L. I. Hawkins, , p.25

D. Planhol, Cappadoce viendrait du hitt. katta peda-, probable louv. kattapada-ou forme similaire, signifiant « Bas-Pays ». Le terme achéménide Katpatuka signifierait donc en iranien, avec le suffixe -uk, « qui contient, pp.348-350, 1981.

, Sur la région de la Cappadoce à l'époque classique, replacée dans son contexte géographique anatolien, on renverra aux cartes de McMahon, 2002.

, et de Henry in Dossiers d'archéologie n°, vol.328, p.73, 2008.

, 181-193, le recueil d'articles tirés de sources internet diverses et recueillis par Russell et Cohn 2012 (mais avec nombre d'erreurs et de confusions !) et surtout la meilleure synthèse réalisée à ce jour, Wäfler 1983, pp.429-432, 1970.

, Pour tous ces termes, la dérivation directe du verbe louvite tapar est clairement assurée (Melchert, vol.107, p.207, 1993.

F. D'alfonso and . Fales,

D. Saruwani, « seigneur de ville » (ANDAVAL) à Muwaharani, « roi » (NIGDE 2) puis Warpalawas II, « roi

D. and A. , , p.24

, Clause finale : « qui désire cet ARMA, qu'il soit [un homme ?] ou une femme, un gouverneur ou un roi etc

«. Governor, ». Hawkins, and C. , Le titre apparaît dans l'institution du sacrifice final : « quiconque deviendra hazanide la montagne Muti, devra etc, vol.523, pp.449-452, 1975.

, Sur ce débat, voir aussi Patrier in Chroniques assyriologiques

. Toma, . Bittel, and . Idem, et note 28. Voir aussi Mellaart, p.326, 1955.

. Gonnet, et Fig. VI à VIII. Ces aménagements se situent autour de l'inscription KIZILDAG 4. 620 Jasink, puis Do?an-Alparslan et Alparslan, pp.235-236, 1984.

, 272, suggérait Wasusarma, là où Bryce 2012, 145, propose Ambari. Nous préférons soit souscrire à l'hypothèse d'Hwkins, soit à l'identification avec Warpalawas de Tuwana (critères stylistiques et autres, cf partie, 1992.

. Bittel, 109 et Ill. 10.11. L'inscription semble être d, 1986.

B. Ramsay, , 1909.

. Eyice, Voir aussi Hawkins, CHLI, p.426, 1971.

«. Tayproject and . Région-de-konya, , p.188

. Omura, Voir aussi Ünsal, pp.3173-3174, 2001.

V. Giusfredi, sur le segment « wa/i-mu-u ARGENTUM-sa ARGENTUM-za-'NEG2 pi-ia-ta » et la comparaison avec l'inscription de CEKKE, Karkemish) et 2010b, p.238, 2010.

«. Et-je-fis-moi-même-un and . Dieu, Expression très floue (Giusfredi), mais à comprendre comme « j'ai moi-même réalisé une statue, vol.86, 2010.

, Weeden, pp.15-17, 2013.

«. Tayproject and . Ekrek, Parmi les trois sites, tous avec mention EBA dans la base de donnée du TAY, l'un est fortement soumis à l'érosion, l'autre montre des traces de fouilles illicites, Les deux höyük les mieux conservés font entre 70 et 80 mètres de diamètre, vol.1

C. Hawkins, Voir la comparaison avec les phraséologies funéraires de la stèle MARAS 2, p.492

M. Hypothèse-de, , p.28, 1975.

. Gelb, Voir aussi Bittel, qui, déjà, comparait justement les techniques de fortification employées à Göllüdag, Hisarcik et Karaburun (pour le Tabal), Kerkenes Dag, pp.107-108, 1939.

. Yener, , p.186, 2000.

R. Beckman, , p.310

. Ross, Kealhofer et Grave, p.428, 2010.

. Bryce, Voir aussi Summers et Summers, 1998, p. 6 : l'affleurement granitique (actuel kale de Kerkenez) aurait accueilli les rituels accomplis par le roi hittite lors de la fête du printemps. Impossible de savoir si cette montagne a conservé par la suite son aspect sacré d, p.46, 2009.

, Alisar höyük = hittite Haitta) ou Taracha, p.352, 1995.

C. Hawkins, , vol.568

G. Kealhofer, , p.427, 2011.

. Mc-ewan, Bittel et Von der Osten, p.85, 1933.

. Kulakolgku, , p.1014, 2011.

. Özgüç, , pp.80-83, 1971.

, L'hypothèse d'un temple et/ou d'un palais demeure à ce jour forte (voir TAYproject

. Beckman,

. Bryce, , p.503, 0196.

B. Karaukuz and . Kunt, , vol.62, pp.48-81, 2002.

. Rossner, Voir aussi Hawkins, CHLI, p.436, 1988.

, « a 6-sign cartouche placed on an artificial dressed ( ?) rock »). Pour les traductions, voir Hawkins, CHLI, Avec un ? pour Hawkins, CHLI, p.441, 1983.

. Hawkins, On retrouve ce terme TERRA-i(a)-sur les inscriptions de BURUNKAYA § 1, p.442

I. Hawkins,

;. Götze, . Voir, . Garstang, and . Gurney, Identification validée (pour l'âge du bronze) par Freu, et Harmansha, 2013 ECDP, p. 16 à 18. Sur Ambarderesi, voir Bell, vol.201, pp.6-7, 1907.

. Bier, un bassin à libation), contra Mellink, vol.252, p.125, 1976.

. Mellink-;-kasim-tosun, Les travaux du collectif Dinçol (A.M.), Dinçol (B.), Poetto (M.) et Röllig (W.), p.472, 1989.

. Dinçol, Voir aussi Bergès et Nollé, p.332, 1994.

. Davis, , p.338, 1875.

C. Hawkins, Le premier a été découvert en 1949 lors de la construction d'un canal, la deuxième dans les années 1960 près de l'actuel station hydroélectrique, pp.529-530

, Pour une étude récente d'Ivriz et de son environnement, Le relief rupestre est désigné par les auteurs turcs « Ivriz-Kabartmas? » (« relief d'Ivriz, 2006.

. Otter and . Delaporte, , p.53, 1937.

, Voir aussi Delaporte, idem, et plus récemment Jean, p.202, 2002.

. Masson-idem, , pp.111-120

, Voir par exemple le vaste yayla, toujours utilisé aujourd'hui comme pâturages d'été pour les troupeaux de moutons, s'étendant près du kale byzantin qui surplombe le site d'Ivriz. Ce yayla fait ainsi en quelques sortes écho au la-pa-ni-wa/i mentionné sur la stèle

, de Pirwa dans la montagne Lihsa ; un « na4hekur de Pirwa » attesté à l'époque de Tudhalia IV, pp.180-181, 1990.

, KBo 29.210 Ro 5, cité et étudié par Lebrun, vol.301, 1994.

, Zadok, pp.423-424, 2010.

, dans son étude de la « fontaine d'Asbama, vol.229, pp.117-118, 2013.

. Lebrun, « Considérations sur le dieu Fleuve en Asie Mineure de l'âge du bronze à la période gréco-romaine

Ö. M. Labarre and N. Et-Özsait, Pour Neumann 1979, 265-266, le théonyme présente bien le lycien esbe, « cheval ». Ce dieu « relèverait de la catégorie des dieux de la guerre, p.146, 1998.

, Ce motif de la chasse aux cerfs se retrouve également à Alaça Höyük et sur les ceintures urartéennes de Samtawro et de Sagaredjo, Abb. 9 et 15). Les bois de cerfs figurent sur des objets urartéens de Kazbegi, vol.22, 2004.

, Sur cette céramique originale avec silhouettes d'animaux divers, ) bien attestée sur les sites d'Alisar Höyük (Von der Osten, p.609, 1099.

À. Il and M. Noter-que, ou Marazzi 1990, 133 proposent pour le log. (ANIMAL)BESTIA, mentionné sur l'inscription de Bohça, « lion, vol.11, 1987.

, Sur cet aspect chez les Hittites, voir par exemple Archi, 1993.

, Fig. 5 et 6. 1013 Orthmann, vol.461, p.291, 1979.

. Masetti-rouault, , 2000.

, Mais quiconque osera l'offenser, ou le négligera, que les dieux soient TARPA-contre lui avec malveillance ». De même, une action malveillante dirigée contre le vignoble aménagé par l'auteur de cette inscription entraînera la soif, le manque (stèle, face E.) : « Quiconque viendra à l'avenir avec malveillance dans ce vignoble / que Tarhunza ne le laisse en aucun cas boire ici ». Sur le hapax legomenon TARPA-, que l'on retrouve aussi sur les inscriptions de KULULU 5 et de KAYSERI, cf Hawkins, CHLI, Cette idée apparaît bien sur l'inscription de SULTANHAN (stèle, section 5.) : « Quiconque sera d'une grand piété et MASTITAYA-, et quiconque craindra ce dieu, lui-aussi obtiendra ses grâces ici, p.487

C. Hawkins, qui propose « full of exaltation », acceptée par Melchert, p.6, 2010.

. Melchert, Voir aussi les synthèses de Kammenhuber, pp.190-197, 1964.

. Kapelus, , p.259, 2010.

I. Melchert, , pp.7-8

. Beckman, Voir aussi Mazoyer, p.236, 2012.

. Singer, , pp.91-92

. Mazoyer, , p.371, 2007.

H. Singer and . Prayers, Traduction de Mazoyer, p.348, 1045.

, CTH 372), le dieu-soleil est appellé « juste Seigneur du jugement », qui apparaît comme « juste et clément », et pour qui « l'homme juste, p.320, 2007.

. Mazoyer, , pp.327-328, 2008.

, KUB 31.127+iv 24f , Hutter, pp.261-262, 2003.

. «-mon and . Dieu, vous m'avez appelé Kantuzzili, les serviteur de votre corps et de votre âme

C. Hawkins, Sur la stèle de BOHÇA, voir aussi Jasink, pp.145-146, 1995.

M. Davis and . Hawkins, L'expression (BONUS) wa/i-su-wa/i-i, de wasu-, "être bon", est il me semble à comprendre ici avec un sens religieux, "j'étais dévoué". L'expression se retrouve dans un tout autre contexte, dans lequel un vassal parle de son seigneur, pp.387-407, 1979.

C. Hawkins, Voir aussi Giusfredi, pp.241-246, 1934.

C. Hawkins, , p.141, 1995.

. Lebrun, Bergès et Nollé, pp.474-475, 2000.

. Ibid, , vol.8

. Haas, , p.37, 1994.

C. Hawkins, Voir aussi Giusfredi, et Poetto, pp.275-285, 1979.

I. Hawkins, mais qui reste sceptique sur la traduction de cette phrase, p.490

. Hutter, qui cite l'inscription de ÇIFTLIK à propos des espoirs attendus dans le futur, à commencer par la « longue vie ». Il compare cette inscription à d'autres inscriptions « néo-hittites, comme celles de KARATEPE, vol.1, p.264, 2003.

. Akdogan and . Hawkins, , p.237, 2010.

, Voir également Haas, p.99, 1985.

, Concernant les interprétations et analyses récentes, cf Bergès et Nollé, p.99, 2000.

. Giusfredi, , p.529, 2010.

, et suiv. Voir par exemple la formule funéraire que les fils du roi défunt Panamuwa Ier de Zincirli se doivent de réciter à l'avenir (KAI 214) : « Puisse l'âme de Panamuwa manger au côté d'Hadad et puisse son âme boire auprès de Hadad, conforme elle-aussi aux traditions hittites de l'âge du bronze, p.190, 2000.

C. Hawkins, Cet euphémisme est omniprésent dans les sources de l'âge du bronze hittite, p.444

. Lebrun, , p.424, 2005.

. Bossert, , p.115, 1071.

C. Hawkins, Marwai-: "sombre, Cf Starcke, p.162, 1986.

, sauf dans le cas de KULULU 4) et la formulation « Tarhunza m'était favorable et pour moi, il fit tout ce qui est bien », proche de celle de la stèle KULULU 4 (« les dieux ont aimé mon temps

, Autre stèle au sommet arrondi, à l'inscription très courte (« Mursili, grand roi, héros »), peut-être érigée dans un NAhe

C. Hawkins, , p.494

B. Mora, , p.527, 2012.

. Une-stèle-de-marash,

, Voir aussi Harmansha, vol.23, pp.642-643, 2003.

C. Hawkins, Voir aussi Mora et Balatti, vol.490, p.527, 2012.

K. Idem,

, Par exemple le document de fondation KARKAMISH A 6

, Tous ces termes diffèrent quoiqu'il en soit des NA4huwasi-du IIème millénaire (Puhvel 1991, 438 et Taracha 2009), qui désignent les stèles cultuelles contenant une divinité et des « boundary markers, Melchert 2010, 9. L'auteur rappelle les équivalents lycien (???) et lydien (tas?v), pp.103-104, 1993.

T. Hawkins-;-qui-Étudie, M. A5b, and . Et, KULULU 4) : nom du défunt / membre(s) de la famille ayant érigé le monument / éloge funèbre dans certains cas / obligations cultuelles imposées à la famille / formules de protection divine, vol.45, p.162, 1097.

, 642-643, qui envisage les constructions diverses mais aussi l'érection du monument funéraire comme une « pratique d'aménagement, Harmansha, 2011.

. Hawkins, , 0196.

C. Hawkins, 491 pour les difficultés de traduction et sa proposition « By my justice

, lignes, vol.214

. Chli, , p.256, 1108.

, Une crémation pourrait par exemple apparaître à SHEIZAR § 3, immédiatement après la mention de la mort de la défunte Kupapiya (« and my children put(?) me on the, La structure des deux textes, pp.50-51, 2012.

, L'image de ce roi trônant a été gravée directement sur un des côté du grand « trône rupestre », mise en abyme originale s'il en est

C. Hawkins, Seule cette interprétation pourrait expliquer la présence du cartouche « Grand Roi, Hartapu, Grand Roi », réplique assez maladroite (et sans disque solaire ailé) des modèles visibles à quelques mètres seulement du relief, vol.145, 1992.

, Phiale à ombilic en forme de rosette à 12 branches

, il suffit de lire quelques textes décrivant les fêtes religieuses majeures des Hittites (dont des étapes des festivals comme la Fête du mois et le festival AN.TAH.SUM, qui place au centre des dévotions les montagnes Puskurunuwa ou Tapala), des rituels de fondation (CTH 414 ou KUB XXIX 1), ou de jeter un coup d'oeil sur le panthéon rupestre de Yazilikaya, qui compte de nombreuses Montagnes Divines (Hazzi, Nanni, Dalya, Kanzura, Tashsha) et oùles divinités majeures sont figurés debout sur des montagnes, p.298, 1130.

, Voir aussi Popko 1999, sur la montagne comme espace fondamental pour les rituels, Lebrun, vol.253, pp.165-166, 1132.

L. Pierre-inscrite, le bloc ; les stèles et leurs socles ; les propriétés magiques de la pierre brute

, Des textes de rituels indiquent qu'elle possède des propriétés guérisseuses 1185 . En ce sens, les deux inscriptions d'ERKILET 1 et 2 nous 1179 Mazoyer, vol.60, 2002.

, Salmanasar III en 842 par exemple (ARAB I, 574)

, Özgüç, vol.716, p.141, 1976.

N. Bergès, Abb. 3) et 37 (Abb. 1), Taf, vol.36, 2000.

T. Ibid, , vol.37

, Casabonne, vol.143, 2004.

, Haas 2003, 192 et suiv. pour les différentes matières minérales utilisées dans les rituels de guérison. entre monuments rupestres néo-hittites et phrygiens, voir Barnett 1953, 2003.

D. Lorenzo and . Alfonso,

, Bittel 1976, 105 et 127. Voir aussi Mazoyer, pp.57-58, 2002.

, Sur ce point, voir par exemple les études de Mielke, 2012.

, Sur ces points, voir par exemple Erbil 2005 (thèse), Erbil et Mouton 2012 et également Leyla, 2011.

Ç. Bahar and . Et-iskan, , vol.515, 2007.

, Yalçinkaya 1943, pp.137-138

, Voir Dogan 2005 pour la description géologique du Taurus et de l'Anatolie méridionale (« dolines, vallées aveugles, résurgences karstiques, gouffres, grottes, ponts naturels

T. Voir and . Kocain,

, Dallegio d'Alessio, p.291, 1966.

, 3+ Vs. II 48 ' par exemple : « alors, j'allais sur la montagne pour rencontrer le dieu-Soleil, pp.77-78, 2009.

M. Freu, , vol.345, pp.126-127, 2010.

«. La and . Haute, Voir Gonnet, issue.106, pp.152-153, 1968.

, La montagne hittite citée en CTH 106 est considérée par les spécialistes comme correspondant au Bolkar Da? (Götze, 1927/30, 103 ; Garstang et Gurney, pp.71-72, 2006.

C. Hypothèse-«-installer-»-d'hawkins, , p.441

C. Hypothèse-d'hawkins, , vol.441, pp.257-258, 2006.

, Sur le toponyme Muti comme étant une forme racourcie de Muwati, « puissant, Muli comme divinité mineure appartenant au cercle de la déesse Huwasanna d'Hubisna / Ere?li, p.421, 2003.

. Et-lebrun, Apparaissant aussi dans les textes sous sa forme « dLAMMA-sarlaimi », c'est la montagne sacrée de la ville d'Hubisna et membre du cercle d'Huwassanna (Raimond, figure dans la documentation d'Assur, mais dans le groupe « anatolien peu probable » défini par Zadok, vol.168, p.293, 1264.

. Hawkins, Voir aussi Freu, 2006, p. 220, et, sur cette montagne comme limite frontalière entre le domaine royal hittite et le Tarhuntassa (traité CTH 106), vol.51, p.196, 1995.

, à 52) et son étude de ce terme Doudnè (ibid, Ces différentes termes sont utilisés par différents auteurs ayant étudié le relief rupestre d'Ivriz. Voir les rappels de Delaporte, pp.145-146, 1936.

G. , L'auteur traduit l'idéogramme par « underground watercourse ». 1269 TAY project, Kocain, horizontal cave. L'entrée est près d'un torrent et desceend jusqu'à 20 m de profondeur. 1270 Dallegio d'Alessio, pp.283-284, 1966.

, Pour une synthèse rapide sur le vin dans le monde hittite, voir Lebrun, pp.11-14, 2009.

, de même que les différents types de vins (rouge, blanc, « miellé, On peut ajouter à ce champ lexical les termes hittites GI?mahlla-(« branche de vigne ») et surhi-(« racine / cep de vigne »), vol.II, pp.15-21, 2009.

, repris par Mazoyer 2008, 309) et « L'Hymne et la Prière de Mursili II à Telipinu, vol.295, pp.155-178, 1980.

. Haas, , vol.249, 2003.

. Klock-fontanille, , pp.80-81, 1998.

V. Powell, Mc Govern et alii, chap. 9. Voir aussi Hawkins, pp.123-124, 1986.

, Voir aussi Haas, Mouton, vol.2012, issue.9, pp.354-357, 1310.

, Hoffner 1974, 39), probable avatar hittite du qitip karanim de l'époque des comptoirs assyriens, Mazoyer, pp.142-145, 1313.

, KUB LX 5 IV 16-18. Voir Lebrun, vol.170, 2002.

. Zehnder, 28 (nom d'un scribe sur un sceau de Bogazköy, SBo II 37-41). L'anthroponyme réapparaît à l'âge du fer sur une inscription de Karkemish, pp.128-129

. Lebrun, Le toponyme désigne trois cités hittites différentes, pp.163-164

, Il se pourrait en effet que le hiéroglyphe *519, qui n'est attesté que sur cette inscription, regroupe par sa forme les deux premières variantes du *160

, Ce dernier regroupe BOR et AKSARAY, les qualifiant de « textes quasientièrement dévolus à des descriptions de prospérité économique et d'établissements propagandistes de prix ». Si les points communs dominent clairement (voir surtout la structure des inscriptions contenant la mention de mesures optimales ou idéales, cf étude plus loin), les précisions de mesures sont à interpréter différemment selon nous, surtout en raison de la précision à BOR « wa/i-mu-u », « pour moi, Avec Hawkins 1986a (qui mentionne BOR mais semble toutefois l'isoler des autres attestations du Tabal, de Karkemish et de Sam'al) mais contra Giusfredi 2010, pp.241-242

, Pour les mesures chiffrées de BOR, Hawkins (1986a, 99) pose d'ailleurs la question : « would ancient Anatolian vineyards have produced exclusively grapes and their products ?

. Hawkins-ibid and . Bor,

C. Hawkins and . Giusfredi, , pp.250-251, 2010.

C. Hawkins, . Comparaison-entre-le-tinatisa/i-de-Çiftlik, S. Le-tinataza-de, and ». Un-dixième,

C. Hawkins, and la-hi ?-zi-i as agricultural components of the houses ». 1394 Hawkins 1986a, 94-95 : un shekel d'argent = un mouton / 3 PA(RISU) de laine ; un demi-shekel d'argent = 4 PA d'orge / 1 PA de vin. Hoffner 1997, 9 et 146, propose léquation 1 PARISU = 50 litres, vol.444, pp.179-180, 1395.

. Masetti-rouault, Sur les « prix idéaux » et la propagande économique, voir réf, vol.181, pp.130-131, 1401.

, Rappelons à ce propos la possible étymologie de l'anthroponyme de SULTANHAN, qu'on le lise Sarwatiwara (« Tiwat fait croître ») ou Warwatiwara (« Tiwat fait germer

, développées à ses côtés deux disciplines, la sémiotique, aidant à interpréter les signes visuels, 1976.

(. J. Baschet, L. 'iconographie-médiévale, and F. Histoire, Instrument proche de la faucille, qui servait d'arme, vol.364, p.15, 1434.

. Dans-la-théogonie-d'hésiode, Cronos châtre (« faucha le bourses de ») son père avec « une longue serpe aux dents aiguës ». Du sang du Ciel naissent des figures divines en liens profonds avec l'équilibre du monde, la fertilité et la fécondité, à savoir les Erinyes, les Géants, les Nymphes Méliennes et la déesse de l'amour et du désir, Aphrodite. En Grèce, l'attribut de Cronos était la faucille

. Hypothèse-de-laroche, , p.292

, Hypothèse avancée par Meriggi pour le hiéroglyphe *202, mais mise en doute par Hawkins CHLI, p.293

, Voir aussi, aux marges de notre espace d'étude, les puissantes structures de Kaman Kalehöyük (fortifications des phases IId et IIc, cf Matsumura, pp.12-15, 1998.

B. Mora, , 2010.

L. , Yazilikaya comme à Kizilda?, et rappelons l'existence sur l'acropole de Kizilda? du grand trône rupestre, probable marqueur d'une culte funéraire dynastique, sur lequel a été ajoutée au VIIIème siècle l'image d'Hartapu « défunt donc dieu » et autour duquel s'observent plusieurs cupules indiquant bien un culte

, Sur les Quellgrötte (« grottes avec sources souterraines ») d'Hattusha, voir Bittel et Neve, pp.5-20, 1970.

O. Harmansha, , vol.636, p.14, 1550.

N. Par-exemple, Ussishkin 125-127 (sur les rituels d'enterrement des statues de rois défunts, associées à des sculptures de lions), Hawkins 1980c et (sur les monuments funéraires néo-hittites, les « chapelles » funéraires de Guzana), pp.298-299, 2013.

, dont la face A figure une reine défunte debout sur des fortifications urbaines, vêtue comme Hebat, à comprendre ici probablement comme une « Hebat de la Ville, Comparable alors à la stèle d'ISPEKÇÜR (Melid)

C. Hypothèse-d'hawkins, 524 (justement par comparaison avec KARATEPE 1), suivi par Payne, vol.108, pp.331-332, 2003.

, Houwink ten Cate, vol.120, pp.165-189, 1961.

«. Virtue, ». Proposé-par, . Hawkins, and . Suivi-par-payne, 86 : « I showed (?) virtue above all kings ». On notera également l'existence, à Karkemish toujours, 2012.

, On peut ajouter la « maison du warpa-» dont il est question sur la stèle de KÖRKÜN, identifiée par Weintenberg puis par Hawkins comme étant un lieu de culte avec temenos

. Payne-idem, Voir aussi Hawkins CHLI, 463 (à propos de l'inscription SUVASA B, qu'il compare d'ailleurs à ANDAVAL et à HAMA 4, avec un même titre « roi warpi-») : « *273 seems most likely to indicate, as most commonly, pp.64-65

. Payne-idem, , vol.76, p.137, 1572.

. Resp, . Hawkins, and . Morpurgo-davies, , p.631, 1986.

. Resp, , pp.339-340, 1990.

, A 2/3 § 16) ou « maison du warpa-» (KÖRKÜN), où warpa-signifierait « temenos » ; un verbe qui aurait d'après Götze le sens « encercler, « maîtres du warpa

-. , ». , and ». , Melchert en reprend également deux : « fort, puissant » et « enclôt, enceinte » 1581 . Récemment, plusieurs auteurs se divisent sur deux hypothèses : soit il y a une seule et même signification aux différents termes en warpi-(F. Giusfredi, qui part du principe que le déterminatif *273, déjà associé aux termes construits en muwa-, figure systématiquement là où warpi-est attesté, et qui traduit alors warpalli-par « personne puissante ») 1582 , soit il existe deux mots différents, warpa/i-(« capacité, qualité, connaissances ») et warpa-« enceinte

K. E?rek, . Boyaci, and A. Sultanhan, la thèse polysémique semble préférable, avec ainsi deux termes différents : warpa/i-, « capacité, qualité, connaissances », surtout dans l'anthroponymie 1584 , dans des titulatures royales (ou divine ?) et des topos funéraires du type « existence exemplaire menée sur terre, SMEA, vol.40, pp.87-104, 1998.

. Ibid, Hethitisch (anda) warpa-und warpa, pp.47-52, 1977.

, Weitenberg idem, vol.48, p.51

. Resp and . Tishler, , 1581.

, Mais le déterminatif *273 ne figure ni à MARASH 1, ni à EGREK et à SULTANHAN, ni à KÖRKÜN, Giusfredi 2010a, p.967, 1583.

, Remarquer les fortes homonymies entre warpali

, Contra alors Giusfredi idem, pp.136-137

. Idem, , vol.120, pp.56-57, 1602.

. Westbrook, Voir aussi Raalflaub ibid, 54 + n. 10 et 56-57 (« concept de justice sociale qui protège les membres les plus faibles de la société des abus des plus fort, pp.150-151, 1995.

M. Ibid, , vol.123, 2002.

. Idem,

. Idem, , pp.124-125

. Ne, Athènes, dont on peut détailler les différents sous-ensembles et les composantes majeures comme suit : la ville avec ses remparts, son acropole et sa ville basse + le territoire qui l'entourent avec ses terroirs agricoles (l'Attique) + ses différentes montagnes (les monts Parnès, Hymette et surtout Laurion, avec les mines d'argent qu'il renferme) + ses autres petites villes et villes saintes (Eleusis, Marathon...) + un fleuve majeur

. Resp, , 2000.

, Par exemple Lebrun 464 et n. 12, qui cite Starke, p.365, 1990.

D. Mora, et Basso et Gürel in D'Alfonso et Mora, vol.828, pp.649-650, 2008.

C. Hawkins, Elles pourraient correspondre à celles décuuvertes par Carter, cité par Aro, vol.257, 2003.

, », l'utilisation de noms dynastiques (Tuwati I, II et peut-être III, Warpalawa I et II, peut-être Askwisi I et II), Via par exemple le topos introductif « mes pères et grands-pères n'avaient pas etc

. Puhamme-/-prob.-louv and . Pihamuwa, Urimme / prob. louv. Uramuwa à Hubeshna, simil. Kilamuwa et Panamuwa à Sam'al) ou, plus indirectement, les anthroponymes « à connotation royale, Kiyakiya en Tabal et à Sinhutu, Kurti à Atuna, p.440, 1630.

C. Attesté-À, TOPADA (une fois), AKSARAY (à une reprise), sur la lettre de KIR?EHIR (à une reprise également) et peut-être à GÖSTESIN, KULULU 1 (5 fois également), KULULU 7 (une fois)

, Terme qui peut se lire en louvite Tuwati (D'Alfonso FsFales, 177 + n. 8)

. Chli, , p.173, 1635.

C. Houwink-ten, , vol.115, p.207, 1961.

S. Tôs, =. Tuwati, and . Forlanini, 22-23 + n. 14, qui cite Sayce. Voir aussi Masson, pp.133-134, 1962.

C. Hawkins, note d'ailleurs l'étrangeté du passage, proposant d'identifier ce Tuwati soit comme étant le « Grand Roi », père de Wasusarma, soit le nom de l'auteur de l'inscription (donc un autre Tuwati), vol.475

, Hawkins idem, 267, qui traduit « ils m'ont fait roi, vol.85, 2004.

, Et non huit comme l'affirme Giusfredi, pp.90-91, 2010.

, en raison du génitif -sa4. Hawkins CHLI, vol.158

, Les formes, très variées, peuvent être de cinq types, dont deux dominent largement, (« IUDEX »)tara/i-wa/i-ni-i-sa (EGRIKÖY, MARASH 1, BABYLONE 1, TELL AHMAR 1, KARKEMISH A 11a) et IUDEX-ni-sa (inscriptions de Tuwana, TELL AHMAR 6, KARKEMISH A 6 et A 15, variante IUDEX-ni2-sa à KULULU 4 et génitif IUDEX-ni-sa4 à KULULU 3), trois autres semblant beaucoup plus isolées, à savoir « IUDEX-sa » ( KARKEMISH A 2+3 et CEKKE), IUDEX-ni-i-sa (KARKEMISH A 11b, Il est à noter que dans son cursus honorum, Ruwa a été d'abord tapariyali puis « Seigneur de Maison

(. Çiftlik,

. Enfin, . Giusfredi, and . Le-titre-ne-se, ensemble du monde néo-hittite 1655 , puisqu'il est totalement étranger aux titulatures des souverains de Malatya (ce qui est logique, puisque la dynastie des « Grands Rois » de Karkemish y a été exilée justement par celle du tarwani Suhi), du Hamath, de Sam'al et de Que (le terme « justice » figure à KARATEPE 1, mais pas le titre tarwani). Il semble bien s'être diffusé de Karkemish vers le nord, l'Anatolie du sud-est (occurrences relativement isolées à Kummuh et à Gurgum) et surtout la Cappadoce, où l'on trouve le plus grand nombre d'attestations en dehors de Karkemish

L. Ainsi, . Seul, and . Unique, dénote bien la détention d'une autorité, d'un pouvoir sur un territoire donné, qu'il s'agisse d'un royaume, d'un « pays » plus restreint ou d'une cité-Etat. Il peut dans certains cas se suffire à lui-même, mais ne semble pas avoir de caractère fixe, pouvant s'appliquer aussi bien à un « roi » (REX), un « seigneur de pays » (REGIO.DOMINUS), un « seigneur de ville » (URB.DOMINUS), un haut-fonctionnaire (lui-même ancien gouverneur et Seigneur de maison) ou à un « prince » (CAPUT-ti). Il n'est en revanche jamais appliqué ni à un « Grand Roi, point commun à l'ensemble de ces attestations est que ce titre, totalement étranger aux traditions hittites impériales mais caractéristique des différentes titulatures de l'âge du fer

, l'hébreu saran (« prince des Philistins » dans la Bible), le grec tyranos et peut-être l'étrusque Turan, genèse qui nous intéressera surtout dans les liens entre le louvite tarwani et le grec tyranos (voir partie VI), quelle étymologie et quelle traduction peut-on alors proposer pour les attestations louvites ?, Sans aborder les débats autour de la genèse d'un terme qui se retrouve aussi bien dans l'ougaritique srn

O. Pintore, A. Carruba, J. D. Eichner, A. M. Hawkins, I. Jasink et al., Freu 1656 pour ne citer que les principaux, il semble à première vue que l'on puisse retenir deux principaux éléments : -premièrement, la traduction retenue communiérement est celle de « ruler » (dans les traductions d'Hawkins comme dans celles de Payne ou de Woudhuizen) 1657 , ce qui nous donnerait un très commun « souverain, dirigeant, chef », -deuxièmement, l'étymologie désormais la plus répandue ferait dériver les trois termes (à savoir IUDEX-ni, tarwani, « le chef, 1655.

. Resp, / 1989 / 1992 / 1995 et CHLI / 1998a et 1998b, 1983.

E. Harman?ah, Voir aussi sa synthèse in OHAA, pp.631-643

. Idem, , p.12

. Vassileva, , p.55, 2001.

. Harmansha, ECDP : dans un « contexte microgéographique » (p. 5), l'archéologie du paysage doit « lier, à travers des rites spécifiques 1671 Singer, p.148, 1996.

, Master 1, pp.66-67

. Lumsden, Il existe à l'apogée de l'empire deux icônes royales, correspondant à deux grandes fonctions royales : le roi-soldat, avec kilt court, casque pointu, lance, arc et épée ; surtout le roi sumus pontifex, en costume de prêtre, modèle auquel Tudhalia IV rajoutera l'épée courte à pommeau en forme de croissant de lune, p.90, 1994.

. Neve, , p.20, 1996.

. Voir-lebrun, 32 pour la damnatio memoriae lancée par Hattusili III contre Uhri-Tesub/Mursili III. La thèse d'un effacement volontaire du relief rupestre est soutenue par Ehringhaus, Hrouda, pp.471-474, 1980.

V. Hawkins, , 1998.

. Iik, , 2011.

. Peschlow-bindokat, , 2001.

M. Balza, Les auteures insistent sur l'association étroite entre écriture hiéroglyphique monumentalevisées propagandistes et légitimation religieuse -et sanctuaire NAhekur, p.220, 2011.

, Pour les études récentes de ce kale, voir Karaukuz et Kunt, 2006, qui proposent une datation au LIA (750 -300), avec occupation durant l'Antiquité tardive puis à la période seldjoukide

, bien que cette interprétation frontalière et géopolitique est reprise mais nuancée par Yakar et alii, un possible monument et sanctuaire « frontaliers», qui plus est au carrefour de plusieurs routes antiques : frontières entre le Tarhuntassa et le sud du Bas-Pays hittite pour Bryce par exemple, pp.10-11, 1998.

K. Hüyük-;-peut-Être-la-célèbre-purushanda, , p.567, 2009.

I. Freu, Il semble que des marches taillées dans le rocher mènent à cette cavité, située à un mètre environ sous le relief. 3. un monument comme « réponse propagandiste » aux différents landscape monuments de Tudhalia IV, et la ville de Lusna au sud (class. Lystra, act. Hatunsaray), qui appartiendrait au Tarhuntassa. 2. un lieu anciennement sacré et saint, marqué par une géomorphologie karstique et ses diverses grottes ou résurgences aquatiques (une source, p.195

, De la permanence de certains objets : l'exemple des autels et de leurs motifs décoratifs (planche comparative 11

, Certains objets bien représentés à l'âge du bronze restent en usage à l'âge du fer, le meilleur exemple étant ici les autels. Un même modèle, à savoir une table ronde reposant sur une base conique de forme grossièrement triangulaire

. Yakar, Les auteurs parlent de « sanctuaire ou complexe religieux », là où d'autres, comme Bryce, p.21, 2001.

. Bittel, et plus récement Karaukuz, Bahar et Kunt, 1986.

F. Par-exemple, 405 : « un descendant, réel ou fictif, de Hartapu, aurait-il ordonné de sculpter le relfief qui représente ce dernier ? Une lignée de rois, 2005.

C. Hawkins, , p.463

, MALKAYA pourrait commémorer la naissance d'un enfant, d'après l'hypothèse -prudente -d'Hawwkins et Weeden, p.246, 2011.

, Anatolia : on the trail.., 183, signale aussi des figures humaines gravées (?)

C. Hawkins, une paléographie des deux groupes d'inscriptions comparable, p.269, 1993.

, L'inscription de BURUNKAYA était à l'origine gravée au sommet de l'amoncellement rocheux appellé « Burunkaya », sur une petite paroi (Hawkins, CHLI, Pl. 243a) quasi-exactement identique au rocher portant l'inscription de TOPADA. Les deux sites ont pu également servir de carrières

, Une route également, mais plus au coeur du territoire mélidéen, à KÖTÜKALE. Triste destin, mais destin significatif, que celui de cette inscription et, dans notre espace, du relief de Karapinar, tous deux détruits lors de la construction

, Les animaux jumelés ou par paire sont d'ailleurs fréquemment utilisés pour contituer la base de bassins (bassin aux lions couchés de Bogazköy) ou d'autels (autel aux taureaux jumelés de Savçili)

. Masson, , 1980.

. Par-exemple-freu and . Mazoyer, , pp.126-130, 2010.

. Hawkins, Voir Freu et Mazoyer, ibid, pp.128-129

L. Akp?nar, ». Ou, and K. , « source noire

«. Eflatunp?nar,

«. P?narba?? and L. Tête-de, source

. Malp?nar, « source des biens, des marchandises

. Boybeyp?nar? and ». De-tribu,

, On peut aussi rapprocher ces actes de purification et de libations des cérémonies accomplies par Salmanasar III au tunnel du Tigre, décrites par l'Obélisque d'Assur : il lave les armes d'Assur dans le fleuve, avant des sacrifices, un banquet et le façonnement de l'image royale, Il est intéressant de noter ici qu'un des attributs des divinités hittites des sources et des fleuves est la timbale ou le vase à libation, vol.465, pp.374-375, 1994.

. Haas-idem, , pp.464-466

, hiver « ses sources bien-aimées » pour descendre chez sa mère ou la déesse des Enfers qui emprunte les sources pour monter dans le monde supérieur (KUB 28.6). A.R.W. Green définit ainsi la religion anatolienne, comme « revolved around a Water-from-the-Earth concept, Voir aussi les études de, vol.127, pp.180-181, 2003.

C. Au and D. , KUR d'Arimmata (par exemple pour Simon, vol.688, 2012.

V. Delaporte, Gordon 1967 (qui traduit d KASKAL.KUR par « underground watercourse, vol.204, pp.153-154, 1937.

. Harmansha,

, Ehringhaus, pp.157-158, 2005.

, Kizilda? a livré des fragments de céramique datant de l'empire hittite et de l'âge du fer ancien 1749 tandis que le massif du Karada? est occupé dès le néolithique (voir par exemple le site de Pinarba?? A, site majeur d'exploitation de l'obsidienne, du Néolithique jusqu'à la fin du Chalcholithique), et le site d'Ivriz-Ambarderesi montre une occupation dès les XIème-Xème siècles (voir le petit relief plus ancien et ses aménagements rupestres) et peut-être même bien antérieure (voir les fragments d'obsidienne du kale), Les trois sites montrent une occupation ancienne, antérieure aux reliefs et aux inscriptions rupestres : Hatip est occupé depuis le néolithique puis à l'âge du bronze 1748

B. Déjà, , p.35, 1986.

B. Par-exemple, , p.515, 1996.

, Bittel 106-108 et plus récemment Karaukuz, Bahar et Kunt, 2002.

L. Hallo, , p.353, 1819.

R. Ibid,

, Lebrun ibid, 25, pp.69-70, 1825.

L. Enfin and . Changement-d'attitude-de-midas, qui désormais « a fait la paix avec nous » d'après Sargon II (SAA I, 1, § G), notamment face à la menace cimmérienne et paralèllement au déclin de l'Urartu, entraîne un recul de l

. Hypothèse and . De-weeden, , p.42, 2010.

P. Hypothèse and . Exemple, , p.135

. Arab-ii-§, , p.137

, Malgré les « bienfaits » de Sargon à son égard Ambaris a écouté les sirènes de Mita de Muki et du roi d'Urartu, Rusa. Une telle alliance était un réel danger pour l'Assyrie. Une nouvelle intervention de Sargon en Tabal (713) a entraîné la déportation d'Ambaris et de sa famille, vol.136, 2012.

C. Hawkins,

, Sur ces différentes affaires, voir Melville, pp.98-99, 2010.

, « libérant ainsi les royaumes tabaliens d'une pression « impériale » des trois puissances et peut-être même, pendant un temps, des incursions étrangères, 1899.

, Hulli et d'Ambari, la cité de Sinhutu de Kiyakiya, le royaume d'Atuna de Kurti et enfin celui de Tuwana sous Warpalawa II. Une « ambassade » est attestée sous Ambari, probablement envoyée à Gordion même. La pratique d'ambassades communes tuwano-phrygiennes, déléguées auprès du gouverneur assyrien de Que, est avérée sous Warpalawa II. Des contacts avec d'autres états néo-hittites sont également attestés sous le règne de Sargon II, Sont ainsi attestés des contacts et des liens diplomatiques étroits entre d'une part la Phrygie de Midas, et d'autre part le Tabal (puis le Bit Burutash) d'

. L'importante-alliance-entre-midas and . Pisiri-de-karkemish, qui coûtera là aussi son trône à Pisiri et entraînera la chute définitive de Karkemish, est datée de 717. Deuxièmement, les toponymes « Tabal » (assyr. KUR-ta-ba-li

L. Tubal, ». Sura-?)-et-«-phrygie, . Mu?ki, and . Muska, Meshek) apparaissent quasi-systématiquement côte à côte dans des sources très diverses, qui s'étendent du VIIIème au VIème siècle. 1° Dans les documents assyriens datant de Sargon II (dernières années de son règne, 2° Dans les sources bibliques :« Fils de Japhet : Gomer, 1900.

«. Javan, ;. Et-méshék-trafiquaient-avec-toi-;-»-;-«-là-sont-méshék, «. Dans-la-titulature-du-roi-de-lydie-gygès, . Gog, . Magog et al., A travers cette carte géographique mentale se dégage une sorte de koiné constituée du Tabal (probablement la Cappadoce en général), de la Phrygie (alors probablement au maximum de son expansion à la fin du VIIIème siècle avant qu'elle ne soit détruite par les Cimmériens au début du VIIème siècle et ne tombe aux mains de la Lydie de Gygès / Gog) et du Javan (probable Ionie, qui désignerait alors l'Asie Mineure dans son ensemble, c'est à dire Ionie, Aeolide, Meonie, Mysie et Troade + peut-être la Carie ?) 1902 . Signalons ici un site tout à fait révélateur, bien que très modeste : celui de Kiciki?la. Ce site, au bord de l'ancienne route reliant Tyana à Ikonium, a révélé des fragments de céramique Middle or Late Phrygian ware, de la black-on-red ware caractéristique de l'Anatolie du sud et du sud-ouest et enfin de la Ionian ware, dont un bol entier 1903 . Ces objets sont datés du VIIème siècle et synthétisent tout à fait la situation, unissant en un même lieu influences phrygiennes, cappadociennes et sud-anatolienne, Pout et Loud [Autre terme pour Lydie ?], Meshek, Tubal, Javan, et les îles lointaines, 1901.

. Idem, , pp.99-100

D. Récemment and . Fales, , vol.181, 1994.

. Resp and . Genèse, Ezéchiel, vol.10, issue.13, p.19

, Pour une géographie historique des différentes nations listées dans Ezechiel, qui confirment assez bien ce qui est dit ici sur Meshek / Meshech et Tubal, voir Ruthven, pp.149-153, 1903.

;. Un-tarwani-renommé-«-d'un-côté-dans-le-mizra, ». Dans-le-musa-;-«-lydie, ]. Le-mushka-;-phrygie, and ;. Sura, on valide l'équation de Zsolst Simon Sura = Tabal (voir partie I, 1.4.4, 3) 1904 . D'après les recherches récentes de J.D. Hawkins, Musa correspondrait plus précisément à la Mysie classique, dont les peuples sont liés ethno-linguistiquement aux Méoniens, du nom originel Meion / Maion, hittite Masa (voir dans notre corpus l'anthroponyme Masauhrisa et le grand roi Hartapu, qui dit avoir « conquis le pays de Masa pour toujours »), les Masa étant ainsi les Proto-Lydiens 1905 . Masa serait peut-être à la base du toponyme biblique Magog, constitué alors de Ma-+ nom royal Gog

, », où l'on retrouve à nouveau l'association entre la Grèce, la Lydie, l'exUrartu (Arménie et Parthie) et la Cappadoce) ou l'intéressante précision apportée par Xénophon dans son Anabase, 4° Complétons ces trois tableaux par des éléments datant de la période achéménide, comme l'inscription de Darius à Béhistoun (« je devins le roi de

. «-grand-phrygie, Concernant les possibles influences politiques et idéologiques, l'absence d'inscription phrygienne à caractère proprement « royal » ne permet pas de comparer des topoi ou de traits de propagande. Il est toutefois notable qu'au moins deux anthroponymes phrygiens sont clairement des anthroponymes louvites : Gordios et Midas. Gordios (au moins deux souverains différents) correspond au louvite Kurti, du nom du dieu-cerf Kurunta / Kuruntiya / Runtiya, qui n'est attesté qu'en Cappadoce (un Kurti roi d'Atuna sur l'inscription de BOHÇA, le même que le Kurti des sources assyriennes et sans doute identique au ku+ra/i-ti-sa, Kurati, de l'inscription d'HISARÇIK ; un Kurti et un Kurtiya sur les bandelettes de plomb de Kululu) et à une seule reprise à Kulummu / Kulummayu / Til-garimmu (Gurdu / Qurdi / Gurdî dans les sources assyriennes), Le théophore peut aussi prendre en Tabal les formes Ruwa et Ruwata. Dans les autres états louvites anatoliens (Melid et Kummuh surtout), les théophores construits sur le nom du dieu-cerf prennent systématiquement la forme Runtiya et jamais Kurti ou Ruwa. Il est, pp.168-169, 1904.

L. I. Hawkins, , p.37

N. Bergès, , p.472, 2000.

, Dupré, vol.110, pp.253-255, 1911.

, Akkaya, pp.25-26, 1994.

, Crespin 1999, 68, mais il pourrait dater

. Idem, La céramique de Porsuk ne montre par exemple aucune forme qualifiable de phrygienne, pp.69-70

. Wittke, , p.338

. Idem,

, 9 et 10 sont des imitations lointaines et bien endogènes, Les, vol.6

N. Bergès, , pp.95-96, 2000.

O. Omura, , p.1099

. Draycotttt and . Summers, , pp.75-76, 2008.

. Terme-uwatari and . Échanson, L'entrée monumentale montre une idole aniconique, phrygienne, sculptée dans un bloc d'orthostate de tradition et probablement de facture louvites 1923, Citons surtout ici les trois inscriptions phrygiennes de Tyana, dénommées T. 01 à T

, En tout, on relève 150 signes, les anthroponymes -mida[-(Mita / Midas) et -[ tumida (?), le verbe « parler » ainsi que deux ou trois autres formes verbales. Il s'agit bien de monuments publics, le caractère funéraire pouvant être à priori écarté 1926 . Ils présentent plusieurs caractéristiques louvites, proches des autres oeuvres du royaume de Tuwana : stèle au sommet en berceau, basalte comme roche utilisée (similaire à celui employé dans les fortifications de Tepeba?lar? ou pour la stèle NI?DE 2), situation originelle dans un probable sanctuaire, sans doute dédié au Tarhunza du Vignoble (voir les deux stèles de BOR). M.J. Mellink déjà soutenait que ces inscriptions faisaient partie « d'une stèle de tradition hittitelouvite », supposant l'existence d'une représentation divine sur le devant du (ou des) monument(s). L'archéologue mettait ainsi en relation ces documents, par Brixhe et Lejeune dans leur corpus 1924 . Retrouvées à Kemerhisar (T 03 vient du höyük d'Ambartepe), comme les deux stèles néo-hittites de BOR (BOR 1 vient du Kilise Tepe proche), elles sont très fragmentaires mais appartiennent bien sans doute à deux ou trois monuments, correspondant à deux ou trois scribes différents 1925, 1927.

, Ces aspects correspondraient tout à fait à la politique étrangère religieuse de Midas, connu pour ses présents envoyés au sanctuaire de Delphes (le célèbre trône en particulier) et sa fréquentation de l'oracle de Telmessos, en cela imité aux périodes suivantes par Gygès et Cresus de Lydie. De même, l'ensemble constitué par les deux stèles hiéroglyphiques louvites de Bor et ces trois inscriptions phrygiennes, au sein d'un sanctuaire proche mais sans doute ici en dehors du centre urbain même de TuwanaKemerhisar (probablement Kilise tepe), évoque tout à fait les oeuvres élevées par Warpalawa II dans le sanctuaire d'Ivriz, parmi lesquelles une stèle bilingue (louvitephénicien), une statue colossale et un grand relief inscrit. Ainsi et pour conclure sur ces inscriptions phrygiennes, citons à nouveau G. Fiedler : « si [...] le tumulus de Kaynarça peut être simplement le reflet d'une influence culturelle, les inscriptions phrygiennes de Tyane, gravées sur des stèles, témoignent d'un contact plus profond, d'un lien politique, Varinlioglu, à la suite d'autres auteurs, compare ces stèles aux stèles huwasi louvites, équivalents probable des ????? ????? phrygiennes. Quoiqu'il en soit, s'il s'agit bien d'un monument public et dans le cas où le -mida[-cité est bien un souverain, alors il s'agirait bien du roi phrygien Midas lui-même, T. 02 pouvant alors être un texte d'alliance diplomatique et T. 03 une dédicace à un dieu local, 1928.

L. Brixhe, , pp.253-268, 1984.

, Brixhe, p.41, 1991.

, 78 (l'auteur relève l'absence de formules exécratoires), suivi par Brixhe idem, 45, et Fig. 1a à 1d, vol.252, pp.253-254, 1927.

D. Dupré, 110 (« peut-être érigé comme un monument commémoratif de l'alliance entre Midas et Warpalawas »), puis Bergès et Nollé, pp.469-470, 1983.

, Les orthostates de Gordion montrent une iconographie et une facture clairement louvites : une tête de lion garde-porte, l'arrière-train d'un taureau ou plutôt d'un cheval, une sphinge, deux hommesgriffons tenant un disque solaire ailé, une figure royale ou divine à chaussures à la poulaine face à un lion (scène de chasse probable), une scène de combat entre animaux et un fragment de trône décoré de swastikas, extrêmement bien conservée) 1930 , ville dont la fondation est attribuée à Midas et dont le toponyme viendrait du nom d'un des fils de ce souverain, 1931.

L. Générale, fragment de trône identique à celui de la reine du Long Wall of Sculpture, d'où l'hypothèse de l'identification de la figure avec Kubaba / Cybèle) et surtout, selon Ute Kelp par exemple, de Sam'al. L.E. Roller compare également certaines oeuvres d'Ankara avec les modèles de Sagzagözü, et les graffitis du Megaron 2 de Gordion aux scènes de Tell Halaf et, à nouveau, de Karkemish. L'influence et les sculpteurs viendraient donc de Karkemish, dont les liens avec la Phrygie sont connus, par exemple par son exportation d'ivoires nord-syriens et par l'alliance Pisiri / Midas en 717 1933 . Après avoir demandé aux états louvites de lui envoyer des architectes et des artisans, Midas aurait ainsi aménagé l'entrée monumentale de son acropole sur le même modèle qui prévaut alors dans l'ensemble du monde néo-hittite, le style et les vêtements ont été rapprochés des modèles de Karkemish (orthostate des génis-griffons soutenant un disque solaire ailé du Herald's Wall, 1934.

, 2° Celle des sphinxs montre des affinités indéniables avec les oeuvres de Göllüda?, de Kültepe et de Kululu. Le rendu particulièrement haut et recourbé des ailes de la sphinge de Gordion, qui préfigure la sphinge grecque classique, ne se retrouve, bien que moins accentué, que sur les deux sphinxs inachevés de Göllüda? (ill. 4 et 5). Les ailes, le poitrail, Toutefois, plusieurs similitudes avec la sculpture et l'iconographie cappadociennes semblent particulièrement frappantes. Prenons quelques exemples (voir planches comparatives 16 et 17) : 1° L'iconographie des lions phrygiens d

. L'orthostate-figurant-la-partie-inférieure-d'une-figure, montre des bottes à la poulaine aux extrémités très marquées ainsi que des jambes larges et très robustes, ce qui ne correspond ni aux modèles de Zincirli, ni à ceux de Karkemish, mais bien plutôt aux modèles cappadociens, comme le grand relief d'Ivriz, celui d'Ambarderesi et surtout la stèle d'Aksaray

. Enfin, arrière-train de l'animal figuré sur l'orthostate S 79 fait effectivement penser à un cheval (la queue surtout) davantage qu'à un bovin

. Voir and . Sams, , 1989.

. Pausanias, Description de la Grèce

, Cf aussi Sams idem, Kelp idem, vol.1, pp.129-130

, Hypothèses de Kelp idem

. Sur-ce-modèle and M. Voir, Les objectifs de ces entrées, outre leurs caractères cérémoniels (riches processions) et une fonction de protection divine et sur-naturelle des portes de la cité, sont de glorifier le personnage royal, démontrer sa force et sa maîtrise du monde sauvage (scènes de chasses), 1997.

, Une troisième koiné : les mondes proche-oriental, égéen et grec

, Assyrie et la Cappadoce louvite dans un premier temps, entre la Cappadoce et le monde grec ensuite. Dans le premier cas, les influences et emprunts semblent réciproques mais les influences assyriennes (art, techniques, modes vestimentaires...), si elles sont bien réelles, sont aussi à nuancer. Dans le second cas en revanche, les influences et transmissions se font majoritairement selon une direction EstOuest, Il s'agit ici de tenter d'isoler les influences et les échanges observables, au sein d'une vaste koiné, 0208.

. Berndt-ersöz, , pp.259-262, 2003.

, Et peut-être certaines influences araméennes, si l'on songe que le toponyme araméisant Bit Burutash est appliqué à cette entité politique par Sargon II

A. Ibid, , p.99

. Saa-vii-58, , vol.92, 2010.

, Le titre avait déjà été emprunté à l'akk. ?ukkallu, sum. SUKKAL, probablement transmis à l'âge du bronze via le hourr. ?ukkalli. Comme nous l'avons dit, nous penchons en faveur de la dernière hypothèse. Du point de vue religieux, on peut relever l'assimilation Marduk / Santa sur l'inscription ERKILET 1 § 1, dont l'auteur se dit « prêtre (?) du dieu Marutika », forme louvitisée du nom du dieu babylonien Marduk. Mais cette assimilation Santa / Marduk s'observe dès le IIème millénaire hittite (rituel de Zarpiya par exemple, où le nom Santa est écrit avec le logogramme de Marduk), Il est ainsi par exemple extrêmement difficile de dire si certains titres administratifs, comme le (LIGNUM)sukala-, « vizir », sont des emprunts aux Néo-Assyriens ou aux traditions hittites impériales

. Héraclès, en ajoutant une statue et en élevant des piliers en bronze 1947 . Enfin, des personnages politiques de premier ordre ont vécu en Cappadoce même, 1946.

, Elle a pu non seulement introduire des éléments assyriens à la cour du Bit Burutash, mais également influencer la politique et/ou la propagande de son époux, Les contacts ont pu alors se faire directement. La fille de Sargon II Ahat-abisa est donnée en mariage à Ambari du Tabal, avec comme dot les territoires du Hilakku, 1948.

, De la Cappadoce vers l'Assyrie : tributs, déportations, influences techniques et culturelles

, Mirko Novak résume dans l'ouvrage cité au tout début de cette partie les principales influences louvites observables en Assyrie, donnant quelques références utiles : sur les plans urbains assyriens (bit hilani et citadelles ; travaux de G. Bunnens), la sculpture monumentale (A. Gilibert), les arts mineurs (D. Bonatz) ou les jardins d'agrément (M

, « un jardin à l'image de ceux de l'Amanus ». Il en conclut notamment qu'il existe bien plus d'exemples d'influences et de « transculturations » entre le monde néo-hittite et l'Assyrie qu'avec la Babylonie par exemple 1950 . Les influences proviennent ici majoritairement de Syrie du Nord. Là encore, les tribus et les déportés ont joué un rôle majeur dans la transmission de ces influences, comme dans le cas des ivoires nord-syriens étudiés par Dominique Bonatz. D'après la dizaine de tributs « tabaliens » relevée entre 837 et 663

, Bérose cité par Burnstein, vol.24, pp.73-75, 1947.

. Saa-i-31, Un (autre ?) Nabu le'i est mentionné en SAA XVII 82, mais Baker la date du règne d'Esarhaddon, pp.299-301, 1950.

, 268 et SAAS 6 : 277ff.) ou le dénommé Ka-ma-ba-mu, esclave du Tabal, vendu pour 67 shekels d'argent (SAAS 6 : 227), la « quantité exceptionnelle de marbre » prise par Salmanasar III sur le mont Muli / Muti ou les « 10 talents d'or et 1000 talents d'argent » saisis par Tiglath-phalazar III lors de la déposition de Wasusarma (ARAB I, § 802), et enfin les « 2000 chevaux » pris par le même Tiglath-phalazar III (idem précédent), le tribut de « chevaux, fois pour les esclaves, les matières premières, dont les métaux précieux, et les chevaux 1951 . Citons comme exemples respectifs les 180 esclaves « tabaliens » vendus sur un marché d'Assur (SAA, vol.15

, Des marchands louvites semblent même s'installer de leur plein grès à Assur, comme l'illustrent les lettres sur plomb retrouvées dans la grande cité assyrienne. Tous ces individus apportent donc avec eux à la fois des traditions culturelles mais également des techniques nouvelles, principalement dans deux domaines : la métallurgie d'une part, et les techniques d'élevage, de dressage et d'entraînement des chevaux d'autre part. Ainsi, parmi les anthroponymes d'origine « anatolienne » relevés par Ran Zadok dans son étude, on relève des forgerons et des entraîneurs de chevaux. Il est d'ailleurs remarquable que nombre d'« Anatoliens », dont certains sont clairement d'origine cappadocienne, montrent pour reprendre les mots de l'auteur un «, Le textile n'est pas attesté explicitement dans ces descriptions de tributs, mais peut être supposé, notament si l'on songe à l'époque achéménide, dont les textes décrivent les tributs cappadociens, constitués de manteaux, de châles et d'autres vêtements ornés 1952 . Deuxièmement, les déportés ont probablement transmis nombre d'éléments louvites cappadociens en Assyrie, 1953.

, 4) pour les détails. L'étude majeure demeure celle d'Hawkins et Postgate, 1988 (« Tribute from Tabal, State Archive of Assyria Bulletin, II / 1, pp.31-40

, Voir les tributaires cappadociens figurés sur la rampe est de l'Apadana, qui apportent un étalon, un châle

, Sur la première vague, voir Baggs 2007, sur les deuxième et troisième vagues, voir Zadok ibid, 422, et sur la dernière, Zadok, vol.118, pp.78-82, 1954.

, Concernant les aspects techniques, on peut s'interroger sur les impacts posssibles des modèles et des techniques rupestres hittites impériales puis cappadociennes sur les pratiques assyriennes, en particulier sur les réalisations datant du règne de Salmanasar III, grand utilisateur de reliefs rupestres, créditeurs d'une dette, d'autres encore sont des officiels ou des cadres militaires 1956 . On sait également qu'un nombre très important de femmes tabaliennes a été déporté à Babylone sous Esarhaddon, à tel point que les Babyloniens formulent une demande officielle afin que leurs épouses tabaliennes obtiennent les mêmes droits qu'eux 1957

, qui constitue de très nombreux anthroponymes à partir de 685, soit une génération après la grande vague des déportations sargonides 1958 . Zadok comme Radner le considèrent bien comme dérivant du toponyme Tabal. Bien que la plupart des individus qui le portent soient d'origine assyrienne, d'autres sont sans doute d'origine cappadocienne. Il s'agit quoiqu'il en soit d'une appelation plutôt méliorative 1959 . Plusieurs d'entre eux sont esclaves mais d'autres sont agent commercial, forgeron (qui possède son propre sceau et vend une esclave), Un apport culturel particulièrement intéressant s'observe également dans le gentilice Tabalayu (et dérivés)

, Les états cappadociens, la culture louvite et le monde grec

, Cette thèse a par la suite été défendue et démontrée dans des domaines très divers par nombre d'auteurs, dont nous ne citons ici que quelques études majeures, sans oublier l'imposant ouvrage de W. Burkert (2003) et les études de F. Prayon, 1960.

Z. Ibid, SAA, vol.18, p.158, 1957.

, Zadok ibid, pp.423-424, 1958.

, Radner 2013, qui cite par exemple un « Tabalayu, fils de Bel-Harran-ahu-u?ur

, Les influences artistiques et iconographiques

, Les sphinxs, les griffons, les rosettes, ainsi qu'un souci de représentation plus réaliste des corps constituent le nouveau répertoire 1966 . Tous ces éléments « transitent » vers le monde grec via les ports ciliciens, nord-syriens et phéniciens. Si les influences de la Syrie du Nord et de Karkemish (ivoires notament), de l'Assyrie (l'iconographie léonine par exemple), de l'Urartu (chaudrons urartéens probablement importés par certaines cités grecques) et de la Phrygie (motifs géométriques sur la céramique surtout) sont bien connues et étudiées, celles potentiellement originaires de la Cappadoce le sont beaucoup moins, Dans la deuxième moitié du VIIIème siècle, le style géométrique de la céramique grecque laisse place progressivement au style dit « orientalisant » qui s'épanouit pleinement au VIIème siècle, 1965.

, Schuller in Borbein éd, pp.16-22, 1995.

, Sur la Cilicie et ses liens avec le monde grec, Les noms des souverains de Que sont clairement d'origine grec, comme par exemple Muksa, du grec Mopsos, ou Awariku, du grec Euarchos (« well-ruling »). Voir Yakubovich, pp.17-18, 2010.

. Lemaire, , p.274, 1991.

, Par exemple Holtzmann, pp.49-51, 1989.

, Le châle porté par le roi de Kululu est même désigné par ces écoles comme un « chiton ». De même, le visage du sphinx de Kululu n'est pas sans évoquer certains traits de la sculpture grecque du VIIème siècle, et les sphinxs de Göllüda? comme celui de l'orthostate louvite de Gordion montrent plusieurs similitudes avec les modèles grecs archaïques, Comme on l'a vu, plusieurs auteurs considèrent les statues de la Cappadoce septentrionale de la fin du VIIIème siècle, 1967.

, L'iconographie est ici en tous points comparable aux manteaux portés par Warpalawa de Tuwana (voir planche comparative 19, ill. 2 à 4) : sur la statuette n° 1, la tiare à trois bandes ornées, le collier cerclé et la longue robe décorée de quadrillages (ill. 2) ; sur l'exemple 2, la tiare, la lourde ceinture (motis de forme carrée ou rosettes) et surtout la robe décorée dans sa partie inférieure, sur le devant et derrière, de swastikas et / ou de quadrillages (ill. 3 et 4). Les comparaisons entre les tiares sont d'ailleurs notées par F. Poulsen, R.D. Barnett et également E. Akurgal 1969 . La prêtresse tient aussi une quenouille, Le cas où les comparaisons sont les plus riches, et les influences probablement directes, est celui des statuettes en ivoire retrouvées dans l'artemision d'Ephese, figurant des prêtres et une prêtresse, datées de la fin du VIIème siècle, 1968.

, Le motif de la croix gammée, envahissant sur la céramique de la fin de la période géométrique et du début de l'art orientalisant, pourrait constitué un autre fil directeur. Akurgal remarquait à juste titre que les croix gammées figurées sur les statuettes d'Ephèse différent des modèles de la céramique grecque mais imitent les modèles phrygiens et tuwanéens 1971 . Mais là où l'auteur pensait à une imitation des modèles phrygiens, nous préférons y voir une origine cappadocienne, peut-être via le canal lydien. En effet, des jeunes filles lydiennes étaient chargées du culte d'Artemis, et les ateliers lydiens pourraient être à l'origine de ces statuettes, à la suite d'une observation sans doute directe du relief d'Ivriz. Il pourrait aussi s'agir de productions locales éphésiennes ou encore, pourquoi pas, de cadeaux d'un potentiel (et tardif) roi de Tyanitide. Il semble quoiqu'il en soit que prêtres et sans doute souverains portaient toujours en Anatolie en cette, Greaves appelle « l'identité louvite d'Ephèse » est également bien attesté, à travers les 99 astragali d'ivoire notamment, datés eux aussi du VIIème siècle mais qui illustrent de très anciennes croyances louvites 1970

A. Par-exemple, Voir aussi Ridway, vol.331, p.80, 1977.

, Des études récentes ont montré que l'identification avec les célèbres prêtres eunuques dits « Megabyzos » décrits par Strabon, longtemps acceptée

. Resp, , 1912.

L. I. Greaves-in,

A. Ibid, 219 : à Ephèse, « les différents bras à crochets ne partent pas du même centre, comme c'est le cas pour la croix gammée de style géométrique

, Ces deux termes sont également connectés à l'ougaritique srn (transitération akkadienne s/zuranu), « prince », à l'hébreu saran, un titre aulique chez les Philistins d'après les sources bibliques, et peut-être à l'étrusque turan 1979 . Si l'on examine la chronologie, le terme originel serait l'ougaritique srn aux XIIème-XIème siècles, suivi justice », la majorité des auteurs s'accordent pour dire que l'origine du terme grec est bien le mot louvite, comme par exemple Ilka Yakubovich ou Federico Giusfredi 1981 . Le terme rejoindrait ainsi la liste des mots grecs empruntés au louvite, comme depas, une sorte de coupe (du cun. louv. tappas et hiéroglyphe louvite (CAELUM)ti-pa-s « ciel »), tolupe (du louv. taluppi, « motte de terre ») ou tursos (louv. tuwarsa, « vigne ») pour n'en citer que quelques-uns 1982 . Le problème reste donc d'identifier les médiateurs de la transmission du louvite vers le grec, Du tarwani au tyrannos : de la Cappadoce vers la Lydie puis l'Asie mineure et les îles égéennes ? Il est désormais temps d'explorer l'origine du terme grec tyrannos comme dérivant du terme louvite tarwani, 1984.

, Or les liens et les contacts sont bien attestés entre la dynastie des Mermnades fondée par Gygès d'une part et les cités d'Asie Mineure ainsi que le sanctuaire de Delphes d'autre part. Hérodote décrit par exemple les célèbres offrandes (argent, cratères d'or...) du roi lydien à l'oracle qui aurait d'ailleurs conforté son pouvoir 1986 . De même, les tyrannos Thrasybule de Milet (fin du VIIème siècle) et Périandre de Corinthe (VIème siècle) entretiennent par la suite de bonnes relations avec le roi lydien Alyatte. Il est également très probable que Gygès ait exercé une sorte de protectorat non seulement sur l'Asie Mineure mais aussi et surtout sur ce qui restait de la Phrygie et sur la Cappadoce, le roi lydien étant par exemple désigné dans les sources bibliques comme « le prince suprême de Meshek et de Tubal, mais bien de la Cappadoce louvite, que nous souhaitons étayer ici. Historiquement, la première attestation du terme tyrannos dans les sources grecques se rencontre chez Archiloque, qui l'applique au milieu du VIIème siècle au roi Gygès de Lydie, 1985.

P. Voir-notamment, , vol.285, 1983.

, Pintore ibid, p.290

. Resp, « le titre anatolien est clairement l' ultimate source pour les termes grecs et sémites, par glissement sémantique de « justice » à « juge » et de « juge » à « prince » (ou « tyran ») ») et 2009, 141 (« en l'absence d'étymologie claire pour le grec ou le phénicien, il est fort probable que le terme originel qui fut peut-être emprunté par les peuples de Palestine, vol.112, 2002.

, Voir par exemple Yakubovich, pp.183-185, 2008.

. Idem, , p.113

, Pintore 1983, 287 ou Radet, pp.146-147, 1964.

, Par exemple Orrieux et Schmitt-Pantel, p.115, 2005.

H. I. Hérodote, Voir par exemple le passage suivant : « Gygès est, après Midas, fils de Gordius, roi de Phrygie, le premier des Barbares que nous connaissons qui ait envoyé des offrandes à Delphes, vol.161, pp.7-14, 1976.

, Les contextes et formulations sont là aussi étonement comparables. Il en va de même pour les « 1000 mesures de vin » offertes par Oenée de Lemnos à Agamemnon et à Ménélas durant la trêve achéo-troyenne, qui fait écho aux « 1000 tiwatali de vin » que doit produire à l'avenir et dans l'idéal le vignoble planté par Sarwatiwara à SULTANHAN 1994 . Les deux nombres possèdent chacun leur symbolique respective, certes globale et sans doute commune aux Indo-Européens, mais les échos sont surprenants : comme on l'a vu, le 9 est un des chiffres majeurs synonyme de perfection, d'harmonie et de plénitude dans le monde hourrite-hittite-louvite (cycle de la royauté céleste hourrite qui change tous les 9 ans, chêne vert de Telepinu replanté tous les 9 ans sur la montagne Puskurunuwa, fréquents sacrifices ou offrandes de 9 unités, SULTANHAN 1992 ) se retrouve dans la geste de Béllérophon que raconte le Lycien Glaucos lorsque Diomède lui demande d'où il vient, avant un combat singulier qui n'aura finalement pas lieu : le héros Béllérophon, déjà en lui-même profondément inscrit dans le cadre anatolien (envoyé à la cour du roi de Lycie, combats contre les Amazones et les Solymes...), est accueilli par « le seigneur de la vaste Lycie » avec 9 jours de festivités, où cours desquelles le roi lycien fait « tuer 9 boeufs pour lui, 1993.

, La grande majorité des guerriers portent bien des noms d'origine grecque et « l'ethnicité louvite » des Troyens homériques reste difficile à valider, contrairement par exemple à l'ethnicité clairement lycienne des Lyciens de l'Iliade 1995 . Certains anthroponymes ou théonymes ne sont en effet pas à comprendre comme étant d'origine louvite, mais comme des formes louvitisées d'originaux grecs, L'anthroponymie des Troyens a fait couler des mers d'encre, 1996.

, Frank Starke a soutenu dans une étude détaillée que « la description homérique de la société troyenne serait un portrait dans l'ensemble fidèle d'une société louvite-anatolienne remontant à l'âge du bronze, mais qui probablement avait survécu en Anatolie occidentale jusqu'au VIIIème siècle », pour reprendre le résumé qu'en fait Mario Benzi dans l'ouvrage commun Reconstruire Troie : 1992 HISARÇIK 2 § § 1 -4 : « J'ai célébré la montagne Harhara à neuf reprises, avec une gazelle irwa, D'autres anthroponymes « troyens » sont clairement d'origine grecque (Hector, Andromaque, la majorité des 19 fils de Priam

, « Neuf jours durant, il le reçut en hôte et fit tuer neuf boeufs pour lui

. Il, Aux fils d'Atrée, Agamemnon et Ménélas, le Jasonide offre à part 1000 mesures de vin

. Idem, , p.152

, Starke 1997 (contra Deger Jalkotzy 1991 toutefois), décrit par Benzi in Fartzoff et al, p.446, 2009.

. Benzi, 447 : « même s'il s'agit de bien peu d'exemples, la survivance de noms d'origine asianique dans la tradition épique est remarquable et ne doit pas être sous-estimée

, Watkins 1995a déjà pour Priam. Sur l'origine louvite de ces noms, voir Lebrun, p.246, 2013.

, validée et reprise par Yakubovich ibid, 152 et n. 67 puis par Oreshka, L.I., 357. Ce nom est clairement d'origine anatolienne et son association avec le grec « swan, vol.49, 1986.

D. Durnford, 350 et n. 33 (se réfère au lieu dont Sarpédon est originaire), ou Raimond 2013, 289. L'étymologie est sans doute plus carienne (racine sar-fréquente dans l'onomastique carienne) que lycienne mais l'origine est là encore louvite semble-t-il, On retrouve ainsi ce terme peda-dans le toponyme katta-peda-, la Cappadoce, i.e le louv. « BasPays ». « Haut-Pays » se dirait alors sara-peda, 2008.

?. Satanu, Notre anthroponyme Satanu pose toutefois plus de problèmes qu'il n'en résoud : peut-être non louvite (pour Giusfredi 2010a par exemple), possiblement hourrite (type Satandu(hepa), « (Hebat) se réjouit ») mais hypothèse louvite envisageable toutefois (de ziti-? Plutôt de Sata, attesté à l'âge du bronze et forme utilisée pour désigner le DEUS-sa-ta i.e Santa, à KULULU 2, + suffixe -nu), Connexion avec l'hydronyme Satnioeis, fleuve de Mysie. Satnios est d'ailleurs le fils d'une naïade. Si Kuknios = louv. Kukuni, alors Satnios = louv. (?) Satanu ? Un « nom étranger au grec » pour Wathelet ibid, 990

, Le nom Astéropée, jeune chef des Péoniens et dont la « génération remonte à l'Axios au large cours » (le fleuve est le grandpère du héros), semble venir de la rivière hittite, et divinisée comme il se doit, Astarpa, sans doute via la figure mythologique d'Astéropée, fille du dieu-fleuve Cebren en Troade, trait d'ailleurs partagé avec la nymphe phrygienne Oinôné

, Astyanax, au nom clairement grec, est aussi désigné par l'hydronyme Scamandrios. Hécube est elle-même fille du dieu-fleuve Sangarios. Batiéia, arrière-grand-mère de Tros, est fille de Teukros, un dieu-fleuve phrygien, Nous renvoyons à ce sujet aux études récentes de René Lebrun 2003 . De manière plus indirecte, l'anthroponyme Lycaon, père du chef lycien Pandaros dans l'Iliade, dérive du toponyme d'origine louvite Lukka-wanni, « qui appartient aux tribues 2002 Voir par exemple Brulé, vol.18, pp.241-268, 2002.

. Du-/-habitée-par-lukka, Plusieurs toponymes semblent également montrer des racines hittites-louvites. Les racines hittites de plusieurs toponymes troyens sont bien attestées, comme l'illustre le nom de l'acropole de Troie, ????????, qui viendrait du hitt. pargu, « haut, Comme nous l'avons dit, les études récentes abondent en ces sens et les anthroponymes évoqués pages précédentes devront faire l'objet d'examens plus approfondis, 2004.

, Les origines complexes et « mixtes » d'Arès, théonyme rapproché du louv. Iyarri et divinité qui a toujours constitué dans plusieurs régions comme le sud de l'Asie Mineure « le déguisement grec d'un dieu guerrier indigène » pour reprendre Louis Robert, ont été magistralement étudiées par Alexander Millington 2009 . Pierro Meriggi comparait déjà le théonyme Sarma, forme de Sarruma au Ier millénaire, au grec Hermès 2010 . Et les points communs entre les deux divinités ne manquent pas : mêmes liens étroits avec la montagne, De quelques figures divines liées à la montagne et à la vigne : Hermès, Dionysos, Maron et Saron. Intéressons nous enfin à quelques figures divines, en particulier celles liées directement ou indirectement à la vigne et à la montagne. Insistons au passage sur les origines anatoliennes désormais bien établies de plusieurs divinités majeures du panthéon grec, 2008.

Q. Sarruma and . Porte-parfois-l'épithète-«-montagne-royale, et qui est bien à l'origine une montagne divinisée), deux divinités-fils, jeunes et imberbes, des « dieux coureurs » et guides, qui se déplacent vite, des dieux protecteurs des rois et des héros sur le champ de bataille (Hermès et Achille, Ulysse, Persée ou Héraclès ; Sarruma qui « court devant » le souverain à la bataille), des dieux-guérisseurs (Sarruma et ses liens intimes avec Hattusili III puis Tudhalia IV et avec les princes de sang en général, Hermès sous sa forme tardive « Trismégiste », identifié à Thot), deux divinités LAMMA, vol.41, 1998.

C. Le-nom-de-la-première-Épouse-de-priam,

, Lebrun, 2014.

. Voir-resp and . Lebrun, , p.298, 2006.

, qui étudie le dieu pisidien « Arès Kideudas », un dieu guerrier local mais aussi un dieu agraire, avec corne d'abondance et grappe de raisin, ce qui n'est pas sans évoquer l'iconographie d'Ivriz, vol.149, pp.543-566, 1994.

, 83 et notes, cité par Laroche 1955, 20 + n. 2 : « ainsi que le suggère Meriggi, c'est peut-être Sarma, forme évoluée de Sarruma, qu'on doit comparer au grec Hermès, 2006.

C. Houwing-ten, , 1961.

, Voici la description qu'il fait du relief : « un colosse divin, barbu, à chevelure abondante et frisée, coiffé de la tiare garnie de cornes des divinités mésopotamiennes, qui d'une main semble moissonner des épis tandis que l'autre saisit les lourdes grappes d'un cep dont le plant jaillit du sol entre ses jambes, Jeanmaire, vol.22, pp.241-536, 1970.

. Fugitif and . Son, « vigne », et il est en lui-même une synthèse d'éléments « orientaux », bien attestés dans le monde néo-hittite et en Cappadoce : le bâton de guide, la vigne symbole de fertilité et enfin la pomme de pin, symbole d'éternité et de mystères (comme on la voit en Mésopotamie, portée par les génis-griffons, ou sur les stèles funéraires néo-hittites de Marash), 2017.

, On retrouve par exemple la concordance -?-= -uwa-dans les anthroponymes ciliciens ??? qui correspond au louv. Muwa(s) (= Moua en Pisidie), ???, louv. Tuwa, ou encore ??????? / ??????, louv. Muwaziti. Le cadre géographique est bien un cadre thraco-anatolien, la ville de Maroneia / Ismaros 2019 étant située près de l'actuelle frontière entre Grèce et Turquie. L'anthroponyme Ismarus apparaît lui dans plusieurs légendes, dont l'Enéide, où un Ismarus est cité comme étant un compagnon d'Enée originaire de Méonie (= Lydie), ce qui nous ramène à nouveau vers l'Asie mineure 2020 . Un toponyme similaire est aussi attesté sur l'île de Lesbos, à Mytilène (probable dérivé de Muwatalli / Motalides), et certains auteurs l'ont vu comme dérivant du hitt. imrassa, « champ », malgré les réticences d'Ilka Yakubovich 2021 . Enfin, le « vin doux / sucré » dont parle l'Odyssée, reflète bien le louvite matu(sa)-(hitt. cun. maddu-), qui désigne un « vin miellé », donc « doux, Comme nous l'avons déjà suggéré, nous proposons de voir dans la figure grecque de ????? un dérivé du dieu louvite maruwan-, qui apparaît sur l'inscription de KAYSERI, probable divinité protectrice des vignobles. Fondateur légendaire de la cité de Maroneia / Ismaros (près de la montagne du même nom) en Thrace, ville célèbre pour son sanctuaire de Dionysos et sa production de vin à l'époque gréco-romaine, Maron / Maro est connu dans l, 2018.

. Larr and . Myth, , vol.84

, Odyssée 9, pp.193-230

, Une seule et même cité pour Isaac, 1961.

, « maire, responsable », qui apparaît sur notre inscription de BULGARMADEN, située à moins de 50 km au nord d'Illubru. Illubru (hitt. Allubrata, byz. Lampron, au sud de notre espace, sur les contreforts du Taurus) s'est alors révolté avec le soutien des habitants de Tarsus, Karuha / Nikaruha ?), écho quoiqu'il en soit

, Un an plus tard, le même souverain intervient contre un certain Kurti, à Til garimmu, là où Sargon II avait trouvé la mort en 705

, Assarhaddon défait le roi cimmérien Teushpa en Cappadoce méridionale, près de notre cité d'Hubeshna (hitt. Hapisna, class. Kybistra et actuelle Ere?li), cité qui semble donc à priori toujours active à cette époque. Le roi assyrien mène ensuite son armée contre, vol.679

, Askaliya ou Askala ?) du Tabal et d'autres « rebelles », qui harcèlent la province assyrienne de Que. C'est probablement autour de cette date qu'Assarhaddon déporte en Assyrie mais également à Babylone des « otages tabaliens » 2024 . Il est notable que le personnage d'Ishkallu occupe une place importante dans les sources assyriennes, en tant qu' « ennemi de l'Assyrie », en particulier dans les oracles consultés par Assarhaddon 2025 . Ce pourrait être un descendant soit de la dynastie d'Ambari, soit plus probablement de Kurti d'Atuna, si l'on valide l'hypothèse d'une expansion de ce dernier souverain depuis Atuna vers la Cappadoce centrale, En 675, les armées assyriennes interviennent contre Mugallu (louv. Muwatalli) du Melid, s'emparant de la forteresse mélidéenne de Quhna (?), puis elles font face à une coalition réunissant ce même Mugallu, I?kallu / Ishkallu (louv

/. Askala and . Askaliya, on aurait alors d'assez bonnes similitudes anthroponymiques et linguistiques, qualifiables de « royales

. Et-melville, Voir aussi Yakubovich OHAA, vol.539, pp.293-294, 2010.

, Pour les femmes tabaliennes présentes à Babylone, voir SAA 18, Zehnder, vol.118, p.158, 2005.

, Radner 2013, qui cite SAA 4 : 9, vol.10, pp.14-16

, Ce souverain a donc pu soit unifier Melid et Tabal 2026 , soit déplacer le centre de son royaume vers la Cappadoce centrale, sans doute en raison des menaces assyriennes et cimmériennes pesant sur la Mélitène, Assurbanipal reçoit des cadeaux de la part de Mugallu, cette fois nommé « roi du Tabal », qui recherche ainsi l'alliance assyrienne face aux Cimmériens

. Enfin, assa ?), rompt le serment qui le liait à l'Assyrie, cesse de payer tribut et conclut une paix séparée avec le « roi » cimmérien Lygdamis (assyr. Dugdamme) 2027 . Le royaume du Tabal est alors suffisament stable et puissant non seulement pour établir une dynastie (Mugallu est parvenu à transmettre son trône à un de ses fils) mais aussi pour s'entendre avec un des grands fléaux de l'époque, les Cimmériens. Cette trahison est longuement décrite dans les textes assyriens

, ussi semble à priori toujours sur son trône, alors que Lygdamis meurt en Cilicie peu après, et qu'Assurbanipal décède à son tour autour de 627 2029 . Les menaces étrangères semblent donc disparaître dans la région et les souverains néo-babyloniens ne mentionnent jamais le Tabal dans leurs sources, ni d'ailleurs aucun toponyme « cappadocien ». Leurs cibles principales demeurent la Cilicie plane, Voila donc où nous en sommes au début de cette seconde moitié du VIIème siècle

, La Cappadoce, probablement durement touchée durant la première moitié du VIIème siècle par les guerres menées contre les Assyriens et les Cimmériens, puis par l'expansion lydienne et, face à elle, les migrations phrygiennes tardives, semble donc relativement épargnée et autonome, et ce jusqu'à la création des satrapies achéménides. Certains auteurs parlent même d'une « relative autonomie » valable jusqu'à l'intervention de Pompée contre les pirates ciliciens 2030 . Faut-il ainsi supposer durant le VIIème siècle une descendance de Warpalawa au sud, qui aurait pu ériger certains des tumuli de la plaine de Bor, Ils interviennent ainsi aux marges de notre espace

, Voir aussi Melville ibid, vol.335, pp.99-100

R. It, , pp.138-151

D. Fales, , pp.183-184

, Bryce in Melchert éd, vol.107

. Au-nord-de-notre-espace, Mais Pteria est détruite par Crésus vers 540, en même temps que d'autres centres urbains de Cappadoce septentrionale 2035 . Dans le même temps, les influences du monde grec (céramique) et les apports lydiens (pièces de meuble en ivoire et arts mineurs) pénètrent en Cappadoce, dès la fin du VIIème siècle, bien que l'hellénisation « décisive » ait lieu bien plus tard, sous les rois de Cappadoce (302 av. -17 ap. J.C.). C'est probablement dans cette période (deuxième moitié du VIIème siècle -première moitié du VIème) que se nouent les liens et interrelations entre Cappadoce louvite, des vagues de migrations phrygiennes, à l'origine par exemple de la fondation en Cappadoce septentrionale de la cité fortifiée de PteriaKerkenes da? (fin VIIème-début VIème siècles), vol.161, 1976.

, Pour un bon aperçu sur les tombeaux antiques et les tumuli de Cappadoce, voir Thierry, pp.73-77, 2008.

O. Harmansha, , pp.642-643

. Sur-le-dieu-mène and C. Voir, Sur les reliefs pisidiens, voir Sur les tombeaux de Kavak, pp.80-81, 1929.

. Sur-l'équivalence-kerkenes-da?-/-pteria, V. Le-contexte-historique, . Summers, and . Summers, Hérodote décrivait la ville comme étant une fondation de « Midas de Phrygie ». anthroponymes royaux, les formules annalistiques, peut-être d'autres topoi et symboles également...), vers les cadres culturels des législateurs et des tyrans grecs. On peut ainsi envisager pendant plus d'un siècle une Cappadoce, pp.31-32, 2007.

, structures déjà elles-mêmes en partie héritées de la fin de l'âge du bronze hittite. Et ce « conservatoire » va non seulement durer mais aussi s'étendre et se mêler aux cultures lydiennes, phrygienne, cilicienne, achéménide et romaine. Nous n'en donnons qu'un bref aperçu ci-dessous, en prenant quelques exemples développés et en conservant nos trois entrées habituelles : l'anthroponymie à connotationn royale, les traditions idéologiques et politiques

L. Cappadoce-louvite, L. Tabal, L. La, and . La-lycie, de quelques continuités et transmissions anthroponymiques, religieuses et politiques

L. Cappadoce-louvite and L. La,

, Katuwa (Karkemish) ou encore le roi Qate (Que) dans les sources assyriennes. Dans tous ces cas, le sthème commun pourrait être katta-, « en bas », que l'on retrouve dans le toponyme Cataonie (périphérie sud-est de la Cappadoce hellénistique), katta-+ -wani, litt. « qui vient de katta-», donc « qui habite en bas, montagne », qui appararaît peut-être dans le toponyme tabalien Artulu / Warduru des sources assyriennes. Les glissements du -u-louvite vers le -y-lydien et dut-vers le -d-ne poseraient pas de problème linguistique. Un autre indice réside dans la fait que sur une des tombes de Bin Tepe attribuée à Ardys, on trouve les anthroponymes (ou les surnoms dynastiques ?) Tos (louv. Tuwati, ce qui nous ramène à nouveau vers des héritages louvites politiques) et surtout Tmolos, vol.87, 2002.

. Idem, , vol.28, 2014.

T. Le-mont, est lui aussi « suspect », possible dérivé de Tarhupiya, transcrit par exemple ?????????? en Cilicie. Enfin, la dernière dynastie lydienne, celle des Mermnades, s'ouvre à nouveau avec un Louvite, Gygès, i.e Kuku. Le dernier représentant de la dynastie des Héraclides / Sandanides portait deux noms : un nom de trône Myrsilos (anthroponyme royal hittite Mursili) et un autre nom, Candaules, d'origine méonienne ou phrygienne pour Massimo Forlanini 2040 . Hérodote le présente ainsi : « Candaule, que les Grecs appellent Myrsyle, était tyran de Sardes. Fils de Myrsus, il descendait d'Hercule » 2041 . On retrouve ici le titre tyranos / tarwani, l'anthroponyme Mursili (probable Myrsus) et de manière indirecte l'assimilation Héraclès / Santa. Toujours selon l'historien grec, les Héraclides auraient été chargés du gouvernement et de la gestion du royaume par la dynastie d'Atys-Lydos (« les Héraclides, à qui ces princes avaient confié l'administration du gouvernement, où se situent les gisements d'or lydiens) 2039 . L'anthroponyme Torebos, membre de la deuxième génération lydienne présentée par D. d'Halicarnasse (AtysLydos -Torebos)

L. Enfin, -. Nom-;-hantawatti, and «. Roi, Le fils de Tantale, Pélops, est appelé « le Lydien » par Pindare dans sa première ode olympique. Il affronte lors d'une course de chars Oenomaos, roi de la région d'Olympie, qu'il bat grâce aux chevaux offerts par Poséidon et également à la trahison de l'écuyer d'Oenomaos, Myrtilos. On observe ainsi un nom clairement hittite (Mursili, que l'on retrouve comme on l'a vu porté par le tyran de l'île de Lesbos toute proche, Myrsilos et dans le toponyme Mursileia, à priori de fondation lydienne 2044 ) ainsi qu'un trait centre-anatolien déjà bien mis en lumière, l'élevage et le dressage des chevaux, la Lydie étant particulièrement réputée dans l'Antiquité pour leur façon de dompter et de conduire les chevaux, trait partagé avec les Cappadociens, les Phrygiens et les Urartéens. L'anthroponyme Tantale lui-même pourrait tout à fait s'insérer dans les logiques linguistiques conduisant d'hantawatti-à l'anthroponyme cappadocien Tuwati, de Tuwati à Tantale, et de Tantale à Candaule. On pourrait alors considérer Candaule comme un « nom-titre » renvoyant à Tantale, et Tantale comme une possible déformation (lydo-phrygienne ?) d'un autre « nom-titre » louvite et cappadocien, Tuwati. Or on a déjà observé, peut-être déformée par une étymologie phrygienne 2042 . Enfin, la légende de Tantale, roi lydien, phrygien ou paphlagonien selon les légendes, montre également plusieurs éléments « anatoliens », ainsi que l'a démontré par exemple Olivier Casabonne dans plusieurs études récentes 2043

. Hist, pour la légende de Gygès et les généalogies royales lydiennes, pp.7-14

L. Par-exemple, Forlanini ibid et n. 16 considère l'étymologie anatolienne de l'anthroponyme comme « possible mais non démontrable, 1976.

, Par exemple 2014b, pp.23-24

, Forlanini ibid, 23 + n, p.17

. Frag, , vol.42, pp.133-134, 1962.

/. Le-«-hittite-»-myrtilos, ». Mursili-;-le-«-hittite, . Mursili, . Le-louvite, and . Kuku, Kufav(a) ou Kuvav(a), descend bien de la déesse Kubaba. « Mère des dieux » chez les Phrygiens, elle apparaît aussi comme « Mère des montagnes », trait clairement hittite-louvite, que l'on note par exemple dans les textes de l'âge du bronze (le trône de la déesse est formé par les montagnes) ou dans notre inscription de BULGARMADEN, dans laquelle il est dit que « Tarhunza et Kubaba » ont permi à l'auteur de « rayonner sur le pays » et d'exploiter au mieux ses mines. Le Zeus lydien est lui aussi en relation étroite avec les montagnes, en particulier le mont Tmolos, de même que le Tarhunza cappadocien à l'âge du fer moyen : le « Tarhunza du artali-», « de la montagne », les figures du dieu de l'orage à IvrizAmbarderesi, inscrites dans la montagne et le rocher, ou encore le rôle joué par Tarhunza dans l'exploitation des montagnes et de leurs ressources naturelles, ce qui peut conduire ainsi à un intéressant rapprochement entre Tarhunza et les ressources argentifères du Taurus d'une part, Un trait mythologique semble également à explorer, décelable dans les deux récits relatant la création des dynasties lydiennes respectives de Pelops et de Gygès. Dans les deux cas, l'accession au trône elle-même (ou la victoire décisive) est obtenue (ou grandement favorisée) par un « élément perturbateur » d'origine hittite-louvite : Pélops gagne la course de char (et la main de la princesse Hippodamie, qui lui donnera une importante descendance) en partie grâce à la trahison de l'écuyer de son rival, p.338

. Mazoyer, , p.339

, et bien sur Raphaël Gérard, Phonétique et morphologie de la langue lydienne, pp.90-91, 2005.

, Ces anthroponymes sont-ils pures coïncidences ? Le fait pour les souverains achéménides de désigner un satrape nommé Tabalos, d'origine perse mais dont l'anthroponyme s'inscrit dans l'onomastique assyrienne du VIIème siècle et qui sont chargé d'administrer l'Anatolie centrale, n'obéirait-il pas à des logiques de Realpolitik ? Signalons aussi un Tabali, propriétaire d'un sceau dont l'iconographie mésopotamienne date du VIIIème ou du VIIème siècle, mais sur lequel une inscription araméenne à été ajoutée vers 650, LTBLY, « appartenant à Tabal?, ??????, dont nous parle Hiéroclès et qui figure sur nombre de monnaies lydiennes 2049 , ou encore l'antrhoponyme ???????, à qui Cyrus confie la ville de Sardes après la défaite de Crésus, mentionné par Hérodote 2050

L. Cappadoce-louvite and . La-lycie,

, Il est désormais bien prouvé que les Louvites formaient la composante majoritaire des populations de la Lycie (hitt. Lukka) à l'âge du bronze 2053 . Les Lyciens se dénomaient eux-même trmmili, similaire au grec Termilai, termes que René Lebrun fait dériver d'un toponyme louvite tarmaliya, de tarma-, « pic, pointe, sommet », ce qui indiquerait que les Lydiens étaient perçus (et se considéraient eux-mêmes ?) comme étant un peuple de montagnards 2054, Là encore, les traits louvites abondent dans la culture lycienne. De toutes les langues dites « louviques », le lycien et le lycien B sont celles qui présentent le plus de traits communs avec le louvite 2052 . Mais les éléments les plus intéressants nous concernant ici sont à rechercher dans les structures religieuses et, à nouveau, dans l'anthroponymie

H. Gabala-chez, Voir William Smith éd., Dictionnary of Greek and Roman Geography, 1854, qui assimile cette cité à la ville de Tabae (située en Lydie par Stephanus Byz.) et, indirectement, au toponyme turc Tonbaili. Voir aussi Ramsay 2010, section "Lydia

, Voir Hérodote I, 153-154 et 161. L'individu est aussi mentionné par Pausanias. Sur Tabalos, voir Petit, pp.34-35, 1990.

, Bordreuil, pp.386-387, 2005.

, Jenniges ibid, p.92

L. I. Par-exemple-hawkins, , vol.37, pp.471-472, 2008.

, Voir par exemple Cavalier et des Courtils, pp.38-51, 2008.

, Ce que René Lebrun appelle les « cas de résistance, vol.151, 1994.

, On sait également que le roi Arbinas (voir ci-dessous) aurait au Vème siècle superposé le culte de la triade Letô / Artemis / Apollon sur l'ancien culte des Eliyana, tout en conservant ces figures archaïques et en donnant la primauté à Letô (la ?ni mahanahi lycienne, « mère des dieux », écho au anni? ma??ana??i? de l'âge du bronze hittite, parfois appelée « mère de cette enceinte », écho à nos figures de « Tarhunza de ce domaine, de ce temenos » louvites 2058 ) sur ces enfants, restant ainsi dans la tradition centre-anatolienne des « déesse-mères » 2059 . -le dieu d'Isinda Ddeweze cache le dieu-soleil Tiwad / Tiwaza 2060 . -la divinité lycienne Qeli correspond au dieu de l'orge Halki, attesté sur notre inscription de TOPADA -Qebeliya est à relier à Hapaliya (de hapa-, « rivière » + suffixe d'appartenanceliya), probable divinité fleuve hittite-louvite 2061 . On peut aussi le connecter à notre anthroponyme Hapiyami, sans doute de hapa-+ piya-, « don, cadeau ». -Kubaba, dont le culte est bien implanté en Cappadoce méridionale à la fin du VIIIème siècle, est vénérée en Lycie au VIIème siècle, comme le montrent une inscription araméenne et l'assimilation Kubaba -Artemis à Hiérapolis-Castabala 2062 . -surtout, la déesse Mâ, dont le culte est importé en Grèce et à Rome, dérive de la déesse hattie Mamma, une « grande mère » et à l'époque impériale produit d'un syncrétisme avec Hebat. Or le centre du culte de Mâ se situe dans notre espace, hittite-louvite arawa-2057 , « libre », terme que l'on trouve dans les bandelettes de plomb de Kululu, sous la forme arawani-, et qui au VIIIème siècle désigne probablement comme on l'a vu un homme d'origine modeste mais non esclave

, Héraclès-Santa-Kakasbos ou Arès Kideuddas, possible avatar d'un Iyarri local + une épiclèse, clairement asianique pour Lebrun 2063 . A propos de cette dernière figure, un dérivé du louvite hantawati-n'est pas à exclure : hant(a)-est transcrit knta-en lydien mais K????-ou K????-en grec, ce qui nous rapproche de la racine kid(e), et le passage des -tlouvites vers les -d-lyciens ne pose pas de problème linguistique, Concernant les syncrétismes, citons également les principaux exemples : ZeusTarhunt (lyc. Trqqnt, gréco-asianique Tarkon ou Trokon), Athéna-Maliya (déesse louvite des jardins et des vignobles, à l'origine également des célèbres « nymphes méliades »)

, Sur Arbinas et ses fondations cultuelles, voir Payne, pp.146-147, 1998.

L. Idem,

, Sur toutes ces figures, voir Lebrun idem, pp.145-150

, épithète kursanti-est plus complexe, mais le terme est là encore clairement d'origine hittite-louvite : dérivé de la kursa-, « sac de chasseur, gibecière » (grec bursa), ou alors présence du théonyme Santa, dieu assimilé à Héraclès, lui-même assimilé parfois à Kakasbos ? L'anthroponymie et la toponymie lyciennes révèlent des anthroponymes d'origine clairement louvites, et le plus intéressant ici est que plusieurs d'entre eux reprennent des termes liés aux sphères morales ou politiques et des « noms royaux », qui sont tous fort bien représentés dans nos sources, et dans certains cas même propres à la Cappadoce de l'âge du fer, comme par exemple l'anthroponyme « royal » Tuwati. Ce dernier anthroponyme se retrouve dans le nom lycien tuwada. Citons également mutli-/ mutl?i-(Muwatalli), kukuni-(Kukunni) ou mida-(Mita / Midas) 2070 . D'autres termes louvites appartenant au domaine de la politique et du gouvernement se retrouvent en bonne place dans l, Payne ibid, 477. 546 grec 2065 . On retrouve ici quoiqu'il en soit un dieu local anatolien, en association avec les sources et les montagnes. Deux autres figures semblent très originales : Trosobios et Tobaloas. Elles ne sont attestées que sous des formes grécisées mais leurs noms sont « manifestement anatoliens » 2066 . Nous proposons de voir dans la première un Tarhunt (racines lydiennes tr-, gréco-asianique tro-) + les épithètes -oso-= wasu-et -bios = piya-. On se base en particulier sur l'existence de l'épithète de Zeus-Osogoa de Mylasa, dérivé du louvite « wasu-kuwa-», « bienfaisant et puissant » (deux termes surreprésentés dans l'onomastique cappadocienne de l'âge du fer) 2067 , ainsi que sur les anthroponymes grécisés Armapias (lycien) / Ermapias (cilicien), vol.147, p.152, 1994.

, Lebrun cité par Tassignon, 2002.

, Houwink ten Cate, p.118, 1961.

Ö. M. Labarre and N. Et-Özsait, , p.107, 2006.

, Houwink ten Cate, pp.115-116, 1961.

, Voir aussi les formes kntabura(-) et knte/anuba-(Houwink ten Cate idem)

, les noms ciliciens Tberasetas (louv. Taparaziti) ou Tberemosis (probable louv. Taparamuwazi), deux termes présentant des sthèmes communs avec notre Muwaziti

. «-seigneur-»-?], -. Et-tati-,-«-père-;-sans-doute-huha, ». , C. Dans-notre-huhasarma-;-de-ura, -. et al., Le terme tarpa-pose davantage de problèmes. Il est attesté dans le toponyme lycien Trebenna et dans l'anthroponyme trbb?ni, cilicien ???????, que l'on retrouve d'ailleurs dans le théophore ???????????, qui traduit directement selon nous le louvite « Runtiya TARPAMI ». Le dieu-cerf est associé au terme « IPA » (« de la campagne » ou « des champs » ?) à BULGARMADEN et à l'obscure clause « IPA TARPAMI » sur l'inscriptions mélidéenne de SIRZI. Le mot louvite tarpa-/ tarpi-, traduit « piétiner » par I. Yakubovich, est plutôt connoté négativement au Ier millénaire en Anatolie : il désigne une action profanatrice de destruction d'un lieu sur la stèle de KARAHÖYÜK mais aussi la punition divine encourue par un éventuel profanateur sur l'inscription de SULTANHAN (litt. « que les dieux l'écrasent »), Les stèles des soldats lyciens et pisidiens montrent également cette persistance de l'onomastique locale, en pleine époque hellénistique : « Saettas, fils de Trokondas » à Termessos (louv. Ziti, « homme », et théonyme Tarhunta), « Salmas, fils de Molès » à Adada (hitt. Zalma / louv. Zarma ?, « le protégé, p.2072, 2075.

, Par exemple l'anthroponyme cilicien Uramuta , transcription fidèle de notre Uramuwa

, Voir l'étude d'Hawkins CHLI, pp.323-324

. Robert, Voir aussi Couilloud-Le Dinahet, pp.74-76, 1935.

, Voir ses études des baux-ventes de Mylasa à l'époque hellénistique par exemple, Chandezon, vol.206, 2003.

L. Cappadoce-achéménide,

, le toponyme Cappadoce, dont l'origine louvite (« pays d'en bas ») et non perse a déjà été évoquée, revient sur le devant de la scène. Les frontières de cette « satrapie » demeurent tout aussi mouvantes et floues que celle du Tabal à l'âge du fer moyen

. Par-exemple-le-pilier-des-harpyies, Voir Cavalier et des Courtils, vol.45, pp.48-50, 2008.

V. Payne, Voir aussi Couilloud-Le Dinahet ibid, pp.85-86, 2008.

, Grande Phrygie », ce qui fait écho aux liens étroits observés entre le royaume de Tuwana et la Phrygie de Midas

, Au final et pour reprendre Thierry Petit, si le toponyme a bien une cohérence géographique et historique, la Cappadoce n'a jamais constitué à l'époque achéménide une satrapie autonome, pas plus que la Phrygie d'ailleurs 2079 . En revanche, la région a bien été gérée par des rois plus ou moins indépendants, peut-être dès l'époque mède. Petit parle ainsi de l'existence d' « une lignée de princes en Cappadoce qui devinrent rois dès l'époque des Diadoques » 2080 . Comme on l'a dit plus haut, les logiques géographiques et les « cartes mentales » citant la Cappadoce sont bien les mêmes, D'après Hérodote d'Halicarnasse, la région appartient avec les autres populations d'Anatolie au « 3 ème district » de l'imposition perse. Sous Artaxerxès II, la région nommée Cappadoce est en réalité divisée en deux satrapies : une grande Paphlagonie au nord et la Cappadoce proprement-dite au sud, gouvernée par le satrape Datamès, au monnayage et aux liens diplomatiques très « locaux

. Drangiane, Le dernier roi au long bonnet, à droite, est en effet un roi scythe. Les souverains qui le précèdent sont des Arméniens, puis viennent des Mèdes et des Babyloniens. -dans l'inscription de Suse décrivant la fondation de l'Apadana § 4, « voici les pays qui ont apporté les matériaux de décoration de ce palais : l'Egypte, les pays de la mer, Sardes, l'Ionie, l'Urartu, la Cappadoce, la Parthie, la Drangiane, Sur le relief qu'accompagnent les inscriptions, aucun souverain de Cappadoce n'est toutefois nommé, p.2081

, comme le montrent les fibules anatoliennes portées par des dignitaires perses ou les tributs apportés par les « Cappadociens » sur le relief de la rampe est de l'Apadana (un étalon, des étoffes et des vêtements ornés), Avec ces différents éléments, on retrouve là les matériaux tauriques, les chevaux, les bijoux et les manteaux ornés, qui sont des caractéristiques majeures des productions du Tabal et de Tuwana. Du point de vue des structures politiques des satrapies dites « cappadociennes », on constate une même indépendance régionale et urbaine que celles dont la Cappadoce

, Sur l'histoire de l'empire et ses satrapies, voir Petit 1990, Thierry 2002 et l'ouvrage de Briand, pp.31-32, 1990.

, Traduction de Jean Perrot, D. d'A. hors-série n°23, vol.70, p.550

, Nous retrouvons donc en partie cette structure faite de « patchwork » de micro-Etats plus ou moins indépendants et de cité-Etats assez largement autonomes, qui est celle de la Cappadoce depuis un passé très ancien. Alexandre le Grand se contentera d'ailleurs d'une soumission orale du roi de Cappadoce, à priori sans prendre tribut. Les Ariarathides feront ensuite de la Cappadoce un royaume relativement indépendant, bien que les derniers souverains entraînent sa chute en raison du clientélisme romain, en 17 après J.C., date à laquelle la Cappadoce devient une province romaine. Cette notion d'indépendance vis-à-vis d'un pouvoir centralisé hégémonique se retrouve dans la révolte conjointe de deux « satrapes » importants, Ariobarzanès (« Phrygie helléspontique » ou Daskyleion) et Datamès (Cappadoce), contre Artaxerxès II vers 369, Xénophon notamment mais aussi la majorité des auteurs « classiques » donnent l'impression que le gouvernement central était plutôt faible dans cette région

L. Commune, Il est clair que nous avons là une reproduction du modèle du Tarhunza du vignoble tel qu'il apparaît sur les oeuvres tuwanéennes, dont les liens avec le Ba'al syro-phénicien ont déjà été discutés précédemment. Tarhunza du vignoble, figure cappadocienne par excellence, est d'ailleurs transcrit « Hadad du Vignoble » sur l'inscription de Kuttamuwa de Sam'al et probablement « Ba'al du Vignoble » sur la bilingue d'Ivriz. D'autres monnaies émises par Datamès montrent des éléments typiquement louvites cappadociens : un statère figure une scène de rencontre « roi » / dieu qui s'inscrit tout à fait dans les « règles » iconographiques de ce type de scène à l'âge du fer moyen (le dieu, probablement Héraclès / Santa, à gauche, et Datamès lui-même à droite, avec une main et parfois les deux ramenée(s) vers le menton, geste typique de la prière hittite-louvite), un autre montre une tête de femme avec diadème ou bandeau et un collier à cabochons similaire aux modèles néo-hittites (voir sur les sphinxs de Kululu ou sur le Tarhunza de la stèle NI?DE 2). Sur d'autres exemples, la grappe de raisin figure seule, est la suivante : un dieu trônant, tenant un long sceptre à tête d'aigle ou à fleur de lotus, la plupart du temps empoignant un épi de blé avec grappe de raisin (voir pl. compa. n°, 13) 2083

«. Un, . Ba, and . Gazur, apparaît lui sur une monnaie d'Ariarathes Ier, avec un aigle entier surmontant un épi de blé et une branche de vigne, le tout tenu par le même dieu trônant 2084 . Enfin, sur les monnaies de Mazaios de Tarse (Cilicie), le Ba'al de Tarse tient un long « sceptre-bâton » surmonté, là encore, d'un aigle ou d'une fleur de lotus, qui 2082 Par exemple Casabonne, 2015.

, Idem (+ n. 23 pour la réf

, On retrouve là en plein IVème siècle la même situation que celle du royaume de Tuwana à la fin du VIIIème siècle (voir à Ivriz notament), mais un Perse a remplacé l'Assyrien à la tête de la région, et l'hellénisation est aussi en marche. Ces topoi de la fertilité et cette iconographie de la divinité avec épi de blé et grappe de vigne se maintienent jusqu'à une époque très tardive, comme le montrent les deux stèles tardives de Dülük Baba Tepesi au sud-est de Marash, ce qui rappelle les grands épis de blé tenus par Tarhunza sur les représentations tuwanéennes

. Hadrien, Un dernier point concerne les possibles influences politiques des Louvites de Cappadoce sur les « satrapes » et les rois de cette région. La propagande agraire en est un exemple. L'anthroponymie des souverains de Cappadoce pourrait être une autre preuve. Si Datames semble bien d'origine perse (à lire Data-mithra), les noms Ariarathès, Ariamnes et Ariobarzane continuent de faire débat quant à leur étymologie. Ces souverains sont-ils tous d'origine perse ? Les trois noms montrent une racine commune aria/o-, très proche de notre louvite ariya-, « montagne », et le premier d'entre eux montre des affinités étonnantes avec l'anthroponyme louvite Harhariya, de l'oronyme divin Harhara (inscriptions d'HISARCIK et de TEKIRDERBENT), nom que l'on retrouve d'ailleurs dans l'anthroponymie de Corycos à l'époque hellénistique sous la forme ?????. Chez les Grands Rois perses eux-mêmes, le titre de fram?tar, traduit par « guide » ou « juge suprême » par J.P. levet, pourrait être une transposition avec des termes perses (m?, « qui mesure », et fra-, « pour les autres ») du titre tarwani. Michel Mazoyer fait par exemple le rapprochement entre ces deux titres, celui de IUDEX et celui de fram?tar 2085 . Un autre titre politique d'origine hittite-louvite, porté par Tudhalia IV, Trajan et Caracalla épi de blé et grappe de raisin dans la même main, reprenant ainsi les modèles vus plus haut, tandis qu'un dieu-fleuve nage sous son portrait. Le monnayage change radicalement avec les autres Ariarathides, très marqués par l'hellénisme : Athéna portant une Victoire se substitue en Cappadoce aux figures locales du « Ba'al du vignoble », aux portraits féminins (des déesses-mères ?) et à l'iconographie d'Héraclès / Santa, 2086.

, Levet, 2010.

V. Simon, et Yakubovich OHAA, 539. Voir aussi Giusfredi, pp.165-167, 2009.

, laisse la question ouverte : « doit-on le considérer comme un titre ou comme un (sur-) nom ? ». Idem chez Giusfredi ibid, vol.187, p.552, 2004.

. .. La-cappadoce-romaine,

«. Kupapa-+--piya and M. Donner-;-de-la-stèle-de, Leurs dieux sont eux aussi qualifiés par l'auteur d' « indigènes ». Si le « Ba'al de Tarse » et le « Ba'al de Gaziur » sont les symboles mêmes des continuités religieuses louvites de l'époque des rois et des dirigeants achéménides et hellénistiques, une autre figure demeure particulièrement vivante et symbolise en quelque sorte la Cappadoce romaine, celle du mont Argée. Nous avons déjà étudié ce mont sacré, du début du IIème millénaire jusqu'aux époques byzantines et ottomanes. Sur une monnaie d'Hadrien (voir pl. compa. n°, 12), la Cappadoce apparaît personnifiée sous la forme d'un personnage en tunique courte, avec un manteau brodé, un bonnet de type anatolien et des bottes à ourlets. Dans sa main droite, il tient un long bâton, proche des enseignes traditionnelles des légions romaines, mais la forme demeure la même à travers les périodes, Nous prendrons ici trois de nos entrées majeures : les continuités religieuses, l'anthroponymie, et enfin l'archéologie des paysages, à travers quelques exemples. Les noms louvites sont toujours bien représentés à Tyana au IIème siècle après J.C., comme l'atteste la stèle funéraire romaine du musée de Ni?de, érigée par Kobare pour son frère Motales 2088 . On peut reconnaître dans le premier anthroponyme le théonyme louvite Kupapa + -wari, « aider », que l'on peut aussi comparer pour sa forme et sa terminaison avec le féminin Kupapiya

A. Idem, , vol.19

C. Par-exemple, , 2007.

, et d'un autel typiquement romain, bien que les détails des manteaux et les coiffes semblent être bien « anatoliens

. Tarhunt-/-jupiter-dolichenus and . Probablement-kubaba-;-/-junon, Il s'agit là clairement d'une divinité locale, peut-être elle aussi en lien avec une montagne divinisée, si on reconnait dans ce que je qualifie d' « amas » une montagne. La figure de Jupiter Dolichenus en Commagène enfin (stèle de , voir pl. compa. n°,14), calque le Tarhunza guerrier nord-syrien et sud-anatolien, avec des détails intéressants 2093 . Sur la stèle de Zeyintepe, l'habit du dieu est celui d'un légionnaire romain mais le reste appartient au fond anatolien, comme ses bottes, les animaux totémiques présents sous les pieds du dieu, la double-hache et les trois éclairs-flèches, la grande barbe, bien fournie, la tiare étrange (« tiare arménienne » pour plusieurs auteurs ?) ou la longue tresse se finissant en volute. Cette iconographie se retrouve sur d'autres stèles (Zaferköy, Kuruoglu), toutes au sommet en berceau, ainsi que sur des sculptures et bas-reliefs, d'époque romaine également. L'exemple le plus abouti est celui de cette stèle néo-hittite de Marash, trois grappes de raisin, et entre les pieds des figures, une base (?) dont semble jaillir un épi de blé démesurément stylisé, porté par les têtes des animaux totémiques qui soutiennent les divinités (un taureau pour Tarhunt / un autre animal pour Kubaba ?). Cette scène fait bien évidemment une synthèse totale des différents éléments iconographiques propres à nos figures de Tarhunza : le Tarhunza nordsyrien et anatolien « commun » (debout sur un taureau, avec épée

, Voir Blömer, qui décrit la figure comme un « fertility god

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K. Egriköy, K. Kululu, . Höyük, and . Porsuk, Une inscription grecque avec des pieds (« sabaziaques » ?) et un nom de prêtre est gravée près du « trône rupestre » du roi du Tarhuntassa, dont le relief est d'ailleurs appellé par les locaux « çolak papaz » i.e « le prêtre à un bras ». D'autres tombes rupestres sont visibles en bordure de la « route des stèles » de la vallée d'Altunh?sar 2095 . A quelques mètres du relief hittite de Frakt?n s'élève un petit temple d'époque romaine, peut-être funéraire, au lieu-dit Be?karde? 2096 . Un bassin romain est aménagé, en même temps que l'acqueduc de Tyana, sur le site du Kö?k Höyük, bon candidat pour la localisation de la « fontaine d'Asbama », dont les peines en cas de parjure de serment évoquent tout à fait les formules d'imprécation tabaliennes, comme celles de l'inscription de KARABURUN. Ainsi, d'après le Pseudo-Aristote, l'eau de la fontaîne d'Asbama peut chez les coupables de parjure s'attaquer « à leurs yeux, à leurs mains et à leurs pieds, Des tombes hellénistiques rupestres, creusées horizontalement dans le sol ce qui est rare, se retrouvent à K?z?lda?, aménagés exactement entre les deux groupes d'inscriptions louvites d'Hartapu

E. Kayseri, Certaines montagnes sont toujours sanctifiées et apparaissent comme le lieu de vie de certains philosophes-guérisseurs (le Platon de Yalburt, l'Appolonios de Tyana) puis de retraite des ermites cappadociens, dont certains ont des traits évoquant assez nettement des figures plus anciennes (« maître des animaux », figure qui contrôle l'élément aquatique, thème de la chasse au cerf...) ou encore d'accomplissements d'actes cultuels propres à l'islam (ablutions rituelles dans les sources comme à Ivriz, coup de canon marquant la fin du jeûne tiré du haut du Toptepesi, près de l'inscription d'HISARCIK...). Les motifs du vin et du raisin ont encore de beaux jours devant eux, comme le montrent les décors de vigne qui envahissent les églises rupestres de Cappadoce, les rosettes à huit branches toujours utilisées à l'époque byzantine ou la symbolique (de même que la qualité !) du vin dans les écrits des « évêques cappadociens, Les anciens lieux de culte, les volcans sacrés particulièrement, sont tous réoccupés par des églises et des monastères byzantins, comme au sommet du Karada?, dans le canyon d'Ambarderesi, à une échelle plus modeste sur les pentes du mont Erciyes à Tekirderbent, ou à Andaval, près de vastes yayla

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, Les 12 dieux « infernaux » -et agraireset leur couperet à Yazilikaya, époque hittiteimpériale. Source : H.M. T. Bilgin

, Statue d'Assurbanipal II

R. Prêtre-ou, avec faucille

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, Libation d'une reine (?), Ivriz, XIème-Xème s. (?). (dessin : L. Bier)

, Libation d'une reine à Sauska, Malatya, XIème s. (dessin

, Libation d'une reine (?) à un dieu de l'orage, Karkemish, Xème-IXème s. (Orthmann SPHK, Taf, vol.20

. Le-roi-warpalawa-prie-tarhunza-du-vignoble,

, Figure d'orant face à un dieu trônant, Alaça Höyük, XIVème s. Noter le geste de prière, les deux mains ramenées vers la bouche, vol.7

, Le roi Warpalawa prie Tarhunza sur une montagne

P. Statue-de,

, Hebat à Yazilikaya, suivie de son fils Sarruma et de ses deux filles

D. Ou and R. Divinisée, Tavsan Tepesi, vol.1

, Hebat recevant une libation, suivi de son fils Sarruma

. Le-roi-défunt-hartapu and . Viiième-siècle,

K. Le-défunt,

, Stèle funéraire de Marash, IXème-VIIIème s

, Planche comparative 4 : les scènes de rencontre homme / dieu à Frakt?n, Hanyeri et Ivriz

, Le roi défunt donc divinisé Hattusili III offrant une libation à Teshub

, Le prince (défunt donc divinisé ?) Kuwalanamuwa face à Sarruma qui s'appuie sur les épaules de deux (?) dieuxmontagnes. Hanyeri-Gezbeli

W. Le-roi,

, Reconstitution proposée BOR 1 + BOR 2, Warpalawa « devant

, Planche comparative 9 : Hanyeri, Karapinar et Kurubel comme monuments de cols et de passes. 1. Relief rupestre

. Relief-rupestre and . De-karapinar, , 1993.

;. Autel and . De-kurubel, situ, au milieu d'un affleurement rocheux, terminaison ouest de la passe de Kurubel

C. Au-musée-de-kayseri, , 2013.

, Stèle de Tavsan Tepesi 2 (détail)

, Statue équestre de Kültepe (époque indéterminée ?)

, Orthostate louvite de Gordion, vol.79, 1989.

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, Planche comparative 19 : comparaisons figure de Warpalawa à Ivriz / statuettes des prêtres et de la prêtresse d'Ephèse. 2. Statuette d'Ephèse 1, Source : Akurgal, vol.218, 1969.

, Statuette d'Ephèse 2 (face), 1928.

. Le-roi-warpalawa-ii-À-ivriz,

, Source, Sartriaux 1928, pl. XXIII Planche comparative 20 : quelques figures divines syncrétiques à l'époque romaine

, Stèle de Dülük Baba Tepesi n° 1

J. Dolichenus and . Kubaba-hepat-héra, Noter les grappes de raisin en haut et l'épi (?) au centre. Source : M. Blömer et E. Winter, www.uni-muenster.de 2. Stèle de Dülük Baba Tepesi n° 1. Jupiter Dolichenus. Source : www.doliche.org, p.17

, Stèle d'un « dieu de la fertilité inconnu

, Dieu-montagne possible selon nous (?)