéter les poètes

, ce souci s'étend du roman d'aventure 2149 à ranger et agir dans le sens qu'elle nous indique, c'est chose raisonnable et sage, et voilà pourquoi je détruirai la cité du docteur Sarrasin. Grâce à mon canon, mes cinquante mille Allemands viendront facilement à bout des cent mille rêveurs qui constituent là-bas un groupe condamné à périr, Une pensée qu'on qualifierait aujourd'hui d'écologique 2146 des espèces 2147 -puis de Michelet 2148, pp.38-39, 1988.

C. Chamard, « Regarde ! Je suis un de ces anciens Titans / Dont la race, autrefois, te fit trembler, au temps / Où, couvert de limon, d'eaux et de marécages, / En tes îles, ainsi que de vastes pacages, / Qui nourrissaient pour nous tout un vivant festin, / Sous tes noires forêts, fécondes en butin, / Dans tes fleuves aux bords fangeux, tes lacs saumâtres, / Et tes mers que fouettaient les vents opiniâtres, / Tu nous donnais pâture. Et mes frères et moi, / Terribles, nous allions faisant partout la loi, Et quel être, aujourd'hui, prétend nous égaler ? / Répondsmoi ! Quel, pp.99-100

J. Richepin, L. Monstres, ». , and L. Mer, , pp.302-305

, Voir à ce propos mon article : Yohann Ringuedé, « Se souvenir des antédiluviens. Le dinosaure et la crise poétique dans la seconde moitié du XIX e siècle

, J'utilise ce terme forgé par Haeckel au sens large : l'étude de la relation entre les êtres vivants et le monde dans lequel ils vivent

, Voir à ce propos Charles Frankel, Extinctions. Du dinosaure à l'homme, pp.24-25, 2016.

V. Michelet and L. Mer, chapitre V du livre trois, « La Guerre aux races de la mer, pp.175-180, 1861.

, chez Jules Verne, notamment autour des années 1870. Vingt mille lieues sous les mers (1870) s'inquiète de la raréfaction des cétacés (en particulier par la voix du capitaine Nemo, qui empêche le fougueux baleinier Ned de chasser des baleines australes dans le chapitre « Cachalots et baleines », en alléguant que « détruire » ces animaux est une « action blâmable, On en trouve de nombreux échos, après Herman Melville (Moby Dick date de 1851)

, 327) tandis que le Pays des fourrures (1873) rejoue, à l'échelle réduite d'une île à la dérive, L'acharnement barbare et inconsidéré des pêcheurs fera disparaître un jour la dernière baleine de l'océan, 1871.

S. Prudhomme, . Testament-poétique, A. Paris, and . Lemerre, , pp.3-32, 1901.

S. Prudhomme and F. Vues-générales-sur-le-mouvement-poétique-en, Revue Franco-Canadienne, t. I, n o 1, octobre 1897, La Revue des deux Frances, pp.3-13

S. Prudhomme, Testament poétique, pp.4-5

, Un poème sur le jeu des échecs, voire sur la plus haute métaphysique, p.5

, « Plus s'est aiguisée, exaspérée la double sensibilité nerveuse et morale, plus l'inspiration poétique a été contestée aux vers qui ne procurent qu'une jouissance d'origine intellectuelle, aux vers dont l'harmonie est au service de la pensée, p.8

. Ibid,

, majoritairement élégiaque, de l'ubi sunt de Villon 2189 au « vert paradis des amours enfantines 2190 » baudelairien, prenait appui sur la déploration, et, partant, p.13

. Jean-baptiste, Grainville en est une sorte de prototype extrêmement précoce, puisqu'il paraît en 1805 à titre posthume 2193 . En 1827, Aloysius Bertrand en propose une mystérieuse réécriture dans « Le Deuxième homme 2194 ». Charles Nodier, qui, dès 1811, présente une seconde édition du texte de Grainville 2195

F. Villon, ;. Ballade, ;. Ballade, and L. Testament, Jacqueline Cerquiglini-Toulet et Laëtitia Tabard (éd.), pp.52-55, 1461.

«. Baudelaire and . Moesta, Les Fleurs du Mal, p.64

, Cette évolution correspond également à un bouleversement historiographique qui passe d'une écriture de la totalité à une écriture du devenir. Paule Petitier a étudié cette transformation dans l'article « "Arrêt de développement" et poétique de l'histoire », revue en ligne Épistémocritique, Laurence Dahan-Gaida (dir.)

, Simon Bréan évoque une convergence d'oeuvres « d'imagination scientifiques », La Science-fiction en France, Lettres françaises, pp.45-88, 2012.

J. Grainville, L. Dernier-homme, and D. Paris, janvier 2017, Fondation Maison des Sciences de l'Homme de Paris, dirigé par Gisèle Séginger et Thomas Klinkert. À paraître. Voir également l'article de Jean-Paul Engélibert, « La première apocalypse sans royaume, Grainville et Nodier », colloque Biolographe, Création littéraire et savoirs du vivant au XIX e siècle, pp.25-27

». Grainville, C. Dans, J. Coquio, R. Engélibert, and . Guidée, L'Apocalypse : une imagination politique (XIX-XX èmes siècles), pp.33-44, 2018.

A. Bertrand and . Le-deuxième-homme, , pp.247-248

J. Grainville, L. Dernier-;-charles-nodier, ;. Paris, and F. Et-déterville, de la réflexion autour de la fin de l'humanité 2196 tandis qu'Auguste Creuzé de Lesser fait paraître un Dernier homme, poème imité de Grainville, en 1831. 1832 relance le sujet autour de l'annonce de la comète de Biéla 2197 , qui inspira non seulement les poètes (Victor Hugo et sa tardive « Comète 2198 ») mais aussi, signe que le phénomène pénétrait les couches populaires, les chansonniers. Béranger, le parolier à succès, compose à la fin des années vingt une chanson , influencé par Grainville, L'Unitéide, ou la femme messie, qui, long de douze chants et de soixante actes, paraît en 1857 : l'ancien avocat, converti à la poésie, y prédit une décadence de l'humanité, « détournée de ses voies par Satan 2200

L. Gagne, Élise Moreau, fait paraître l'année suivante Omégar ou le dernier homme, sous-titrée « proso-poésie dramatique de la fin des temps 2202

, La rêverie liée à la fin des temps touche donc aussi le genre poétique, et il est à ce titre significatif que le texte de Grainville soit génériquement flou : quoiqu'écrit en prose, il se découpe en « chants ». Par ailleurs, Nodier indique dans la préface de l

M. Voir-l'article-de and . Sukiennicka, Charles Nodier et la fin du genre humain », revue Arts et savoirs, n o 7, Littérature et savoir du vivant, Gisèle Séginger (dir.), 2016.

, À propos du rôle des comètes dans les prophéties de fin du monde, voir Lucian Boia, La Fin du monde, une histoire sans fin, pp.110-115, 1999.

V. Hugo and L. Comète, La Légende des siècles -Nouvelle série, pp.423-428

«. Béranger and . La, Comète de 1832 », recueil de 1828, repris dans Le Béranger des familles, pp.226-227

S. Brugal, , p.118, 1995.

. À-propos-de-paulin-gagne-et-de-son-oeuvre, . De-pierre-popovic, L. Paulin-gagne, ». De-lui, and T. , , vol.53, pp.76-101, 1996.

É. Gagne, ;. , O. Paris, and D. Ie, Omégare est le nom du héros de Grainville. Il est mis en coprésence d'Adam, qui représente l'alpha, le premier homme, p.1859

L. Jean-baptiste-de-grainville and . Dernier-homme, Charles Nodier (éd.), op. cit., « Observations préliminaires du nouvel éditeur », p. VI-VII. Nodier ne le dit pas, 1805.

J. Michelet, «. Dernier-homme, ». Dans-histoire-du-xix-e-siècle, T. Iii, and . Jusqu'à-waterloo, Selon lui, Le Dernier homme donne « l'âme même du temps », c'est-à-dire qu'il met en scène les inquiétudes d'une société touchée par « sa souffrance, sa sombre pensée » 2206, 'histoire 2205, pp.91-109

, De telles entreprises reposent scientifiquement sur une pensée de la catastrophe, de la fin d'une espèce 2207 , c'est-à-'époque (comète, déluge, immense tremblement de terre ou volcanisme généralisé 2208 ) ». En revanche, avec Les Fossiles, Louis Bouilhet marque en 1854 cette pensée biologique récente : Le vieux chaos mugit sous les créations

, La nature en travail écume dans sa chaîne 2210

, Selon la loi transformiste, chaque création sent confusément gronder en elle le primitif état du la plaine » : « L'homme s'en va !... » 2211 . Bouilhet déploie alors une poétique catastrophiste : C'est le commencement de la grande agonie !

, C'est Michelet qui souligne, p.103

W. Voir-françois, Une histoire culturelle, Catastrophes

J. Gillet, . Du, and . Au-premier-homme, le brouillage des signes dans l'épopée de Grainville », dans Formes modernes de la poésie épique. Nouvelles approches, Judith Labarthe (dir.), Bruxelles, Presses Interuniversitaires Européennes-Peter Lang, coll. « Nouvelle poétique comparatiste, p.117, 2004.

L. Bouilhet, Les Fossiles, repris dans Festons et astragales, op. cit, p.225

, L'un des plus grands poèmes de Louise Michel date de la même époque : « Chanson des

». «-poètes and . Mais-cela-n'empêchera-pas-que-«-la-terre-ne-meure, Plus tard, dans les années quatre-vingt-dix, alors qu'elle est revenue en France et a été emprisonnée, elle continue de réfléchir, sur fond de pensée évolutionniste, à une conception cyclique des civilisations, En 1893, elle prolonge la réflexion dans « Les Cycles », pièce qui se termine sur ces strophes prophétiques : Les choses, les êtres, 2228.

, Ainsi notre cycle s'achève, Sur lui-même se refermant

, Alors graviteront les êtres Comme les astres dans les cieux

, Et nous comme les grands ancêtres

L. Michel and . Le-poème-que-lui-consacre-ironiquement-verlaine, n'hésite pas à intégrer des technolectes dans ses vers, comme en témoigne, encore, une chanson tardive intitulée « V'là le choléra » qui compose un vers avec « Du sulfat' de chlorure, p.164

L. Michel, Chanson des flots, pp.124-127

L. Michel and «. L'atlantide, Légende de l'océan » [1891], repris dans ibid, pp.172-173

L. Sanglot-de-la-terre, sur lequel Laforgue travailla cinq ans (1878-1883), et qui est profondément imprégné de la lecture d'Hartmann. Le poète part du constat désolant selon lequel les vérités sont inaccessibles, puisqu'il se dit «

, Son égarement pose doublement problème : d'une part il cause des insomnies au sujet lyrique, d'autre part il conduit le locuteur poétique à « pos

, Et pour cause, il détourne de la première inspiration poétique, celle qui s'appuie sur des croyances : Car j'étais dans l'Eden, l'arbre de la Science Ne m'avait pas encor tenté, j'avais la foi

, Si mon front est plus fier

, est la conséquence d'une leçon scientifique, celle de l'inexorabilité de l'évolution biologique : L'Univers n'est enfin que le torrent des choses S'entretenant toujours par leurs métamorphoses Sous le stupide fouet de la nécessité ! Et j'erre à travers tout, sans but et sans envie

, La leçon d'instabilité de la science moderne inquiète l'inspiration lyrique. Cette critique de la science, qui rend impossible la profération du poème

J. Laforgue, lettre à Gustave Kahn du 18 janvier 1885, reprise dans la Correspondance, dans les OEuvres complètes, p.729

J. Laforgue, «. [insomnie]-veillée-d'avril, ». , and L. Sanglot-de-la-terre, , p.272

, Les variantes du poème rendent même ce danger plus définitif, puisque la plume est tour à tour « jeté[e] » ou même « brisé, p.273

J. Laforgue, « [Ah ! je me reposais sur toi] Lassitude », ibid, p.275

&. Qu, là-bas, plus loin, encore À jamais, sans espoir ? Puisque le Temps dévore Des siècles de soleils, où serez-vous alors, Atomes qu'aujourd'hui j'ose appeler mon corps ? Non, mon corps est à tout, et mes os ? Qu'étaient-ils dans la Nuit

J. Ironiquement, Laforgue invente ensuite une parodique histoire d'anticipation, intitulée « Fantaisie », qu'il dédit au trop optimiste « C[amille] Flammarion » 2244 . Il y prédit que la terre jusqu'ici délaissée, à force d'appels au secours lancés dans l

J. Laforgue, « À un crâne qui n'avait plus sa mâchoire inférieure, pp.277-278

J. Laforgue and . Angoisses, Tout est seul ?) », ibid, p.289

, et en particulier la page 361, dans laquelle le moine et le savant se perdent tous deux dans des tâches inutiles : « Le moine va et vient brûlé d'ardeurs secrètes / Par les cours de son cloître et le long des murs blancs, / Le savant accroupi défait les bandelettes / D'une momie aimée il y a six mille ans, Voir aussi à ce propos « Recueillement du soir, pp.359-361

, Jules Laforgue s'est plus que probablement inspiré de La Justice de Sully Prudhomme, puisqu'il concède que « la Sainte-Justice / Ne siège qu'en nos coeurs !

J. Laforgue, «. [l'espérance]-pataugement, ». , and I. , , p.305

J. Laforgue and I. Suis-je-?-», , p.314

J. Laforgue, , pp.315-316

, Les pièces suivantes le ressassent assez. D'abord, la terre mourra d'un refroidissement du soleil : La plupart vit et meurt sans soupçonner l'histoire Du globe, sa misère en l'éternelle gloire, Sa future agonie au soleil moribond 2246 . le décès : Les temps sont épuisés ; morte à jamais, la Terre, Après son dernier râle et son dernier sanglot Dans le silence noir du calme sans écho, à elle les mondes habités des quatre coins de l'univers, qui « nous emporterons dans la Fête d'amour 2245

. L'histoire-de-la-terre-est-ensuite-relatée, Elle tient à la fois de l'« épopée » -c'est-à-dire qu'elle relève de l'héroïque, mais surtout, elle est reléguée dans un passé révolu et recouvert d'un vernis mythologique -, du « drame » et du registre « tragique » 2249 . Les temps premiers s'ouvrent sur un âge d'or que l'apparition de l'homme vient corrompre : sa venue est présentée comme un élément perturbateur : Hélas ! l'homme parut, et, frère révolté, De l'illusion sainte il déchira le voile. Et le sanglot des temps monta vers les étoiles 2250 ? bleu 2251 », puis « Pâle soleil d'hiver 2252 ». D'un point de vue plus strictement formel

J. Laforgue, «. [misère]-médiocrité, ». , and I. , , p.333

J. Laforgue, « Marche funèbre pour la mort de la terre, pp.341-344

. Ibid,

. Ibid,

J. Laforgue, «. Grand-silence]-le-silence-bleu, ». , and I. , , p.357

J. Laforgue, ». , and I. , , p.382

J. Gouvard, J. Les-mètres-de, and . Laforgue, 2.2.5. L'apocalypse scientifique de Verhaeren de Verhaeren, fascinée par le futur et étayée par des découvertes scientifiques, n'est pas exempte d'ambiguïté et d'un regard inquiet sur l'avenir, Cahiers du Centre d'Études Métriques, pp.41-49, 1992.

. Lope, Or le terme utilisé par Verhaeren, pour constituer une part de cette transformation, c'est l'adjectif « tentaculaire ». La ville, qui hallucine le monde entier comme une lumière les papillons, s'étend comme les tentacules d'un poulpe (Michel Biron remarque à ce propos qu'il s'agit d'un terme zoologique 2264 ). Pourtant, ce poulpe court à la ruine et menace d'extinction tout un monde, selon le lancinant refrain du poème « L'Étal 2265 ». « La Révolte 2266 » prophétise la ruine de la ville, Verhaeren professe la venue d'un monde nouveau, mais celui-ci s'élèvera sur les décombres d'une révolution 2263

». Mort, extinction des grandes ville transformées en cimetières, et les deux poèmes utopiques évoqués par Michel Biron. C'est l'activité scientifique, longuement décrite dans « La Recherche » comme une activité louable esthétiquement et axiologiquement, qui rend possible l'avènement de cette utopie. L'esthétique d'abord : les matériaux de la recherche sont nobles, les télescopes sont « d'or

H. Lope, «. Émile-verhaeren--poète-de-la-ville, ». , and É. Verhaeren, Poète -Dramaturge -Critique, p.31, 1984.

M. Biron, La traversée des discours crépusculaires dans Les Villes tentaculaires », Textyles, revue des lettres belges de langue française, p.91, 1994.

«. Dressé, depuis toujours, sur les frontières / De la cité et de la mer, Émile Verhaeren, Les Villes tentaculaires [1895], repris dans Poésie Complète, Michel Otten (éd.), Bruxelles, Labor, coll. « Archives du futur, pp.292-301, 1997.

M. Biron, La traversée des discours crépusculaires dans Les Villes tentaculaires, p.96

É. Verhaeren and L. Recherche, Les Villes tentaculaires, pp.334-341

, « pareils à des trésors », à des pierres précieuses, les instruments sont « délicats, / Ainsi que des insectes » 2269 . L'axiologie ensuite : l'activité du chercheur est un long chemin

, Et quelle angoisse ou quel espoir des destinées, Et quels cerveaux chargés de noble lassitude A-t-il fallu pour faire un peu de certitude 2270 ?, Dites ! quels temps versés au gouffre des années

, « martyris[és] » et « Criant la vérité, avec leur bouche en poèmes conclusifs : Viendra l'instant, où tant d'efforts savants et ingénus, Tant de cerveaux tendus vers l'inconnu, Quand même, auront bâti sur des bases profondes Et s'élançant au ciel, la synthèse des mondes 2273 ! et ingénus » (c'est-à-dire axiologiquement innocents), les « cerveaux » nombreux, les « bases » scientifiques « profondes » et « s'élan[cer] au ciel », il n'en reste pas moins que la modalisation « [q]uand même », qui laisse entrevoir, La tâche est immense pour des résultats fort minces. Les chercheurs sont de nouveaux saints, au-dessus « de la foule d'en bas 2271

. Ibid,

. Ibid,

H. Le, J. D. Weber-;-voir, J. Watson, and . Tooze, Chapitre huitième : Faire de la poésie un objet de science Le chapitre précédent ouvre la voie à l'étude d'une idée fondamentale pour le dialogue qu, 1981.

, Le dialogue traditionnel entre la science et la poésie est lui aussi remis en cause

É. Zola and ,. Zola, dans La Provence du 17 février 1859, repris dans les OEuvres complètes, pp.861-866, 1966.

, Zola expose ce projet ambitieux quoique peu original à l'époque -il est annoncé significativement après des notes et remarques provoquées par la lecture de Chénier -dans une lettre à son ami d'enfance Jean-Baptistin Baille, astronome, en date du 15 juin 1860, reprise dans la Correspondance, pp.179-184, 1978.

, et une troisième partie esquissant la poursuite de l'évolution de l'être humain dans le futur, selon une structure ascensionnelle qui relève encore du transformisme. Zola est très enthousiasmé par ce projet, cette « grandiose pensée », qui combine selon lui dans le poète moderne le « savant », le « philosophe, Ce poème structuré en trois parties devait comprendre une partie tournée vers « tout ce que la géologie nous apprend sur ces campagnes détruites et sur les animaux maintenant engloutis dans leur débris, pp.43-44, 2002.

R. Ghil, Les Dates et les oeuvres, p.85, 1923.

, Colette Becker fait remonter ce tournant à 1864, Zola, Le saut dans les étoiles, pp.46-47

, Pour une étude précise de ce projet

. Chénier, Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques », L'Invention [1790], repris dans les OEuvres poétiques, Georges Buisson (éd.), t. II, op. cit, p.184

, On le verra, cette évolution n'est qu'une tendance. S'inspirer formellement de la méthode scientifique ne signifie pas nécessairement abolir l'inspiration thématique

E. Caro and . La-poésie-scientifique-au-xix-e-siècle, La Justice" de S, Revue des Deux Mondes, p.512

H. Marchal, Mutation biologique et avant-gardes littéraires », Critique, juin-juillet, pp.566-579, 2006.

. Voir-hippolyte-taine, Histoire de la littérature anglaise, t. I, 2 e éd. revue, Paris, Hachette, 1866, p. XXIII-XXV, ainsi que De l'idéal dans l'art, p.41, 1867.

, Hugues Marchal, « Mutation biologique et avant-gardes littéraires », art. cit, p.567

F. Brunetière, Évolution des genres dans l'histoire de la littérature, 1890.

, Hugues Marchal, « Mutation biologique et avant-gardes littéraires », art. cit, p.567

G. Paris and . Charpentier, Voir à ce propos la page XV de la préface de mai 1879 : « Nous espérons [?] que cet ouvrage pourra exercer une heureuse influence ; qu'il contribuera à raffermir dans quelques esprits ébranlés le respect des principes éternels, 1879.

G. Peureux, La Fabrique du vers, p.464
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/halshs-00629572

L. Becq-de-fouquières, Traité général de versification française, op. cit, pp.p. V-VI

, impressionne la versification, comme la lumière une plaque photographique 2321 ». Ce faisant, La Grasserie suggère que l'opération poétique (l'inspiration) comme la réaction chimique, est de l'ordre de la réaction naturelle et spontanée. Il établit un nouvel argument sur une, p.19

A. Scoppa, Les Vrais principes de la versification, pp.117-118

J. Sur-rené, B. Haüy, «. Maitte, and . René, Just Haüy (1743-1822) et la naissance de la cristallographie, Travaux du Comité français d'Histoire de la Géologie, 2001.

R. De and L. Grasserie, De l'élément psychique dans le rythme et de ses rapports avec l'élément phonique, Paris, Alphonse Lemerre, 1892, p. 2. C'est l'auteur qui souligne

, Reinwald et C ie , 1878 : « Tout vrai poëte devra être doué d'une imagination vive et tenace, gardant les images comme une plaque photographique et donnant un corps à toutes ses pensées, p.241

R. De, L. Grasserie, J. Paris, L. Maisonneuve, and . Marceau, Des principes scientifiques de la versification française, p.46, 1900.

, Louis Figuier faisait déjà passer la science photographique dans la sphère populaire en consacrant un large premier chapitre à la question de l'invention et de la technique chimique de la photographie, En 1861, dans Les Merveilles de la science, pp.1-188

. Sera-l'honneur-de-ce-siècle, ». La-gloire-de-notre-patrie, and I. , Pour une histoire générale de la photographie, voir Michel Frizot (dir.), Nouvelle Histoire de la photographie, voir Serge Teskrat, p.1, 1994.

. Théodore-de-banville, Pour une brève approche et un historique de cet essai, Une famille pour un poète. Biographie originale, historique et documentaire, p.346, 1990.

. Théodore-de-banville, Petit traité de poésie française, pp.2-3

, attempt to save poetry from the forces of science and commerce, Ici, comme pour les citations à venir, p.29, 2014.

, As for scientific taxonomies, Banville plays with contemporary science's mania for description, observation and classification, p.32

P. Banville and O. Traité-de-poésie-française, Constructing Poetic Value in Nineteenth-Century France, p.32

P. Banville and O. Traité-de-poésie-française, Constructing Poetic Value in Nineteenth-Century France, p.32

, Pour une définition et une histoire de la physiologie, voir le texte de Canguilhem, « La Constitution de la physiologie comme science, repris dans Études d'histoire et de philosophie des sciences, pp.226-273, 1963.

C. Letourneau, Physiologie des passions, p.247

. Ibid, , p.241

G. Pellissier, Traité théorique et historique de versification française, p.p. VI, 1882.

H. Marchal and . Relire, comme le graphique de ses impulsions" : poétique de la courbe de Marey à Michaux », Mireille Hilsum et Hélène Védrine (dir.), La Relecture de l'oeuvre par ses écrivains mêmes, t. III, Se relire par l'image, Les cahiers de Marge, p.25, 2012.

, Voir à son propos l'ouvrage de José Argüelles, Charles Henry and the Formation of a psychophysical Aesthetic, 1972.

S. Voir-aussi, Éditions de la Réunion des musées nationaux, coll. « Le Temps, p.23, 1991.

C. Henry, « Introduction à une esthétique scientifique », La Revue contemporaine littéraire, politique et philosophique, t. II, mai-août 1885, pp.441-469

, 2347 : l'esthétique, selon Charles Henry, peut se constituer en savoir scientifique 2348

, Robert Michael Brain a récemment étudié les conséquences poétologiques de la pensée de

J. De and G. , philosophe inspiré par les métaphysiques nihilistes 2350

. Blanche, Cette étude s'ouvre sur un constat paradoxal : la période contemporaine, pourtant tournée à toutes forces vers la lente analyse et la synthèse méticuleuse, demeure également le lieu de développement du lyrisme arrivé à son 2346 Ibid, Essai de physiologie poétique 2351, p.441

R. Michael-brain, The Pulse of Modernism: Physiological Aesthetics in Fin-de-Siècle Europe, chapitre intitulé « Liberating verse, rythm and measure in poetry, pp.150-173, 2015.

. Il, L. Le-bovarysme, and . Dans-l'oeuvre-de-flaubert, Voir aussi, pour le rapprochement de cette physiologie de la pensée de Schopenhauer, La Fin de l'intériorité, Jules de Gaultier, vol.17, pp.28-30, 1903.

J. De and G. , Essai de physiologie poétique à propos des poèmes de M. Paul Verlaine », La Revue Blanche, vol.7, pp.393-408, 1894.

, de Gaultier n'est en fait pas neuve : Lamartine revendiquait déjà, dans la première préface aux Méditations poétiques, 1849.

P. Cette-approche-physiologique-perdurera-dans-le-xx-e-siècle and C. Le-poète,

. Mauclair and . Répondant-À-l'enquête-de-marinetti-sur-le-vers-libre, peut encore écrire : Le principe du rythme est tout physiologique : le battement du sang artériel, l'amplitude ou la constriction respiratoire, selon l'émotion, en sont les impulsions naturelles. [?] Il s'est trouvé qu'obéissant à leur émotion, 1909.

, des hommes de science s'attachent à doter la nouvelle science poétique d'outils physiologiques adéquats. C'est particulièrement le cas dans LI de la même section : « Non, il n'est pas d'archet qui morde / Sur mon coeur, parfait instrument, / Et fasse plus royalement / Chanter sa plus vibrante corde, pp.50-51

. Lamartine, , p.14

J. De and G. , Essai de physiologie poétique, p.532

L. Jenny, La Fin de l'intériorité, op. cit, p.29

, Réponse de Camille Mauclair à l'ouvrage de Filippo Tommaso Marinetti, Enquête internationale sur le vers libre, revue Poesia, pp.65-66, 1909.

, Le statut épistémologique des emprunts conceptuels est évidemment fonction de leur niveau ; et, tout en se gardant d'établir une hiérarchie stricte et exhaustive des niveaux instrumentaux, on conviendra facilement que s'il peut être stimulant de puiser dans un autre type de savoir un idéal d'intelligibilité les études acoustiques, avec le développement de la phonétique. L'abbé Pierre-Jean Rousselot, par exemple, fondateur de la phonétique expérimentale 2373 , fait paraître dans La Parole, revue de phonétique qu'il co-dirige alors, un article intitulé « La phonétique expérimentale, son objet, appareils et perfectionnements nouveaux 2374 ». La phonétique, résume-t-il 2375 , est le fruit de l'évolution scientifique de l'approche du fait linguistique, si bien que « tout problème de phonétique devient un problème de physiologie 2376 . » La pulsation humaine, dont la poésie est l'une des émanations les plus intimes, trouve désormais à s'exprimer typographiquement, grâce à l'outillage moderne, sur le papier : Lorsqu'on a ainsi enregistré une belle page, quelques vers de Racine, par exemple, c'est une joie bien vive que de promener, sous le microscope, la feuille où le son s'est enregistré. La parole devient vivante, pour ainsi dire. L'oeil perçoit des phénomènes que l'oreille n'a pu sentir. On voit l'onde sortant de la bouche, du nez, ou des deux orifices à la fois, tantôt sonore, tantôt simplement bruissante, tantôt silencieuse, ici s'épanchant avec force, Judith Schlanger interroge la validité de tels transferts méthodologiques en expliquant qu'ils ont pourtant toujours été à la source des nouvelles sciences : la poésie est vraiment regardée comme une possible science en devenir en ce cas. « Entre les sciences, il y a ainsi, tantôt plus raréfiée, tantôt plus abondante, une véritable circulation des concepts

». Racine, comme objet de phonétique, est tout entier devenu un objet physiologie, comme c'est le cas pour certaines formes de l'organicisme sociologique. L'analogie a des usages plats et superficiels tout comme des usages profonds et créateurs, Judith Schlanger, Les Métaphores de l'organisme, p.21, 1971.

E. Voir-À-son, «. Galazzi, and . Rousselot, la phonétique expérimentale au service de l'homme », Linguistique d'intervention. Des usages socio-politiques des savoirs sur le langage et les langues, dossiers d'HEL, SHESL, 2014.

P. Rousselot, « La phonétique expérimentale, son objet, appareils et perfectionnements nouveaux », La Parole, revue internationale de rhinologie, otologie, laryngologie et phonétique expérimentale, pp.1-10

. Ibid, , p.2

, Voir aussi à ce propos l'article d'Hugues Marchal : « Relire "comme le graphique de ses impulsions, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique, 1989.

L. Becq-de-fouquières, Traité général de versification française, p.VI

L. Becq-de-fouquières, Traité de diction et de lecture à voix haute, pp.35-36, 1881.

, Jean Moréas lui-même, le moins scientifiques de vers-libristes, décrit la persistance de vieilles traditions métriques selon une pensée évolutionniste : « pour que le Symbolisme voit sa floraison fructifier, il lui faudra se désentraver de ses atavismes 2381, Les Premières armes du symbolisme, p.1889

, Le terme biologique ne connaît pas encore d'acception métonymique répandue, et son inspiration scientifique est encore plus évidente dans un contexte où la poésie est décrite comme une opération botanique

R. De and L. Grasserie, Des principes scientifiques de la versification française, op. cit., p. I

A. Boschot-contribue, Il propose même un travail poétique en forme d'accouchement : Porte longtemps l'oeuvre en toi-même : une sage et fortifiante gestation, puis une mise au jour normale [?] : après, il n'y a plus qu'à débarbouiller l'enfant. Mais quand il est né, il est trop tard pour ajouter l'oreille qui lui manque, trois ans plus tôt, à renforcer cette analogie : « tous les alexandrins obéissaient aux même lois organiques 2385 », regrette-t-il

«. Souverain, L. Dans, C. Vers, and . Est, Si une loi que constate un métricien peut être comparée à une loi scientifique, c'est que la siècle, qui conduit à cette forme d'avis communément répandu, dont Clair Tisseur tire un vers imité de Sully Prudhomme 2389

. L'oreille, , 2390.

A. Boschot, L. Crise-poétique, P. Paris, and . Ie, , p.30

. Voir-le-chapitre and . Iv,

«. Oui, ». , «. Sonnet-À-tony-robert-fleury, ». Dans, and L. Prisme, , p.98, 1886.

C. Tisseur, ;. Lyon, B. Et-cumin, ;. Dans, and L. Mer, Clair Tisseur, dans cet ouvrage au contenu somme toute banal, critique très vertement la forme de La Mer de Richepin qu'il rapproche du parangon de la froideur poétique des siècles classiques, Jean-Baptiste Rousseau : « Ce n'est pas sans quelque étonnement que, Modestes observations sur l'art de versifier, vol.1, p.41, 1893.

, Ce n'est qu'un embarras pour y chercher quelque chose. L'auteur a vidé là-dedans les dictionnaires de chimie, d'histoire naturelle, de La plupart des traités qui unissent science et métrique partent de ce constat que le vers est une réalité organique, puisqu'il est lié aux réalités biologiques du souffle et de la voix

L. , -et cependant infirme en quelque sorte ; car les tercets, qui à eux deux forment six vers, étant d'une part physiquement plus courts que les quatrains, qui à eux deux forment huit vers

, Au sein du darwinisme littéraire -selon lequel la vie des genres littéraires et appréhendée

G. Paris, J'oubliais la plus belle des rimes : elle n'a rien de moins que sept syllabes, et l'alexandrin n'est pas assez vaste pour la contenir : hystéromotocie ! Mais je ne déteste point non plus allochroïte, ni pharmacosidérite ; et gadolinite (je présume essence de gadoue ?) me paraît le plus joli du monde

. Théodore-de-banville, C'est l'auteur qui souligne. Cet extrait est cité par Rachel Killick dans « Banville et le sonnet », Théodore de Banville en son temps, actes du colloque de Moulins, 16 -18 mai 1991, Bulletin d'Études parnassiennes et symbolistes n o 9 et 10, printemps et automne, pp.87-119, 1992.

U. Voir-À-ce-propos-théodore-de-banville and . Passeur-dans-le-siècle, Romantisme et modernités, pp.193-194, 2009.

, Gisèle Séginger et Thomas Klinkert, à paraître. Voir aussi Les Voies de l'évolution. De la pertinence du darwinisme en littérature, op. cit., et notamment l'article de Nicolas Wanlin, Voir les pages que consacre Hugues Marchal à cette question dans le chapitre « La vie des formes : organismes et espèces littéraires », dans l'ouvrage Biolographes, Création littéraire et savoir biologique au XIX e siècle, pp.59-74

, deux revues littéraires d'importance (la Revue critique et Romania 2394 ), dans le compte-rendu 2395 d'un ouvrage de Léon Bellanger, Études historiques et philologiques sur la rime française 2396 , appelle de ses voeux « une versification vivante », là où celle-ci « s'est pétrifiée, p.2397

, occasion de la traduction en français de l'ouvrage d'Adolf Tobler, Le Vers français ancien et moderne 2398 , dont il propose une préface en forme de manifeste : la versification moderne doit se doter d'une démarche nouvelle que Tobler

L. , C. L. Goffic, and . Et-Édouard-thieulin, composent un Nouveau traité de versification française à l'usage des classes 2402 qui revendique dès la préface de sa première édition (1890) un modèle proche de l'évolutionnisme : Demandons-nous donc d'abord s'il est vrai que le vers français évolue. Si oui, et sans plus, nous n'avons qu'à suivre cette évolution, à en chercher et à en préciser les causes. C'est là notre rôle ; c'est pour cela que nous sommes remontés aux origines de la versification et pour cela aussi que nous n'avons pas craint d

, Voir à son propos l'article nécrologique de Gabriel Monod, Gaston Paris » dans la Revue historique, 28 e année, t. LXXXII, mai-août 1903, pp.65-74

G. Paris, Comptes-rendus », Romania, 6 e année, vol.1877, pp.622-625

. Abbé-léon and . Bellanger, Essai sur l'histoire de la rime, Études historiques et philologiques sur la rime française, p.1876

G. Paris, Comptes-rendus, p.625

A. Tobler, Le Vers français ancien et moderne [Vom französischen Versbau alter und neuer Zeit, p.1885

. Ibid, , p.p. VI

.. X. Ibid,

. Ibid and . Xvi,

C. Le-goffic and É. Thieulin, Nouveau traité de versification française à l'usage des classes de l'enseignement classique et de l'enseignement moderne des lycées et des collèges, des écoles normales, du brevet supérieur et des classes de l'enseignement secondaire des jeunes filles, 1890.

, La question, rhétorique, est rapidement résolue par l'affirmative, et la préface de la deuxième du tout, c'est que notre oreille s'y est accoutumée 2406 . » La forme du vers, son rythme

, Tout est question d'adaptation, et, par conséquent, d'évolution. Le mot est d'ailleurs significativement lâché à propos de l'« évolution » de l'alexandrin dont la césure est d'abord affaiblie par les romantiques avant d'être mise à mal plus fondamentalement par la suite : « Évolution n'est point révolution, Il en va de même de l'alexandrin qui a envahi toute la poésie et rend l'oreille « rebelle 2407 » aux autres rythmes

, Le vers est un objet physiologique au point que certains tenants d'une conception plutôt

, Dès Réflexions sur l'art des vers 2409 , le poète propose un premier rapprochement fertile entre le « style » du poète et une approche biologique de la langue : « le style, qui est l'animation

M. Louis-philippon-de-la, Dictionnaire portatif des rimes, précédé d'un nouveau Traité de la versification française, pp.31-33, 1806.

C. Le-goffic and É. Thieulin, Nouveau traité de versification française à l'usage des classes, op. cit, p.93

S. Prudhomme, Réflexions sur l'art des vers, 1892.

. Une-formule-d'équivalence-entre-la-forme-du-poème, son organisation et ses choix esthétiques, la rhétorique au sens large, en somme (« le style »), et l'organisation intime des événements psychologiques et sentimentaux qui régissent sa vie intérieure. Le « style », et donc le vers, doit efficacement : Mais combien s'en faut-il que la plasticité mimique du langage égale celle de la physionomie corporelle, que les phrases soient aussi dociles aux battements du coeur, aussi souples, aussi mobiles que les traits

. Partant, le sens humain doit statuer sur le bien-fondé de la rénovation formelle, non plus sur des bases théoriques et objectives, mais en s'appuyant sur le seul empirisme auditif

, En octobre 1897, la nouvelle revue franco-canadienne, La Revue des deux Frances, ouvre son premier numéro par un article de Sully Prudhomme intitulé « Vues générales sur le mouvement poétique en France 2416 », qui sera repris en introduction du Testament poétique. Cet article, dont il a déjà été question 2417, p.7

. Ibid, , pp.10-11

. Ibid, , p.12

S. Prudhomme, ». Vues-générales-sur-le-mouvement-poétique-en-france, and L. Dans, Revue des deux mondes, t. I, n o 1, octobre 1897, pp.4-19, 1901.

, Voir les pages 101-102 de la présente étude

. C'est, cette révolte aura servi à nous faire discerner ce qui, dans nos règles, n'est qu'habituel et partant sujet à réforme. Il n'est pas impossible que l'organisme humain évolue encore, que l'ouïe se modifie chez les Français, mais on peut affirmer sans crainte que, si elle change, ses altérations ne se font point par à-coup, mais procèdent avec une extrême lenteur, imperceptibles pendant des siècles

S. Prudhomme, Testament poétique, ibid, p.14

A. Retté, L. Paris, and L. Vanier, Cité par Richard Shryock, « Transformer le monde à travers l'art pur », dans Gustave Kahn, un écrivain engagé, Françoise Lucbert et Richard Shryock (dir.), Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Interférences, pp.59-60, 1903.

S. Prudhomme, Testament poétique, p.15

. Ibid,

, Comme il le dit lui-même, lors de la controverse qui l'oppose à Adolphe Boschot, déclenchée par l'essai La Crise poétique de ce dernier, le projet poétologique de Sully Prudhomme est « de rattacher

, Hugues Marchal, « Mutation biologique et avant-gardes littéraires », art. cit, pp.568-569

S. Prudhomme, Testament poétique, p.15

S. Prudhomme, Réflexion sur l'art des vers, 1892.

S. Prudhomme, Testament poétique, pp.35-101

S. Prudhomme, « Sur la distinction de la prose et du vers », lettre (intitulée La Syntaxe et le Style, dans la Revue de Paris, 1 er Mai 1897) lettre ouverte à Adolphe Boschot, p.109

, Boschot -d'être parnassien, c'est-à-dire, selon le jeune poète, de « donner une rigueur

, L'évolutionnisme peut donc servir à défendre la persistance d'une versification classique. Toutefois, un ardent défenseur du vers libre comme Robert de Souza, disciple de Mallarmé, pourra retourner l'argument évolutionniste en faveur de la défense dudit vers libre 2432 . Le Rythme poétique, dès son introduction, identifie deux façons de considérer l'évolutionnisme métrique. D'une part, « les uns considèrent l'évolution du rythme parachevée par les vers dits romantiques

G. Paris, L. Goffic-ou, and S. Prudhomme, Qu'est-ce à dire, sinon que le vers libre n'est pas encore parvenu au sommet de son évolution, et que Robert de Souza appelle de ses voeux une poursuite de l'effort transformiste, en vue de ce qu'il nomme le « couronnement de l'évolution 2434 » ? Pour ce faire, professe Souza, le poète doit donner plus de liberté à ses rythmes, afin de répondre aux aspirations de liberté humaines 2435 . Cette évolution en forme de libération ne pourra se faire qu'à l'aide d'une méticuleuse démarche scientifique : Autant les artistes ont raison de rejeter la science comme matière d'art, autant ils ont tort de ne pas s'en préoccuper dans l'étude du métier. On peut dire qu'une oeuvre d'art traduisant excellemment une nouvelle manière de voir ou de sentir est toujours le résultat d'un juste instinct scientifique. Cependant les poètes ne se sont pas fait faute d'invoquer la science à l'appui de leurs théories, « les autres s'efforcent, par des tentatives nouvelles, d'atteindre au rythme idéal qu'ils ne rencontrent pas » 2433

L. Robert-de-souza, . Rythme-poétique, P. Paris, and . Ie, , p.1892

. Ibid, , p.2

, Remarquons toutefois que l'argument darwinien devient caduc sitôt qu'un but final est fixé à un processus évolutif, p.3

, C'est l'auteur qui souligne, pp.222-223

, « Il aligne des mots obscurs et merveilleux », ibid, p.232

L. De, Autant de signes qui démontrent que la réception de Nordau fut importante quoique houleuse (il est considéré en France comme le prototype du faux médecin

É. Laurent, une sorte d'extériorisation du détraquement cérébral, une manifestation de leur état d'infériorité mentale 2454 . » Pour expliquer ce diagnostic, le médecin esquisse une histoire de la poésie qui part d'une époque naturelle où les poètes naïfs peignent les choses telles qu'elles sont, « sans rechercher avec un besoin, en quelque sorte maladif, les côtés laids et repoussants de la nature. » Les poètes partent ensuite en quête d'un idéal qui est une illusion de leur « cerveau névrosé » 2455 . Cet idéal n'existant pas, les poètes qui le cherchent tombent malades. « Aux esprits malades, La Poésie décadente devant la science psychiatrique, op. cit. formes poétiques qu'ils emploient : « J'ai simplement voulu montrer que chez certains individus, la poésie n'était qu

, Tout d'abord, le poète névrosé se repère à la présence de phases successives qui font s'alterner des moments de raison et des instants de grande folie. C'est ce qui explique, selon

. Laurent,

. Ibid and . Vi,

. Ibid, , p.2

, En témoigne l'analyse psychologique que pratique Pierre Janet, près de trente ans plus tard, sur le poète Raymond Roussel. Le médecin et psychologue, élève

. De-théodule-ribot, J. Disciple-de, and . Charcot, dresse un portrait neuropathologique de la crise de gloire extatique que décrit Roussel lui-même lorsqu'il composa, en 1897, alors qu'il avait dix-neuf ans

, Le décadentisme se prête particulièrement à la lecture pathographique qui repère dans le texte des symptômes de l

, qu'ils proclament catégoriquement (quoiqu'ironiquement) : « À la délicieuse corruption, au détraquement exquis de l'âme contemporaine, une névrose de langue devait correspondre

. «-proudhon, ». Courbet, . Le-jeune-zola-s'écriait, and . Déjà, « Si l'oeuvre n'est pas du sang et des héritage génétique : à l'instar de Zola et de son Roman expérimental 2473 , les métriciens regardent le vers comme une entité déterminée par deux données. D'une part, en synchronie

, Roussel décrit la crise qu'il éprouva dans Comment j'ai écrit certains de mes livres, Société Nouvelle des Éditions Pauvert, p.132, 1935.

, Voir à propos de cette crise et de l'analyse de Janet la biographie de François Caradec, pp.34-40, 1997.

, Les Déliquescences, poèmes décadents d'Adoré Floupette, p.1885

.. X. Ibid, J. Voir-À-ce-propos, L. Illouz, . Symbolisme, L. Paris et al.,

. Littérature, , pp.35-37, 2004.

É. Zola, . Proudhon, and . Courbet, dans Mes haines [1866], repris dans les OEuvres complètes, Henri Mitterand (éd.), op. cit., t. X, p. 27, cité par Sylvie Thorel-Cailleteau dans La Pertinence réaliste. Zola, op. cit, p.11

, Pour une étude de l'influence de la pensée de l'hérédité sur l'oeuvre de Zola, voir Sylvie Thorel-Cailleteau, ibid, pp.115-138

, métrique), d'autre part, en diachronie, le poids de la tradition (ce que Sylvie Thorel nomme « l'axe génétique, 2474.

M. Libre,

, Une heureuse trouvaille avec quoi paraît à peu près close la recherche d'hier, aura été le vers libre, modulation (dis-je, souvent) individuelle, parce que toute âme est un noeud rythmique. », Stéphane Mallarmé, 2475.

, Gustave Kahn : vers libre

«. Mallarmé, . La-musique, and . Les-lettres, op. cit., t. II, p.64

, Pour un point complet sur cette histoire, voir l'ouvrage de Michel Murat, Le Vers libre, 2008.

G. Kahn, «. Brunetière, ». , and L. Revue, , vol.26, pp.481-485

J. Huret, Enquête sur l'évolution littéraire [1891, 1999.

G. Kahn, Premiers poèmes, avec une préface sur le vers libre, Les Palais nomades, Chansons d'amant, Domaine de fée, vol.1897, pp.3-38

M. Murat, Le Vers libre, p.96

, Robert Michael Brain montre que Kahn a revendiqué l'influence de la méthode scientifique qui, selon Brain, ne l'avait pourtant pas vraiment compris 2481

. Rétrospectivement, Kahn tente de clarifier le rapport entre la pensée du vers scientifique de

, Sully Prudhomme, en désirant que les questions de rythmique soient bien posées, scientifiquement posées. Or, ce n'est point ce qu'il fait. En appeler à la phonétique, qui n'est pas une science très scientifique, du moins d'une rigueur mathématique, est bien, mais M. Sully Prudhomme ne tire pas de son intention un parti suffisant, dans Symbolistes et décadents, il confie ainsi : Nous serions aussi d'accord avec M, 1902.

. On-le-voit, Le vers libre, lui, repose sur un « substrat scientifique ». Dès 1886, dans la « Réponse des symbolistes 2484 », Kahn définit la poétique symboliste Henry 2485 , dont il a déjà été question, repose sur l'idée que « l'Art

R. Michael-brain, The Pulse of Modernism, op

G. Kahn, P. Symbolistes, and L. Vanier, , pp.370-371, 1902.

G. Kahn, , p.386

G. Kahn, ». Réponse-des-symbolistes, and L. Figaro, Il s'agit d'une réaction à un article de Moréas sur le décadentisme et aux nombreuses réaction provoquées par cet article : « Le symbolisme, vol.28, pp.1-2, 1886.

C. Henry, « Introduction à une esthétique scientifique », La Revue contemporaine littéraire, politique et philosophique, t. II, mai-août 1885, art. cit. contraste simultané, Ségolène Le Men, qui formule un rapprochement avec la poétique symboliste

G. Voir, A. Roque, . Paris, . Gallimard, and . Tel, Voir également Seurat, Paris, Éditions de la Réunion des musées nationaux, op. cit., 1991, et notamment le chapitre « Science, influences, des musées nationaux, coll. « Découverte Gallimard : Peinture, vol.89, pp.54-65, 1990.

. Ségolène-le-men-insiste-sur-le-fait-que-le-texte-de-kahn-loue-surtout-en, Seurat sa façon toute personnelle de peindre, le fait que sa peinture soit une émanation directe de son intimité, Sophie Basch (dir.), p.288, 2009.

, « Nous étions sensibles à la mathématique de son art », Gustave Kahn, Les Dessins de Georges Seurat, op. cit., p. 6, cité par Ségolène Le Men, art. cit, p.290

G. Kahn, Les Dessins de Georges Seurat, vol.2, p.9, 1928.

, Voir aussi l'article de Ségolène Le Men, à propos de la préface qu'écrit Kahn à un catalogue de reproductions de Seurat : « L'introduction de Gustave Kahn aux Dessins de Georges Seurat : une biographie en pointillé », art. cit. Kahn y évoque notamment la « physionomie esthétique de Seurat », p.9

R. Michael-brain, The Pulse of Modernism, op. cit, pp.151-155

G. Kahn, . Préface, and . Le-vers-libre, , p.11

, Cette forme singulière se révèle le fruit d'une opération psychologique profonde : « [p]our moi, le livre de vers est un drame se passant dans une conscience 2501 ». Comme l'explique John Clifford Ireson, « [l]e lyrisme aurait donc pour but d'extérioriser des rythmes fondamentaux (l'expression est de Kahn lui-même 2502 ). Par-là, il entend tout mouvement instinctif de l'être intérieur devant les phénomènes de la vie 2503 . » En d'autres termes, le vers libre fonde, grâce à soi douloureux ou un soi attendri, p.4

G. Kahn, J. Dans, and . Huret, , p.380

G. Kahn, Revue Indépendante, t. VII, juin 1888, p.527

J. Clifford-ireson, L. 'oeuvre-poétique-de, and G. Kahn, Nizet, p.103, 1962.

G. Kahn, Revue Indépendante, t. VII, juin 1888, p.104

S. Robert-de, après avoir reconnu que le vers libre était lié à une nécessité d'évolution du vers français, le décrit comme un impératif lié à l'inquiétude intrinsèque de chaque être humain : « par la raideur de son squelette 2508 , le rythme, vol.1892

, La même année, Francis Vielé-Griffin s'insurge face aux assauts de Sully Prudhomme

. Industrie-»-2512, Les vues d'Henry permettent aux vers-libristes de systématiser, contre cette « Industrie », une forme versifiée plus libre et plus individuelle. Elle sert à exprimer, grâce à un substrat originairement scientifique, p.2513

. Vielé-griffin-Était-le-fondateur, seule compte la forme libre en vue d'un « Art libre » d'inspiration anarchiste 2514 . En 1894, Albert Mockel reproche à Henri de Régnier de ne parvenir qu'accidentellement à écrire de véritables vers libres, c'est-à-dire selon lui des « vers tout à fait

S. Robert-de, Le Rythme poétique, 1892, op. cit, p.43

. Ibid,

F. Vielé-griffin, « Réflexion sur l'art des vers », Les Entretiens politiques et littéraires, n o 26, mars 1892, pp.215-220

, C'est l'auteur qui souligne, p.215

F. Vielé-griffin, À propos du vers libre », Les Entretiens politiques et littéraires, n o initial, mars 1890, pp.3-11

, Librairie de l'Art indépendant, 1894, p.94

, Deux ans plus tard, dans son essai intitulé La Poésie contemporaine, pp.1884-1896

, les cénacles : volontiers ils se cherchent dans la solitude, jaloux de n'être qu'eux-mêmes et cependant, tout en gardant leur physionomie, ils ont des traits communs ayant subi de communes influences 2518 . » La métaphore du bouquet est appropriée pour décrire le groupe : il s'agit d'un faisceau de poètes qui, Madeleine Vigié décrit ainsi le groupe vers-libriste : « [e]t quelle floraison de talents individuels ! Les poètes fuient

D. La-pensée, Après avoir, 'écouter son instinctive créativité : « [t]out est nouveau sous le soleil, puisqu'à vrai dire rien n'existe pour chaque homme, sinon les nuances d'être que chacun perçoit en lui, p.93

E. Vigié-lecoc, , p.25, 1896.

, Il convient de noter toutefois que Vigié considère que l'union la plus harmonieuse entre la lyre et la science se trouvait plutôt chez les romantiques, p.40

A. Boschot, L. Crise-poétique, and L. Poète, les Courtisanes et l'Amour, 1897, op. cit, pp.10-11

, es pensers des savants et des sages, en passant sur son sourire, prennent la Beauté et le Rythme : elle est déesse et transfigure les songes des hommes, p.56

, paradoxe qui lui permet de rapprocher des « lois » d'un « instinct ». De l'« intuition » de Kahn et de Vigié, on est passé à un concept proche, mais plus marqué biologiquement, p.63

, Cette idée perdurera longtemps, et le vers libre sera récupéré par les symbolistes tardifs définitive, à la sphère, close sur elle-même et qui ne peut évoluer, Vielé-Griffin revendique en creux une poétique souple

, Crise de vers 2530 » de Mallarmé : une influence discrète des sciences

». Dans-«-crise-de-vers, texte hybride recomposé par le poète en 1897 à partir d'éléments d'articles antérieurs (1886-1895) 2531 , Mallarmé s'interroge sur les dernières évolutions de la

. Tancrède-de-visan, M. La-philosophie-de, . Bergson, and . Le-lyrisme-contemporain, revue Vers et prose, t. XXI, 1910, article repris dans Vers et Prose (1905-1914) Anthologie d'une revue de la Belle Époque, pp.679-703, 2015.

, Voir notamment à ce propos « Un et indivisible : un tout doué d'unité », Histoire naturelle de l'âme, Laura Bossi, pp.290-313

. Tancrède-de-visan, , p.690

, Tancrède de Visan cite le poème « En Arcadie », dernier mouvement de La Clarté vive (1897) de Vielé-Griffin, p.202, 1924.

«. Mallarmé and ». Crise-de-vers, , vol.II, pp.204-213

, Pour une brève histoire génétique de ce texte, voir l'édition de Bertrand Marchal, p.1643

». Le-titre-lui-même-porte-cette-empreinte-discrète-:-le-substantif-«-crise, au sens littéral qui est de nature médicale. C'est le premier sens que donnent les dictionnaires de Littré et de Larousse. Le texte s'ouvre d'ailleurs sur un écho à l'acception étymologique de « crise », la séparation, le fait de sectionner, puisqu'il est question du voile du temple qui se déchire 2532 . En outre, cette crise est caractérisée dès les premières lignes comme « fondamentale » -c'est-à-dire qu'elle regarde les origines et la constitution même du vers -et « exquise » 2533 . Or ce second adjectif ne peut se comprendre qu'en adoptant le sens médical de l'adjectif dont attestent Littré et Larousse : exquis, dans son acception médicale

, cadre de l'expansion de la théorie cellulaire, d'une pensée de l'organe, l'organisme vivant est désormais structuré et complexe. Le vers, organisé, La langue mesurée du vers français y est décrite comme comportant des « coupes vitales 2535

, Lamarck 2537 ), tantôt les poètes modernes l'utilisent comme une « réminiscence 2538

L. Fait and Q. , Mallarmé utilise cet adjectif en ce sens est renforcé par le fait que, précisément, la crise du vers de la fin du siècle est cyclique et réglée, puisqu'elle fait écho à la crise -de nature différente -de la fin du siècle précédent (« on assiste, comme finale d'un siècle, pas ainsi que ce fut dans le dernier

;. C. Charles-darwin and . Reinwald, Voir à ce propos l'essai capital de François Jacob, La Logique du vivant, Une histoire de l'hérédité, op. cit., et plus récemment le chapitre de Staffan Müller-Wille, « Hérédité, race et eugénisme dans le long XIX e siècle », Arjoun Raj (trad.), dans Histoire des sciences et des savoirs, vol.2, pp.390-409, 1868.

«. Mallarmé, ». Crise-de-vers, and O. , triple », « en graduant » 2546 . Voilà donc un chaînon, puisqu'Henri de Régnier est présenté, p.207

M. Murat, Le Vers libre, op. cit, p.10

«. Mallarmé, . Crise-de, and . Vers, , p.207

F. Jacob, L. Logique, and . Vivant, Une histoire de l'hérédité, op. cit, p.181

«. Mallarmé, . Crise-de, and . Vers, , p.206

. Ibid,

. «-l', organisme ne peut se dissocier de son milieu. C'est l'ensemble qui se modifie et qui se transforme 2552 . » Le vers libre correspond à une conception éminemment moderne

. Symbolisme and . Expérimentale-«-orage, tout à l'acquit de la génération récente, l'acte d'écrire se scruta jusqu'en l'origine. », Stéphane Mallarmé 2553, les deux frères romanciers, défenseurs de la forme libre

F. Jacob, L. Logique, and . Vivant, Une histoire de l'hérédité, op. cit, p.172

«. Mallarmé, . La-musique, and . Les-lettres, , p.65

G. Kahn, Symbolistes et Décadents, op. cit, p.52

M. Voir-À-ce-propos, L. Murat, and . Vers, ainsi que Daniel Grojnowski, « Poétique du ver libre : "Derniers vers" de Jules Laforgue (1886) », Revue d'Histoire littéraire de la France, pp.390-413, 1984.

, Textes rares, p.23, 2004.

, Olivier Gallet, « Les prototypes poétiques, vol.169, p.41

J. Bobillot, , pp.23-25

J. Bobillot, revue Recherches et travaux, n o 66, 2005.

L. Mallarmé and . Villiers-de-l'isle-adam, reprise dans les OEuvres complètes, Bertrand Marchal (éd.), op. cit., t. I, p.724

, Il est tout d'abord manifeste que Mallarmé se tient au courant de la science de son époque

J. Herschel,

, Au sein de son oeuvre, la présence d'un savoir astronomique a fréquemment été relevée et commentée 2568 . D'autre part, Bertrand Marchal est parvenu à prouver que toute l'entreprise poétique mallarméenne, après 1869 -date d'une forme d'illumination -, est sous-tendue par de Mallarmé, les Notes en vue du « Livre », dans un premier temps

;. Mallarmé and G. W. Cox, Voir à propos de cet ouvrage, de sa traduction par Mallarmé et de l'inspiration de Max Müller, la présentation de Bertrand Marchal dans son édition des OEuvres complètes, pp.1812-1816, 1867.

. Mallarmé, pour les citations. Notons que c'est la traduction du texte de L'Origine des espèces -par Clémence Royer -qui est commentée élogieusement par Mallarmé, p.1440

«. Mallarmé, . Crise-de, and . Vers, , p.212

G. Voir, M. Davies, J. Paris, ;. Corti, and J. Richard, mais aussi Claude Roulet, Élucidation du poème de Stéphane Mallarmé, Un coup de dés jamais n'abolira le hasard, Neuchâtel, Aux Ides et Calendes, 1943.

B. Marchal, L. Religion-de-mallarmé, P. , and J. Corti, , pp.83-100, 1988.

, Voir à propos de ce poème les études, fondamentales quoique datées

, Bertrand Marchal montre que le projet du « Livre » -rédigé selon toute vraisemblance entre

, Dans les « Notes sur le langages », cette équivalence entre la langue et les mathématiques

G. De, P. Davies-;-essai-d'exégèse-mallarméenne, and J. Corti, Voir aussi, plus récemment les études de Bertrand Marchal, Vers une explication rationnelle du Coup de dés, pp.269-293, 1953.

B. Marchal, Notice pour les notes en vue du « Livre », OEuvres complètes, op. cit., t. I, pp.1372-1375

É. Benoit, . Mallarmé, and . Livre, Romantisme et modernités », 1998.

. Mallarmé, OEuvres complètes, op. cit., t. I, pp.945-1060

É. Benoit, . Mallarmé, and . Livre, , p.361

N. Mallarmé and . Sur-le-langage, , p.876

M. Voir-À-ce-propos, S. Ruppli, . Thorel-cailleteau, L. Mallarmé, . Genève et al., le modèle, mais aussi « l'Impératif d'une poésie : une poétique 2588 . » La poétologie mallarméenne, pp.51-80, 2005.

, Mallarmé semble a priori s'en servir surtout comme d'un modèle d'éclatement, de dissolution

E. Courant, folio du ciel" : le modèle de la constellation dans Un coup de dés de Mallarmé », Revue d'histoire littéraire de la France, vol.116, pp.869-892, 2016.

. Le-poème-de-mallarmé, structuré comme souvent ses textes de prose selon un modèle d'engendrement gigogne multiple, préfigure à ce titre des structures complexes caractéristiques de la modernité poétique du XX e siècle, comme les Nouvelles impressions d'Afrique de Raymond Roussel, qui ajoute à la structure gigogne du poème d'une seule longue phrase la distinction chromatique

R. Roussel, Nouvelles impressions d'Afrique, 1932.

, « La fiction affleurera et se dissipera vite », explique Mallarmé dans l'« Observation relative au poème » que la revue Cosmopolis, qui fit paraître en 1897 le poème, exigea du poète pour clarifier sa démarche, p.391

, Pour une présentation des rapports entre Mallarmé et Valéry, voir l'introduction à la correspondance entre les deux poètes, pp.9-22, 2017.

, Pour reprendre le terme employé par Olivier Gallet dans son article « Les prototypes poétiques », art. cit

P. Valéry, . Le-coup-de-dés, and . Des-marges, pour la citation. Cité par Elsa Courant, art. cit, Variétés, repris dans les OEuvres complètes, p.874, 1920.

P. Valéry, , p.624

, est alors la tentative de rénovation formelle qui est vue comme un jeu de hasard numérique : des fragments numéraires de longueur variées sont projetés dans le blanc de la page, comme par hasard des chiffres élus par la chute du dé. Significativement, Mallarmé conçoit ce texte comme un essai, une « tentative », et esquisse la possibilité d'une postérité : « sans présumer de l'avenir », confie-t-il

, ajouter, à la faveur d'un éloquent subjonctif, « que c'en devienne un, p.2592

, Mallarmé met en place un poème de la perturbation : si le vers est en crise, le contexte d'avènement de ce coup de dés est celui d'un « naufrage 2593 », c'est-à-dire d'une situation critique ayant pour résultante une extinction

. Le-«-maître-», Il s'inscrit dans un temps biologiquement long marqué par une histoire des sciences en évolution constante : « hors d'anciens calculs / où la manoeuvre avec l'âge oubliée ». Si ce MAÎTRE, comme celui du sonnet « Ses purs ongles très hauts dédiant leur onyx?

, Ce jet de dé, lâché dans « la tempête » d'une époque qui voit la crise poétique, « replo

, Pour l'influence et l'interprétation de la forme de la constellation, forme de l'éclatement et de la dispersion qui se résout pourtant dans le symbole, p.309

, La critique a souvent observé les rapports entre ce sonnet et le « Coup de dés », en soulignant notamment les motifs de la disparition d'un « Maître » et de l'éclatante présence finale de la constellation de la Grande Ourse. Bertrand Marchal explique notamment ce poème par l'influence formelle qu'il aurait subie de la structure du « carré magique, Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx », OEuvres complètes, op. cit., t. I, vol.98, p.174

. Mallarmé, Observation relative au poème, p.393

, Ibid. division » du Nombre, c'est-à-dire qu'à l'instar de l'ancienne métrique qu'il remplace, il

, Il a été question d'une aile désormais incapable de porter l'âme poétique dans les nues. C'était peut-être suggérer qu'un ensemble de poèmes portés par la même inspiration n'est plus envisageable, et que la plume de la forme neuve, celle qui expérimente en vue d'une rénovation, doit faire le travail seule (c'est l'équivalent, en somme, de « la flûte de chacun »), p.2597

, de « compte total en formation », pas de destinée permettant d'inférer que les choses, sciences et lettres, évoluent vers un but supérieur, selon une loi qui dépasserait l'humain. Cette « CONSTELLATION », tout en « veillant

, Mallarmé tente de formuler une nouvelle poétique, marquée par le segment, l'hésitation, le balancement entre la rupture et la continuité, sans toutefois présenter sa poétologie comme définitive, pp.372-373

. Ibid, Je suis ici typographiquement la leçon de Michel Murat qui considère le changement de page à l'intérieur d'un même vers comme une « césure, pp.131-133

, dés est une poésie de la perturbation analytique, qui tâtonne en mettant en place, à l'aveugle, des protocoles dont le résultat est imprévisible et dont la longévité ne peut pas être prédite. 3.2.La science chez Jarry : laboratoire d

, La critique a souvent relevé l'intérêt qu'a Jarry pour la science

. Bergson, auxquels il assiste dans le cadre de sa préparation au concours de l'École Normale Supérieure de 1891 à 1893, il est amené à se familiariser non seulement avec la philosophie de l'inconscient -Hartmann -, mais aussi avec la psychologie : il lit Pierre Janet et Théodule Ribot, Bergson fait également découvrir à ses étudiants les Souvenirs entomologiques de Jean

P. Voir-la-biographie-de-jarry-que-propose, A. Besnier, and . Jarry, Fayard, pp.157-158, 2005.

J. Moréas and R. De-gourmont, Albert Samain et Saint-Paul-Roux

A. Jarry, Les Minutes de sable mémorial, p.42, 1894.

S. Mallarmé, , p.103

«. Dans-le, .. ». , G. Kahn, and «. Finale, « [?] [I]l me semble entendre ici toute l'intarissable symphonie de l'âme universelle dont cette boîte fut un carrefour d'échos. », Jules Laforgue, « Hamlet ou les suites de la piété filiale, Ces intertextes sont signalés dans l'édition d'Henri Béhar, p.391, 1887.

, Voir la notice de l'édition d'Henri Béhar, op. cit, p.17

, Henri Fabre (les quatre premières séries sont déjà parues), dans lesquels

, Critique littéraire et sciences à l'aube du XX e siècle, Matthieu Gosztola explique longuement le mépris du poète pour les ouvrages de vulgarisation, notamment au nom d'une pensée de l'avant-garde 2607 . Il convient de n'être pas trop clair, en cette période où l'hermétisme devient une valeur en soi, Jarry puise les noms des insectes dont il parsème son recueil, vol.2606

, En témoigne en particulier, en 1898, le recueil que Jarry propose de ses poèmes de jeunesse, qu'il intitule significativement Ontogénie. Il s'agit pour lui, comme l'explique Julien Schuh, de revendiquer une inspiration complexe sur le modèle biologique qu'Haeckel avait théorisé très peu de temps auparavant 2611 . Qui plus est, l'influence de Ducasse est souvent commentée : Lautréamont avait montré la voie d'une utilisation esthétique des connaissances scientifiques : on peut voir la science chez Jarry comme une réserve d'objets

J. Schuh and A. Jarry, Julien Schuh renvoie à un texte de Paul Edwards qui établit la liste de ces animaux : « Concordance : Faune et flore des Minutes de sable mémorial et quelques textes annexes, Romantisme et modernités, pp.4-57, 1999.

M. Gosztola and A. Jarry, Critique littéraire et sciences à l'aube du XX e siècle, pp.9-13, 2013.

P. Paris and . Biographique, l'étude de Patrick Besnier, qui rappelle que Jarry regardait ses romans, notamment Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien (1898) et Le Surmâle (1901), comme des « romans scientifiques ». Significativement, Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien porte le sous-titre « Roman néo-scientifique, p.45, 1990.

J. Schuh and A. Jarry, Les échos du biologiste allemand sont également présents au sein de Les Minutes de sable mémorial, puisqu'on y croise des « monères » (Les Minutes de sable mémorial, p.114

S. Potentialités-de, Il s'agit moins de « scientifiser » la littérature que de placer la science dans un cadre permettant d'en dérouler les potentialités esthétiques 2612

, Reste que le recueil des Minutes de sable mémorial, considéré comme une réussite pour Paul Fort 2613 , et même comme un chef-d'oeuvre injustement oublié selon Paul Edwards 2614

, Dès le premier poème du recueil, « Linteau 2615 », la science fait son apparition

, Le poète utilise une métaphore chimique pour expliquer cette forme de synthèse : l'oeuvre qui condense les sens possibles est un « diamant du charbon 2617 ». On savait en effet, depuis 1797 et Smithson Tennant -qui reprend des hypothèses formulées par Lavoisier -que le diamant est constitué de carbone pur 2618

, Sylvain-Christian David a exploité ce rapprochement dans Alfred Jarry, le secret des origines, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Perspectives critiques, pp.191-192, 2003.

P. Fort and . Louis-mandin, Histoire de la poésie française depuis 1850, op. cit, p.224

, Notice des Minutes de sable mémorial, vol.II, p.11

A. Jarry and . Linteau, Les Minutes de sable mémorial, pp.41-46

V. Robert and M. Hazen, par l'idée qu'il devient possible, en laboratoire, de fabriquer du diamant grâce à un morceau de charbon. La littérature se saisit de cette idée, pp.7-10, 1999.

P. Grousset and L. Du-sud, , 1884.

C. Le-laboratoire, autant que celui du biologiste, apparaissent d'entrée de jeu comme les lieux d'élaboration du recueil de Jarry. Toutefois, si ces opérations sont liées à des protocoles scientifiques

, Le texte devient l'équivalent d'un corps tantôt biologique (fruit de la « dissection »), tantôt minéral (le « diamant du charbon »)

J. Verne and L. Du-sud, Le pays des diamants, Paris, Hetzel, 1884. Pour la fabrication du diamant, voir les chapitres huit et neuf, « La grande expérience » et « Une surprise, pp.75-90

, Par ailleurs, le rapprochement entre la chimie minérale et l'alchimie des coeurs est exhibé dès la gravure illustrant la première page : Léon Benett y place une jeune fille dans une cornue de chimiste, dont semble, à la pointe

I. Ducasse, , p.227

, Notons également que c'est un hasard fortuit, un accident, qui permet que le charbon soit changé en diamant

. Le-scientifique-achras, . Ubu, and ». Dans-«-l'autoclète, puisqu'il élève et étudie lui-même des « polyèdres », dont un « icosaèdre » dans un laboratoire où il se fait, comme le poète, « rassembleur de leur foule raboteuse » 2625 . L'autoclète du titre, celui qui s'invite lui-même, n'est autre que le père Ubu, qui fait irruption dans le laboratoire d'Achras en même temps que dans l

, Cette union du bouffon et du scientifique, condensation qui apparaît fortuite, est reprise dans « L'Art et la Science », qui relate l'histoire des pompes à égouts, dénommées pompeusement « herpéthologie ahénéenne, 2627.

A. Jarry and . Linteau, Les Minutes de sable mémorial, p.46

C. Haldernablou, Les Minutes de sable mémorial, pp.141-142

A. Jarry and «. L'autoclète, Les Minutes de sable mémorial, p.68

A. Jarry, Art et la Science », ibid, p.86

L. Enfin and J. Recueil-de, parsemé d'insectes scientifiquement nommés et décrits 2628 , de tableaux géométriques du monde 2629 et d'animaux minuscules scrutés au microscope, vol.2630

, La troisième pièce de « Les trois meubles du mage suranné », intitulée « Animal », décrit un hibou qui annonce la mort, Car il déchiffre sur les tombes l'avenir, Rêvant la nuit devant les X philosophales Des longs fémurs croisés en siestes triomphales 2631

, Le fait que ces X soient au féminin indique qu'il s'agit de l'inconnue d'une équation

«. Pointe, des papillons / ont des élytres de grillons » (« Berceuse du mort pour s'endormir, p.91

, « hanneton » « au bec du mâle les blanches dents triangulaires de la scie abdominale stridulent, et sa femelle marmonne les élytres de pin décortiquées, suspendues sur les moutons blancs des coeurs de ses plumes comme des nacelles de tortue frissonnantes et translucides. » (« Haldernablou, p.136

, « tu sembles le vol de limace ailée de cristal d'une fusiforme macroglosse. » (« Haldernablou, p.137

«. Rhinolophes, au nez ferré d'argent, lunaires, / Voletez en signes de croix, noires monères, / Vol erratique des planètes septénaires. » (« Haldernablou, p.153

, Si son corps était moins voûté, son profil serait d'une échasse, l'hypoténuse de ses seins, malgré son âge, s'érige. » (« Les Paralipomènes, p.168

«. La and . De-la-pensée, elle ne s'étoile plus infiniment vers le monde extérieur ; sa circonférence, nyctalope pupille, se rétrécit vers son centre, pp.190-191

. Saturne, Verse la cendre de ton urne. / Pends ton coeur, aérostat, aux / Triples poteaux monumentaux, Verse ton âme qu'on étrangle / Aux trois vents fous de ton triangle. » (« Le Sablier

. «-impassible-parmi, / Reine des épouvantements, / Voici ramper aux murs dormants / De grandes monères sanglantes. » (« Tapisserie, p.114

«. Le, jet de lumière sur le lit dessine un disque allongé de pâleur astrale, goutte d'eau au microscope solaire, où rampent les ombres amiboïdes, p.154

A. Jarry, Les Trois meubles du mage suranné, p.64

D. , ». , ;. , and «. Haldernablou, Tourne le charbon lumineux de ta courroie, fleuve Océan qui encorbelle les Ixions païens aux X de bras philosophaux. », puis « La sieste des longs fémurs croise / Ses blanches X philosophales, Voir aussi « l'X de l'araignée térapode » qui représente la Recluse agonisante dans « Les Paralipomènes, p.170

, Julien Schuh relève lui-aussi l'importance de la lettre x (Alfred Jarry, le colin-maillard cérébral, p.290

, en ajoutant qu'elle peut représenter aussi la croisée des chemins chère à l'esthétique symboliste telle que la définit notamment « Linteau

«. Les, ». Mage-surannée, and O. , mêmes énigmatiques -qu'est-ce que des « piaudes » ? L'x à gauche de l'équation recouvre elle-même, comme par une mise en abîme mathématique et réflexive, un autre mystère sur lequel est structuré le poème de Jarry : une « effraie » décrite comme une « Sainte », « clouée au mur », supplice qui lui fait effectivement prendre la forme d'une croix, fait planer une inquiétude que ressentent fortement les deux personnages. La fin du même poème, juste avant l'épilogue, cache des actions terrifiantes et mystérieuses sous le même signe. Haldern, qui entend son amant Ablou, p.64

». Crapaud, «. Hibou, and ». Mygale, Cette mystique hermétique se retrouve dans la prière d'Haldern, qui, s'adressant à des animaux traditionnellement regardés comme maléfiques -« Chauve-souris », « Engoulevent » 2636, p.148, 2637.

A. Jarry, L. Paralipomènes, ». , and I. , , p.170

A. Jarry and . Haldernablou, , p.150

, Crapaud, aux paumes bénissantes d'astéries pentagrammatiques, Protége-moi. Hibou ocellé, [?] nyctalope aux caves cymbales, mamelles d'or à la pointe noire et cariée symétriques horizontalement au-dessus du tétraèdre de ton sternum, p.151

. Conseille-moi,

. Mygale, pattes noires de luisant métal, épingles dont je voudrais de mes doigts d'ivoire détordre l'octuple grappin pour en transpercer ma chevelure de bismuth

, En effet, si l'expression « mes yeux sphériques » demeure lisible, si la précision géométrique n'obscurcit pas le message, il n'en va pas de même, par exemple, 'impensable. Selon les mots de Patrick Besnier, « Pour Jarry, la science permet donc d'interpréter l'imagination (sans la maîtriser : la science est généralement défaite), silence seul troublé par le pouls qui tousse des artères termes usités

M. C'est-Également-la-lecture-que-propose and . Louâpre, Jarry montre ici que la précision qui caractérise certains énoncés savants peut former, comme Ponge ou Perec le redécouvriront plus tard, un dissolvant, apte à ronger le réel et l'effet de réalité, dans Muses et ptérodactyles, à propos du poème intitulé « Phonographe

, ésormais, l'inclusion d'une matière spécialisée sert à compliquer l'accès au sens du texte

, Julien Schuh ajoute : « À l'origine de la crise de la communication littéraire que traverse le XIX e siècle, il y a l'expérience d'un décalage irréductible entre l'auteur, son texte et le lecteur, p.560

, cristallise les réflexions sur la séparation de l'auteur et de son discours. », Julien Schuh, Alfred Jarry, le colinmaillard cérébral, pp.93-94

P. Besnier and A. Jarry, C'est l'auteur qui souligne, p.83

P. Dans-un and . Suranné, Loin d'être un passeur de savoirs popularisés

, René Ghil : poétologie scientifique et « Métaphysique émue, 2641.

U. Mallarmé and . Petit-symboliste-parmi-d'autres, En 1951, la sévère critique de Paul Léautaud, face à un Robert Mallet pondéré, indique suffisamment que le poète, un temps considéré comme original, est retombé dans l'indifférence : Paul Léautaud -Je n'en pense plus rien du tout

R. Mallet--non, est pas mort : ça restera tout de même dans l'histoire de la littérature, comme une tentative assez curieuse de recherche verbale

P. Léautaud, Tout ça, ce sont des mots qui ne vont pas avec le mot « poésie ». Robert Mallet -En somme, actuellement, dans une réédition, vous supprimeriez René Ghil ? Peut-être, cependant, ne serait-ce pas juste

, Il faut préciser que Léautaud avait choisi, cinquante ans plus tôt, de lui donner une place dans son anthologie Poètes d'aujourd'hui 2643 . Comme l'inadéquation que souligne Léautaud entre les mots « poésie » d'une part, et « recherche » et « scientifique

R. Ghil and . De-la-poésie-scientifique, repris dans l'édition de Jean-Pierre Bobillot, De la Poésie-Scientifique & autres écrits, p.122, 1909.

P. Léautaud, R. Entretiens-avec, . Mallet, ». Quatrième-entretien, and G. , Cité par Gérard Farasse dans son article « René Ghil par intermittence », dans la revue Nord, René Ghil et quelques contemporains, vol.40, pp.5-13, 1951.

A. Van-bever, P. Léautaud, P. , P. , and M. De-france, Sur Ghil, on y lit notamment que la « philosophie de son oeuvre [?] partait du transformisme et donnait comme substratum à l'idée poétique l'idée scientifique » et que sa poésie « prétend donner [?] une synthèse à la fois biologique, historique et philosophique de l'Homme depuis les Origines, p.51, 1900.

, Pour une étude plus approfondie de la réception de l'oeuvre de Ghil, et une revalorisation de son influence, voir le texte préfaciel que propose Jean-Pierre Bobillot à son édition partielle de Le Voeu de vivre, pp.7-58

, René Ghil est certes un disciple de Mallarmé, mais un disciple dissident. Lors d'un mardi

, Âmes et de Sangs 2647 , est exclusivement tournée vers le biologique considéré comme une entité se suffisant à elle-même. La scission aura eu lieu sur un désaccord d'ordre spirituel : Ghil, héritier d'un évolutionnisme optimiste 2648 , se contente désormais d'une approche relevant d'un « matérialisme enthousiaste 2649 ». Il décrit en ces termes le projet qu'il commence à ébaucher dès 1884 : « j'essaierai, moi poète

S. Ames, Vie qui vit, la Vie qui se désorganise, la Vie qui s'en va 2650 . » Tel est ce premier recueil qui fait de la poésie (« moi poète ») une opération d'observation relevant d'un vitalisme teinté d'évolutionnisme. La vie est regardée comme le fruit d'une germination. Ainsi du poème « Le Soir sale », qui relate symboliquement l'union de deux êtres humains, la vie qui s'organise, la

J. Donguy, Dijon, Les presses du réel, coll. « L'écart absolu, p.124, 1953.

R. Ghil, Les Dates et les oeuvres, pp.171-172, 1923.

R. Ghil, . Légende-d'âmes, and . De-sangs, , 1995.

, Voir à ce sujet l'article de Nicolas Wanlin, « La poétique évolutionniste, de Darwin et Haeckel à Sully Prudhomme et René Ghil », art

. Ibid,

R. Ghil and L. , Âmes et de Sangs, op. cit., « Mes idées » [1884], p. 1. C'est l'auteur qui souligne

L. F. Paris and . Savy, organique : Oui, la Vie, rien que la Vie ! et des vagues d'angoisse me vont par la Chair devant son nom qui est la rumeur de TOUT : mais mon vouloir n'est pas orgueil. Plein de l'horreur du Rêve sans plein air, sans sèves et sans sueurs, je viens m'enrôler au grand Travail vivant du Réalisme, -du Vrai, -ouvrier plus ou moins capable, pp.953-957, 1884.

, En 1891, reléguant l'entreprise symboliste dans le passé d'une poésie qui a toujours exploité le fonctionnement analogique du langage, il professera encore : « Quant à une méthode, ces poètes n'en ont point -et je soutiens qu'on n'ira plus sans méthode ! » En effet, le symbole est une simple comparaison qui décrit une réalité « par des choses approchantes », renonçant à « donner l'essentielle qualité d'une chose ». Ghil revendique pour ce faire une méthode qu'il emprunte à la chimie : « analyse, puis synthèse » 2659 . La poésie expérimentale ghilienne répond donc à l'exigence de J.-H. Rosny (elle prend appui sur l'analyse) mais aussi à celle de Kahn

R. Ghil and . Le-soir-sale, dans Légendes d'Âmes et de Sangs, op. cit, p.103

. Ibid, , pp.2-3

, Gérard Farasse, « René Ghil par intermittence », art. cit, p.6

R. Ghil, Légende d'Âmes et de Sangs, op. cit, p.8

, « Pour moi, l'impressionisme [sic] est l'écriture du Réalisme, c'est le Frémissement de la Vie rendue sur le papier, p.9

R. Ghil, ;. , and J. Huret, C'est l'auteur qui souligne. Son projet ne s'arrête pas là. Si Légende d'Âmes et de Sangs dépeint « la mise en scène de l'oeuvre sourde et mystérieuse de la Vie qui s'organise », que le poète veut observer « chaste comme un physiologiste » 2660 , l'oeuvre à venir devra développer la vie jusqu'au vieillissement de l'organisme, en empruntant une tonalité plus sombre, car « quand on a, à ses moments perdus, mis le nez dans un livre de physiologie et de psychologie, et regardé et songé ses regards, p.144

, Mallarmé prit la peine de préfacer d'un célèbre « Avant-dire, p.1886

. Auparavant, il est manifeste que sa poésie scientifique, à l'instar de ses prédécesseurs, se contentait surtout d'une approche « prenant thème en la connaissance d'alors 2662 ». Une étude attentive de ces textes, réunis dans l'édition de Tiziana Goruppi 2663 , permet de rendre compte de cette évolution, Le texte de juin 1885

M. Stéphane, L'aspiration au renouveau repose d'abord sur « toutes les Âmes et les chairs devenant un visible et vivant souffle musical 2664 », de sorte que « la Vie pût en nos livres chanter vraiment 2665 ». Voilà pour la forme, largement influencée par la pensée physiologiste. Pour le fond, il s'agit également d'un projet peu original -influencé par l'épopée -, déjà présent en filigrane chez Hugo, s'appuie sur une définition physiologique du vers somme toute dans l'air du temps

J. Strada, « Ce que doit devenir notre souci, c'est le poème éternel des immuables Choses, des aubes aux soirs toujours revenantes

. D'emblée, il est possible de relever l'influence stylistique mallarméenne

R. Ghil, Légende d'Âmes et de sangs, op. cit, p.13

, C'est l'auteur qui souligne, p.17

R. Ghil and . Avant, , p.85

R. Ghil, Traité du verbe. États successifs, 1885.

, C'est l'auteur qui souligne, p.53

, Mais le devoir est : de penser et de savoir, selon en premier lieu la pensée et le savoir du savant qui expérimenta, et ensuite, lorsque, lui, le savant, est pour longtemps épars, de, induisant et déduisant plus vite et plus loin, d'un noeud génial, lois et loi et lois aidantes, p.55

J. Bobillot, De la poésie scientifique et autres écrits, op. cit., « Prologue, p.10

H. Hermann-von, Théorie physiologique de la musique [Die Lehre von den Tonempfindungen als physiologische Grundlage für die Theorie der Musik, p.1868

, Voir par exemple l'explication qu'en donne Gérard Farasse, « René Ghil par intermittence », art. cit, p.10

. Voir-aussi-l'article-d'anne-tomiche, René Ghil et quelques contemporains, vol.40, pp.37-45, 2002.

J. Voir and . Bobillot, De la poésie scientifique et autres écrits, p.10

, René Ghil, texte intercalaire entre l'avant-dire et la première section du Traité du verbe dans l'édition de 1887, p.71

G. En-vue-de-mettre-en-oeuvre-cette-synthèse and . Méthode, Ainsi, la matière n'est pas : et en la perpétuelle diversité de sa manière de se manifester qui est mouvement, d'éternité et pour éternité et dans l'illimité ! elle devient 2680 . » La matière

, Animée par une pulsion d'amour universel, elle se reproduit elle-même et se transforme : le cercle de la reproduction se déforme en ellipse, forme géométrique qui permet de sortir de la répétition du même, de s'éloigner du centre et d'y revenir. L'ellipse, périhélie et aphélie, permet 'anadiplose : Dans un laps de temps d'éternel et d'infini : quand, suite de sa suite, se fut agglomérée de la matière, et que virèrent elliptiques et les agglomérats engendrant les soleils et les soleils générateurs de leurs planètes : il fut en un système solaire un astre terraqué. Il fut en un système solaire un astre terraqué : et de l'effort inorganique, organique par l'être sortait l'effort à devenir, et, qui est en un seul deux êtres dont un autre s'engendre, dans les génitoires et la vulve et le fruit de leur union l'être démontra

, Puisqu'expérimentation poétique il y a, il convient d'en déterminer les innovations. Si l'on considère le volume de 1892, fragment du Dire du mieux 2682 , il paraît possible d'en dégager donc présenté l'homme des âges révolus, 2679.

R. Ghil, I. Oeuvre, D. Du-mieux, L. Iv, and . Voeu-de-vivre, , vol.II, p.1892

, Condamnés? Têtes nues ! et, silentement étant une Foule qui se rue, vol.11, p.9

C. Ghil and . Le-rappelle-jean-pierre, Bobillot 2686 , revendique le rythme alexandrin, parce qu'il est « organique 2687 », il s'avère effectivement qu'caduc numéraire : La ventaison des Feuill+es d'alentour, lueurs d'automne 2688

, Du même coup, d'entrée de jeu, le principe de concordance métrique est mis à mal

. Sangs, Ces refrains en évolution font souvent résonner une consonnance évolutionniste : ainsi des villes nouvelles « où gravitent puissants l'égoïsme aristarque », repris en « Villes où gravitent l'égoïsme aristarque » 2689 . Cet individualisme, dur mais nécessaire (« aristarque »), qui évolue dans les villes

R. Ghil, L. Voeu-de-vivre, and J. Bobillot, op. cit, pp.34-36

R. Ghil and . De-la-poésie-scientifique, , p.148

R. Ghil, I. Oeuvre, D. Du-mieux, L. Iv, and . Voeu-de-vivre, , vol.II, p.7

. De-marie-hélène, D. Boblet-viart, and . Viart, « met l'accent sur le pluriel, s'employant à traiter du général plutôt que du particulier 2692 . » Le héros humain, quoiqu'encore « prognate », est la « Foule » des vers précédemment cités. Or cette foule manifeste son caractère universel en répandant son -e caduc final au-delà d'un hypothétique hémistiche dont la mesure n'existe plus. Ainsi René Ghil préfigure-t-il, plus qu'on ne le croit, la poésie du XX e siècle : cette matière en vie, qui se remue en un mouvement commun et homogène, n'est pas sans rappeler

. Jean-pierre, Bobillot revient sur cette tentative en ces mots : Entre paléontologie et fantasmagorie par extrapolation spatio-temporelle

. Obscurément and . Puissamment-porteur-d'un-rêve, ou vision créatrice) à fondements scientifiques et d'élévation métaphysique, et muni d'une Méthode (ou vision logique) scientifiquement rêvée, -le paradoxal poète et théoricien de la Légende d'Âmes et de Sangs et du Traité du verbe [?], allait, séance tenante, se donner les moyens (et, bientôt, les extrêmes?) de dévoiler et d'imposer au monde [?] une OEuvre dûment et drûment préconçue, puis longuement mûrie, qui fut comme un long rêve de la Matière s'évertuant, de perpétuel effort

J. Bobillot, L. Dans-sa-préface-de, and O. Voeu-de-vivre, , p.33

R. Ghil, I. Oeuvre, D. Du-mieux, L. Iv, and . Voeu-de-vivre, « âpre/diapre »), tandis que certains vers semblent demeurer orphelins (« la magnitude du Sorti des urnes, vaste », ibid., p. 12, « (trémulait par la nuit un voeu télépathique) », ibid., p. 16) et que certaines rimes se font parfois approximatives (« va et/disparaît, Des vers rimant entre eux peuvent être distants de plus de six vers, vol.II, p.15

M. Boblet-viart, D. Viart, «. Esthétique-de, and L. Simultanéité, Cité par Jean-Pierre Bobillot dans sa préface à Le Voeu de vivre, Jules Romains et les écritures de la Simultanéité, Dominique Viart (dir.), Lille, Presses Universitaires du Septentrion, p.29, 1996.

J. Bobillot, Les Dates et les OEuvres, op. cit, p.8

G. Apollinaire, Esprit nouveau et les poètes, p.954, 1917.

. À-propos-de-cette-expérience, J. De, and . Bobillot, La voix réinventée. Les poètes dans la technosphère : d'Apollinaire à Bernard Heidsieck », Histoires littéraires, vol.28, pp.25-44, 2006.

, « Les Archives de la parole, pp.182-183, 1914.

, La liste est longue, en effet, des poètes qui continuent de tisser des liens entre la poésie et la science, de Paul Claudel à Jacques Réda, en passant notamment par Henri Allorge, Voir à ce propos le dernier chapitre de Muses et ptérodactyles, op. cit, pp.581-613

, Les modalités rémanantes du dialogue qu'entretiennent la poésie et la science des XX e et

, C'est donc à une histoire de la complexité et du croisement entre des ancrages divergents

H. Victor, On l'a dit, un poète comme Francis Jammes condamne ouvertement la science 2703 , et refuse qu'elle prenne désormais place à la table poétique. De l'autre bord, un scientifique comme Albert de Lapparent, l'un des plus éminents la science, en répétant "Ceci tuera Cela", formule empruntée à un poète, qui pourtant avait moins qualité que personne pour se faire l'interpète de "Ceci 2705, La postérité de ce dialogue n'empêche pas, tant s'en faut, qu'à la fin du XIX e et au début du XX e siècle, le débat qu'il suscite demeure très vif

, La Légende de Prâkriti ne se rattache-t-elle pas aux "épopées universelles" antérieures, comme Les Fossiles de Bouilhet ? Michaux [?] pouvait-il songer aux vers entomologiques de Cotty dans ses "Notes de zoologie" ? À chacun d'en juger, Hugue Marchal pose la question dans Muses et ptérodactyles : « Qoiqu'en ait Claudel, p.588

, ) de Queneau, par exemple, renoue avec une forme classique, celle du long texte didactique en alexandrins. C'est à l'intérieur de ce cadre formel conservateur que le poète moderne introduit des innovations

, Conseils à une jeune amateur de géologie : Poëme didactique composé à l'occasion des Courses géologiques de l'École des Mines, p.1867

A. , La citation renvoie au titre de Il ne constitue plus une figure d'autorité pouvant tenir un discours sur la science. Pourtant, celle-ci continue d'inspirer les poètes majeurs, puisque comme l'a montré Matthieu Gosztola, elle structure par exemple la pensée et la langue du disciple de Mallarmé, proche de Jarry, Paul Valéry 2706, conférences faites à l'Institut Catholique de Paris, mai-juin 1905, Paris, librairie Bloud et C ie , 7 e éd, p.9, 1908.

, Gounod avait bien voulu me demander quelques leçons d'astronomie. Je lui expliquais un jour les loies de Kepler, et, à l'énoncé de cette loi des aires qui lie d'une manière si saisissante la vitesse d'une planète dans son orbite à sa distance au soleil, Gounod s'écria tout à coup, L'attitude du second XIX e siècle face à la science trouve alors un écho dans cette anecdote contée par l'illustre astronome Jules Janssen 2709 : « Au cours de nos relations amicales

, Pour être plus précis, le premier des deux déictiques du titre désigne l'imprimerie, qui, par élargissement, en est venue à symboliser le progrès, puis la connaisance humaine, et donc la science, sous la plume de Lapparent, tandis que le second déictique désigne la religion. À ce propos voir l'article de Max Milner, « Quoi tuera quoi ? Les enjeux de l'invention de l'imprimerie chez Victor Hugo et Gérard de Nerval, pp.9-18, 1985.

M. Gosztola and A. Jarry,

, Science et poésie, Paris, Flammarion, coll. « Bibliothèque de philosophie scientifique, Pius Servien, p.7, 1947.

. Ibid, , p.10

, Voir à son sujet Françoise Launay, Un globe-trotter de la physique céleste : l'astronome Jules Janssen, 2008.

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.. .. Cartographies-d'un-genre-complexe,

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, Méthode et structure de la réflexion : l'empreinte de la science

U. .. Classique, P. Et, . Classiques, . La, and . .. Versifiée, 37 CHAPITRE PREMIER : SCIENCE, p.39

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. Prendre and . .. Le-procédé-persan,

, Le poème et la biologie, vol.87

.. .. Le-succès-d'une-métaphore-romantique,

. Le,

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. .. Le-technolecte-sous-anathème, Un bref historique : technolectes et poésie avant 1850

.. .. La-survivance-de-la-périphrase, 4.1. Une langue à « spirales, p.133

». .. L'électricité-en-périphrases-:-d'une-rhétorique-biblique-À-la-formulation-populaire-de-la-«-fée-Électricité, 141 2.1. L'amour sous le voile polymathe : les vers de jeunesse de Jules Verne

, 156 3.1. Le modèle de la fable ou de l'exemple instructif

V. Le-rêve-scientifique-de and . Hugo, 3.2. La science du rêve et le rêve de la science

U. N. Chapitre-troisième-:-science-et-poésie-À-message and . .. Héritage-pragmatique, 1. Saint-simonisme et positivisme : plaidoyers pour une poésie ancillaire

. .. La-popularisation-en-pratique-poétique, 2.2.1. La note explicative : un aveu d'échec ?

. .. , 1.1. L'éloge scientifico-politique sous le Second Empire, Simplification du fait : poétique de l'allusion

.. .. De and H. , Des sciences polémiques

, 1.1. L'évolutionnisme d'Antediluviana : du doute positiviste à la création continuée

. .. Dieu, 2.2.2. Une remise en cause de la science au nom de l'humilité chrétienne, Dieu et les sciences de la nature : variations d'un rapport romantique au monde 257 3.2.1. Ordre, beauté, équilibre : une nature aussi parfaite que
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U. .. Détourné, , p.271

C. .. De-minoration,

. L'influence-de-la-paralittérature, 1.1. La tradition des médecins poètes : des vers de circonstance, la science comme outil de minoration posturale, vol.276

, La réclame en vers de bonimenteurs : une conscience du paralittéraire, p.284

. .. Le-«-souffle-court-;-posturale-du-poète, 297 1.3.1. Jules Laforgue : hypertrophie cardiaque et obstruction de la veine poétique

, Le retour du vers court : le vers et le Bathybius dans « La Gloire de l'eau » 306 2.2. La science dans les formes fixes mineures : le populaire et l'à-peu-près, L'influence du discours pathologique : la science comme outil de minoration formelle 305 2.1, p.321

. .. Le-parnasse-;-scientifique, 324 3.1. Le poète en archéologue : poétique parnassienne et méthode scientifique, forme fossile, poèmes miniatures et distillation

C. .. Science, 1.2. Vauquelin et Fourcroy : une découverte à pleurer de rire, vol.339

, 2.1. Des scientifiques dévoyés : médecins et éducateurs

, Le jeu des registres : héroïcomique et sciences du bas corporel

C. Sixième-:-quand, L. A. Science, and . .. Façonne-l'épopée, 414 1.1. Un siècle d'épopées fragmentaires : des raisons scientifiques ?

L. Possibilité-d'une-Épopée-«-très-analytique and ». .. , Une épopée de la diffraction : le ver de terre et le poète hugolien, une « Épopée divisé, p.435

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