, considérer ainsi la variation orthographique en général : « L'orthographe du français comporte des zones de variation qu'on peut considérer comme des secteurs de fragilité?du fragilité?du système, p.57

J. , De même l'existence de variantes ne doit pas forcément non plus être vue comme une fragilité. Ce ne serait le cas qu'en admettant qu'une orthographe doit nécessairement reposer sur une norme qui fixe une seule forme acceptable. Dans les deux cas, conflit ou fragilité, cela implique de donner à la norme une rationalité qu'elle aurait hors des scripteurs qui l'utilisent. C'est aussi induire qu'il y aurait des zones sans conflit ou fragilité, ce que le corpus IVQ tend là encore à invalider, en ce qui me concerne, à la considérer comme des zones de conflit ou de fragilité. Je préférerais les considérer comme des variantes. Parler de fragilité est aussi ambigu : on ne sait pas si la « fragilité

, Une des limites fortes aux interprétations faites de la variation est le fait que les pratiques orthographiques sont des traces, des manifestations d'un processus complexe. Elles sont à la fois partielles (la trace ne dit pas tout de ce qui la produit, comme le symptôme ne dit pas la maladie), mais aussi polysémiques (un même symptôme traduit plusieurs maladies possibles

. Gruaz, Il ne nie pas que cela l'amène à certains choix parfois, car une même forme pourrait relever de plusieurs catégories : est-ce que par exemple tamate est un écart phonémique (le locuteur dirait /tamat/) ou bien est-ce un écart graphique (le locuteur confond les caractères a et o, ou n'écrit pas bien ses lettres, etc.) ? Il justifie alors ses classements en indiquant qu'ils « traduisent les interprétations les plus probables » (2006 : 86), ce qui ne me convainc pas entièrement. Son travail n'en permet pas moins, effectivement, un classement. La particularité du corpus IVQ -il analyse ici la 1 ière édition d'IVQ, mais les mots dictés n'ont pas beaucoup changé-est qu'en particulier la catégorie des erreurs « phonétiques » est très importante, et appelle elle-même différentes sous catégories. C'est le problème auquel a été confronté Jeanne Conseil dans sa thèse : le statut à accorder à des graphies souvent uniques, établi pour les données de 2004 une typologie des écarts à la norme, qui s'appuie sur les fonctionnements graphiques dégagés par Catach, 2006.

, Cela correspond effectivement à un certain nombre d'écarts. Si je regarde les graphies relevées pour le mot pharmacie, je peux Si nous n'avons pas été jusqu'au bout du rapprochement avec les travaux des médiévistes, c'est que nous devions d'abord procéder à l'analyse des graphies obtenues dans IVQ, Gruaz établit des sous catégories à partir de types d'erreurs : omission, ajout, confusion (voyelles, liquides, nasalité)

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, confronter les variantes observées, en particulier les variantes « sémiographiques », à la variation observée au cours des périodes hautes du français : on a vu la présence de variation sur les digrammes, les consonnes doubles, certaines lettres muettes (le h), et les morphogrammes lexicaux de fin de mots. Une étude de l'usage des diacritiques, à partir d'écrits manuscrits, Hautes Etudes, EHESS, Gallimard, Seuil, 1968.

L. Cerquiglini, 2004 : 14), meilleure car moins obscure, suivant plus fidèlement la parole, facilitant la lecture et l'écriture, mais aussi plus créative, laissant au sujet cette part de liberté nécessaire à son appropriation de la langue, et à l'expression de son rapport au monde. Je ne suis pas sûre que l'idéal d'aujourd'hui soit le même

, Mais il me semble aussi que les besoins de sémiographie sont plus forts aujourd'hui parce que les usages de l'écrit sont plus sémiographiques (affichages, textes officiels, formulaires, notices de fabrication et même slogans : ce sont des textes qui ne sont pas écrits pour être lus ni même dits mais pour être vus ; mais aussi lecture numérique qui est peut-être une lecture plus rapide, à la recherche d'informations), et que ce que l'on attend des activités de lecture et d'écriture a changé. l'histoire. Ce n'est évidemment pas limité à la langue, mais en tant que linguiste, je ne peux que tenter d'y résister, C'était vrai du temps où les textes étaient écrits pour être lus à haute voix. La sémiographie montre en effet des possibilités expressives assez larges et investies par les scripteurs

, que peut le linguiste, avec ses arguments et ses faits soigneusement décrits, ses conclusions, ses précautions d'interprétation, etc. contre des sentiments et des affects ? que peut-on répondre à cette impression d'« appauvrissement » de la langue, souvent étayée à l'appui de quelques « perles » ? Comment faire comprendre que l'idée d'une langue riche ou pauvre ne vise qu'à légitimer certains locuteurs contre d'autres ? Le fond du problème, ce n'est pas de prouver que nous avons raison, c'est de savoir qui le souhaite vraiment, de faire en sorte qu'on le souhaite. Le travail est moins linguistique que politique. Face à l'orthographe, j'ai ainsi l'impression de faire les mêmes constats que face à la dégradation du climat ou au capitalisme contemporain : « Les hommes ont créé un monde dans lequel ils sont eux-mêmes exploités, L'expérience des linguistes ayant travaillé sur l'orthographe depuis plusieurs décennies est ici à nouveau utile : elle les a conduit au constat qu'il ne suffit pas de décrire finement les mécanismes de reproduction pour les réduire. C'est ce que discute Klinkenberg, 2013.

, je voudrais revenir sur quelques textes et auteurs qui m'ont inspirée mais que je n'ai pas cités. J'ai d'abord conscience d'avoir été formée

, Une des perspectives qui reste ouverte serait de reprendre, d'ici quelques années, l'ensemble de ces numéros, pour en tirer des réflexions générales sur ce qu'ils ont apporté, sur ce qu'il en reste, sur ce qu'ont retenu de cette expérience les auteurs et les responsables des numéros. Nous manquons de ces retours sur-nous mêmes, et la souplesse de Glottopol, la présence continue de collègues dans le comité de rédaction laisse envisager cette perspective. De même, cette note ne cite pas assez les travaux sociolinguistiques sur lesquels repose ma conception des sciences du langage. Ils sont devenus pour moi des évidences. Mais je mesure souvent, en lisant hors de ma discipline, qu'ils méritent encore d'être réaffirmés, qu'ils sont loin d'être aussi connus et pris en compte que cela, Plongée dans les tâches de relecture, de mise aux normes, et d'édition, j'ai rarement conservé la trace de toutes les sources d'inspiration que j'y ai trouvé

, On pourrait y voir un constat amer, celui de la vanité de l'entreprise de recherche en sciences humaines -toute cette note pour conclure au poncif « plus j'en sais, moins j'en sais » ? -ou bien l'idée que plus rien ne devient solide ou saisissable dans ce domaine : à force de chercher à démêler, préciser, distinguer, on finit par éclater son objet en mille facettes. Pourtant, j'ai bien le sentiment ici d'avoir rassemblé, relié, ordonné, si bien que le programme d'une sociolinguistique de l'orthographe m'apparait à présent plus cohérent, moins constitué d'un collage de points de vue que d'une perspective générale qui fait sens dans son ensemble. J'ai aussi le sentiment d'avoir trouvé dans ce champ ce que pourrait être ma participation, mon regard : un regard qui associe les perspectives ouvertes par Fishman et Sebba pour ce qui est de la sociolinguistique anglo-saxonne sur l'orthographe, aux perspectives ouvertes par une sociolinguistique francophone plus sensible aux questions de contextes, de positionnements identitaires, de minoration et de domination. Je retiens aussi dans cette perspective une curiosité sinon un gout pour la relations qu'entretiennent scripteurs et lecteurs avec la langue qu'ils écrivent ou lisent. Ce projet théorique a des répercussions pratiques : pour proposer une politique d'alphabétisation plus juste, pour réduire l'inégalité dans la distribution des connaissances, pour permettre à chacun de s'emparer du pouvoir émancipateur de l'écriture, pour une « humanisation » de l'orthographe et de l'écrit, pour oeuvrer à une mise en relation, 2002.

, Nous sommes dans le même renversement qu'ont opéré les historiens en replaçant le peuple au coeur des processus historiques (initié par Michelet si j'en crois une émission récente de France Culture 116 ). La langue est à ce titre le résultat d'un processus vivant et actif de convergence des usages et des représentations, La sociolinguistique a permis de réaffirmer que la langue était faite par les locuteurs, et non par les écrivains, les linguistes ou les Académiciens

. Le-livre, les modes, les légitimités que l'on nous donne ou que l'on prend. Cette conception sociolinguistique de la langue s'oppose clairement à l'idée qu'elle pourrait être, comme le prétendent les ouvrages prescriptifs, un idéal abstrait construit contre les usages. À ce titre l'orthographe telle qu'elle continue de s'exercer aujourd'hui en français est aussi un anachronisme, un reste d'une vision dépassée de l'histoire et des sociétés depuis le XVIII e siècle. Cette persistance en dépit des évolutions de la langue et de la science, maintenue dans les milieux intellectuels qui ont procédé à ce changement -mais aussi bien au-delà-doit nous interroger sur l'importance qu'ont pris les symboles nationaux au sein des processus identitaires. L'orthographe officielle n'a peut-être pas évolué dans sa forme depuis 1740, Avoir raison avec Jules Michelet, « Jules Michelet et le rôle des peuples » par Emmanuel Laurentin, le 19 juillet de 12h à 12h30 avec son hétérogénéité, et ce d'autant plus que cette dernière présente dans ce processus des fonctions fondamentales d'expression individuelle et d'organisation collective

, « l'homme animé par l'esprit scientifique désire sans doute savoir, mais c'est aussitôt pour mieux interroger. » (Bachelard, 1934 : 20). -Quels locuteurs l'orthographe officielle, l'enseignement traditionnel de l'orthographe privilégient-ils ou servent-ils ? -Où sont aujourd'hui les pressions exercées contre cette norme ? dans quels contextes émergent-ils ? portés par quels locuteurs ? avec quels effets ? Comment s'exprime cette résistance ? quels usages orthographiques génère-telle ? -Quelles fonctions identitaires et sociales le conservatisme et l'instrumentalisation de la langue servent-ils ? Dans quelle mesure ces fonctions ne sont pas ou ne pourraient-elles pas être portées par la dimension sémiographique de l'orthographe ? En quoi cela change-t-il le débat ? -Quel rôle peut jouer une réforme de l'orthographe et de son apprentissage dans la démocratisation de l'accès à la communication écrite ? -Comment concilier transmission de l'orthographe officielle, même plurinormaliste, et émancipation par la langue ? -Comment oeuvrer à une politique publique de la langue qui se fasse à la fois avec et pour les locuteurs ?, à avancer des réponses qu'à envisager les pratiques orthographiques sous des angles permettant de nouvelles questions

, de faire de moi-même le sujet d'un texte. J'ai commencé par me plier timidement à l'exercice, et à jouer le jeu de parler de moi, et d'exposer l'état de mes réflexions -état nécessairement transitoire-seulement dans la mesure où cela me permettait de combler des lacunes, de reprendre des lectures, de les compléter au gré parfois de fantaisies ou même de hasards de l'actualité ou de rencontres, J'avais quelque réserve, et même pour tout dire des résistances à me lancer dans cette HDR : je n'étais pas conquise à l'idée de me mettre en scène, de me raconter

, Comprendre en quoi notre unicité est le produit d'un collectif, l'histoire et le social. Se penser soimême comme les autres, Débusquer ce qui en nous n'est pas à nous

, en particulier parce que j'ai moins écrit mon autobiographie qu'un état des lieux ; mais je veux croire que j'en ai parfois pris le chemin, et que l'on trouvera aussi, dans ce texte, un peu de l'histoire d'une génération d'enseignants-chercheurs et de notre communauté scientifique. J'ai voulu en tout cas faire figurer ici toutes les activités qui font mon métier : l'enseignement, la conception de maquettes et la responsabilité de diplômes, l'innovation pédagogique, l'encadrement de mémoires et de thèses, l'édition scientifique, la coordination de projets, la participation à des manifestations et à des réseaux scientifiques, la travail de terrain, les lectures. Chacune a son importance dans la formation de mes réflexions et dans leur évolution. Elles m'obligent à chercher de la cohérence

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.. .. Remerciements,

, Avant propos : présentation du dossier d'habilitation à diriger

I. Partie, Cadres théoriques et positionnements - Fondements d'une sociolinguistique de l'orthographe

, La relation au sens linguistique

, Le plurisystème graphique (Catach), p.61

, La variation et la norme

, I. 5. L'orthographe comme ensemble d'usages

, 114 I. 5.2. Prendre le point de vue de la variation

, 123 I. 5.5. Recenser, catégoriser, construire un idéal-type

, 128 I. 5.6.1. La catégorisation de la variation par le plurisystème graphique, p.128

, 5.6.3. Frei, l'analyse fonctionnelle et la rationalité à l'oeuvre

, La variation dans les textes en langues régionales

, Interpréter un usage par le contexte social

, Les positionnements des scripteurs face à la norme

, La variation vue sous l'angle de la réception

I. , Conclusion de la partie I

, II. 1.1. Les représentations : objet de la linguistique

, 1.4. Quelles sont les représentations de l'orthographe ?

, Contexte idéologique et social : émergence de la notion d'illettrisme

, Pratiques orthographiques de personnes en difficulté potentielle avec l'écrit

, Enseigner et apprendre l'orthographe

.. .. Conclusion-générale,

.. .. Bibliographie,