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. «-ce-qu, il y a de chanvre masle tant cuilli quà cuillir dans un jardin nommé le jardin devant prisé quarante sous

. Le and . Fillier, 4B 2215, inventaire Julien Huet et Guillemette Ory

, 4B 5400

, Le travouil est un dévidoir pour mettre le fil en écheveaux, 4B 2215, inventaire Julien Huet et Guillemette Ory

, 4B 5400, inventaire François Gaultier et Guillemette Rigaud

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, inventaire Louvel et Delourme (12 janvier 1640) ; procès verbal de la vente des biens de Gilles Berthel (5 mars 1637)

, Les inventaires après décès du début du XVII e pour le secteur de Fougères ne distinguent pas les trois qualités de fil mentionnées au XVIII e siècle : brin, reparon et étoupe. Ils opposent le fil de brin au fil de testure, Pour la distinction des trois qualités de fil au XVIII e siècle, voir : Arch. dép. d'Ille, 1760.

, Le fil de brin est la filasse épurée et affinée qui reste à la fin des opérations de peignage. Il correspond à la meilleure qualité de fil. Véronique Dumont Castagne, Fortunes des textiles dans la société méridionale des XVIIe et XVIIIe siècles d'après les sources d'archives, p.95

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, S. nigra croît dans les bois frais, haies, bords de rivière, décombres et lisières forestières. Deux espèces rattachées à Prunus-type croissent dans le Massif armoricain : Prunus avium qui se développe dans les haies et bois, P. spinosa dans les friches, bois clairs et lisières forestières. Ibid, pp.537-547

C. Le-type-pollinique-circaea-lutetiana-regroupe-les-espèces-circaea-alpina, C. L. Intermedia, P. Willem, J. R. Peter, P. Hoen et al., Seule la circée commune (Circaea lutetiana) croît dans le massif armoricain. Henri des ABBAYES, Review of Palaeobotany and Palynology, vol.67, p.469, 2003.

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L. Le-type-pollinique-lythrum-regroupe-les-espèces-l.-salicaria, L. Hyssopifolia, C. Georges, C. Robert, and G. Henri, Seules les deux premières sont communes au massif armoricain. Lythrum salicaria se développe sur les bords des eaux, dans les fossés et lieux humides. L. hyssopifolia croît dans les champs humides et lieux inondés en hiver. Voir Henri des ABBAYES, pp.455-456

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, Une motte est implantée à Sérigné, L'organisation du territoire est mieux connue à partir des XI e -XII e siècles

, En 1164, Goranton IV de Vitré fonde un cimetière et une chapelle à Sérigné, qu'il donne à l'abbaye de Saint-Sulpice-laréduite aujourd

, L'étang est en effet en cours d'atterrissement. Une saulaie recouvre la queue d'étang ouest et

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, Plus la moitié du grand estang neuf par le fil de l'eau du costé de la ville dudit Saint Aubin à l'endroit du ruisseau dessendant du moulin de Liffré audit étang neuf la dite maison, méttayrie, moulin et autres terres dudit Sérigné » Arch. dép

«. Iceluy, avec lesdits deux étangs et couailles contenants ensembles quarante huict journaux ou environ », Archives départementales de

, le sureau noir (Sambucus nigra), les ronces (Rubus) et les Rosacées arborées indifférenciées (Rosaceae) indiquent par ailleurs que l'on pourrait être en présence de boisements dégradés. Le noisetier (Corylus), le lierre (Hedera) sont des espèces de demi

M. Yannick and . De-millevaches, France) et de sites périphériques limousins et auvergnats : approche des paléoenvironnements, des systèmes agro-pastoraux et évolution des territoires ruraux, Relations entre les spectres polliniques récents et la végétation actuelle en Europe occidentale, Thèse d'état, p.124, 1970.

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L. Marion and L. Vairies-le-croizé, Je remercie Marion Lahaye, responsable d'opération à ArchéoLoire et Jean-Charles Oillic, palynologue de la même société, ZAC des Vairies, Les Croisés : un établissement rural gaulois en milieu humide, rapport de fouille archéologique, 2014.

C. De-l'etude and . Palynologique, Contextes archéologique et historique L'ensemble des découvertes archéologiques sur et autour de l'actuelle commune de

, Dès le début du XI e , on suppose la présence d'une église qualifiée d'oratorio, accompagnée peut-être d'un cimetière 10 . Mais c'est au milieu duXI e siècle que Saint-Sauveur-des-Landes connaît un essor. Sous l'impulsion de Main II de Fougères, qui possède des biens et peut-être une résidence à

, ZAC des Vairies, Les Croisés : un établissement rural gaulois en milieu humide, Rennes, issue.35, 2016.

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, Histoire, habitats et société aux X e -XIV e siècles, p.15

L. Marion and L. Vairies-le-croizé, Toutefois les séquences palynologiques sont mal datées et restent mal calées entre elles, ainsi que nous le verrons plus loin. Aussi, il est difficile de dater avec, Aurélie REINBOLD et Jean-Charles OILLIC, « Evolution et organisation du paysage autour des Vairies, p.78

L. Marion and L. Vairies-le-croizé, , p.181

F. , 2225, dans le sondage 62. La fosse est traversée par la coupe MN

, calibre et hygrométrie du bois) va dans le sens d'une activité spécialisée et récurrente, dont le combustible est sélectionné pour la production de flamme vive, avec une montée rapide en température et une production réduite de fumée. Cette structure spatialisement proche et contemporaine du routoir, pourrait éventuellement être mise en relation avec le séchage des fibres de chanvre après la phase de rouissage, « La quantité de résidus et leurs caractéristiques (taxons, p.72, 2014.

. Ibid,

L. Marion and L. Vairies-le-croizé, , p.181

. Ibid,

N. Aurore and . Le, étude de la céramique médiévale », in Les Vairies-le Croizé, p.179, 2014.

L. Marion and L. Vairies-le-croizé, , p.179

L. Geoffrey and . Environnement-géologique, Les Vairies-le Croizé

R. Guérande and A. , Service Régional d'Archéologie de Bretagne, p.40, 2014.

L. Marion and L. Vairies-le-croizé, , p.182

, La réserve seigneuriale comprend : « tenues de eaux et estancs, chaucee, ne, paescheries, reffoux

, à cinq mètres d'écart sédimentaires : 0-50 cm : remblais du chantier archéologique 50-60 cm : argile limoneuse gris brun 60-70 cm : limon argileux brun foncé, sable 70-82 cm : sable argileux gris brun 82-100 cm : sable gris bleu avec des traces d'oxydation La colonne C3 mesure également 100 cm de profondeur. La séquence est caractérisée par six unités sédimentaires : 0-56 cm : remblais du chantier archéologique 56-68 cm : argile limoneuse gris brun 68-74,5 cm : argile limoneuse brune 74,5-82 cm : limon argileux brun foncé, sable 82-94 cm : sable gris beige 94-100 cm : sable gris bleu avec des traces d'oxydation Les prélèvements réalisés à l'aplomb de la coupe MN correspondent pour partie au remplissage de la fosse F.2225 (Figure 5) 39 . Ils recoupent les unités stratigraphiques suivantes : 0-15 cm : US 8 : limon argilo-sableux brun, compact et homogène 15-20 cm : US 22 : limon sableux brun, meuble et homogène 20-35 cm : US 21 : limon sableux bleuté, relativement meuble et homogène 35-45 cm : US 20 : limon argilo-sableux brun, Adveu du lieu et dommaine nommé la Vérie par Jan le Voyer avecques la sergenterie et bailliage de la dite verrie présenté par Thomas et Perrine les Delaunay, 1420. 45-65 cm : limon argileux gris-brun légèrement sableux 65-70 cm : sable limoneux grisâtre, quelques oxydations 70-82 cm : sable limoneux bleu Les colonnes C2 et C3 ont été prélevées dans le paléochenal, p.40

L. Us,

L. De-geoffrey, L. Géomorphologue-À-archéoloire, L. Marion, and L. Vairies-le-croizé, , p.12

J. Heim, Relations entre les spectres polliniques récents et la végétation actuelle en Europe occidentale, p.124, 1970.

R. Voir-les-conclusions-de-jean-charles-oillic-dans-;-aurélie and O. Jean-charles, Apports d'une recherche interdisciplinaire », in Cent ans d'histoire et d'archéologie en pays de Fougères, Evolution et organisation du paysage autour des Vairies, pp.77-78, 2014.

S. David, R. Scaifeet-cath, and . Langdon, , p.28

, Un seul de ces pieux a été daté, révélant une construction du Moyen Âge tardif (575 ± 40 trente-trois pieux, des rondins de saule épointés

, Lors de la fouille archéologique, deux prélèvements ont été réalisés par Dominique

, Voir Figure 4, Figure 7 et description de la coupe JJ' ci-après

H. Stéphanie, D. Arnaud, and . Le-breil-rigaud, , p.36

. Ibid, Le diagramme palynologique édité en 1992 est nommé JJ' et non P. Afin d'éviter les confusions, nous avons conservé la dénomination « JJ'

, Proposition de recalage stratigraphique entre la colonne palynologique JJ' et les relevés archéologiques (coupes P et JJ'), vol.7

L. , sont situées de part et d'autre de l'aménagement de pieux. Le relevé stratigraphique de la coupe JJ' montre la même succession qu'observée sur P, d'une couche tourbeuse noire, d'une couche tourbeuse gris-beige et d'une couche tourbeuse marron, que l'on peut associer aux US 1023, 1022 et 1012 18

, Au bas de la colonne, trois centimètres de tourbe argileuse marron clair correspondent à

«. La, met en évidence l'implantation de cet ensemble dans une couche tourbeuse de couleur brunrougeâtre très organique contenant de nombreuses brindilles, vol.3

, Certaines pointes des pieux ou piquets ont même percé la couche sous-jacente correspondant à une tourbe herbeuse de couleur claire (séquence 2 : US 1022), Stéphanie HURTIN et Arnaud DESFONDS, le Breil Rigaud, p.33

, une US qui n'a pas pu être déterminée puisque non présente sur les coupes JJ' et EE' (Figure

, Sur la coupe DD', Dominique Marguerie avait prélevé trois colonnes d'une hauteur

H. Stéphanie, D. Arnaud, and O. Le-breil-rigaud,

R. De-l, ANALYSE PALYNOLOGIQUE 2.1. Description des séquences sédimentaires et datation des séquences Une séquence de 80 cm prélevée sur la coupe DD', a été étudiée, Elle est caractérisée

, non renseigné 6-20 cm : limon tourbeux marron à végétaux herbacés 20-23 cm : tourbe noirâtre 23-25.5 cm : tourbe brunâtre avec lits de limon beige 25.5-38 cm : limon tourbeux marron à végétaux herbacés 38-47 cm : tourbe noirâtre à macrorestes 47-52 cm : limons et graviers tourbeux grisâtres avec quelques macrorestes 52-60 cm : limon tourbeux beige contenant quelques graviers et macrorestes 60-80 cm : tourbe ligneuse noirâtre contenant quelques graviers

, Sur la coupe P, une colonne de 92 cm a été prélevée. Elle est caractérisée par dix unités sédimentaires

, 24 cm : tourbe herbacée marron foncé 24-39 cm : tourbe herbacée couleur marron 39-45 cm : tourbe ligneuse noirâtre 45-54 cm : toube noirâtre évoluée 54-57 cm : tourbe ligneuse argileuse grisâtre 57-60 cm : tourbe argileuse noirâtre 60-87 cm : tourbe ligneuse noirâtre 87-90 cm : tourbe argileuse marron clair 90-92 cm : sable grossier et graviers légèrement oxydés, limon marron à la base et gris au sommet 7

, Cinq datations radiocarbone ont été effectuées sur la colonne palynologique DD' et

, Interactions sociétés-milieux dans le nord-ouest de la France, ? Boisements hygrophiles : retour d'Alnus à des fréquences autour de 10%. Occurrences de Salix et Fraxinus, p.268

, ? Rudérales et apophytes : maintien du taux des rudérales. Hausse du taux des apophytes. Rumex acetosa -type domine les apophytes (9%). Plantains légèrement moins abondants

. Boisements, Corylus et Betula autour de 4,5%. Occurrences de Spergula arvensis , Polygonum aviculare -type, P. persicaria -type, Urticaceae, Galium -type

, ? Lianes et épiphytes : occurrences de Hedera

. ?-?-ranunculaceae-autour-de-1%, Occurrences de Caryophyllaceae, Campanulaceae, Fabaceae, Trifolium -type, Scrophulariaceae, Dipsacacae, Lamiaceae, Primulaceae, Calluna et Ericaceae, Taxons ubiquistes : hausse des Apiaceae à 6%

?. Hygrophiles, hausse du taux des Cyperaceae (8%). Occurrences de Hydrocotyle et Sparganium -type

?. Spores, Sphagnum à 1, p.2

. ?-poaceae-dominantes, Baisse du taux des Poaceae jusqu'à 17%. ? ? Agriculture :maintien des fréquences de Cerealiatype (1,4%)

, ? Rudérales et apophytes : baisse du taux de rudérales jusqu'à moins de 1%. Baisse des apophytes jusqu'à 3%

, Présence moindre des plantains. Occurrences de Polygonum aviculare -type, Artemisia et Carduaceae

. Boisements,

, ? Taxons héliophiles : légère baisse du taux des herbacées héliophiles qui tombe à 10%. Cichorioideae à 2,4%, Asteraceae moins présente (1,4%), Ranunculaceae à 1,4%. ? Boisements héliophiles : Corylus à 4%, Betula à moins de 1%. Occurrences de Campanulaceae

?. Lianes, occurrence de Hedera. ? Taxons ubiquistes : Apiaceae à des valeurs équivalentes, vol.3

?. Hygrophiles, maintien des fréquences des Cyperaceae à 7%. Occurrences de Calystegia sepium -type

?. Spores, Asteraceae et Cichorioideae dominent le cortège, Sphagnum à moins de 1%. Présence un peu plus forte des spores trilètes et des spores monolètes. Taxons héliophiles : baisse du taux des herbacées héliophiles (15%)

, ? Forte présence des spores fongiques indifférenciées (10%)

?. Coprophiles, spores coprophiles enregistrées à 5%. Présence de Sordaria (HdV-55), Sporormiella (HdV-113), Podospora (HdV-368), Cercophora (HdV-112)

, Carbonicoles : présence de Coniochaeta xylariispora (HdV-6a)

, ? Champignons parasites et saprophytes : présence de HdV-16, de Entophyctis lobata (HdV-13), de HdV-18, de Clasterosporium caricinum (HdV-126), Ustulina deusta (HdV-44) et HdV-306 à 42 cm, d'Anthostomella

, ? Indicateurs d'eutrophisation : présence ponctuelle de HdV-124

, ? Indicateurs de conditions humides, p.729

, ? Présence plus faible des spores fongiques indifférenciées. Cortège des spores insignifiant ? Coprophiles : présence plus faible des spores fongiques coprophiles (occurrences de Sordaria ). Enregistrement de spores associées aux coprolithes et au bois mort : Cercophora (HdV-112a et c), Coniochaeta lignaria

, ? Champignons parasites et saprophytes : occurrences de HdV-16

, ? Indicateurs de conditions humides, p.729

, ? A 27 cm, présence des spores fongiques indifférenciées relativement identique aux niveaux 42-45. A 30 cm, le cortège des MNP est insignifiant (28 spores / 1100 grains de pollen) : interprétation difficile du fait de la faible représentativité des MNP

, ? Coprophiles : présence de Sporormiella, Sordaria, Podospora, Cercophora

, peut-être due à une meilleure représentation des spores fongiques sur ce niveau. Présence plus ponctuelle de Ustulina deusta, ? Champignons parasites et saprophytes : présence plus abondante de HdV-18 à 27 cm (7%)

, ? Présence des spores fongiques indifférenciées globalement identique

?. Coprophiles, cortège un peu plus diversifié : enregistrement de Sordaria, Sporormiella, Podospora, Cercophora (HdV 112a et c), Coniochaeta lignaria. Toujours une présence un peu plus abondante de Sordaria par rapport aux autres spores fongiques. Carbonicoles : présence ponctuelle de Gelasinospora (HdV-1)

, ? Champignons parasites et saprophytes : HdV-18 toujours majoritaire

, ? Indicateurs de conditions eutrophes : présence de HdV-124

, ? Indicateurs de conditions humides : présence de HdV-361

. Br-dd'-2b,

, Description des résultats du diagramme des microfossiles non pollinique de la coupe DD' ? Présence des spores fongiques indifférenciées globalement identique. ? ? Coprophiles: présence plus forte de Sporormiella . Enregistrement d'autres spores fongiques coprophiles : Podospora, Cercophora (HdV-112c), vol.7

, ? Champignons parasites et saprophytes: HdV-18 toujours aussi abondant. Présence de Clasterosporium caricinum, Arthrinium, Melanconi alni, Anthostomella, Tilletia sphagni (HdV-27), Entorrhiza (HdV-527)

, ? Indicateurs de conditions humides : présence de HdV-361

?. Coprophiles, cortège globalement identique : présence de Sporormiella, Sordaria, Podospora, Cercophora (HdV-112 a et c) et Apiosordaria verruculosa

, Enregistrement de Clasterosporium caricinum, Diporotheca rhyzophila et Arthrinium sp, ? Champignons parasites et saprophytes : HdV-18 un peu moins abondant

, ? Indicateurs de conditions humides : présence de HdV-361

?. Coprophiles, présence plus abondante des coprophiles et notamment de Sporormiella, Sordaria, Podospora ainsi que de Cercophora (112a)

, ? Champignons parasites et saprophytes : présence de HdV-18 et Entorrhiza

, ? Indicateurs d'eutrophisation : présence de HdV-124

, ? Indicateurs de conditions humides : présence de HdV-729, 731 et 361. Présence des spores fongiques indifférenciées globalement identique. Coprophiles : présence de Sporormiella, Sordaria, Podospora ainsi que de Cercophora (112a) et Apiosordaria verruculosa . Champignons parasites et saprophytes : enregistrement de HdV-18

, ? Indicateurs de conditions humides : présence de HdV-361

, ? Présence des spores fongiques indifférenciées globalement identique

, ? Coprophiles : cortège globalement identique. Présence de Sordaria, Podospora, Cercophora (HdV-112a) et Apiosordaria verruculosa

, HdV-527) qui est la spore fongique dominante. Clasteroporium caricinum est également un peu plus abondante. Présence de HdV-18, ? Champignons parasites et saprophytes : forte hausse de Entorrhiza

?. Spores, occurrence de Sphagnum. Légère hausse des valeurs des fréquences des spores monolètes (10%)

, ? Maintien du taux d'AP/T autour de 70%. ? Poacées dominantes. Légère hausse des valeurs (16%)

?. Boisements-de-sols and . Drainés, maintien des valeurs des fréquences de Quercus à 30%. Occurrences de Fagus, Ulmus et Carpinus. ? Agriculture : occurrences de Secale et de Cannabaceae

, ? Boisements hygrophiles : baisse des fréquences de Salix de 70% à 31%. Parallèlement hausse des valeurs des fréquences de Alnus jusqu'à 23%

, ? Rudérales et apophytes : maintien des valeurs des fréquences des apophytes et rudérales. Occurrences de Convolvulus arvensis-type, Urticaceae, Plantago indifférencié, P. lanceolata, Galium -type

, ? Boisements héliophiles : maintien des taux de Corylus et Betula, respectivement à 28% et 10%. Occurrences de Rosaceae

, Occurrences de Asteraceae, Cichorioideae, Brassicaceae, Rosaceae, Potentilla -type, Scrophulariaceae. ? Agriculture : apparition d'une courbe continue de Secale à 2,2%. Cerealia -type autour de 1%. Occurrences de Fagopyrum et Cannabaceae, ? Taxons héliophiles : maintien à de faibles fréquences (3%)

, ? Boisements hygrophiles : forte baisse des valeurs des fréquences de Alnus

, ? Rudérales et apophytes : valeurs relativement constantes des rudérales (4-6%) et apophytes, vol.8

, Légère hausse des plantains (Plantago coronopus à 2,2%) à 25 cm. Légère hausse de Rumex acetosa -type à la même profondeur, vol.8

, ? Boisements héliophiles : valeurs constantes de Corylus

;. Betula, Occurrences de Frangula, Viburnum, Rubus , Prunustype et Genista -type. Occurrences de Spergula arvensis, Mercurialis annua, Polygonum aviculare -type, Urticaceae, Plantago major, Galium -type, Centaurea nigra -type

. Br-jj'-2a,

, Boisements héliophiles : baisse des valeurs des fréquences de Corylus jusqu

, DD' a livré un âge 14 C de 450±30 BP, pp.1415-1479

, L'aménagement médiéval est implanté dans l'US 1012 de la coupe

, Diagramme de Harris simplifié associant les US et datations, en relation avec les colonnes palynologiques et les coupes DD, Figure, vol.15

, 27-30 DD' ; 30 JJ') : fin du haut Moyen Âge -début du Moyen Âge central Le rapport AP/T est stable par rapport à la, ZPL BR-2c (éch

J. Heim, Didier Voeltzel observe lui aussi des taux de 20% d'AP/T au sein de prairies. Cf diagrammes des transects A et B, in Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, Relations entre les spectres polliniques récents et la végétation actuelle en Europe occidentale, p.124, 1970.

, Le développement des Poaceae sur les deux diagrammes et celui des Asteraceae sur

. Sordaria, Podospora et Cercophora font partie des indicateurs coprophiles les plus sûrs 26 . Associés à Sporormiella, indicateur coprophile strict 27 , ces spores fongiques attestent d

, Plus près de l'Ille-et-Vilaine, D. Voetzel note que des taux inférieurs à 2% de Betula constituent un apport régional. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, des taux de Corylus et Betula inférieurs à 5% sont représentatifs d'un rapport régional. Yannick MIRAS, L'analyse pollinique du plateau de Millevaches, p.39, 2004.

, Pour l'Ouest de la France, se référer à Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, La bibliographie s'accorde sur la faible diffusion du grain de pollen de Salix et sa sous-représentation dans les diagrammes polliniques. Voir par exemple J. HEIM, Relations entre les spectres polliniques récents, pp.18-19, 1989.

C. Carole, M. Florence, and G. Didier, the use of coprophilous fungi to reconstruct pastoral activity », Vegetation History and Archaeobotany, vol.19, p.402, 2010.

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L. Dans-le-fond-de-vallée, . Végétation-se, and . Diversifie, Une roselière est implantée au sein du bas-marais, composée de Poaceae, d'Asteraceae, de la massette à longues feuilles (Typha latifolia), de la patience aquatique

, ZPL BR-3a (éch. 24-22 DD') : Moyen Âge central

, Durant cette sous-zone, le rapport AP/T reste globalement le même, p.15

, Les fréquences de Quercus, Fagus, Corylus et Betula sont significatives d'un signal régional marquant la présence d'une chênaie éloignée, de boisements clairsemés ou d'arbres solitaires dans le secteur du Breil. Plusieurs taxons d'arbustes héliophiles sont enregistrés (Frangula, Rubus, Rosaceae), témoignant de boisements clairsemés

, Le paysage autour du cours d'eau est toujours composé de prairies mésophiles et humides à Poaceae (dominantes à 35%), Asteraceae, Cichorioideae, Plantago lanceolata et rudérales et apophytes (notamment Plantago lanceolata et coronopus, Centaurea nigra-type et Urticaceae). Des cultures de seigle (Secale) et d'autres céréales

I. De-david-etienne, E. Jouffroy-in-david, and J. Et-isabelle, « Optimal counting limit for fungal spore abundance estimation using Sporormiella as a case study », Vegetation History and Archaeobotany, vol.237, pp.40-50, 2006.

J. and ;. J. Heim, D'autres auteurs ont remarqué cette sous-représentation. Pour l'ouest, se référer par exemple à Didier Voeltzel et Lionel Visset pour l'estuaire de la Loire et la tourbière de Landemarais. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, p.39

V. Lionel and . La-tourbière-de-landemarais, perceptible à travers le cortège des spores fongiques coprophiles. Sporormiella, associé à Sordaria et Podospora, atteste du maintien d'une activité pastorale locale 29 . Comme dans la ZPL précédente, vol.3, p.3

. Zpl-br-3b, Il est représentatif d'un milieu complètement ouvert, dominé par les Poaceae (autour de 45%) et les herbacées héliophiles (10% environ)

C. Carole, M. Florence, and G. Didier, « Modern and fossil non-pollen palynomorphs from the Basque mountains, p.402

G. Ambroise, . Baker, A. Shonil, K. J. Bhagwat, and . Willis, « Do dung fungal spores make a good proxy for past distribution of large herbivores ?, p.27

A. Henri-des, C. Georges, C. Robert, and G. Henri, Flore et végétation du Massif armoricain, p.478

C. Bernard, T. Jean, and . La-tourbière-de-landemarais, , pp.9-10

. Salix, Quelques espèces (Salix atrocinerea et S. fragilis) sont pionnières. Jean-Claude RAMEAU, Dominique MANSION et Gérard DUME, Flore forestière française. Guide écologique illustré, vol.1

P. Plaines, Institut pour le développement forestier, pp.623-641, 1989.

.. J. Le-grain-de-pollen-de-salix-est-irrégulièrement and . Heim, À dix mètres d'une haie de petits saules, D. Voetzel observe des taux de 3% de Salix. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, Jeannine CLERC, Recherches pollenanalytiques sur la paléoécologie tardiglaciaire et holocène du Bas-Dauphiné, vol.14, p.36, 1988.

, Les valeurs des fréquences des Cypéracées et de ses parasites (HdV-18, Anthostomella (HdV

, Arthrinium muelleri / A. kamschaticum 33 , Entorrhiza (HdV-527) 34 ) varient peu. En revanche, sur le diagramme JJ', on observe une hausse des taxons hygrophiles en fin de zone (Typha latifolia 1,8%, Hydrocotyle vulgaris à 2,8% et Sphagnum 8%). Ceux-ci révèlent des secteurs plus humides 35, Clasterosporium caricinum (HdV-126)

. Zpl-br-3c, 16 DD') : Moyen Âge central Le rapport AP/T augmente jusqu'à atteindre 22%. Il indique un milieu ouvert, un peu plus boisé que durant la sous-zone précédente. Les fréquences de Quercus, Fagus et Betula sont toujours l'expression d'un signal régional

, Au sein de la ripisylve, l'aulnaie connaît également un retour temporaire. Les valeurs de 20%

, Au sein des taxons herbacés, les Poaceae régressent de 50% à 37 %. La stabilité des

, Des prairies mésophiles et hygrophiles sont présentes autour du cours d'eau, marquées par les

. Asteraceae, Cichorioideae et plantains. L'absence d'étude des microfossiles non polliniques

, Les deux espèces sont des parasites des Cypéracées. La détermination a été réalisée à l'aide des clés de Martin B, p.574, 1971.

M. B. Ellis, A. kamschaticum a déjà été observé sur des analyses fossiles. Voir : Emilie GAUTHIER, Pollen et Microfossiles : des crêts du Jura aux fjords du Groenland, Habilitation à Diriger des Recherches, p.119, 1976.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00264307

, Ce Type peut signer la présence des deux espèces ou de l'une ou l'autre. Rubén DURAN, « 16. Ustilaginales »

, The Fungi. An advanced treatise, IVB :A taxonomic review with keys : Basidiomycetes and Lower fungi, 1973.

, Hydrocotyle vulgaris et Typha latifolia appartiennent à la végétation amphibie des tourbières et bas-marais

C. Bernard, T. Jean, and . La-tourbière-de-landemarais, , pp.6-10

, L'absence des cultures de seigle n'est qu'un biais à mettre en relation avec l'absence de conservation du culot de préparation chimique de l'échantillon 16

. Dd',

, Cependant, les dynamiques de végétation, ainsi que les taux de Betula (0.8%) et de Fagus

, pied d'une haie composée de chênes, frênes, saules, aubépine et fusain. Sur un territoire très différent, le Champsaur, Mona Court-Picon observe également

, Didier Voeltzel observe des taux équivalents au pied d'un « beau chêne » sur le transect B réalisé dans la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, vol.15, p.37

Y. , Didier Voeltzel note des taux similaires en limite d'une chênaie. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, vol.15, p.37

S. Le, Didier Voeltzel a observé un taux de 40% de Quercus sur un échantillon prélevé à 5 mètres d'une haie composée de chênes et de frênes. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, vol.15, p.37

M. Dominique, O. Jean-charles, «. Pollens, and F. Dans-le-nord-ouest-de-la, Bocages et sociétés, Rennes, Presses universitaires de Rennes, p.111, 2007.

C. Mona, Mise en place du paysage dans un milieu de moyenne et haute montagne du tardiglaciaire à l'époque actuelle: analyse du signal palynologique en Champsaur, p.106, 2007.

, Les Poaceae sont dominantes, mais leur taux poursuivent leur baisse jusqu'à atteindre

, Moyen Âge tardif Le rapport AP/T reste élevé, autour de 40% sur DD' et de 45% sur JJ'. Le chêne est toujours dominant (40% pour JJ', 35% pour DD'), alors que les fréquences des autres taxons arboréens signent une présence régionale. Comme durant la sous-zone précédente, ZPL BR-4b (éch. 6 DD' et 8 de JJ')

A. Annie and . Le-paysage-de-l'historien, Archéologie des bocages de l'Ouest de la France à l'époque moderne, Presses universitaires de Rennes, p.161, 2002.

, Seul leur enregistrement en quantité importante signale une présence locale. Cécile BRUN, Archéophytes et néophytes, op. cit, pp.230-232

, une chênaie plantée un peu plus éloignée du fond de vallée. Là encore, la faible présence des arbustes héliophiles (noisetier, épineux et fruitiers) et des autres taxons associés aux haies plus tardives (hêtre, châtaignier)

C. Associées-aux, Podospora et Cercophora (HdV-112a) 45 . de JJ', la végétation amphibie et aquatique tend à disparaître : Typha latifolia est quasi absent et Nymphaea n'est plus enregistré, Cette modification dans les cortèges de végétation reflète des conditions moins humides. Les spores fongiques HdV-200

, possiblement produites par un champignon saprophyte, révèlent des phases d'assèchements temporaires succédant à des phases plus humides 46 . On observe sur JJ' un développement des parasites des carex et des joncs

, En effet, Entorrhiza est un parasite des racines de joncs et de carex. La zone pollinique locale subjacente, correspondant au début du comblement d'un fossé, présente une somme relativement élevée de Cypéracées. Les fortes valeurs d'Entorrhiza, p.47

J. J. Blackford, J. B. Innes, J. J. Hatton, and C. J. Caseldine, Voir également Bas VAN GEEL et André APTROOT, « Fossil ascomycetes in Quaternary deposits, « Cercophora-type is present and is regularly found on dung but like other Sordariaceae may survive on other decaying plant matter, vol.141, p.317, 2006.

V. Bas, G. R. Geel, T. Coope, . Van-der, and . Hammen, Type 306 shows high frequencies in the Carex fen (local zone B), but the reason for this co-occurrence (saprophytic or parasitic fungus ?) is still unknown, Palaeoecology and stratigraphy of the lateglacial type section at, p.115

, ZPL BR-4c (éch. 4 DD') : Moyen Âge tardif ou postérieur au Moyen Âge tardif Le rapport AP/T est toujours élevé (50%

, les autres taxons (Fagus, Ilex, Corylus, Betula, Hedera, Lonicera periclymenum, Rosaceae) étant peu présents, p.1

C. L'association-des-poaceae, P. Plantago-lanceolata, and . Et,

. Du-breil, Une baisse temporaire des Cypéraceae et de leurs parasites est enregistrée. Leur présence, associée à Rumex hydrolapathum, La zone humide est toujours pâturée : Sporormiella, Sordaria et Podospora, tout autant que Cercophora

, JJ' correspond aux centimètres, vol.7, pp.5-9

R. Jean-claude, D. Mansion, D. Gérard, and F. , Guide écologique illustré. Tome 1 Plaines et collines, op. cit, pp.465-471

, Exemple extrait de Annie ANTOINE, Le paysage de l'historien. Archéologie des bocages de l'Ouest de la France à l'époque moderne, Au début du XIX e siècle, l'ajonc est compté parmi les essences composant un talus de bocage. Arch. dép. du Maine-et-Loire, 7 M 42 : enquête sur le labourage, 1811.

, Le diagramme a été découpé en quatre zones polliniques locales, elles-mêmes divisées

, La description des résultats est présentée dans les tableaux ci-dessous

, ZplMot-2a (245 à 232 cm) : époque mérovingienne-début du Moyen Âge central Le rapport AP/T augmente en début de zone pollinique

. Ipa-(cannabaceae, des Asteraceae et Cichorioideae. D'après le modèle d'âge

, Moyen Âge central La distinction entre les sous-zones a et b se fonde sur l'essor des Cyperaceae, Quercus regain d'Alnus en fin de sous-zone. Les Poaceae dominent toujours l'assemblage des taxons herbacés, malgré une baisse de leur signal

R. Asteraceae and . Plantago,

W. Martyn and E. Richard, « Vegetation dynamics from a coastal peatland: insights from combined plant macrofossil and pollen data », Journal of Quaternary Science, vol.30, issue.8, p.784, 2015.

R. De-l'analyse and . Palynologique,

, Cette séquence est caractérisée par cinq unités sédimentaires : 0-100 cm : limon sableux organique gris marron à fragments végétaux 100-165 cm : limon sableux gris à fragments végétaux, contenant 3,4% de matière organique 165-176 cm : limon sableux à fragments végétaux, contenant 4% de matière organique 176-188 cm : limon de couleur grise à marron, contenant 3,7% de matière organique 188-234 : limon de couleur gris foncé, contenant 2,6% de matière organique 2 1.2, Description des résultats de l'analyse palynologique et des microfossiles non polliniques Les diagrammes ont été découpés en cinq zones polliniques locales, pp.elles-mêmes

, L'interprétation ne porte que sur les échantillons couvrant les X e -XVIII e siècles

, Interprétation des résultats polliniques ZPL PER-3b (145 à 125 cm) : IX e -X e siècle La distinction entre les sous-zones a et b se fonde sur l'essor de Salix, Fagus et Corylus et sur la diminution des taux des, Poaceae et des IPA

D. Le-taux, AP/T de l'ordre de 40% reflète un milieu semi-ouvert, plus boisé que durant

, ZPL PER-4a (120 à 90 cm) : XI e -XIII e siècle Le rapport AP/T tombe à hauteur de 10% et se maintient à 10-20% durant toute la zone, témoignant d'un milieu ouvert 7 . Les faibles taux de Quercus (<1%-2%), de Fagus (>1%) et de Corylus (±1%) signalent une chênaie-hêtraie éloignée ou des boisements très dégradés autour du fond de vallée. L'aulnaie et la saulaie sont défrichées : les valeurs d'Alnus

H. Jean, Relations entre les spectres polliniques récents et la végétation actuelle en Europe occidentale, pp.122-124, 1970.

A. Henri-des, C. Georges, C. Robert, and G. Henri, Flore et végétation du Massif armoricain, pp.157-896, 1971.

, et suivantes, p.326

H. Jean, Relations entre les spectres polliniques récents, p.223

, ZPL PER-4b (85 à 65 cm) : fin XIII e -milieu XV e siècle La distinction entre les sous-zones a et b se fonde sur l'essor des Cyperaceae et de

. Salix,

, La sous-zone est marquée par un taux AP/T constant

, Les Asteraceae et Cichorioideae, marqueurs de pâturage 10 , connaissent également une baisse de leur représentation. La zone humide est marquée par un assèchement

A. Henri-des, C. Georges, C. Robert, and G. Henri, , pp.157-896

F. Assunta, T. Paola, R. Eleonora, I. Massamba-n'siala, A. Maria et al., Cichorieae as pastureland indicator in pollen spectra from southern Italy, pp.342-353, 2012.

, ZPL PER-5a (60 à 30 cm) : fin XV e siècle-première moitié du XVIII e siècle La sous-zone est marquée par une régression du rapport AP/T à la transition entre les ZPL 4b et 5a, en lien avec la régression de l'aulne et du saule

, Les Poaceae dominent toujours le cortège des taxons herbacés, malgré une baisse

, Au sein de la zone humide, la régression de la cariçaie

, Polypodium est un taxon sciaphile à demi-ombre ne fleurissant qu'en pleine lumière. Sa présence signe donc un milieu en partie boisé. Jean-Claude RAMEAU, Dominique MANSION et Gérard DUME, Flore forestière française. Guide écologique illustré. Tome 1 Plaines et collines, 1989.

M. Dominique, O. Jean-charles, «. Pollens, and F. Dans-le-nord-ouest-de-la, Bocages et sociétés. Actes du colloque organisé à l'université Rennes 2, 29, 30 septembre et 1er octobre, Annie ANTOINE et Dominique MARGUERIE (dirs.), p.225, 2004.

C. Georges, C. Robert, and G. Henri, Hydrocotyle vulgaris croît dans les marais, lieux tourbeux et bords des étangs ; L. salicaria au bord des eaux, dans les fossés et lieux humides. Henri des ABBAYES, pp.478-455

C. Isabelle and . Dir, Les habitats carolingiens de Montours et, vol.235, 2001.

, Les résultats sont présentés dans : Dominique MARGUERIE, Interactions sociétés-milieux dans le nord-ouest de la France à l'Holocène récent : méthodologie et données archéobotaniques, Habilitation à Diriger des Recherches, vol.1, 2009.

, Sur le diagramme palynologique, les échantillons qui n'ont pas bénéficié d'une

R. De-l, ANALYSE PALYNOLOGIQUE 2.1. Description des séquences sédimentaires et datation de la séquence Deux séquences palynologiques avaient été prélevées dans le vallon, Les deux ont

C. Isabelle and . Dir, Les habitats carolingiens de Montours, pp.113-119

M. Dominique and F. Interactions-sociétés-milieux-dans-le-nord-ouest-de-la, , pp.237-267

, 5 cm : sol minéral actuel limoneux beige 31,5-48 cm : tourbe herbacée brune humifiée 48-66 cm : tourbe herbacée brun clair 66-69 cm : passée argileuse beige foncée 69-87 cm : tourbe herbacée plus brune 87-126 cm : tourbe ligneuse blonde, vol.2, pp.5-31

, Il n'a pas été possible de corréler cette séquence avec la stratigraphie de la tranchée 1

. Graines,

*. Tourbe and . 550±30, , pp.1311-1434

, Beta-446962, vol.62

, Beta-135838, vol.62, pp.5-65

, Ly-10639, vol.102, pp.5-105

, BC Calibrations : OxCal v 4.2.3 Bronk Ramsey (2013) ; r5, Beta-112412, vol.122

, La stratigraphie a été établie par Dominique Marguerie. Isabelle CATTEDDU (dir.), Les habitats carolingiens de Montours, p.113

, Sources sur le matériel daté et les profondeurs des échantillons datés : Artemis, Univ. Lyon-1 ; Arch

L. Creaah, ». Montours, and L. Teilleul,

N. Piotrowska, M. Blaauw, D. Mauquoy, and F. M. Chambers, Constructing deposition chronologies for peat deposits using radiocarbon dating », Mires and Peat (International Mire Conservation Group and International Peat Society), Interprétation des résultats polliniques L'interprétation repose, vol.7, 2010.

, Teilleul jusqu'aux échantillons les plus récents, datés du XV e siècle. ZPL Teil-1

, Betula) et de milieux humides (Alnus, Salix, Frangula alnus), ainsi que les occurrences de taxons héliophiles comme la bourdaine (Frangula alnus) et le chèvrefeuille (Lonicera periclymenum) reflètent un milieu ouvert. Les Poaceae dominent l'assemblage de taxons herbacés, le milieu est fortement déboisé comme en sols drainés

. Louvaquint and . Le, comme en témoigne les taux importants des taxons rudéraux et apophytes. Rumex acetosa-type (7-12%) et Plantago lanceolata-type

. Dominent-le-cortège, associés à des occurrences d'autres taxons rudéraux (Galium-type

. Artemisia, Polygonum persicaria-type, Lotus-type, Plantago major, Centaurea nigra-type et Carduaceae). (Cercophora, Sordaria, Podospora, Apiosordaria verruculosa, Coniochaeta cf lignaria, Chaetonium) 11 . Des cultures de seigle

, Les résultats des analyses carpologiques menées par Marie-Pierre Ruas répondent à l'enregistrement pollinique

H. Jean, Relations entre les spectres polliniques récents et la végétation actuelle en Europe occidentale, p.124, 1970.

C. Carole, M. Florence, and G. Didier, the use of coprophilous fungi to reconstruct pastoral activity », Vegetation History and Archaeobotany, vol.19, p.402, 2010.

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. Montours, Le système pastoral repose à Montours, comme sur le site de la Perdriotais (Châteaugiron), sur une alimentation à base de pâtures et de plantes fourragères (avoine, vesce et parfois orge, p.13

, L'ouverture du milieu perdure jusqu'à la fin de la zone pollinique où l'on observe un

, ZPL Teil-2 (57,5 à 52,5 cm) : XI e -XIII e s. d'après le modèle d'âge La transition entre les ZPL 1 et 2 est datée de 890-1170 cal

D. Le-taux, AP/T de 57% reflète un milieu plus boisé. Le saule (Salix), l'aulne (Alnus)

C. Isabelle and . Dir, Les habitats carolingiens de Montours, vol.220, p.73

C. Isabelle, . Ille-et-vilaine, . Châteaugiron, and . La-perdriotais, Archéologie et environnement d'un terroir sur la longue durée et histoire de l'aménagement d'un territoire, Rennes, INRAP Grand Ouest / Service Régional d'Archéologie de Bretagne, p.419, 2013.

C. Isabelle, . Ille-et-vilaine, . Châteaugiron, and . La-perdriotais, , pp.427-428

C. Isabelle and . Dir, Les habitats carolingiens de Montours, p.220

C. Isabelle, . Ille-et-vilaine, . Châteaugiron, and . La-perdriotais, , p.428

L. Au-grand, À dix mètres d'une haie de petits saules, D. Voetzel observe des taux de 3% de Salix. Didier VOELTZEL, Recherches pollenanalystiques sur la végétation Holocène de la plaine alluviale de l'estuaire de la Loire et des coteaux environnants, Jeannine Clerc observe que « là où la saussaie domine, des taux de 44,8% au pied des saules sont relevés, p.36, 1987.

. Corylus, Betula (11%)). Parallèlement, l'assemblage des plantes herbacées témoigne, 8%)

, Cette déprise est temporaire puisque dès la fin de la ZPL

Q. De, L'aulnaie-saulaie connaît un premier défrichement : les taux d'Alnus et Salix tombent à 60 et 1,7%. En parallèle, les valeurs des Poaceae connaissent un regain, marquant une et apophytes (Rumex acetosa-type, Plantago lanceolata-type), Corylus et Betula diminuent de nouveau (respectivement à 4,9, 4,6 et 1,6%)

, ZPL Teil-3a (50 à 45 cm) : XIII e s. d'après le modèle d'âge

D. Le-taux, AP/T de 9% témoigne d'un milieu très ouvert

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P. Anserina, P. Georges, C. Robert, C. Henri, G. ;-p.erecta et al., Pour P. erecta, Bernard Clément et Jean Touffet remarquent que « la fauche et le pâturage d'une prairie mouilleuse conduisent à une modification de la flore avec une réduction des plantes des bas-marais et un enrichissement en espèces tolérant le piétinement comme, Le type Potentilla renferme certaines espèces appréciant les lieux pâturés, p.240

, Rumex acetosa-type et Plantago lanceolata-type). Les occurrences de spores fongiques coprophiles (Sporormiella, Sordaria, Podospora, Coniochaeta cf lignaria, Apiosordaria verruculosa) reflètent une activité, maintien des taux des taxons rudéraux

, Des variations sont observées dans le cortège des plantes associées au bas-marais

, XIV e s. d'après le modèle d'âge La distinction entre les sous-zones a et b se fonde sur l'évolution des taux d

. Quercus,

D. Le-taux, AP/T augmente à 40% indiquant un milieu plus boisé. Les variations dans le

. Parallèlement, on relève une baisse de taxons marqueurs de cultures, de prairies et de lieux rudéraux (Secale cereale, Rumex acetosa-type, Poaceae, Cichorioideae et Asteraceae)

C. Bernard, T. Jean, and . La-tourbière-de-landemarais, Hydrocotyle vulgaris appartiennent à la végétation amphibie des tourbières et bas-marais, pp.6-10

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, ZPL Teil-4 (35-22,5 cm) : XV e -début XVII e s. d'après le modèle d'âge

, La datation radiocarbone réalisée à 32,5-35 cm de profondeur date le début de la ZPL à 1430-1485 cal

. Le-taux-d'ap/t-régresse-de-nouveau,

, On observe également un essor des taxons rudéraux (Plantago et Lotus-type). Le bas-marais est toujours pâturé comme en témoignent la présence de spores fongiques coprophiles (Sporomiella, Sordaria, Cercophora, Podospora, Apiosordaria verruculosa), p.527

, Les deux espèces sont des parasites des Cypéracées. La détermination a été réalisée à l'aide des clés de Martin B, p.574, 1971.

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, divers Aveux Adveu d'une piecze de terre nommée le Champ Peliczon Bertran Coglès, p.1412

, divers Aveux Aveu de deux pièces de terre Bertran Coire, p.1399

. D. Arch and . De-loire-atlantique, B 1371 paroisse de Saint-Christophe-de-Valains, divers Aveux Adveu d'une pièce de terre située en la parouesse de Sainct-Christophe nommée le Fail présenté par Guillaume Chevinière Guillaume Chevinière 1466

, divers Aveux Aveu d'une maison, d'un jardin avec une pièce de terre, 1399.

, divers Aveux Adveu de la tenue Jan le Camus es fiez de la Deffense Jan le Camus Fonds et cote (suite) Pièce Lieu Déclarant Date Arch. dép. de, p.1466

, divers Aveux Adveu de deulx pieczes de terre nommées le clos Mourche et Rocher Johannin présenté par Pierre du Clos près le bourg de Saint-Christophe et fief de Launay Pierre du Clos, p.1412

, Coglès Adveu des rentes et debvoirs deuz à Aymery Loison et femme sur les fiez de Villatte et de la Jahnelle Aymery Loison, p.1399

. D. Arch and . De-loire-atlantique, B 1390 paroisse de Villamée, divers Aveux *En cas de plusieurs déclarants

. Fonds and . Cote, Pièce Lieu Déclarant* date Arch. dép. de Loire-Atlantique, B 1368 paroisse de Romagné, divers héritages

. D. Arch and . De-loire-atlantique, B 1368 paroisse de Romagné, divers héritages Aveu de la tenue de Morice Meilleur la Hardouinais Morice Meilleur, p.1455

. D. Arch and . De-loire-atlantique, B 1368 paroisse de Romagné, divers héritages Aveu d'une pièce de pré nommée le Champ d'enfer, 1435.

, divers Tenue d'Estienne Prenneille es fiez et villaige de les Luardières La Luardière Estienne Preneille, p.1453

, tenue Jan Rouxel es fiez de la basse Hochais, 1437.

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, 2Eg 110 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de la Fontaine Pour le fief d'Igné et des Orrières les Orrières L'époux de Esgaice fille, André Leprioust, p.1399

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, 2Eg 161 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de Saint-Etienne, divers parchemins concernant la Maufraisais Fief de la Chauvinais la Chauvinais Jamet Jannet et Olive sa femme 1422

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, 2Eg 109 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de la Fontaine, fiefs d'Igné Tenue de Jan Mariette bourg d'Igné, 1442.

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, , 1446.

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, marquisat de Saint-Brice, seigneurie de Saint-Etienne Fief du Breil Houssaye en Saint-Germain le Haut Breil Colin Rigaut, Jehan Rigaut, p.1446

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, Villerbué et Gillecte sa famme le Haut Breil Macé Villerbué et Gillecte sa famme 1446

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, marquisat de Saint-Brice, seigneurie de Saint Etienne Aveu de Michel Dedomaigné et Robine sa femme le Haut Breil Michel Dedomaigné et Robine sa femme 1450

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, , 1456.

, Ille-et-Vilaine 2Eg 108 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de la Fontaine, fiefs d'Igné Doit 3 sous 9 deniers de rente pour deux pieces de terres de la Landronnière la Landronnière Jamect Ginot 1460

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine,

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, , p.1461

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, 2Eg 161 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de Saint-Etienne, divers parchemins concernant la Maufraisais Fief Gentil en Saint-Etienne la Chauvinais et la Crulière Gautier Martin, p.1463

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, 2Eg 110 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de la Fontaine Terres particulières au fief d'Igné manuscrit effacé Robin Mariecte 1474

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, 2Eg 109 marquisat de Saint-Brice, seigneurie de la Fontaine, fiefs d'Igné La Fontaine, fief d'Igné bourg d'Igné Robin le Courtillier et Jehanne sa femme 1475

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine,

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, marquisat de Saint-Brice, seigneurie de Saint Etienne Aveu de Michel Dommaigné et Robine sa femme le Haut Breil Michel Dommaigné et Robine sa femme 1476

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, , 1476.

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine,

. Arch and . Dép.-d'ille-et-vilaine, marquisat de Saint-Brice, seigneurie de Saint-Etienne Fief du Breil Houssaye le Haut Breil ? Manuscrit taché 1485

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, Diagramme des échantillons traités en 2016, site de la Motte Bertier Reinbold, Aure?lie. Dynamiques de la végétation et structuration des paysages : étude interdisciplinaire des paysages agropastoraux des campagnes médiévales du nord de la Haute-Bretagne, vol.7, p.2017

, Tests sur la pluie pollinique actuelle du sarrasin, vol.9

, Le signal pollinique de Fagopyrum est encore imparfaitement calibré

, Yannick Miras a observé des taux de 3%

C. Valérie, L. Jean-françois, J. Kinet, A. , and J. , Floral Biology of Common Buckwheat (Fagopyrum esculentum Moench), vol.3, p.2, 2009.

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C. Valérie, L. Jean-françois, J. Kinet, A. , and J. , Floral Biology of Common Buckwheat (Fagopyrum esculentum Moench) », op. cit, p.2

C. Valérie, L. Jean-françois, J. Kinet, A. , and J. , Floral Biology of Common Buckwheat (Fagopyrum esculentum Moench) », op. cit, p.4

. Ibid, ) : outil pour une meilleure caractérisation pollenanalytique des formes paysagères et des pratiques agrosylvopastorales, Yannick MIRAS, « L'étude des relations entre végétation et pluie pollinique actuelle sur le plateau de Millevaches, vol.73, pp.2-3, 2009.

M. Yannick, ) : outil pour une meilleure caractérisation pollenanalytique des formes paysagères et des pratiques agrosylvopastorales, Revue des Sciences Naturelles d'Auvergne, vol.73, p.78, 2009.

I. Agnieska, P. , «. Palinologiczny-zapis-sukcesji-wtórnej-na-roztoczu-?rodkowym, ». , I. Iwona et al., La superficie n'est pas indiquée dans la présentation du poster. C'est P. de Klerk qui la rapporte dans son article paru en 2015 d'après l'European Pollen Database, Pollen and macrofossils attributable to Fagopyrum in western Eurasia, p.7, 2009.

, Sur le site de Dézerseul, le signal pollinique de Fagopyrum représente jusqu'à 5% de la somme pollinique totale, Des taux élevés de grains de pollen de Fagopyrum ont été observés sur les séquences polliniques de Haute-Bretagne, dès le début du XV e siècle

, Si l'on s'appuie sur les résultats de Yannick Miras et Irena Pidek, les cultures de sarrasin

I. Agnieska and P. , Palinologiczny zapis sukcesji wtórnej na Roztoczu ?rodkowym, p.127

M. Yannick, étude des relations entre végétation et pluie pollinique actuelle sur le plateau de Millevaches, p.80

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, Source : réseau de l'Initiative Bio en Bretagne

, Au moulin du Bertaud, les prélèvements ont été réalisés sur une parcelle de 3 ha