, Sur l'articulation entre politique et nature on peut par exemple se référer à C. Duflo, Diderot philosophe, pp.447-477, 2003.

J. De-saint-lambert and . Génie, , p.583

.. B. Sur-ce-point and . Binoche, La raison sans l'histoire, chapitre II (« Diderot, Catherine II, ou les deux histoires, p.71

, La réforme d'un système politique, ici celui de la Russie-mais bien des remarques que fait Diderot sont, on le sait, transposables à d'autres contextes, et notamment à la France-, nécessite pour être mise en oeuvre une volonté politique non seulement forte, mais visionnaire ; une volonté capable d'initier une action qui rompe avec ce qui était jusque-là admis comme norme politique et sociale. En d'autres termes, il est besoin d'un homme politique de génie. Et en même temps, le recours à ce type de personnalité comporte de façon intrinsèque un risque ; il est contraire au développement naturel harmonieux d'une société. Pour le dire encore autrement : il est besoin d'une intervention radicale, car une société humaine laissée à elle-même ne se développe pas selon la bonne marche de la nature, Diderot à l'occasion de sa confrontation avec Catherine II. Cette dernière apparaît en effet porteuse des ambivalences du génie tel qu'il est conçu par Diderot

M. Dans-les, ensemble de feuillets qui sont, on l'a mentionné, destinés à être conservés par l'impératrice, Catherine II est, à plusieurs reprises, décrite comme possédant un « génie

, Diderot dépeint à ses compatriotes les qualités de l'impératrice, qui résident dans une série d'alliances de contraires : [?] la force avec la douceur, le mépris du péril et de la vie, la pénétration qui à tout moment me gagnait de vitesse, avec un jugement sain ; la dignité avec l'affabilité [?] ; la chaleur de l'âme et même son impétuosité, avec la patience et la modération ; l'amour du bien avec cette constance qui ne se décourage pas et qui sait attendre le moment du succès ; les grandes vues, avec la modestie singulière qui en abandonne le mérite aux autres et qui ne se réserve que celui de l'approbation, La fin du deuxième feuillet-tout entier consacré à établir les places respectives de la souveraine et du conseiller-en constitue la première occurrence

, Mais prenons au sérieux cette série de qualités : elles sont non seulement toutes remarquables, mais remarquables par leur association. C'est cette association qui fait de Catherine II une souveraine exceptionnelle, dont l'action est susceptible d'être décisive : précisément parce qu'elle conjugue des qualités qui d'habitude s'excluent. Elle serait, affirme Diderot immédiatement après, capable de transformer la France en Empire redoutable

, Le souverain de grand génie se caractérise par sa capacité à faire resurgir la nature là où elle

. Mélanges, , p.231

«. Et, quels hommes vous seriez, car je vous déclare à tous que vous ignorez ce que la nature vous a donné, p.232

, Diderot souligne ici la capacité à ébranler les systèmes que l'article de l'Encyclopédie mettait au crédit du génie ; mais dans cette description laudative de Catherine II

, Le terme de génie est repris une seconde fois à la fin d'un feuillet beaucoup plus court

«. Sur-la-maison-des-jeunes-filles and ». , En effet, quel rapport du plus bel édifice de pierre et des institutions capables de changer les lois, les moeurs, les usages, l'esprit national, l'esprit domestique, en un mot, toute la face d'une immense nation ? Que Votre Majesté impériale soit ferme dans ses résolutions et fidèle à ses promesses. Elle en sera plus grande dans l'avenir et plus heureuse pour le moment. Je n'en dirais pas tant à qui n'a pas son génie

, Là encore le génie est lié à la possibilité, à travers le maintien de la direction donnée à l'action, d'un changement radical de la nation jusque dans ce qu'elle a de plus profondément enraciné. La référence à la nature est ici absente ; c'est la transformation de l'édifice social qui prévaut

, Rappelons la formule déjà commentée de la « Première addition sur la tolérance » : « Savoir comment les choses devraient être est d'un homme de sens ; comment elles sont, d'un homme expérimenté ; comment les changer en mieux, d'un homme de génie 513. » Cette capacité à juger et à déterminer la conduite de l'action en situation en est la marque : la note, Dans ces deux occurrences, le génie consiste à articuler la vision et l'action

, sans contention ; il ne regarde point, il voit, il s'instruit, il s'étend sans étudier ; il n'a aucun phénomène présent mais ils l'ont tous affecté ; et ce qu'il lui en reste, c'est une espèce de sens que les autres n'ont pas ; c'est une machine rare qui dit : cela réussira? et cela réussit ; cela ne réussira pas? et cela ne réussit pas ; cela est vrai et cela est faux? et cela se trouve comme il l'a dit. Il se remarque dans les grandes choses et dans les petites

«. Espèce-de-sens and ». , « état » particulier qu'est celui de souverain, il se caractérise par une justesse hors norme dans la manière d'envisager la transformation d'un état de fait et de conduire cette transformation. Catherine II est représentée dans les Mélanges avec cette capacité à dire ce qui réussira

S. Diderot and . Le-génie, , p.20

. Pétersbourg, qui s'intitule, dans la version qui en a été publiée dans la Correspondance littéraire à l'automne 1772 : « Qu'il faut commencer par le commencement 519 ». Gianluigi Goggi, dans l'édition séparée qu'il a fournie des Fragments politiques, en fait un commentaire extrêmement riche et précis ; notre analyse, sans prétendre en restituer toute la finesse ni l'érudition, en est largement tributaire. Le fragment XVI est une critique en règle de la politique de civilisation de l'impératrice, consistant à attirer en Russie des artistes pour y faire fleurir les beaux-arts

, pour que les beaux-arts puissent se développer, « commencer par le commencement », c'est-à-dire par acquérir une prospérité réelle. Cette prospérité nécessite le développement de l'agriculture et de l'artisanat ; c'est lui qui permet l'accroissement de la richesse et de la population : Sachez cultiver la terre, travailler les peaux, fabriquer les laines, faire des souliers ; et avec le temps, sans même que vous vous en mêliez, on fera chez vous des tableaux et des statues, parce que de ces conditions basses il s'élèvera des maisons riches et des familles nombreuses. Quelques uns des enfants de ces familles, enclins à la paresse qui est effet de l'aisance, se dégoûteront du métier pénible de leurs pères, se mettront à penser, à discourir, à arranger les syllabes, à imiter la nature de toutes les manières, Cette politique, pour Diderot, est absurde dans la mesure où elle ne tient pas compte de la réalité de la civilisation comme processus historique : il faut

, On ne gagne pas à « commencer l'édifice par le faîte 521 » : quand bien même on formerait des artistes russes sous les meilleurs maîtres, à défaut d'une certaine prospérité générale, ces artistes ne trouveront pas à vendre leurs oeuvres et abandonneront leur métier pour une occupation qui leur permet de vivre ; à quoi s'ajoute, dit Diderot, la supériorité des arts « autochtones » à l'imitation simple des autres nations-les activités agricoles et artisanales et les beaux arts ayant en commun justement l

, Gianluigi Goggi montre de façon très précise la façon dont l'élaboration des idées de ce fragment s'inscrit dans une série de débats qui commencent dans les années 1760, et qui concernent le rapport entre le progrès des arts et le progrès de la civilisation 522

D. Diderot, Fragments politiques échappés du portefeuille d'un philosophe, pp.164-174, 2011.

. Diderot, Fragments politiques, p.168

, Je n'en dirais pas autant d'eux, dans les matières qui nous occupent ; on croit au premier coup d'oeil, n'avoir qu'une difficulté à résoudre ; mais bientôt cette difficulté en entraîne une autre, celle-ci une troisième, et ainsi de suite jusqu'à l'infini ; et l'on s'aperçoit qu'il faut, ou renoncer au travail, ou embrasser à la fois le système immense de l'ordre social, sous peine de n'obtenir qu'un résultat incomplet et défectueux. [?] Quel homme sera assez instruit pour saisir tous ces éléments ? Quel est l'esprit assez juste pour ne les apprécier que ce qu'ils valent ? Toutes les connaissances des différentes branches de la société ne sont que des branches de l'arbre qui constitue la science de l'homme public, Pour la reconstitution du débat et notamment la part jouée par le transfert du concept de civilisation élaborée par les Lumières écossaises, on peut se référer à l'introduction de l'édition citée (Diderot, Fragments politiques, pp.73-100

, comme ce qui fait le coeur d'un système de gouvernement et permet d'en saisir la spécificité, l'idée de « forme », non pas donnée mais acquise à travers une série d'actions, trouve des échos chez Rousseau lui-même. Elle permet d'insister sur la manière dont un individu se constitue comme une personne singulière, caractérisée par des dispositions affectives qui font sa manière d'être individuelle, ou, pour utiliser l'expression de Montaigne, sa « forme maîtresse 538 » ; tout l'enjeu est que cette forme convienne à celui qu'elle marque, qu'elle lui permette de se reconnaître 539. À l'instar de l'individu, un gouvernement doit achever de trouver sa forme propre. Or cette forme n'est pas une donnée initiale qu'il serait possible de lui imposer dès l'origine, mais elle se constitue dans la manière dont ce gouvernement s'exerce dans son rapport avec la nation. L'individu ne naît pas avec la forme qui convient à son âme mais se la donne, ou la manque, dans les années où il commence à être affecté de sentiments moraux, et malgré la difficulté d'une solution rigoureuse, c'est toujours le but qu'il faut se proposer ; il d'esprit fait signe vers Montesquieu, vol.537

, Cette convenance met donc en jeu deux pôles : d'un côté une forme spécifique de gouvernement déterminée en fonction de la nature du territoire ; de l'autre une certaine dynamique liée aux affects mis en jeu dans le cadre de ce gouvernement et qui va dépendre des maximes de conduite qu'il adopte, mais aussi de la nation qui le met en oeuvre. C'est dans le cadre de ce problème politique-quelles doivent être les maximes qui donneront au gouvernement

, Le Contrat social utilisait une comparaison architecturale pour pointer le rapport entre les moeurs et les lois 540 : les moeurs sont le sol qui doit pouvoir supporter le poids de l'édifice des lois. Le plan de gouvernement pour la Corse déplace cette image

, cherché à en prendre l'esprit, pour ne pas regarder comme semblables des cas réellement différents, et ne pas manquer les différences de ceux qui paraissent semblables, p.82

. Montaigne, . Essais, and P. Paris, , p.811, 2004.

. Notons-que-le-vicaire, ». Son-interlocuteur-À-recevoir-dans-son-Âme-«-le-cachet-de-la-vérité, and . Dans-la-période-de-la-naissance-de-la-sensibilité, Vous êtes dans l'âge critique où l'esprit s'ouvre à la certitude, où le coeur reçoit sa forme et son caractère, et où l'on se détermine pour toute la vie, soit en bien, soit en mal. Plus tard, la substance est durcie, et les nouvelles empreintes ne marquent plus. Jeune homme, recevez dans votre âme, encore flexible, le cachet de la vérité, p.1099

. Du-contrat-social and V. Ii, pour voir s'il en peut soutenir le poids, le sage instituteur ne commence pas par rédiger de bonnes lois en elles-mêmes, mais il examine auparavant si le peuple auquel il les destine est propre à les supporter » Le liberum veto n'est pas un droit vicieux en lui-même, mais sitôt qu'il passe sa borne, il devient le plus dangereux des abus : il était le garant de la liberté publique ; il n'est plus que l'instrument de l'oppression. Il ne reste, pour ôter cet abus funeste que d'en détruire la cause tout à fait. Mais il est dans le coeur de l'homme de tenir aux grands privilèges individuels plus qu'à des avantages plus grands et plus généraux, Comme avant d'élever un grand édifice l'architecte observe et sonde le sol, vol.83

, Le liberum veto ne peut être bon que « dans la formation du corps politique, ou quand il a toute sa perfection », mais il est « absurde et funeste tant qu'il reste des changements à faire 570 ». L'unanimité est requise, on l'a rappelé, pour le pacte initial par lequel le peuple s'institue comme tel ; elle pourrait à la limite émaner d'un corps politique dont l'union serait parfaite, de telle sorte que l'unité morale des citoyens éliminerait toute dissension-même si une telle unité reste davantage de l'ordre de l'horizon : elle confine, là encore, au système utopique, parfaitement stable, où les lois produisent le bonheur continu des citoyens. Tant qu'il y a un développement historique, au contraire, l'unanimité est nuisible à la bonne marche des institutions ; elle contrevient du reste à l'idée même d'une volonté générale qui n'est pas, rappelons-le, la somme des volontés individuelles, mais résulte de leur intégration 571. Or la suite de ce passage envisage au contraire la possibilité d'une réforme du liberum veto : Le liberum veto serait moins déraisonnable s'il tombait uniquement sur les points fondamentaux de la constitution : mais qu'il ait lieu généralement dans toutes les délibérations des Diètes, c'est ce qui ne peut s'admettre en aucune façon, On s'attendrait ici à ce que Rousseau renouvelle sa préconisation : il faut supprimer le liberum veto. La rhétorique même du passage, opposant l'égoïsme qui sous-tend , même ancré dans les habitudes nationales, au nom de l'intérêt général, laisse entrevoir une stratégie de persuasion : les commanditaires de Rousseau sont invités à se reconnaître dans les patriotes éclairés plutôt que dans les tenants d'une tradition qui est désormais « inséparable » de « son abus

, Il s'agit donc non pas de supprimer le liberum veto, mais de le faire porter uniquement sur les lois fondamentales, qui gagnent ainsi en solennité, puisque leur établissement comme leur 569 Ibid, p.995

. Ibid,

. Ibid, au début des Considérations, l'ensemble du dispositif public dont il recommande la mise en place, et qui doit mettre en permanence la patrie sous les yeux des citoyens, afin, nous l'évoquions plus haut, de renforcer le sentiment national, et « d'établir [?] la République dans le coeur des Polonais 576 ». Les Considérations mettent donc en parallèle les institutions projetées, et ce droit ancien, dont Rousseau avait souligné quelques paragraphes plus haut qu'il était désormais inséparable de son abus, et qui devient ici, contre toute attente, réformable. De la même manière, Rousseau se montre prudent vis-à-vis d'une autre des causes identifiées de l'anarchie, les confédérations, c'est-à-dire la possibilité pour un groupe de nobles de prendre les armes contre le gouvernement au nom de la défense de la patrie, s'ils voient cette dernière en danger. Mably avait jugé cette institution dangereuse, puisqu'elle rend légale l'insurrection armée, et en dernier ressort, légitime la guerre civile. Rousseau lui répond : Oserais-je parler ici et n'être pas de l'avis des savants. Ils ne voient que le mal qu'elles font ; il faudrait voir aussi celui qu'elles empêchent. Sans contredit la confédération est un état violent dans la République, Les changements proposés se réfèrent aux réformes du fonctionnement de la Diète et des magistratures qui ont été énoncées plus haut dans les Considérations. Des institutions « inconnues des modernes, pp.995-996

, Il faut donc, là encore, les encadrer de telle sorte que leur usage légitime soit spécifié. Rousseau aborde même les cas où « par le seul fait toute la Pologne doit être confédérée », c'est-à-dire où, à cause d'une invasion étrangère ou par l'empêchement, de quelque nature qu'il soit, de la tenue de la Diète, la patrie est directement menacée. La manière dont les confédérations sont ici envisagées change leur statut : tandis qu'elles pouvaient apparaître, et étaient considérées par leurs adversaires, comme l'instrument de la défense d'intérêts partisans, La confédération est élogieusement comparée à la dictature chez les Romains : elles suspendent les lois, mais uniquement pour sauver la République d'un péril pressant

, Cet intérêt pour une défense nationale se retrouve, il faut le rappeler, dans les pages des Considérations consacrées au système militaire ; Rousseau y recommande notamment l'établissement d'une milice, sur l'exemple de la Suisse où « tout habitant est soldat, mais seulement quand il faut l'être 578, Ce qui est remarquable dans le cas des confédérations, 576 Ibid, p.959

. Ibid, Moïse, Lycurgue, Numa, ont su donner des moeurs à leur peuple. Ils ont cherché des liens qui attachent les citoyens à leur patrie, sans se contenter d'élaborer des systèmes de législation abstraits. Le temps de la réforme pose davantage de problèmes : la loi a moins de prise sur les moeurs lorsqu'elles sont corrompues, et lorsqu'on peut agir sur elle, il vaut mieux suspendre toute idée de réforme, sous peine de causer des troubles irréversibles, Les lois politiques, lors de la fondation d'un État, ont prise sur les moeurs : les grands fondateurs, p.1015

. Or and . La-pologne, occasion d'une réflexion sur la manière dont les habitudes préexistantes de la nation tout à la fois ouvrent des possibilités et limitent le champ de l'action possible. C'est le point sur lequel s'ouvrent les Considérations : Rousseau y souligne la difficulté pour un étranger de proposer un plan de refonte du gouvernement : Si on ne connaît à fond la nation pour laquelle on travaille, l'ouvrage qu'on fera pour elle, quelque excellent qu'il puisse être en lui-même, péchera toujours par l'application, et bien plus encore lorsqu'il s'agira d'une nation déjà toute instituée

, On peut se référer ici aux pages déjà citées de F. Guénard, dans Rousseau et le travail de la convenance, pp.153-184, 2001.

F. Guénard, . Rousseau, and . Le-travail-de-la-convenance, , p.509

J. 'expliquerai-ci-après-le-régime-d, administration qui sans presque toucher au fond de vos lois, me paraît propre à porter le patriotisme et les vertus qui en sont inséparables au plus au degré d

. Considérations-sur-le-gouvernement-de-pologne, , p.953

F. Guénard, . Rousseau, and . Le-travail-de-la-convenance, , pp.515-521

. Considérations-sur-le-gouvernement-de-pologne, Sur la figure de Moïse législateur chez Rousseau, nous renvoyons de nouveau à l'article de, pp.71-95

. Considérations-sur-le-gouvernement-de-pologne, , pp.953-954

A. and L. , Lettre d'un négociant sur la nature du commerce des grains, s.l, p.1763

A. and M. D. , Essais politiques, p.1757

A. , R. , and .. P. Chiron, , 2007.

J. Boswell and É. De-la-corse, , p.1769

B. and E. , Lettre à un membre de l'Assemblée Nationale de France (1791), 2012.

B. and J. , Principes du droit naturel, p.1747

B. and J. , Principes du droit politiques, p.1751

, Code Frédéric ou Code de droit pour les états de sa majesté le Roi de Prusse, s.l, p.1751

C. and N. De, Tableau historique des progrès de l'esprit humain (1772-1794), éd, J. P. Schandeler et P. Crépel, 2004.

C. and B. , La liberté des Anciens comparée à celle des Modernes (1819), in Ecrits politiques éd. M. Gauchet, 1997.

C. and G. , , p.1756

D. and J. Le-rond,

D. , D. Oeuvres-complètes, (. Dpv),-Éd, .. H. Dieckmann, J. Proust et al., , 1975.

D. , D. Oeuvres, .. L. Versini, R. Paris, . Laffont et al., , vol.5, 1994.

D. , D. Oeuvres, and .. P. Vernière, , 1994.

D. and D. , Fragments politiques échappés du portefeuille d'un philosophe, 2011.

. Encyclopédie, Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, pp.1751-1772, 2016.

, Encyclopédie méthodique ou par ordre de matières par une société de gens de lettres, de savants et d'artistes?, dir. Ch, pp.1782-1832

F. and F. De-salignac-de-la-mothe, Les Aventures de Télémaque (1699), éd. J. Le Brun, 1995.

G. and F. , Dialogues sur le commerce des blés (1770), éd. Ph. Stewart, Paris, Société Française d'Etude du Dix-Huitième siècle, 2014.

H. , C. De-l'esprit-;-Éd, and .. J. Steffen, OEuvres complètes, sous la dir. de G. Stenger, t. I, 1758.

H. and P. , Poétique du roman. Scudéry, Huet, Du Plaisir et autres textes théoriques et critiques du XVII e siècle sur le genre romanesque, éd. C. Esmein, 1670.

K. and E. , Qu'est-ce que les Lumières ? (1784), trad. F. Proust, 2006.

L. A. Mettrie and J. Offray-de, Histoire naturelle de l'âme, p.1745

L. De, L. A. Riviere, and P. , L'Ordre naturel et essentiel des sociétés politiques (1767), 2001.

L. , S. , L. Voix, and . Du-citoyen,

L. and L. Pierre-de, Les Princesses malabares ou le Célibat philosophique (1734), p.1734

M. and G. Bonnot-de, Observations sur les Grecs, p.1749

M. and G. Bonnot-de, Observations sur les Romains, p.1751

M. and G. Bonnot-de, Guillaume Arnoux, 1794-1795, reprod. et présentation P. Friedmann, 1977.

M. and G. Bonnot-de, Observations sur l'histoire de France, pp.1765-1772

M. and G. Bonnot-de, Doutes proposés aux philosophes économistes sur l'ordre naturel et essentiel des sociétés politiques (1768), éd. E. Martin-Haag, 2012.

M. and G. Bonnot-de, Du gouvernement et des lois de Pologne (1771), éd. M. Belissa, 2008.

M. , N. , and L. Prince, , 1532.

M. and B. De, Telliamed ou Entretiens d'un philosophe indien avec un missionnaire français sur la diminution de la mer, p.1748

M. and C. Guillaume-de-lamoignon-de, Mémoires sur la librairie, 1758.

, Mémoire sur la liberté de la presse (1788), éd. Roger Chartier, 1994.

M. , P. Moreau-de, É. De, and M. De-montesquieu, , pp.1782-1788, 1979.

M. Louis-sébastien and L. , , 1771.

M. and J. , Histoire de la Révolution française, 1952.

M. , V. Riqueti-de, and L. , Ami des hommes ou Traité de la population, vol.3, pp.1756-1760

M. and M. De, , 2004.

, Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734), 2000.

M. and D. , Esprit des lois (1748), éd. L. Versini, 1995.

T. More, L. 'utopie, and .. M. Delcourt, , 1987.

N. and G. Matteo, Disinganno (1736), éd, 1983.

P. , L. République, and .. G. Leroux, , 2016.

P. , L. , and .. L. Brisson, GF-Flammarion, 1993.

R. and C. , , vol.13, pp.1730-1738

R. and J. , OEuvres complètes (OC), dir. B. Gagnebin et M. Raymond, 5 vol, 1964.

R. and J. , Discours sur l'économie politique, éd. sous la dir, 2002.

R. and J. , Du contract social ou Essai sur la forme de la République (Manuscrit de Genève), éd. sous la dir, 2012.

R. and J. , Écrits politiques et économiques, vol.3, 2012.

R. , J. , A. De-corse, S. La-dir.-de-c.-litwin, and .. J. Swenson, , 2018.

R. , J. Correspondance-complète, and É. R. Leigh, , vol.52, pp.1965-1998

R. , J. , L. Philosophiques-de-rousseau, and É. H. Gouhier, , 1974.

R. and C. C. De, Histoire de l'anarchie de Pologne et du démembrement de cette République, p.1807

S. and P. De, Roman politique sur l'état présent des affaires de l'Amérique ou Lettres de M*** à M*** sur les moyens d'établir une paix solide et durable dans les Colonies, p.1757

S. and J. De, Mémoire pour servir à l'histoire de M. de Montesquieu, in Montesquieu. Mémoire de la critique, 2003.

T. Stanyan, H. De-grèce, and .. D. Diderot, , p.1743

V. De-forbonnais and F. , , p.1754

V. and L. Philosophiques, , 1734.

V. and H. De-l'empire-de-russie-sous-pierre-le-grand, , pp.1759-1763

. Mervaud, OEuvres complètes de Voltaire

G. , M. , R. , and C. Littéraire, , vol.16, pp.1877-1882

. Éphémérides-du-citoyen, , pp.1765-1772

, La France littéraire ou Almanach des Beaux arts, suivi d'un Supplément à la France littéraire, Consultable en ligne, pp.1757-1784

T. Mémoires-de, Histoire des sciences et des Beaux Arts. Recueillis par l'ordre de Son Altesse Sérénissime le Prince des Dombes, pp.1701-1767

, Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des Lettres en France, depuis 1762 jusqu'à nos jours, éd. sous la dir, vol.5, 2009.

, Nouvelles ecclésiastiques, pp.1728-1803

R. , L. Nouvelles-littéraires-in-grimm, . Meister, C. Raynal, and . Littéraire,

C. , P. , A. , and J. , , 1980.

V. , C. , and M. , Mémoire de la critique, 2003.

B. Bachofen, La condition de la liberté, Rousseau critique des raisons politiques, 2002.

B. Baczko and . Lumières-de-l'utopie, , 1978.

K. Baker and . Michael, Au tribunal de l'opinion, p.1993, 1990.

B. Bernardi, La fabrique des concepts, 2006.

B. Binoche, , 1998.

B. , B. , T. , and F. , Sens du devenir et pensée de l'histoire au temps des Lumières, 2000.

B. , B. (. , .. ). , and L. 'homme-perfectible, , 2004.

B. Binoche, Les équivoques de la civilisation, 2005.

B. Binoche, La raison sans l'Histoire, 2007.

B. Binoche, , 2012.

B. , B. Dumouchel, and D. , Expériences de pensée et autres dispositifs fictionnels de Descartes à Madame de Staël, 2013.

F. Brahami, L. Raison, and . Peuple, , 2017.

C. , R. , M. , and H. , Histoire de l'édition française, t. 2, Le livre triomphant, pp.1660-1830, 1984.

C. and R. , Lectures et lecteurs dans la France de l'Ancien Régime, 1987.

C. and R. , Les origines culturelles de la Révolution française, 1990.

C. and R. , Culture écrite et société. L'ordre des livres, 1996.

C. , M. Sultan, and E. , « L'économie à l'épreuve de la fiction, Corpus, revue de philosophie, p.69, 2016.

D. and R. , Le conseiller du Prince de Machiavel à nos jours. Genèse d'une matrice démocratique, 2003.

R. Darnton, Bohème littéraire et révolution : le monde des livres au XVIII e siècle, trad. É. De Grolier, 1983.

R. Darnton, L. Grand, and .. Revellat, , 1984.

R. Darnton, Édition et sédition, 1991.

R. Darnton, Gens de lettres, 1990.

D. , R. , and J. , Rousseau et la science politique de son temps, 1950.

D. , E. , and J. , , 1932.

D. , C. , and D. Philosophe, , 2003.

D. , C. , and D. , Du matérialisme à la politique, 2013.

, Fictions de la pensée, pensée de la fiction, Roman et philosophie aux XVII e et XVIII e siècles, 2013.

E. and R. John, Rousseau and his Reader : the Rhetorical Situation of the Major Works, 1969.

F. and A. , Dire et mal dire. L'opinion publique au XVIII e siècle, 1992.

M. Foucault, . Dits, and . Écrits, , vol.2, 2001.

M. Foucault, . Sécurité, and . Au-collège-de-france, , 1977.

M. Foucault and L. Gouvernement-de-soi, EHESS/Seuil/Gallimard, 2008.

M. Foucault and &. Qu, est-ce que la critique ?, suivi de La culture de soi, 2015.

F. , M. , and L. 'âge-de-l'éloquence, , 1980.

G. and G. , Encyclopédie à l'éloquence républicaine. Étude sur Diderot et autour de Diderot, 2013.

G. , H. , L. Méditations-métaphysiques-de, and J. Rousseau, , 1984.

G. , C. , and L. Dix-huitième-siècle-et-l'antiquité, , 1995.

G. and C. , Les historiographes en Europe de la fin du Moyen Âge à la Révolution, 2006.

G. , A. , and P. Paoli, , 2004.

G. , F. Rousseau, and . Le-travail-de-la-convenance, , 2004.

H. , J. , L. 'espace, and . Public, Archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise, 1962.

H. , F. Anciens, P. , and G. Éditions, , 2005.

A. Hatzenberger and . Rousseau, De l'État insulaire aux cosmotopies, 2012.

J. and H. Robert, Pour une esthétique de la réception, trad. C. Maillard, Paris, Gallimard, 1978.

J. and C. , Histoire des bibliothèques françaises, 1989.

K. , R. , L. Règne-de-la-critique, and .. H. Hildenbrand, , 1959.

L. , C. , and L. Au-xviii-e-siècle, La Nouvelle Héloïse et ses lecteurs, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1985.

L. , C. Retat, P. , and L. Périodique, , 1985.

L. , C. , and L. &. , , 1992.

L. and O. , , 2015.

L. and A. , Le monde des salons, 2005.

L. and A. , Figures publiques : l'invention de la célébrité, pp.1750-1850, 2014.

M. , F. , and L. 'ordre-des-Échanges, , 1986.

M. and S. , Vies privées, affaires publiques. Les causes célèbres de la France prérévolutionnaires, 1993.

M. and P. , Le récit utopique. Droit naturel et roman de l'État, 1982.

M. and D. , Les origines intellectuelles de la Révolution française, pp.1715-1787, 1933.

N. and B. De, Lectures interdites, Le travail des censeurs au XVIII e siècle, 1995.

P. , L. , L. 'expérience, and . Du, Michel Foucault entre épistémologie et histoire, 2012.

P. and J. , Politique du renonçant : le dernier Rousseau. Des Dialogues aux Rêveries, 2011.

P. and J. , Histoire intellectuelle de l'économie politique, 1992.

P. , J. G. Agard, L. Moment-machiavélien,-trad, and .. L. Borot, , 1975.

P. , J. , and D. Et-l'encyclopédie, , 1962.

R. and P. , The Foucault Reader, 1984.

R. , J. , and L. 'utopie-narrative-en-france-et-en-angleterre, , pp.1675-1761, 1991.

R. , G. , and L. 'histoire-de-la-raison, Anthropologie, morale et politique chez Rousseau, 2008.

R. and D. Raconter, Histoires de philosophes, pp.1650-1766, 2003.

D. Roche, Académies et académiciens provinciaux, Mouton, vol.2, pp.1680-1789, 1978.

D. Roche, Les Républicains des lettres, Gens de culture et Lumières au XVIII e siècle, 1988.

R. and S. , Comment l'utopie est devenue un programme politique. Du roman à la Révolution, 2015.

S. , F. (. , and .. ). Diderot-rousseau, Un entretien à distance, 2006.

Y. Seite and . Du-livre-au-lire.-la-nouvelle-héloïse, , 2002.

M. Senellart, Du regimen médiéval au concept de gouvernement, 1995.

J. Sgard, Dictionnaire des journaux, pp.1600-1789, 1991.

J. Shklar, Men and citizens : a study of Rousseau's political theory, 1969.

Q. Skinner, Les fondements de la pensée politique moderne, trad, J. Grossman et J.-Y

P. Pouilloux and A. Michel, , 1978.

Q. Skinner, Reason and Rhetoric in the philosophy of Hobbes, 1996.

A. Skornicki, L. 'économiste, L. Cour, and . La-patrie, , 2011.

C. Spector, Montesquieu et l'émergence de l'économie politique, 2006.

C. Spector, Rousseau et la critique de l'économie politique, 2017.

. Van-damme and . Stéphane, Une autre histoire de la philosophie au temps des Lumières, 2014.

F. Venturi, Utopia e riforma nell'Illuminismo, 1970.

A. Viala, Naissance de l'écrivain, 1985.

V. and C. Diderot-en-quête-d'éthique, Paris, Classiques Garnier, 2014. 2.2. Articles et chapitres d'ouvrages collectifs BACHOFEN, pp.1773-1784

. Manent, Penser l'homme. Treize études sur Jean-Jacques Rousseau, pp.25-41, 2013.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01531290

B. Bernardi and . Le-moïse-de-rousseau, Législateur archétype ou atypique », Incidences, n°8, pp.71-95, 2012.

B. Binoche, Sens du devenir et pensée de l'histoire, 2000.

M. Blaszke, Projets de réformes pour la Pologne par deux adversaires : Mably et Le Mercier de la Rivière, pp.131-146, 1995.

P. Bourdieu, . Le, and . Scientifique, Actes de la recherche en sciences sociales, vol.2, pp.88-104, 1976.

J. Bourdin and «. , F. Salaün (dir.), Diderot-Rousseau. Un entretien à distance, pp.36-50, 2006.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01416986

C. and Y. Monsieur, Jaques chez l'ami des hommes : visite de Rousseau au coeur de l'économisme

, Les dernières années, pp.53-73, 1999.

C. , R. Roche, and D. , Histoire de l'édition française, t. 2, Le livre triomphant, Les pratiques urbaines de l'imprimé, pp.402-429, 1984.

D. and L. Vers-la-bibliothèque-publique, Histoire des bibliothèques françaises, pp.498-531, 1989.

D. and L. Le, crime de lèse-majesté en question dans l'Encyclopédie. De l'article parricide à l'article libelle », Corpus, n°51, pp.249-277, 2007.

D. , C. La-statue-du-bon-despote-:-diderot, and . La-figure-de-pierre-le-grand, Diderot and European Culture, pp.77-86, 2006.

D. and G. , Diderot éditeur des plans et des statuts des établissements de Catherine II, vol.16, pp.323-344, 1984.

D. , G. Diderot, and . Le, mirage russe" : quelques préliminaires à son travail politique de Pétersbourg, Centre international d'études du XVIII e siècle, pp.149-192, 2001.

D. and G. , Quelques exemples de transferts européens du concept de civilisation », in B. Binoche (dir.), Les équivoques de la civilisation, pp.106-135, 2005.

D. and G. Le-discours-de-pétersbourg, Le Langage politique de Diderot, pp.125-143, 2014.

E. and F. Les, Montagnons : un archétype social », in La ville s'étend sur tout le pays, pp.75-94, 1993.

F. , J. Réalité, ». Utopie-dans-la-pensée-politique-de-rousseau, A. De-la-société, and J. Rousseau, , vol.35, pp.181-221, 1959.

F. , J. , J. Rousseau, and . Le-destin-polonais, Europe, pp.206-227, 1962.

F. , J. Deux-frères-ennemis-:-diderot, and J. , Diderot Studies III, pp.19-65, 1961.

F. and P. Mémoires-de-trévoux, Dictionnaire des journaux, vol.1

G. and J. , En guise de conclusion : les bibliothèques imaginaires (fictions romanesques et utopies) », in C. Jolly (dir, pp.647-660, 1989.

T. E. Hall, « The development of Enlightenment in Eighteenth Century Corsica, vol.64, pp.165-185, 1968.

T. E. Hall and J. Rousseau, the Corsican connection, vol.267, pp.199-215, 1989.

S. Karp, Le questionnaire de Diderot adressé à Catherine II : quelques précisions », Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, n°33, pp.9-61, 2002.

L. , C. Fonctions-du-périodique-littéraire, ». , I. C. Labrosse, and P. Rétat, , pp.12-136, 1985.

L. and A. , The Writing of Paranoia : Jean-Jacques Rousseau and the Paradoxes of Celebrity », Representation, n°103, pp.53-83, 2008.

M. , H. Une-croissance-séculaire, ». , I. R. Chartier, and H. Martin, Histoire de l'édition française, t. 2, Le livre triomphant, pp.198-205, 1984.

P. and J. , En marge des bibliothèques : l'apparition des cabinets de lecture », Histoire des bibliothèques françaises, pp.532-542, 1989.

P. and L. Éloges-de-montesquieu-par-jean-baptiste-de-secondat-et-d'alembert, Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, vol.42, pp.95-105, 2007.

R. , G. La-loi, L. L. , L. Moeurs, and . Rousseau, Cahiers philosophiques de Strasbourg, n°11, pp.153-184, 2001.

R. , G. La-volonté-générale,-entre-peuple, ». Gouvernement, I. J. , and -. Rousseau, Discours sur l'économie politique, pp.121-136, 2002.

R. and J. Promenades, petits excursus et régimes d'historicité, pp.161-175, 1980.

R. , M. , «. L'ordre, J. Le-système,-l'empirisme-réfléchissant-de, and . Rousseau», Rousseau anticipateur retardataire, pp.275-344, 2000.

J. Sgard, Histoire de l'édition française, t. 2, Le livre triomphant, La multiplication des périodiques, pp.198-205, 1984.

M. Spallanzani, Figures de philosophes dans l'oeuvre de Diderot », Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, vol.26, pp.49-62, 1999.
DOI : 10.4000/rde.1131

URL : http://journals.openedition.org/rde/pdf/1131

C. Spector, . Rousseau, and . La-critique-de-l'économie-politique, Rousseau et les sciences, pp.237-256, 2003.

C. Spector and . De-diderot-À-rousseau, la double crise du droit naturel moderne
DOI : 10.3917/rmm.131.0065

J. Rousseau, Du contract social ou Essai sur la forme de la République (Manuscrit de Genève), éd. sous la dir, pp.141-153, 2012.

D. and D. , , vol.382, p.386

D. and C. , , vol.55, p.384

D. and G. , , vol.335, p.384

D. Dumouchel, , vol.55, p.380

E. and F. , , vol.349, p.385

E. and R. John, , vol.298, p.380

F. and J. , , vol.29, p.385

F. and A. , , vol.159, p.380

F. and P. , , vol.47, p.385

M. Foucault, , vol.382, p.386

F. and M. , , vol.141, p.381

G. and F. , , vol.68, p.376

G. and G. , , vol.27, p.381

G. and H. , , vol.296, p.381

G. and J. , , vol.153, p.385

G. and A. , , vol.224, p.381

G. and C. , , vol.57, p.381

G. and F. , , vol.29, p.381

, HABERMAS, vol.194, p.381

T. E. Hall, , vol.226, p.385

H. and F. , , vol.60, p.381

H. and A. , , vol.349, p.381

H. and C. , , vol.22, p.376

H. and P. , , vol.152, p.376

J. and H. Robert, , vol.181, p.381

J. and C. , , vol.149, p.385

K. and E. , , vol.157, p.376

S. Karp, , vol.29, p.385

K. and R. , , vol.17, p.381

L. A. Mettrie and J. Offray-de, , vol.109, p.376

L. and C. , , vol.44, p.385

L. and C. , , vol.49, p.381

L. De, L. A. Riviere, and P. , , vol.322, p.376

L. and O. , , vol.14, p.381

L. and S. , , vol.48, p.376

L. and A. , , vol.382, p.385

L. and L. Pierre-de, , vol.109, p.376

M. and G. Bonnot, , vol.364, p.384

M. and N. , , vol.376, p.380, 0205.

M. and B. De, , vol.114, p.377

M. and C. Guillaume-de-lamoignon-de, , vol.22, p.377

M. and F. , , vol.27, p.382

M. and H. , , vol.1, p.386

M. and P. Moreau-de, , vol.70, p.377

M. and S. , , vol.164, p.382

, MEISTER, vol.226, p.379

M. and L. , , vol.127, p.384

M. and J. , , vol.11, p.377

M. and M. De, , vol.79, p.377

T. More, , vol.27, p.377

M. and P. , , vol.26, p.382

M. and D. , , vol.25, p.382

N. and G. Matteo, , vol.225, p.377

N. and B. De, , vol.108, p.382

P. and J. , , vol.149, p.385

P. and L. , , vol.50, p.382

P. and L. , , vol.70, p.385

P. and J. , , vol.214, p.382

P. and J. , , vol.25, p.382

, PLATON, vol.293, p.377

P. and J. G. Agard, , vol.58, p.382

P. and J. , , vol.29, p.382

R. and P. , , vol.193, p.382

R. and J. , , vol.26, p.382

R. and G. , , vol.213, p.386

R. and G. , , vol.117, p.379

R. and P. , Judith, vol.45, p.386

R. and D. , , vol.35, p.382

D. Roche, , vol.17, p.384

R. and C. , , vol.61, p.377

R. and J. , , vol.342, p.386

R. and S. , , vol.23, p.382

R. and M. , , vol.9, p.386

R. and C. C. De, , p.378

S. and P. De, , vol.49, p.378

F. Salaün, , vol.210, p.384

Y. Seite, , vol.178, p.383

M. Senellart, , vol.187, p.383

J. Sgard, , vol.44, p.386

J. Shklar, , vol.26, p.383

Q. Skinner, , vol.25, p.383

A. Skornicki, , vol.38, p.383

C. Spector, , vol.9, p.386

T. Stanyan, , vol.378, p.380

T. and F. , , vol.28, p.383

. Van-damme and . Stéphane, , vol.37, p.383

F. Venturi, , vol.26, p.383

V. De-forbonnais and F. , , vol.119, p.378

A. Viala, , vol.182, p.383

V. and C. , , vol.9, p.386

V. Catherine, , vol.72, p.379

V. , , vol.382, p.384