L. Voir-À-ce-propos-l'analyse-de-robert, ;. M. Clark, X. L. Viii, and . Clark, qui se fonde sur l'étude de la versification qui, par ses irrégularités, signale la probable absence d'un sermon dans les, p.108

M. Accarie, Le théâtre sacré de la fin du Moyen Âge, pp.130-133

, Voir également les travaux de Nicole Bériou, « La prédication aux derniers siècles du Moyen Âge, vol.72, pp.113-127, 2002.

D. Boquet and P. Nagy, sq. et surtout, l'importante étude d'Hervé Martin, Le Métier de prédicateur à la fin du Moyen Âge, « théorie scolastique de l'éducation émotive », dans Sensible Moyen Âge : une histoire des émotions dans l'Occident médiéval, pp.581-584, 1988.

, Le terme est entendu ici dans son sens anglo-saxon de « spectaculaire », c'est-à-dire au sens où Paul Zumthor l'entend dans La Lettre et la voix. De la « littérature » médiévale, op. cit., pour décrire la représentation d'un spectacle ou la profération d

J. Schmitt, Des prédicateurs, tels que Robert d'Uzès, théâtralisent leurs sermons-D, La Raison des gestes dans l'Occident médiéval, p.343, 1990.

C. Dragomirescu, . Un, and . Dans-le-livre, Prescheur / meneur du jeu / auteur dans les manuscrits enluminés des mystères, vol.12, p.2, 2008.

, Prédication et performance du XII e au XVI e siècle, p.12

C. 'est-ce-que-note-elie-konigson, Structures élémentaires de quelques fictions dramatiques dans les Miracles par personnages du Manuscrit Cangé, pp.106-107

R. L. Clark, The Miracles de Nostre Dame Par Personnages of the Cangé Manuscript and the Sociocultural Function of Confraternity Drama, pp.154-155

. Dans and . Jean-marie, Schaeffer propose de considérer la fiction : une compétence humaine à faire comme si, à la « feinte partagée » entre l'auteur du message fictif et son destinataire

, p. 79), chevalerie ( M. XXVII, p.241

H. Martin, , p.264

, Sur les métaphores dans la prédication, p.424

M. Xiv and T. Ii, , pp.230-233

L. E. Chevalier-de, passion chiet cil en hen Par qui me sui ci tant tenuz ! Egar ! Je fusse puis venuz Quatre liues qu'il ne fina. Je me merveil se grant mal n'a 70 en sa cervelle. L'ABBESSE Ha ! Tresdoulce vierge pucelle, De pitié, de grace et d'amour, Moult fait en terre bon labour Qui vous aime, p.75

, Et cilz est nez de moult male heure Qui de cuer vous servir n'entent, Car a la perdicion tent De sa povre ame. PREMIERE NONNE Certes, vous dites voir, ma dame, p.80

. Bon-la-fait-servir,

, L'agacement du personnage masculin et le mépris dont il témoigne pour le prêcheur, perceptible dans le lexique employé (l'expression v. 66 signifie « il est allé de mal en pis

. Egar, contraste avec l'harmonie des voix féminines, dont les discours s'accordent et se font écho (ainsi la dérivation autour du verbe aimer). Cette configuration des jugements augure fidèlement de

M. Ii,

M. Vii, , pp.66-81

, Sur les éléments récurrents qui font de la descente de Paradis une « scène à faire », on se reportera également à l'étude minutieuse de G. Gros, « Étude sur les rondels des Miracles de Nostre Dame par personnages, Nous ne développons pas les étapes de cette scène à faire qui ont déjà été analysées dans leur détail, pp.325-330

, Sur la question de la versification dramatique, de précieuses nouvelles perspectives ont été ouvertes : voir notamment Taku Kuroiwa, Xavier Leroux et Darwin Smith, « Formes fixes : futilités versificatoires ou système de pensée ? » dans Vers une poétique du discours dramatique au Moyen Âge, pp.143-158, 2011.

D. Boquet and P. Nagy, Elle reconnaît à l'émotion le pouvoir de convertir les hommes au Bien, par la crainte de Dieu, la pratique de la caritas et la promesse de la béatitude. Devenue majoritaire dès le V e siècle, cette position s'est diffusée largement dans les monastères à partir du XI e siècle, « pour façonner profondément la spiritualité chrétienne, Les théologiens des premiers siècles, pétris de culture classique, ont souvent été incommodés par les accès de colère divine dont on trouve maint exemple dans l'Ancien Testament : Dieu, en tant que principe agissant, ne peut être atteint de passion, p.29

, Le Pape se plaint par exemple de la Vierge comme d'un mauvais suzerain (M. VIII, vol.806

, Par exemple, les serviteurs et les anges cherchent souvent leur chemin ; cette errance momentanée est souvent exprimée sous la forme de la question « Quel chemin tenrons ? », souvent renseignée par les maîtres

M. Xxxiii, , 1306.

M. Xii, , pp.1042-1043

. Ce-problème, Nous ajoutons à ces références celle de Marguerite Stadler-Honegger, Étude sur les Miracles de Notre-Dame par personnages, op. cit., dont le travail cherche régulièrement à qualifier l'attitude de Notre-Dame dans les divers MNDpp afin de capter une « parcelle d'âme » de leurs auteurs (p. 4) ainsi que l'ouvrage d'Hélène Luedtke, Les croyances religieuses au Moyen Âge en France, a longtemps mobilisé les interrogations. Daniela Musso note en effet que « l'attitude du personnage a souvent interrogé les chercheurs qui dans le passé ont parfois débattu autour de l'orthodoxie de ses comportements et de son langage, pp.148-149, 1911.

. Enfin, Yvette Fallandy a proposé une synthèse de l'orthodoxie mariale dans son doctorat (The Role of the Blessed Virgin in the Miracles de Nostre Dame par personnages, vol.43, pp.20-26, 1958.

, Sur cette question, voir André Vauchez, La Spiritualité du Moyen Âge, p.177

P. Kunstmann and . The, Virgin's Mediation: Evolution and Transformation of the Motif » art. cit. ; D. Musso, Réminiscences mythiques dans les Miracles de Nostre Dame par personnages, op. cit., p. 166 ; M. StadlerHonegger, Étude sur les Miracles de Notre-Dame par personnages, p.169

, Pour Thomas, la colère est « un ébranlement de l'âme provoqué par un outrage » (Summa teologiae, Ia-IIae, q. 47, a. 1, trad. Somme théologique, cité par D. Boquet et P. Nagy, Sensible Moyen Âge, p.222, 1997.

. Idem,

M. I. Iii and X. , L'Advocacie Nostre Dame et la chapelerie Nostre-Dame de Baiex, poème normand du XIVe siècle: imprimé en entier pour la première fois , d'après le manuscrit unique de la Bibliothèque, Rôle important des MNDpp, 1869.

M. Ii, , pp.869-877

G. Parussa, La représentation des émotions dans le théâtre médiéval : stratégies discursives et effets pragmatiques » dans Actes du V e colloque de l'AEIMF, juin, p.209, 2014.

M. I. , , pp.1358-1363

M. Iii, , pp.810-817

M. Xiv, , pp.706-717

L. Dans-le-domaine-de-la-performance and . 'advocacie-nostre-dame-est-un-bon-exemple, Sur la genèse de ce texte, voir notamment Denis Hüe, « Autour de l'Advocacie Notre Dame, de la narration à la dramatisation » dans Corinne Denoyelle (éd.), De l'oral à l'écrit. Le dialogue à travers les genres romanesque et théâtral, op. cit, pp.125-140

D. Hüe, L. Vierge, and L. Loi, Concernant les représentations iconographiques, on trouve des exemples assez nombreux d'enluminures représentant Marie découvrant son sein à son fils, notamment dans les nombreuses versions du Speculum Humanae Salvationis de Vincent de Beauvais. LEMBERT Alons, pp.1400-1600, 2009.

, Hurtez bellement, je chancelle, p.1210

, En ce lit; je vous couverray. Ains que m'en parte je verray Sa contenance et son effort, p.1215

, Par m'ame! c'est bien dormi fort

, Je le vois a ma dame dire, p.-

. Ma-dame, Lembin m' a fait rire

. Certes, , p.1220

, Sur le lit qu' il s' est endormy

. Diex!-conme-il-sera-estourdy-demain, ce croy 1090 ! La gaîté de Godefroy contemplant les pitreries de Lembert-qui confond le serviteur avec une femme-fait sans doute écho à celle du spectateur lors de cette scène récréative. Toutefois, le rire est glosé non pas sur l'instant comique

, Sur l'histoire et les multiples significations du rire à l'époque médiévale, p.3, 1989.

J. L. Goff and . Une-enquête-sur-le-rire, Annales. Histoire, Sciences Sociales, vol.52, issue.3, pp.449-455, 1997.

M. Xxix, , pp.1128-1316

. Ibid, , pp.1208-1223

, Vezla qui n'a mais de vous cure, ç' ay j'oy dire. LA FEMME

!. Ha and . Dieu,

, De fait, une fois arrivé à l'église pour être baptisé, le nourrisson s'avère doué de parole et demande à recevoir le sacrement de Jehan le Paulu. Le rire des mères, comme celui des enfants, semble vidé de sa charge négative pour devenir un signe de vertu. C'est ainsi que le second enfant du roi Clovis éclate d'un grand rire peu après sa naissance : à la différence de son frère mort-né, celui-ci porte en lui l'espoir de la conversion de son père

. Le-rire-n, en devient pas pour autant un signe évident de l'élection divine, sauf dans le cas très précis où il est la conséquence d'une visite surnaturelle, tel le fou rire dont est prise Ysabel, signe explicite de la leesce de la jeune femme. La encore, la glose sert à rendre l'expression corporelle évidente au public : ANNE Dame, qu' est ce ? je vous voy rire : 2470 Dites qu' avez. YSABEL Ha ! m' amie, vous ne savez: Le benoit Jhesus, de sa grace

, Qui m' a moult en leesce mis Et m' a fait dire et enorter Que m' en voise sanz deporter Jesir avecques m' espousée Sanz estre de riens doulousée, p.2480

, Et que mon estat tout li compte Et quele sui, sanz avoir honte, Que ja mains ne m'en amera

, Ce rire n'en reste pas moins ambigu : s'il semble bien traduire la joie immense de la visite miraculeuse, il semble également anticiper le comique résultant de la mascarade-Ysabel ayant, par quiproquo, épousé la fille de l'empereur. Autorisé par le divin, ce jeu de dupe autorise une gaîté démultipliée, car vidée de toute culpabilité. Spectatrice d'un jeu orchestré par le divin, Ysabel contribue à encadrer la réception du public

M. Xxx, , pp.773-784

M. Xxxix and .. Demoiselle, Aler a ma dame me fault ;/ Mais avant verray que /N'ait de riens son filz Clodomire. / Egar ! conme il se prent a rire ! /Dieu mercy, il est en bon point, pp.1830-1849

M. Xxxvii, , pp.2470-2485

. Fou-est-le-réceptacle-de-la-cruauté-du-monde and . De-richard-hillman, De fait, dans les Miracle de Robert le Dyable et d'un paroissian esconmenié, l'auteur ajoute à ses sources des « compagnons », dont l'anonymat semble transposer sur scène le pouvoir excluant de la foule, qui malmène les fols. Le personnage traduit, par son rire, la charge supposément 1097 À propos de la folie dans le corpus (qui apparaît dans les M. XXXIII (Robert le Dyable) et XVII (Un paroissian esconmenié)), voir les travaux de Huguette Legros, « La mise en scène de la folie dans deux Miracles de Nostre Dame par personnages, La folie révélatrice dans deux Miracles de Nostre Dame par personnages, p.2017, 2011.

. Vêtements-dépouillés,-massue,-«-chappel-d'estrain-»-(m and . Xix, 476), visages gribouillés de noir, fromage, pois pilés, gesticulations, danse, les fous du corpus cumulent tous les traits du stéréotype médiéval de la folie, Voir Philippe Ménard, « Les fous dans la société médiévale. Le témoignage de la littérature au XII e et au XIII e siècle, vol.98, pp.433-459, 1977.

, « Les emblèmes de la folie dans la littérature et dans l'art (XII e-XIII e siècles). » , art. cit, pp.253-265

H. Legros, « La mise en scène de la folie dans deux Miracles de Nostre Dame par personnages, Un paroissian esconmenié et Robert le Dyable, p.140

M. Eliade, L. Sacré, and . Le-profane, , p.143

M. Xix, XXXI (Miracle de Berthe), M. XXIV (Miracle de sainte Bautheuch), M. XXXVII (Miracle de la fille d'un roy) XXXIX (Miracle de Clovis), M. XL (Miracle d'Alexis)

V. Austin, Quand dire, c'est faire, op. cit, p.41

, ) ; le roi envoie en effet ses chevaliers et son chapelain chercher la mariée et sa famille pour les emmener au palais, La jeune femme attend les chevaliers du roi qui doivent l'emmener vers son futur époux, pp.759-784

, Elles doivent, selon une coutume énoncée par la mère de la mariée, se tenir huit jours plus tard : « Et il n'est mie orendroit poins /De faire noces ne l'arroy /Tel conme il appartient a roy. /Mais d'ui en uit jours bien ferez /Et touz voz barons manderez /A vostre feste, pp.877-882

M. Xvii, Regarde à destre et a senestre / S'entre ces ames le verras, / Ne se tu choisir l'i pourras. /Se choisir l'i peuz par nul point

, Sur la signification attribuée aux gestes médiévaux, voir François Garnier, Le Langage de l'image au Moyen âge. I. Signification et symbolique, 1989.

, l'adjonction du majeur ne change généralement pas la signification du geste, mais correspond à la qualité, à la supériorité de celui qui l'accomplit, « Si la désignation est le plus souvent accomplie du seul index, p.267

, Si l'usage de l'écriture trace une frontière religieuse, elle dessine aussi un partage des genres : tandis que Constantin écrit, sa mère Helaine parle. La lettre prend assurément, dans les MNDpp, une dimension morale. De nombreux Miracles dépeignent ainsi comment la lettre sauve le Chrétien : dans le Miracle de l'enfant donné au diable (M. I), la promesse adressée au diable est combattue par la lettre écrite par le pape qui narre l'histoire du pauvre enfant ; celle-ci se, pp.850-851

;. M. Dans-le-miracle and . Xvii),-on-retrouve-le-même-canevas, Alexandrie pour narrer le cas de Godart, le paroissien excommunié ; l'ermite renvoie à son tour la lettre au bon fol d'Alixandrie qui trouve le moyen d'intercéder pour Godart et réussit à le faire absoudre. La lettre est un moyen de transmission qui, aux mains de chrétiens exemplaires, assure la cohérence des échanges et prouve l'efficacité de la communauté dans le salut des âmes, car l'écrit soutient le pénitent dans sa quête d'absolution et participe activement à l'intercession. Cette confiance toute chrétienne dans l'écriture trouve un écho emblématique dans le Miracle de Théodore. La jeune femme, voulant vérifier si elle a péché ou non en trompant son époux la nuit

, Ne sachant lire, elle pointe son index au hasard des pages : THEODORE Bailliez ça, suer

, Dame, qu' a il en l'escripture De ce mot cy? L'ABBESSE Il y a : Quod scripsi, scripsi, Qui veult ytant dire en françoys, p.365

, Ce que j'é escript une fois Si est escript. THEODORE Que feray je, doulx Jhesu Crist ? M'amie

. Dame, , p.370

, Que ce que m' avez dit est voir 1219

, L'écrit évangélique recèle des vertus miraculeuses : le hasard auquel se soumet Théodore se change immédiatement en signe de culpabilité. La phrase lue par l'abbesse revêt une autorité absolue

M. Xviii, , pp.360-371

. Le-jeu-fait-Écho-À-l'usage-habituel-de-la-bible-au-moyen-Âge-qui-ne-doit-pas and . Étonner, Dans un livre dont Dieu lui-même était l'auteur, n'était-il pas tentant de chercher des réponses à toutes les questions ? »-André Vauchez, La Spiritualité du païen, accroît dès lors la dimension négative du mendiant Hilaire. Alexis se construit en antithèse de ce personnage : s'il sort de la communauté, c'est pour embrasser les mêmes souffrances que le Christ

M. Xl, , pp.1390-1405

, On peut éventuellement reconnaître une référence amusée aux débats sur la réception d'Aristote qui animent, depuis le XIII e siècle, les cercles universitaires. Voir Etienne Gilson, La Philosophie au moyen âge: des origines patristiques à la fin du XIV e siècle, 1999.

, les actions caritatives s'instituèrent en un système dont les rouages furent parfois critiqués : la monarchie, par exemple, pouvait définir qui recevait sa grâce et « on soupçonne que nombre de bénéficiaires étaient loin d'être indigents » ; cette méfiance s'exprime particulièrement à Paris, où une ordonnance de 1351 de la prévôté de Paris stipule par exemple qu'on marque au fer et qu'on condamne à la prison les mendiants valides. Voir Julie Claustre, La Fin du Moyen Âge, Puisque l'institution ecclésiale ne détient plus le monopole de la charité et de l'aumône dès le XII e siècle, pp.72-73, 1980.

R. L. Clark, The Miracles de Nostre Dame Par Personnages of the Cangé Manuscript and the Sociocultural Function of Confraternity Drama, p.189

, Si Alexis se construit dans l'antithèse d'Hilaire dont les Voir fig. 45. Ce code, majoritaire, À l'inverse, la référence peut exalter la persona du saint

. Le-latin and . Peu-présent-dans-les-mndpp, apparaît en deux occasions principales. D'une part, le sermon tire de la citation des Écritures une partie de sa force argumentative. D'autre part, dans la mesure où elle est inintelligible pour l'audience, la langue latine pare d'un voile de mystère l

, fol 27 v ), de l'empereris de Romme (Ms. 820, fol 52 v ), de Oton, roy d'Espaigne (Ms. 820, fol. 68 v ), vol.820

R. L. Clark, The Miracles de Nostre Dame Par Personnages of the Cangé Manuscript and the Sociocultural Function of Confraternity Drama, pp.126-127

. Ibid, , p.119

, Les grattages des incipit ont parfois été recouverts en partie, lorsque le copiste a réécrit le nom du premier personnage parlant au-dessus des traces d'effacement (M. I, XVII, XXXI) : voir ibid, p.73

G. Gros, Du registre de confrérie à l'anthologie mariale, p.96

L. Fraisse and «. , , p.156

, dont le texte devient une référence familière et dont les formules façonnent des façons de penser et de dire », par opposition à un mode de lecture extensif, p.92

, Ne jamais ne vestiray plus Qu'une cotelle descousue Et descirée et desrompue, Ou que je la doie cerchier

, Ne de mes amis approchier Ne quier par congnoissance mais, Ne menger delicieux mès, Vezla mes tresses jus copées

, Plus de ne seront de moy portées. Ma propre robe aussi lairay Et robe d'omme vestiray Pour aler aval le pais

, Aler m'en vueil sanz attendue : Hostel et meuble, je vous lais, Mes amis touz et clers et lais s'il pleust vostre filz, / De ce, dame, est mes cuers touz fis

M. Xvii, , p.17

. Ibid, , pp.147-148

M. Xl, , pp.810-811

M. Vi,

M. Xl, Alexis fuit lors de sa nuit de noces

M. Xviii, Théodore fuit tandis que son époux est parti à la guerre

M. Vi, , pp.235-237

. Ibid, 406-407/ Fors pain et yaue, si j'en ay, N'en lit de plume ne gerray 1269, p.1270

(. Alexis, XL) cerf ou con pors, N'enterra viande en mon corps

. Ne-jamais-ne-quier,

M. ,

L. Robert, Vezci qye vous ferez, amis : Vous vous maintendrez conme fol

, N'en quelque lieu que vous serez De viande ne mangerez, S'aux chiens ne la pouez happer

, Et vostre vivant sanz parler Serez aussi, ce vous enjoins

D. Jhesus, pour t'amour un fait Vueil emprendre, puis que suis [hors De m'espouse, c'est que mon corps Vueil matir conme penancier Et ce pais du tout laissier Et aller en estrange terre Conme pelerin

, Amis, parens femme et avoir Dès maintenant tout laisseray 1273, p.-

, En réalité, il n'y a pas tant une différence de nature entre ces travestissements qu'une différence de degré : la métamorphose apparaît symboliquement liée à la nature du péché ou de l'objectif poursuivi. Ainsi, l'habit de pèlerine pris par Anthure répond à sa volonté de s'enlaidir pour mériter l'amour de Dieu et fait écho à une scène de vanité, au cours de laquelle la jeune femme se pare de ses plus beaux atours pour se rendre à la messe, sur les conseils de son fils et de sa mère 1274, La métamorphose est plus ou moins précise selon le degré de transformation du protagoniste. Entre ces transformations, les échos sont nombreux : chacune d'entre elles combine des éléments communs selon la transformation recherchée. Ainsi, certains personnages insistent sur les biens qu'ils laissent

M. Xvii, , pp.248-260

M. Xviii, , pp.417-421

M. Xxx, , pp.703-730

M. Xxxiii, , pp.1335-1342

M. Xl, , pp.804-813

M. Vi, Puis que j'ay espace, / Je m'en vois vestir sans delay / De la meilleur robe que j'ay / Et de mes bons joyaux parer. / J'ay fait. Or me vueil je mirer / Pour veoir combien je sui belle

, Bien sûr, ce travestissement comporte une dimension trouble que le Miracle n'aborde pas de manière frontale : le M. VI, v. 307-310 : « JEHAN : Doulce mére Dieu, que feray ? / Je ne congnui onques mon pére

M. Xl, Conment me tenray / De plourer ? Voir, je ne pourray, / C'est fort à faire » ; 1004-1009 : « EUFÉMIAN : Aussi mettre peine devons / A nous l'un l'autre consoler, / Sanz nous si griefment doloser / Et je, sachiez, regarderay/ Conment mex faire le pourray, AGLAIS : Lasse ! Ma joie et mon confort / Sont perduz, pp.984-987

M. Xviii and .. Mari, Or sui je bien en touz endroiz / Povre et nu de beneurté / Et venuz a maleurté, / Quant j'ay ma compaigne perdue, pp.524-527

M. Xviii, , pp.600-625

M. Xxvii and M. , Entens : de robes d'escuier / Secrétement te vestiras / Et en Grenade t'en iras / Chiez ton oncle : la ton pére est. D'euls bien servir aiez cuer prest / Sanz toy faire a nullui congnoistre

, Le choix du nom Anne invoque d'ailleurs le patronage de sainte Anne, mère de la Vierge. Par analogie, Ysabel suit le modèle virginal par son héroïsme

M. Xxxvii, , 1250.

. Ibid, , 1290.

V. Ibid, Mais je lo qu'ainçois deffaçons / Nostre estat / et robes façons / Dont vestues serons conme hommes / Car se l'en scet que femmes sommes / Nous pourrons avoir vilenie

, Thématique en outre abordée à travers la séquence de chasse

R. L. Clark and C. Sponsler, Queer Play, pp.326-327

D. Marcel, « Le Miracle de la femme que Nostre-Dame garda d'estre arse, vol.8, pp.3-86, 1906.

T. Louis, Un miracle de Notre-Dame du XIV e siècle, traduit pour la première fois en français modernisé : le « chapeau de roses » ou Miracle d'un marchand et d'un larron dans, 1930.

?. En-norvégien-:-nordahl-helge, Pavens mor, oversatt fra gammelfransk fra Les miracles de Nostre-Dame par personnages, 1993.

A. De, L. A. Halle, L. Jeu-de-la-feuillée, É. Traduit-par, and J. Dufournet, , 1989.

A. Le-roi, Berte as grans piés, 1982.

A. and A. , , 1969.

. Courtois-d'arras, J. Prodigue, and . Dufournet, Évangiles apocryphes, France Quéré (éd, GF-Flammarion, 1995.

G. De-coinci, Les Miracles de Nostre Dame, 1961.

G. De-tours, Histoire des Francs, traduit par François Guizot, vol.2, 2006.

J. De-voragine and L. Légende-dorée,-traduit-par-théodore-de-wyzewa, Legenda aurea : vulgo Historia lombardica dicta, Th. Graesse (éd.), p.1890, 1845.

J. Bodel, L. Jeu-de-saint-nicolas, and A. Henry, , 1981.

L. Jeu-d'adam and V. Dominguez, Histoire du théâtre en France. Les Mystères, vol.II, pp.226-335

L. Théâtre-en-france, Histoire de la littérature dramatique depuis ses origines jusqu'à nos jours

R. Louis-marcel, En marge des Miracles de Nostre Dame » dans Mélanges d'histoire du théâtre du Moyen Âge et de la Renaissance offerts à Gustave Cohen, pp.93-96, 1950.

R. Samuel and N. , Serventois in the Miracles de Nostre Dame par personnages: The Ways of Imitation, Parisian Confraternity Drama of the Fourteenth Century, pp.87-111, 2008.

R. Émile, Études sur le théâtre français du XIV e et du XV e siècle : la Comédie sans titre, publiée pour la première fois d'après le manuscrit latin 8163 de la Bibliothèque Nationale et les Miracles de Notre-Dame par personnages, 1902.

R. Graham and A. , The Manuscript of the Miracles de Nostre Dame par Personnages, Romance Philology, vol.22, issue.1, pp.15-22, 1968.

, The Miracles de Nostre Dame par personnages: erasures in the MS, and the dates of the plays and the "serventois" », Philological Quaterly, vol.49, pp.19-29, 1970.

. Le, Miracle de l'enfant ressuscité : quinzième des Miracles de Nostre Dame par personnages, vol.182, 1972.

, Mediaeval Trade Guilds and the Miracles de Nostre Dame par personnages, vol.39, pp.257-287, 1970.

A. Shiley-robert, Chappelle in the Miracles de Nostre Dame, Modern Language Notes, pp.493-497, 1943.

S. Barbara and . Miracle-de-un-pape-qui-vendi-le-basme, Analyse comparée du texte et de la miniature d'un Miracle de Notre Dame par personnages, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol.100, issue.2, pp.155-164, 1993.

S. Marguerite, Étude sur les Miracles de Notre-Dame par personnages, 1975.

M. Tellier-soeur, Quelques nouvelles sources des Miracles de Nostre Dame par Personnages », Les Lettres Romanes (Louvain), vol.12, pp.127-142, 1957.

. Uhlig-marion, Orient sur les tréteaux : la construction de l'espace indien dans les pièces théâtrales de Barlaam et Josaphat, Saintes scènes. Théâtre et sainteté à la croisée du Moyen Âge et de la Modernité, pp.69-90, 2012.

J. Vastel, Recherches sur la dramaturgie et la spiritualité des Miracles de Nostre Dame par personnages du ms. Cangé, 1994.

. Voigt-ludwig, Die Mirakel der Pariser hs. 819, welche epische Stoffe behandeln : auf ihre Quellen untersucht, p.1883

W. Nigel, Music in the Fourteenth Century Miracles de Nostre Dame, pp.39-75, 1974.

I. Études-generales,

. Sur-le, Le Théâtre sacré de la fin du Moyen Âge : étude sur le sens moral de la Passion de Jean Michel, 1979.

«. Théologie and J. Morale-dans-le, Revue des Langues Romanes, vol.83, issue.1, pp.123-142, 1978.

L. Théâtre, . Et, and . Au-moyen-Âge, , 2004.

A. Jean-claude, Le Monologue, le dialogue et la sottie : essai sur quelques genres dramatiques de la fin du Moyen Âge et du début du XVI e siècle, 1975.

«. Théâtre-médiéval and ». Fêtes-calendaires, Bulletin de l'Association d'études sur l'humanisme, la Réforme et la Renaissance, vol.11, pp.5-12, 1980.

«. Réflexions-sur-le-jeu-de-saint and N. , Pour une dramatologie, vol.95, pp.419-437, 1989.

L. Blum-claude and . Fou, personnage populaire dans les mystères et les miracles, 1989.

P. Bordier-jean, L'Économie du dialogue dans l'ancien théâtre européen : actes de la première Rencontre sur l'Ancien Théâtre Européen de, 1995.

«. Magis, . Exempla, and . Verba, Le Jeu théâtral, ses marges, ses frontières. Actes de la deuxième rencontre sur l'ancien théâtre européen de, pp.91-104, 1997.

. Langues, codes et conventions de l'ancien théâtre: actes de la troisième rencontre sur l'ancien théâtre européen, pp.23-24, 1999.

L. E. Bordier-jean-pierre, . Briz-stéphanie, and . Gabriella, Le Jeu théâtral, ses marges, ses frontières : actes de la deuxième rencontre sur l'ancien théâtre européen de, 1997.

B. Marie, Le théâtre médiéval et l'espace parisien à la fin du Moyen Âge, vol.6, pp.49-64, 2003.

, « Les maîtres du vulgaire : performance oratoire, savoir-faire rhétorique et maîtrise linguistique dans le théâtre de la fin du Moyen Âge

B. Marie and . Dominguez-véronique, Les Pères du théâtre médiéval : examen critique de la constitution d'un savoir académique, 2010.

B. Marie and «. Estelle, Un dialogue disciplinaire sur la fabrique du théâtre », Perspectives médiévales, vol.35, 2014.

B. Marie and . Denis, Le Jeu et l'accessoire : mélanges en l'honneur du professeur Michel Rousse, 2011.

B. Marie and I. Dominique, Le théâtre de l'Église (XII e-XVI e s, 2011.

B. Marie, P. De-beaulieu-marie, and A. , Prédication et performance du XII e au XVI e siècle, 2013.

. Buron-emmanuel, De la théorie de l'Instructif à la pratique du Jardin de plaisance », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, Journal of medieval and humanistic studies, vol.21, pp.205-223, 2011.

. Castellani-marie-madeleine, Du conte populaire à l'exemplum : la Manekine de Philippe de Beaumanoir, 1988.

«. Le and F. Dans-le-nord-de-la, , pp.9-20, 2011.

. Castioni-barbara-selmeci and . Uhlig-marion, Théâtre et sainteté à la croisée du Moyen Âge et de la Modernité, 2012.

. Chambers-edmund-kerchever, The Mediaeval Stage, 1903.

C. Robert and L. A. , « Performative Reading : The Illustrated Manuscripts of Arnoul Gréban's Mystère de la Passion, European Medieval Drama, vol.6, pp.129-172, 2003.

. Cohen-gustave, Histoire de la mise en scène dans le théâtre religieux français du Moyen Âge, 1906.

, Études d'histoire du théâtre en France au Moyen Âge et à la Renaissance, 1956.

D. Clifford, Stage gesture in medieval drama » dans Atti del IV o Colloquio della Societé Internationale pour l'Étude du Théâtre Médiéval, pp.465-478, 1984.

. De-combarieu-micheline and . Le-diable-dans-le, Le Diable au Moyen Âge : Doctrine, problèmes moraux, représentations, pp.155-182, 2014.

. Denizot-michèle, Temps représenté et temps de la représentation dans le théâtre médiéval, p.522

M. Français-»-dans, F. Chiabo, M. Doglio, and . Maymone, Atti del IV Colloquio della Societé internationale pour l'étude du théâtre médiéval, Viterbo, Union Printing Editrice, pp.297-304, 1984.

C. Denoyelle, De l'oral à l'écrit : le dialogue à travers les genres romanesque et théâtral, 2010.

D. I. Stefano and G. , Structure métrique et structure dramatique dans le théâtre médiéval, pp.194-206, 1965.

D. I. Stefano-giuseppe, L. ). Bidler-rose-m.-(éds, . Langue, L. Le-texte, and . Jeu, , 1986.

. Dominguez-véronique, Veoir l'invisible » au théâtre : les mystères de la foi dans quelques Mystères de la Passion, pp.111-134, 1999.

«. La-scène-et-l'enluminure.-l', Apolline de Jean Fouquet dans le livre d'Heures d'Étienne Chevalier, Romania, vol.122, pp.468-505, 2004.

L. Scène and . La-croix, le jeu de l'acteur dans les Passions dramatiques françaises (XIV e-XVI e siècles), 2007.

«. Jeu, Adam : le sacré à l'épreuve du médiévalisme », Itinéraires. Littérature, textes, cultures, pp.113-123, 2010.

, Des arts poétiques à la scène. Rémanences du théâtre médiéval dans les textes et dans les pratiques du XVI e siècle, vol.21, pp.225-246, 2011.

. Dominguez-véronique, Renaissance du théâtre médiéval : XII e colloque de la Société Internationale du Théâtre Médiéval, 2007.

. Doudet-estelle, . Oiseuse, and . Tartelette, Personnage et personnification allégorique, des narrations au théâtre (XIII e-XVI e siècle) » in Le Moyen Âge par le Moyen Âge, même. Réception, relectures et réécritures des textes médiévaux dans la littérature française des XIV e et XV e siècles, pp.277-301, 2012.

D. Corneliu, . Un, and . Dans-le-livre, Prescheur / meneur du jeu / auteur dans les manuscrits enluminés des mystères, vol.12, pp.1-47, 2008.

, Vers une typologie des images du théâtre médiéval », Théâtres du Moyen Âge : textes, images et performances, Médiévales, n o 59, pp.63-76, 2010.

, Des deux morts et trois naissances. Images de théâtre et images pour le théâtre à la fin du Moyen Âge, pp.195-207, 2010.

D. Edelgard, The Devil and Hell in Medieval French Drama: Prolegomena », Romania, vol.100, pp.165-179, 1979.

E. Dubruck-edelgard and . Et-aubailly-jean-claude, Le Théâtre et la cité dans l'Europe médiévale : actes du 5 e Colloque international de la Société Internationale pour l'Étude du Théâtre Médiéval (Perpignan, juillet 1986), vol.13, 1988.

D. Jean, « La taverne dans le théâtre arrageois du XIIIe siècle, Presses universitaires de Caen

. Caen, Revue des langues romanes, tome XCV, pp.161-174, 1980.

. Dumont-pascale, où viennent et où vont les personnages dans le théâtre français des XIII e et XIV e siècles ? » in Catherine Emerson, Mario Longtin et Adrian P. Tudor (dir.) Performance, Drama and Spectacle in the Medieval City, Essays in Honour of Alan Hindley, pp.217-238, 2010.

. Dupras-elyse, Diables et saints : rôle des diables dans les mystères hagiographiques français, 2006.

«. Le-saint-devant-le-diable, Saintes scènes. Théâtre et sainteté à la croisée du Moyen Âge et de la Modernité, pp.91-108, 2012.

«. Ferré-rose-marie and . Le-théâtre-au-moyen-Âge, jalons et perspectives », Théâtres du Moyen Âge : textes, images et performances, Médiévales, vol.59, pp.77-89, 2010.

F. Jean and L. Théâtre-profane-en-france-au-moyen-Âge, Centre de 524 documentation universitaire, coll. « Les Cours de Sorbonne-Littérature française, Histoire, mythes et symboles : études de littérature française, 1960.

G. Margareta, . Texte, M. Représentation-dans-le-drame-médiéval-»-dans, F. Chiabo, M. Doglio et al., Atti del IV o Colloquio della Société Internationale pour l'Étude du Théâtre Médiéval, Union Printing Editrice, pp.611-617, 1984.

W. Harris-john, Medieval Theatre in Context : an Introduction, 1992.

L. Henrard-nadine, . Théâtre-religieux-médiéval-en-langue-d'oc, and D. Genève, HINDLEY Alan (éd.), Drama and Community, 1998.

H. Denis, « Griseldis et sa mise en scène

G. Parussa, Actes de la deuxième rencontre sur l'ancien théâtre européen de, pp.141-164, 1997.

«. La-vierge and L. Loi, Marie Avocate », dans actes du colloque La Permission et la sanction : théories légales et pratiques du théâtre, 2009.

«. Autour-de-l, De l'oral à l'écrit. Le dialogue à travers les genres romanesque et théâtral, pp.141-168, 2013.

H. Denis, M. Longtin, and . Muir-lynette, « Maintes belles oeuvres faictes ». Études sur le théâtre médiéval offertes à Graham A. Runnalls, 2005.

I. Dominique and . Smith-darwin, Théâtres du Moyen Âge : textes, images et performances, p.59, 2010.

J. Mervyn, drama and social body in the late medieval English town », Past and Present, pp.3-29, 1983.

J. Alfred, Le théâtre religieux en langue française jusqu'à la fin du XIV e siècle » dans Histoire littéraire de la France, vol.39, 1959.

J. Ulla and . La, , vol.19, pp.111-134, 1986.

E. Knight-alan, Aspects of Genre in Late Medieval French Drama, 1983.

.. R. Koopmans-jelle-;-Éd and . Lorenzo, L'édition des textes dramatiques de la fin du Moyen Âge : le problème des didascalies indirectes, Actas do XIX congreso internacional de linguistica e filoloxia romanicas, pp.113-124, 1989.

, Le Théâtre des exclus au Moyen Âge : hérétiques, sorcières et marginaux, 1997.

, Vers une poétique du discours dramatique au Moyen Âge : actes du colloque international organisé au Palais Neptune de Toulon les 13 et 14 novembre, pp.289-323, 2008.

«. Le-théâtre-de-l'église, Mythes et réalités », dans Marie Bouhaik-Gironès et Dominique IognaPrat (éds.), Le Théâtre de l'Église (XII e-XVI e s, pp.16-51, 2011.

«. Mises-en and . Jeu, mises en scène du dialogue » in Denoyelle Corinne éd., De l'oral à l'écrit, le dialogue à travers les genres romanesque et théâtral, pp.99-115, 2013.

. Koopmans-jelle and . Smith-darwin, Un théâtre français du Moyen Âge ? », Théâtres du Moyen Âge : textes, images et performances, Médiévales, n o 59, pp.5-16, 2010.

. Konigson-Élie, , 1975.

K. Taku, . Xavier, and . Smith-darwin, « De l'oral à l'oral : réflexions sur la transmission écrite des textes dramatiques au Moyen Âge, Théâtres du Moyen Âge : textes, images et performances, Médiévales, vol.59, pp.17-40, 2010.

, Actes du colloque international organisé au Palais Neptune de Toulon les 13 et 14 novembre, pp.121-142, 2008.

, Le théâtre et les spectacles publics en France au Moyen Âge. État des recherches », 115 e congrès national des sociétés savantes, pp.9-33, 1990.

, Spectacle in early theater, Les tortures dans les mystères : théâtre et réalité, XIV e-XV e siècle » in Medieval English Theater, vol.16, pp.37-50, 1994.

«. Réflexions-sur-cérémonie, Actes de la deuxième rencontre sur l'ancien théâtre européen de, pp.115-125, 1997.

«. Le-théâtre-médiéval, L. Tragique, and . Le-comique, Tragique et comique liés, dans le théâtre, de l'Antiquité à nos jours (du texte à la mise en scène), Actes du colloque organisé à l'Université de Rouen en avril, réflexions sur la définition des genres » dans Milagros Torres, Ariane Ferry (dir.), 2012.

L. Elizabeth and . Smith-darwin, Pour une typologie des manuscrits de théâtre médiéval, vol.13, pp.569-579, 1988.

L. Lazard-madeleine and . Théâtre-en-france-au-xvi-e-siècle, , 1980.

L. Raymond, Cahiers de l'Association internationale des études francaises, vol.3, pp.97-105, 1953.

L. Stéphanie and . La, Vierge Marie dans les Passions des domaines d'Oc et d'Oïl (XIII eXV e s.) : de la mise en drame de la compassion à la création d'un personnage dramatique

J. Benoît, La Vierge Marie dans la littérature française : entre foi et littérature, Lyon, J. André, pp.97-104, 2014.

L. Xavier, Vers une poétique du discours dramatique au Moyen Âge : actes du colloque international organisé au Palais Neptune de Toulon les 13 et 14 novembre, 2008.

, Vers une poétique du discours dramatique au Moyen Âge : actes du colloque international organisé au Palais Neptune de Toulon les 13 et 14 novembre, pp.101-119, 2008.

. Longtin-mario and . La, action : maladresse ou choix esthétique ? La critique et ses présupposés » in Marie Bouhaïk-Gironès, Véronique Dominguez et Jelle Koopmans (éds.), Les pères du théâtre médiéval : examen critique de la constitution d'un savoir académique, pp.201-211, 2010.

, Dis-moi qui tu nommes et je te dirai qui tu es" : de quelques notes oubliées dont il faudra faire une base de données

, Moyen Âge : actes du colloque international organisé au Palais Neptune de Toulon les 13 et 14 novembre, pp.14-35, 2008.

M. Mathieu, Distanciation et émotion dans le théâtre liturgique au Moyen Âge, vol.2, pp.95-117, 1969.

M. Charles, Théâtre et christianisme : études sur l'ancien théâtre français, 2015.

L. Théâtre-français-du-moyen-Âge, Dictionnaires et références »), 2016.

W. Noomen, « Remarques sur la versification du plus ancien théâtre français. l'enchaînement des répliques et la rime mnémonique, vol.40, pp.179-193, 1956.
DOI : 10.1007/bf01832020

, Passages narratifs dans les drames médiévaux français : essai d'interprétation, vol.36, pp.761-785, 1958.

, Mélanges d'histoire du théâtre du Moyen-Age et de la Renaissance offerts à Gustave Cohen, 1950.

P. François, , 1967.

P. Gaston, La Littérature française au Moyen Âge (XI e-XIV e siècle, 1914.

P. Gabriella, Paroles de diables. Essai d'une typologie du discours diabolique dans les mystères religieux du XV e siècle » dans Pour acquérir honneur et pris. Mélanges G. Di Stefano, pp.409-422, 2004.

, La représentation des émotions dans le théâtre médiéval : stratégies discursives et effets pragmatiques » dans Actes du V e colloque de l'AEIMF, juin, 2014.

P. Jean-charles, Les éléments idéologiques dans le Jeu de saint Nicolas, vol.94, pp.484-504, 1973.

«. Théâtre and . Et-culture-urbaine, , vol.35, pp.233-250, 1983.

, Pour en finir avec le diable médiéval ou pourquoi poètes et théologiens du Moyen Âge ont-ils scrupule à croire au démon ? » dans Le Diable au Moyen Âge : Doctrine, problèmes moraux, représentations, pp.401-425, 2014.

R. Thierry, Représentations du sacré dans les textes dramatiques des XI e-XIII e siècles en France, 1999.

R. Henri, Le Cercle magique : essai sur le théâtre en rond à la fin du Moyen Âge, Pour une dramaturgie du Moyen Âge, 1980.

R. Jacques and . Grace, La Passion du Palatinus : mystère du XIV e siècle, vol.2, 1992.

R. Michel, La Scène et les tréteaux : le théâtre de la farce au Moyen Âge, 2004.

R. Graham and A. , When is a Mystère not a Mystère? Titles and Genres in Medieval French Religious Drama, Tréteaux, issue.2, pp.23-28, 1980.

, Mansion" and "Lieu" : two technical terms in French Medieval Staging ? », French Studies, vol.35, pp.385-393, 1981.

, Drama and community in late medieval Paris, Drama and Community, pp.18-33, 1999.

, Études sur les mystères : un recueil de 22 études sur les mystères français, suivi d'un répertoire du théâtre religieux français du Moyen Âge et d'une bibliographie, 1998.

. Schreiber-cécile, Univers compartimenté du théâtre médiéval, French Review, pp.468-478, 1968.

. Sheingorn-pamela and . On, Using Medieval Art in the Study of Medieval Drama : an Introduction to Methodology », Research Opportunities in Renaissance Drama, vol.22, pp.101-109, 1979.

, The Visual Language of Drama : Principles of Composition, pp.173-191, 1989.

. Smith-darwin and . Les-manuscrits-"de-théâtre, Introduction codicologique à des manuscrits qui n'existent pas. », Gazette du livre médiéval, vol.33, pp.1-10, 1998.

. Smith-darwin, . Gabriella, and . Olivier, Le Théâtre français du Moyen Âge et de la Renaissance : histoire, textes choisis, mises en scène, 2014.

L. Strubel-armand and . Théâtre-au-moyen-Âge, , 2003.

. Vitale-brovarone-alessandro, . Devant, . Derrière-le, and . Rideau, mise en scène et secrets dans le cahier d'un régisseur provençal du Moyen Âge » dans M. Chiabo, F. Doglio et M. Maymone (éds, pp.453-463, 1984.

W. Laura, French Visual Culture and the Making of Medieval Theater, 2016.

, Travaux et théories littéraires a. Moyen Âge ABIKER Séverine, L'Écho paradoxal : étude stylistique de la répétition dans les récits brefs en vers, XII e-XIV e siècles, 2008.

A. Erich, Mimésis : la représentation de la réalité dans la littérature occidentale, 1977.

B. Sylvie, . Thierry, and . Valette-jean-rené, , 2000.

«. Beaussart-françois-jérôme, un clerc grief malade que Nostre Dame sana ». Réflexions sur un miracle, vol.1, pp.33-46, 1982.

L. «. Benoît-jean-louis and . Gracial-»-d'adgar, Miracles de la Vierge : « Dulce chose est de Deu cunter, 2012.

L. Vierge-marie-dans-la-littérature-française, , 2014.

R. Bezzola-reto, Le sens de l'aventure et de l'amour : Chrétien de Troyes, 1947.

B. Olivier and M. Benédicte, Miracles d'un autre genre : récritures médiévales en dehors de l'hagiographie, 2012.

B. Black-nancy, Medieval narratives of accused queens, 2003.

P. Boisson-didier and . Élisabeth, La Conversion : textes et réalités, 2014.

L. Bremond-claude, L. Claude, . 'exemplum, . Turnhout, . Brepols et al., même. Réception, relectures et réécritures des textes médiévaux dans la littérature française des XIV e et XV e siècles, 2012.

C. Daniela, . He, and H. Ho, dea : interjections, connecteurs ou marqueurs discursifs ? Le témoignage des textes en prose médiévaux » dans Diachroniques, vol.3, pp.95-117

C. Brigitte, Bodies on Stage and the Production of Meaning, vol.86, pp.56-74, 1994.

C. Sergio, L. Leggenda, ». Del-cervo-bianco-e-le-origini-della-«-matière-de-bretagne, A. Rome, . Nazionale et al., , vol.12, 1965.

D. Francis, Aspects fantastiques de la littérature narrative médiévale, 1991.

E. Uda, Das altromanische Mirakel : Ursprung und Geschichte einer literarischen Gattung, vol.8, 1965.

«. Fonio-filippo and . L'«-orientalisme, Cahiers d'études italiennes, vol.21, pp.121-147, 2015.

G. Élisabeth and . Robert-le-diable,-histoire-d'une-légende, , vol.29, 2003.

G. Francis, Les miracles de Notre-Dame dans la typologie des genres narratifs des XII e et XIII e siècles », dans Por s'onor croistre. Mélanges de langue et de littératures médiévales offerts à Pierre Kunstmann, pp.47-62, 2008.

G. Jean-guy, . La-chasse-au-blanc-cerf, . La-conquête-de-l'épervier-dans-Érec, ». Énide, M. Dans et al., Mélanges de Langue et de Littérature Médiévales offerts à Alice Planche, pp.213-224, 1984.

G. Henri and «. L'étymologie-de-tervagant, dans Mélanges d'histoire du théâtre du Moyen Âge et de la Renaissance offerts à Gustave Cohen, pp.67-74, 1950.

L. Gros-gérard, L. Poète, . Vierge, and . Le-prince-du-puy, étude sur les puys marials de la France du Nord du XIV e siècle à la Renaissance, 1992.

«. , avocate et sa vocation : étude de la dramatisation d'une propriété mariale dans l'Advocacie Nostre Dame

L. , Actes de la deuxième rencontre sur l'Ancien théâtre européen de, pp.125-140, 1997.

, La truculence et son revers. Illustration et défense du jurement dans les Miracles de Gautier de Coinci, vol.120, pp.27-52, 2014.

. Grossel-marie-geneviève, Le monde d'ici-bas, un royaume de violence : le siècle dans les Miracles Nostre Dame de Gautier de Coinci », pp.265-281, 1994.

H. Laurence, . La-chasse-au-blanc-cerf-dans-le-méliador-de-froissart, and . Le-mythe-d'actéon, dans Mélanges de langue et littérature françaises du Moyen Âge et de la Renaissance offerts à Charles Foulon, pp.143-152, 1980.

J. Danièle, Les Genres littéraires en question au Moyen Âge, 2011.

R. Jauss-hans, Littérature médiévale et théorie des genres », Poétique, pp.79-101, 1970.

. Lansard-lydie, J'avoye si grant dueil en mon cueur que je ne le povoie dire". La compassion de la Vierge dans les passions narratives de la fin du Moyen Âge » dans La Vierge Marie dans la littérature française : entre foi et littérature, Lyon, J. André, pp.81-88, 2014.

L. R. Anthony, A Sociolinguistic History of Parisian French, 2004.

M. Christiane, La sémantique des démonstratifs en ancien français : une neutralisation en progrès », Langue française, vol.141, pp.69-84, 2004.

P. Élisabeth, La Vie des Pères : genèse de contes religieux du XIII e siècle, 2009.

P. Emmanuelle, . Adenet-le-roi-entre-chanson-de-geste, and . Roman, Cahiers de recherches médiévales et humanistes. Journal of medieval and humanistic studies, vol.18, pp.349-363, 2009.

. Ueltschi-karin, La Mesnie Hellequin en conte et en rime: mémoire mythique et poétique de la recomposition, vol.88, 2008.

L. Valette-jean-rené, . Pensée, and . Graal, fiction littéraire et théologie, XII e-XIII e siècle, vol.85, 2008.

W. David, . Violence, and . Spiritualité-dans-le-"rommant"-de-la-manekine, La violence dans le monde médiéval, pp.571-585, 1994.

Z. Paul, Histoire littéraire de la France médiévale, VI e-XIV e siècles, 1981.

«. Intertextualité, ». Mouvance, and L. , , vol.41, pp.8-16, 1981.

L. Lettre, La Mesure du monde : représentation de l'espace au Moyen Âge, 1972.

. Varia,

. Austin-john-langshaw, Quand dire, c'est faire, traduit par Gilles Lane, 1970.

B. Georges and L. 'expérience-intérieure, , pp.7-189

B. Peter, L. 'espace-vide, and . Écrits-sur-le-théâtre, , p.2014, 1977.

C. Roger, Pratiques de la lecture, Pratiques de la lecture, pp.81-117, 2003.

D. Lucien and L. Récit-spéculaire, , 1977.

D. Joseph, Qu'est-ce que la dramaturgie aujourd'hui ?, 2010.

. Denizot-marion, , vol.270, pp.5-18, 2016.

. Dupont-florence, , 2007.

D. Jean, Sociologie du théâtre : sociologie des ombres collectives, 1973.

«. Fraisse-luc, ». L'autoréflexivité-en-pratique, and P. , , vol.166, pp.155-170, 2012.

G. Manuel, . Le-temps, ». Le-rythme-au-théâtre, and L. Théâtral, Revue québécoise d'études théâtrales, vol.29, pp.69-81, 2001.

G. Gérard, Palimpsestes : la littérature au second degré, 1982.

G. Gérard, J. Robert, . Hans, . Schaeffer-jean-marie, and . Volf-dieter, Théorie des genres, 1986.

G. H. Paul, Logique et conversation, vol.30, pp.57-72, 1979.

. Hamon-philippe, ». Pour-un-statut-sémiologique-du-personnage, R. Dans, and . Barthes, Littérature, 1er mai 1972, pp.86-110, 1977.

J. Denis, Ritualisation et régulation des émotions », Sociétés, vol.114, pp.23-32, 2012.

K. Catherine and . Christian, Le Trilogue, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1995.

K. Tadeusz, , 2005.

L. Pierre, Le Langage dramatique : sa nature, ses procédés, 1997.

L. David and . Truth, American Philosophical Quarterly, pp.37-46, 1978.

L. Kosta, Évolution de la tragédie religieuse classique en France, 1933.

. Schaeffer-jean-marie and . Qu'est-ce-qu'un-genre-littéraire, Partages de la littérature, partages de la fiction, De la fiction, vol.3, pp.63-87, 1989.

, Quelles vérités pour quelles fictions? », L'Homme, pp.19-36, 2005.

. Souiller-didier, H. Florence, . Sylvie, and . Georges, Études théâtrales, 2005.

. Todorov-tzvetan, Théorie de la littérature, 1966.

A. Ubersfeld, Lire le théâtre III. Le dialogue de théâtre, 1996.

V. Vernant-jean-pierre and . Pierre, Mythe et tragédie en Grèce ancienne I, 1972.

. Viala-alain, Le Théâtre en France des origines à nos jours, p.534, 1997.

V. Pierre, Le Chasseur noir : formes de pensée et formes de société dans le monde grec, François Maspero, 1981.

W. Éric, « Introduction » et « Jalons pour une histoire de la littérature spéculaire », dans La Littérature face à elle-même. L'écriture spéculaire de Samuel Beckett, pp.11-144, 2009.

W. Henri, Théorie des narrèmes et algorithmes narratifs, vol.4, pp.19-28, 1975.

. Histoire, . Jean-robert, and . Plaire, instruire et édifier : les traits spécifiques de la rhétorique de la chaire, vol.149, pp.45-55, 2008.

A. Eduardo, Les Images dans l'Occident médiéval, pp.263-274, 2015.

B. Sylvie, Le Ciel sur la terre : les apparitions de la Vierge au Moyen Âge, 1999.

B. Xavier, ;. Gil, and A. Thomas, Chronologie de l'art du Moyen Âge, 2003.

L. Baschet-jérôme, . 'iconographie-médiévale, and G. Paris, Les Justices de l'au-delà: les représentations de l'enfer en France et en Italie, XII e-XV e siècle, 2008.

, Les Images dans l'Occident médiéval, 2015.

. Beaune-colette, utilisation politique du mythe des origines troyennes en France à la fin du Moyen Âge, vol.80, pp.331-355, 1985.

, Communications, vol.45, issue.1, pp.101-116, 1987.

. Bériou-nicole, La prédication aux derniers siècles du Moyen Âge, vol.72, pp.113-127, 2002.

. Bériou-nicole, R. Jean-patrice, and . Irène, Le Pouvoir des mots au Moyen Âge, 2014.

B. Bernard, « Recherches sur l'histoire de la corporation des ménétriers, ou joueurs d'instruments, de la ville de Paris, vol.3, pp.377-404

B. Marc, Les Rois thaumaturges : étude sur le caractère surnaturel attribué à la puissance royale particulièrement en France et en Angleterre, 2002.

. Boquet-damien, ». Le-libre-arbitre-comme-image-de-dieu, and C. Cisterciensia, , pp.179-192, 2002.

«. Le-concept-de-communauté-Émotionnelle-selon and B. H. Rosenwein,

. Boquet-damien and . Piroska, Une histoire des émotions incarnées, pp.5-24, 2011.

. Sensible-moyen-Âge, BOUREAU Alain, « Miracle, volonté et imagination : la mutation scolastique (1270-1320) », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, une histoire des émotions dans l'Occident médiéval, vol.25, pp.159-172, 1994.

. Bourgine-benoît and . Le-miracle-dans-la-théologie-fondamentale-classique, Recherches de Science Religieuse, vol.98, pp.497-524, 2010.

. Charron-pascale and . Jean-marie, , 2009.

C. Jean-marc, Une collection pour mémoire : le cabinet des livres de Châtre de Cangé » dans La Bibliothèque de l'honnête homme : Livres, lecture et collections en France à l'âge classique, Conférences et Études, pp.161-197, 2017.

C. Jacques, La Comptabilité de l'au-delà : les hommes, la mort et la religion, dans la région d'Avignon à la fin du Moyen Âge, 1980.

. Delaruelle-Étienne, . Wolff-philippe, and . André, , 1980.

D. Jean, L. Péché, and . La, la culpabilisation en Occident, XIII e-XVIII e siècles, 1983.

L. Peur-en-occident, Hachette littératures, XVI e-XVIII e siècles, 1999.

G. François, Le Langage de l'image au Moyen Âge. I. Signification et symbolique, 1989.

L. Langage-de-l, , 1995.

G. Hercule, Paris sous Philippe le Bel : d'après des documents originaux et notamment d'après un manuscrit contenant le rôle de la taille imposée sur les habitants de Paris en 1292, p.1837

. Gilson-etienne, La Philosophie au Moyen Âge : des origines patristiques à la fin du XIV e siècle, 1999.

L. Girard-rené, . Violence, and . Le-sacré, , 2016.

G. Jean, Le livre au Moyen Âge, 1988.

G. Nicole, Cris de haine et rites d'unité. La violence dans les villes, XIII e-XVI e siècles, 1992.

H. Laurence, Trente ans de recherches en langues et en littératures médiévales, numéro jubilaire, sous la dir, Le dialogue entre texte et image » dans Pespectives médiévales, pp.239-264, 2005.

H. Jacques and L. Au-xiv-e, aspects économiques et sociaux, 1970.

H. Patrick, La Parole et la prière au Moyen Âge : le verbe efficace dans l'hagiographie monastique des XI e et XII e siècles, 2000.

. Henryot-fabienne, L'Historien face au manuscrit : du parchemin à la bibliothèque numérique, 2012.

. Huizinga-johan, Automne du Moyen Âge, traduit par Julia Bastin, 2002.

I. Dominique, . Éric, and . Daniel, Marie : le culte de la Vierge dans la société médiévale, 1996.

J. Jean-pierre, ». Laon, and . De-picardie, Numéro spécial, vol.16, issue.1, pp.61-66, 1999.

. Lacroix-paul, Histoire de l'orfèvrerie-joaillerie et des anciennes communautés et confréries d'orfèvres-joailliers de la France et de la Belgique, Librairie historique, archéologique et scientifique de Seré, p.1850

. Latourelle-rené, Miracles de Jésus et théologie du miracle, 1986.

P. Hye-min and . Maud, Les Images dans l'Occident médiéval, pp.291-303, 2015.

L. E. Goff and J. , Rire au Moyen Age », Les Cahiers du Centre de Recherches Historiques. Archives, 15 avril, p.3, 1989.

«. Une-enquête-sur-le-rire, Annales. Histoire, Sciences Sociales, vol.52, issue.3, pp.449-455, 1997.

. Pour-un-autre-moyen-Âge, , 1977.

L. 'imaginaire-médiéval and G. Paris, , 1985.

L. E. Goff and J. Nicolas, , 2012.

. Lett-didier, Hommes et femmes au Moyen Âge : histoire du genre, XII e-XV e siècle, 2013.

. Mâle-Émile, Art religieux de la fin du Moyen Âge en France, 1949.

M. Hervé, Le Métier de prédicateur à la fin du Moyen Âge (1350-1520), 1988.

M. Didier and . Locus, Remarques sur la spatialité des rapports sociaux dans l'Occident médiéval (XI e-XIII e siècle) », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, vol.37, pp.275-293, 2006.

M. Schapiro, Les Mots et les images. Sémiotique du langage visuel, Macula, 2000.

. Molnar-miklós and . Histoire-de-la-hongrie, Tempus »), 1980.

M. Robert, NAGY Piroska, Le Don des larmes au Moyen Âge: un instrument spirituel en quête d'institution, Une histoire du diable : XII e-XX e siècle, 2000.

P. Otto, L. J. 'enluminure-médiévale, and M. Lacoste, , 1984.

P. Michel, Une Histoire symbolique du Moyen Âge occidental, Les procès d'animaux : une justice exemplaire ? » dans Une histoire symbolique du Moyen Âge occidental, pp.31-53, 2004.

«. Le, , pp.11-28, 2004.

R. Claudia, enluminure : l'image dans le livre, Les Images dans l'Occident médiéval, pp.51-63, 2015.

C. Raynaud, La Violence au Moyen Âge, XIII e-XV e siècle : d'après les livres d'histoire en français, 1991.

R. Barbara and H. , « Worrying about emotions in history, The American Historical Review, vol.107, issue.3, pp.821-845, 2002.

, ROSIER-CATACH Irène, « Regards croisés sur le pouvoir des mots au Moyen Âge, Emotional Communities in the Early Middle Ages, Ithaca, pp.511-585, 2006.

R. Daniel, Étude sur la formation d'une tradition iconographique», Marie. Le culte de la Vierge dans la société médiévale, pp.173-191, 1996.

. Schmitt-jean-claude, La Raison des gestes dans l'Occident médiéval, 1990.

T. Du-plessis, P. Histoire-de-l'église-de-meaux, J. Gandouin, and P. Giffart, , p.1731

. Valensise-marina, . Michèle, and . Jacques, Le sacre du roi : stratégie symbolique et doctrine politique de la monarchie française, vol.41, pp.543-577, 1986.

. Vauchez-andré, La Sainteté en Occident aux derniers siècles du Moyen Âge : recherches sur les mentalités religieuses médiévales, 2014.

, La Spiritualité du Moyen Âge occidental, p.2015, 1994.

. Vincent-catherine, Les Confréries médiévales dans le royaume de France : XIII e-XV e siècle, 1994.

. Wirth-jean, Image à l'époque gothique (1140-1280), 2008.

. Baumgartner-emmanuèle, Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, 1996.

C. Michel, Dictionnaire encyclopédique du théâtre à travers le monde, 2008.

, DMF : Dictionnaire du Moyen Français, version 2012, 2012.

L. Jacques, A. Schmitt-jean-claude, A. Franco, . Christian, and . Girolamo, Dictionnaire raisonné de l'Occident médiéval, 2014.

. Ménard-philippe, Syntaxe de l'ancien français, 1994.

M. Gérard, Grammaire de l'ancien français : morphologie, syntaxe, 2002.

. Pavis-patrice, , 2003.

. Théâtre and . Performances-en-france-au-moyen-Âge, , 2003.

. Van-gorp-hendrik, D. Dirk, . Lieven, . Rita, . Grutman-rainier et al., Dictionnaire des termes littéraires, 2001.

A. .. ,

I. and .. .. ,

.. .. Iii-miracle-de-l'évêque,

.. .. Iv-miracle-de-la-femme-du-roy-de-portigal,

V. De-saint-jehan-crisothomes and .. .. ,

.. .. Vii-miracle-de-la,

.. .. Viii-miracle-d'un-pape-qui-vendit-le-basme,

I. De-saint-guillaume-du-desert and .. .. , 18 X-Miracle de l'evesque a qui Nostre Dame s'apparut

.. .. Xi-miracle-d'un-marchant-et-d'un-larron,

X. La-marquise-de-la-gaudine and .. .. ,

.. .. Xiii-miracle-de-l'empereur-julien, 25 XIV-Miracle d'un prevost que nostre dame delivra

X. De-la-mère-du-pape and .. .. ,

.. .. Xvii-miracle-d'un-paroissian-exconmenié,

X. De-theodore and .. .. ,

.. .. Xix-miracle-d'un-chanoine-qui-se-maria,

X. .. De-saint-sevestre,

X. De-barlaam and . .. Josaphat,

X. .. De-saint-panthaleon,

.. .. Xxiii-miracle-d'amis-et-amille,

X. .. De-saint-ignace,

X. .. De-saint-valentin, 44 XXVI-Miracle de une femme que Nostre Dame garda d'estre arse

.. .. Xxvii-miracle-de-l'empereris-de-romme,

X. De-oton and .. .. Roy-d'espaigne,

X. De-la-fille-du-roy-de-hongrie and .. .. ,

X. De-berthe and .. .. ,

X. .. Thierry,

X. De-robert-le-dyable and .. .. ,

X. De-sainte-bautheuch and .. .. ,

X. De-un-marchant-et-un-juif and .. .. ,

X. De-pierre-le-changeur and .. .. ,

X. De-la-fille-d'un-roy and .. .. ,

X. .. De-saint-lorens,

X. De-clovis and .. .. ,

, Au Ciel, Michel et Gabriel s'apprêtent à descendre sur terre pour bénir la mère et l'enfant. Ils entonnent un rondel. Sur terre, Salomé consent à se repentir sur les conseils de Zebel, mais ne sait pour quel motif. Arrivent alors Michel et Gabriel qui s'émerveillent face à cette « Vierge [qui] est de son créateur mère ». Les anges de nouveau chantent le miracle de la nativité. Gabriel explique à Salomé les raisons de son malheur : pour comprendre et voir la divinité de ce moment

, Salomé demande à la mère de l'enfant de rester auprès d'elle, mais la vierge modeste dit n'avoir besoin que de Zebel

, Siméon prie pour réclamer la venue du Sauveur qui doit sauver Israël. L'archange Michel descend auprès de lui pour annoncer que ce Sauveur arrive très bientôt. Simon, très âgé, veut se déplacer à pour aller le voir lui-même. De son côté, Marie veut aller prier et présenter son fils au temple, quarante jours après l'accouchement, comme le veut la tradition juive

. Dieu, Lorsque Zebel et Marie arrivent au temple, Siméon prend l'enfant pour le poser sur l'autel

, Marie demande ensuite à être purifiée. Siméon refuse, car elle n'en a pas besoin

, Le dernier moment de la vie terrestre de Jésus mis en scène est celui de sa dispute avec les

D. De and L. Loi, Quelques années plus tard

. Pâque-À-jérusalem, environ douze ans, n'est désormais plus un enfant. L'offrande faite, les parents de Jésus veulent repartir pour éviter la cohue mais ont perdu Jésus. Marie se meurt d'inquiétude. En fait l'enfant se rend chez un libraire du temple et lit un livre de prophéties. Il parle latin et de ce fait étonne grandement les docteurs qui pensent qu'il se moque d'eux

, Les docteurs répondent par une autre parabole. Pendant ce temps, Joseph et Marie continuent de Ailleurs dans la ville, le comte cherche un juge pour ses terres

. Tortevoye, Ce dernier est donc nommé baillis des terres du comte, charge qu'il reçoit avec beaucoup d'humilité. Chez le couple de bourgeois, le temps est venu pour la dame d'accoucher. La jeune femme se plaint de fortes douleurs aux reins

, Agnesot envoie Gençon chercher la sage-femme. Ce dernier accomplit cette tâche avec diligence

. Berthe and . Entrain-en-pensant-À-cette-tâche-lucrative, Les douleurs de la dame ne faiblissent pas, et Agnesot la réconforte tant qu'elle peut. Berthe arrive alors, la rassure, et lui demande de poser un livre de Sainte Marguerite sur sa poitrine pour la protéger dans ce moment difficile. C'est à cet instant que l'époux franchit le seuil de la maison

. Notre-dame-accède-À-son and . Voeu, Sur leur chemin, elles rencontrent l'époux qu'elles prient de les accompagner à l'église. De retour au logis, l'accoucheuse prend son congé et l'époux se met en route pour le pèlerinage promis. Agnesot, de son côté, prépare un bain pour délasser la jeune mère, Du côté des femmes, on s'affaire autour de la maîtresse qui est bientôt délivrée

, Agnesot donne le nourrisson à la mère et s'absente demander l'amie. De son côté, le sergent cherche le fameux Lupin Coquet. Les deux scènes se rejoignent alors : la dame, fatiguée d'attendre sa chambrière dans son bain, s'endort et noie l'enfant qu'elle tenait dans ses bras. Lorsqu'elle revient, Agnesot constate le malheur et pousse de hauts cris

. Témoin-du-drame, Ils constatent ensuite la mort du nourrisson en prenant Agnesot pour témoin. Enfin, ils emmènent la dame qui confie la garde de sa maison à sa servante. Pris d'une certaine pitié pour la mère infanticide, le juge et son sergent renoncent à lui passer les fers. Chacune de leur côté, la dame et la femme de chambre se plaignent amèrement et prient la Vierge. La mère entrevoit son destin d, il veut en punir l'auteure : il assigne la mère à résidence le temps d'aller chercher le juge

. Elle-est-emprisonnée, Chez les puissants, il s'agit désormais de rendre justice : un chevalier demande au comte d'aller tenir ses assises au château. Là-bas, le comte est reçu par le baillis et un avocat. Les plaids commencent. La dame est amenée devant cette assemblée par le et dix deniers. Eustore impose pour seule condition à ce marché que Panthaleon revienne chaque jour dormir chez lui. L'apprentissage débute. Panthaleon doit observer son maître. Le soir venu, il se met en chemin pour retourner chez lui, sa cellule, la femme se répand en lamentations, en prières à la Vierge et s'adresse à son époux parti en pèlerinage

. Hermolaus and J. Le-pouvoir-de-soigner-quiconque-en-prononçant-seulement-le-nom-de, Ce dernier l'emmène à l'église saint Pol. Le père de Panthaleon se désespère de ne pas avoir vu son fils depuis sept jours. Il va demander à son cousin Gomas s'il l'aurait aperçu. Gomas lui explique que Maître Morin est parti pour dix jours et que Panthaleon doit se trouver avec lui

, Eustore rencontre alors son fils qui lui ment en affirmant bien avoir accompagné son maître

, à qui il ment aussi : il prétend avoir accompagné son père acheter des terres. L'apprentissage reprend. Maître Morin enseigne à Panthaleon l'art de faire des onguents. Maître Morin demande à son apprenti d'aller cueillir des herbes médicinales. Panthaleon mange et se met en route

Q. Panthaleon and . Désire-convertir-son-père, Sur le chemin qui les mène chez eux, ils rencontrent un aveugle auquel le jeune homme redonne la vue grâce à sa nouvelle foi. L'aveugle guéri et le père souhaitent se convertir

C. Lui, Eustore détruit son idole de Mahomet avant de se mettre en route pour Jérusalem

M. Morin, . Le, . Ne-peut-le-soigner.-l'homme-est-furieux, and . Repart, Il décide de le dénoncer à l'empereur. Ce dernier envoie deux sergents pour l'arrêter, accompagnés de Maître Morin qui doit désigner le guérisseur chrétien. De nouveau au palais, l'empereur, accompagné de Maître Morin et des deux sergents, fait venir l'ancien aveugle et lui demande comment il a guéri. Lorsque l'ancien aveugle leur apprend que c'est grâce à Jésus et à son serviteur Panthaleon, il est condamné à la décollation. Panthaleon veut que le sergent lui cède le corps et propose de l'acheter quatre florins. L'empereur souhaite ensuite voir Panthaleon lui-même, qui accepte sans résistance. Il propose à l'empereur de lui faire la démonstration de ses dons. L'empereur demande deux prêtres païens pour défier Panthaleon. Les prêtres convoquent tour à tour leurs dieux pour guérir un bossu. Seul Panthaleon parvient à guérir le bossu, qui veut se convertir. L'empereur veut jeter Panthaleon en prison. Le jeune homme est attaché avec des cordes obéir et à le servir. L'empereur se dirige ensuite vers le pape pour lui demander de

L. 'empereur-revient,-revêt-l'habit-de-pèlerin and E. Fait, Ses chevaliers et son frère l'accompagnent un peu sur le chemin avant de revenir au palais. De retour au palais, le frère se met au service de l'impératrice. Mais il est pris de fièvre. Il prend congé pour prendre l'air, l'impératrice lui recommande de revenir de bonne heure pour le repas. Une fois seul, le frère se lamente : il est amoureux de l'impératrice, mais ne veut pas trahir son frère

L. 'écuyer, L. Inquiet-par-la-mauvaise-mine-de-son-maître, and . Château, Il annonce à l'impératrice l'indisposition du frère pour le repas. L'épouse est triste, mais recommande à l'écuyer de retourner au chevet du malade. De retour auprès du frère, l'écuyer dit que l'impératrice semble l'aimer de coeur loyal. Le malade refuse de manger. L'impératrice vient ensuite en visite. Le frère de l'empereur lui annonce que c'est elle la cause et le remède de son mal

L. 'impératrice-le-ramène-À-lui, Elle accepte cet aveu d'amour, qu'elle croit chaste et repart rassurée

, Le frère revient au palais et veut faire de l'impératrice son amante. Cette fois, la jeune femme comprend et rejette les avances du frère. Le frère s'en va tandis que l'impératrice se rend à l'église

. Le-frère-ne-comprend-pas-ce and . Revirement, Il se rend à l'église pour s'entretenir avec celle qu'il aime

, ils s'entretiennent. C'est un piège : le frère s'y rend, seul, sans son écuyer à qui il demande de l'attendre en bas. Goubert, le garde de la tour, lui ouvre la porte. L'impératrice fait fermer la tour. L'écuyer, ne voyant pas revenir son maître, apprend par Goubert que celui-ci est désormais prisonnier. L'écuyer se rend auprès du chevalier Brun pour comprendre l'affaire. Brun demande à la dame de libérer le frère mais celle-ci refuse. La jeune femme s'inquiète néanmoins de sa santé et tient à ce qu'on le nourrisse bien. C'est alors qu'un messager vient annoncer le retour de l'empereur, le lendemain. On fait sortir le frère de prison. Celui-ci pense que la jeune femme regrette son action, Fâchée d'être dérangée dans un lieu saint par cet homme, elle lui donne rendez-vous dans une tour de garde afin qu

, Aussi l'empereur voit-il d'abord son frère, qui accuse l'impératrice d'adultère et de l'avoir jeté en prison parce qu'il n'approuvait pas sa conduite. Lorsqu'il la voit venir vers lui bras ouverts, L'impératrice ordonne aux hommes de devancer les dames

, Seule sur son rocher, l'impératrice pleure et prie. Dieu l'entend et demande à Nostre Dame d'aller la réconforter et de lui porter aussi des herbes qui guérissent les lépreux. L'impératrice remercie et loue la Vierge pour son secours. Une nef arrive au loin, Il la remet à ses chevaliers, qui l'enferment, p.48

. Une-pèlerine, Ils recueillent la jeune femme. Celle-ci leur cache son identité en disant que son bateau a coulé avec ses frères et ses cousins. L'écuyer l'amène à la dame pèlerine qui prend soin d'elle en lui donnant une robe et des vivres. L'impératrice la remercie vivement ; l'écuyer recommande qu'on la mène sur la terre ferme dès que possible. On atteint la terre. Le temps est clément : le capitaine presse la compagnie de repartir tant qu, Tandis qu'ils affrontent une tempête, ils aperçoivent l'impératrice

, Arrivée en ville, elle trouve une hôtesse qui apprécie sa politesse. Elle l'invite chez elle

L. 'impératrice-cache-de-nouveau-son-identité-et-raconte-la-même-histoire-qu'au-marinier, Elle ajoute qu'elle a été sauvée par une dame. La discussion conduit à évoquer les aléas de la fortune. L'hôtesse évoque le cas d'un comte lépreux. L'impératrice veut se rendre auprès de lui pour le guérir grâce à ses herbes médicinales

E. Comme-celui-ci-l'a-déjà-fait, . Lui-applique-l'herbe-donnée-par, and . Dieu, Au palais, le frère de l'empereur a attrapé la lèpre. Il se plaint d'atroces souffrances. L'empereur, venu rendre visite à celui-ci, constate sa maladie. Il essaie de le réconforter tandis qu'un messager, revenu de la Campanie où il est allé délivrer des messages au Comte Robert 7 , arrive. Il évoque la rumeur selon laquelle une femme de la région dont il revient guérirait les lépreux du comté

L. 'empereur-envoie-le-chevalier-orry-chercher-la-guérisseuse, . Celui-ci-trouve-la-jeune-femme, and . Lui-demande-de-le-suivre-À-rome-pour-le-frère-de-l'empereur, Cachant toujours son identité, l'impératrice le suit. De son côté, le frère se plaint et attend la mort. Le messager annonce à l'empereur l'arrivée de la femme. L'empereur demande à présent au messager d'aller chercher le pape pour constater les miracles de la femme. Le Pape suit le messager en compagnie de deux cardinaux. La jeune femme tente de guérir le frère. Celui-ci se fait d'abord confesser à part par un cardinal. Lorsque la guérisseuse lui administre le remède, le frère ne guérit pas

L. Le-pape, conseille de s'exécuter pour échapper à l'enfer. Le frère avoue, boit, et recouvre la santé

, L'empereur est bouleversé par les révélations de son frère. L'impératrice veut vite retourner d'où elle vient

L. Qu, il retrouvera cent femmes s'il le souhaite mais l'empereur répète l'amour qu'il portait à sa femme. La jeune femme, sûre des sentiments de son mari, se découvre alors. Les époux se pâment. L'héroïne raconte alors son histoire. Ces retrouvailles font la joie du pape, qui convie toute la compagnie dans son palais pour fêter de manière solennelle cette heureuse issue

M. Vraisemblablement-une-référence-À-robert-d'anjou and . En, roi de Naples. son côté, Denise se rend à l'église pour prier. Bérenger se rend en Espagne tandis qu'Oton reste aux côtés de l'empereur. Bérenger arrive auprès de l'épouse d'Oton. Il lui raconte que son mari a une maîtresse et que lui, Béranger est choqué par son comportement, 1343.

. Denise-ne-le-croit-pas, L'homme s'adresse alors à Églantine à laquelle il promet 30 marcs si elle lui indique l'emplacement d'un grain de beauté de Denise et lui rapporte le bijou qu'elle porte autour du cou. La suivante accepte le marché. Églantine soûle l'épouse et une fois celle-ci endormie, lui subtilise le bijou portant l'os d'Oton. Elle trouve également un grain de beauté. Elle se rend auprès de Bérenger et lui chuchote à l'oreille toutes ces informations. Béranger rapporte ces preuves à Oton. Ce dernier le croit, s'apprête à revenir en Espagne pour tuer sa femme adultère, Bérenger, comme tout son lignage, est connu pour ses mensonges

, Dieu entend la jeune femme et rapporte ces nouvelles à la Vierge

M. Jehan and . Gabriel, Arrive alors Oton, qui à son tour la cherche pour se venger d'elle. Denise arrive à Grenade et entre dans le château de son père. Elle se fait engager comme écuyer auprès de son père le roi de Grenade et se

C. De-son, Alors il renie la foi chrétienne pour la loi mahométane, avant de prendre le large, vers les pays sarrasins. En Grenade, le messager Salomon annonce qu'Oton est monté sur le trône espagnol mais qu'il a tué son épouse. Le roi de Grenade s'apprête à repartir en guerre contre l'empereur de Rome

A. , S. Qu'il-pense-de-leur-nouvel-Écuyer, and D. , Alphonse suggère justement qu'ils emmènent ce beau jeune homme vigoureux. Le roi de Grenade fait de nouveau appel à sa coalition et se dirige vers Rome. De son côté, Lothaire fait appel au soutien de ses barons

M. De-son-côté-;-jehan and . Gabriel, Oton se repent

, Lotart revient auprès de la coalition espagnole : vingt à trente barons entourent l'empereur. Avant que la bataille ne s'ouvre, Denis(e) demande à aller parler à l'empereur pour éviter une guerre. Il ajoute que peut-être, cette concertation permettra à Alphonse de revoir sa fille. Les deux rois acceptent

, Le roi rencontre la demoiselle, lui demande son nom : Bethequine. Celle-ci refuse de révéler sa triste lignée. Sous le charme, le roi d'Ecosse nomme la jeune fille demoiselle de sa mère. Irritée que son fils ait confié un titre à cette jeune fille sans ascendance, Il la présente au roi pour qu'il juge lui-même de sa beauté

. Bethequine, La princesse rapporte l'incident au roi, et lui affirme que jamais elle ne pensait à mal envers lui. Le roi veut l'épouser. Pour le mariage, la cour se déplace à Chestre. Furieuse, la mère du roi part de la cour au château de Gort. Quelque temps plus tard

. France, . Un-chevalier-de-la-cour-doit-s'y-rendre, . Le, . La-jeune-reine-est-réticente, . Le-roi-suit-son-propre et al., Lambert prévient le prévôt qui l'envoie annoncer la nouvelle au roi. En route, Lambert s'arrête chez la mère du roi, au château de Gort. Celle-ci le soûle, et lui vole les lettres qui annoncent la bonne nouvelle. Godefroy, le serviteur de la mère du roi, rit de bon coeur en voyant l'ivrognerie de Lambert. La marâtre fait ensuite appeler son secrétaire pour que celui-ci lui lise la lettre portée par le messager assoupi. Saisissant l'occasion de se venger, la mère du roi écrit une nouvelle lettre affirmant que l'enfant né de Bethequine est monstrueux et qu'on le brûlera, si le roi le demande. Le stratagème réussit : le roi pleure, rédige une lettre. Il recommande à Lambert d'exécuter absolument sa volonté, inscrite sur le papier

. Beruic, . Au-château, and . Le-maître-d'hôtel-lit-la-lettre, Joïe et sa demoiselle rencontrent la femme du sénateur qui leur apprend qu'elles sont à Rome. Le sénateur la nomme gardienne des clés de la demeure et mène la demoiselle dans une autre maison. Le roi chercher de l'eau à la rivière et de ne pas tarder en chemin. Le roi, attristé par un récent veuvage, est convaincu par ses chevaliers de se distraire par une partie de chasse. Finalement pris au jeu, le roi affirme son intention de rester plusieurs jours dans la forêt. Sa fille l'accompagne. On se lance à la poursuite d'un cerf. Mais, dans le chaos de la course, la princesse s'égare. De son côté, Huet revient, demande à Jehan ce qu'il peut faire pour lui. Jehan lui recommande l'humilité et retourne prier. Au bois, les chevaliers et le roi lui-même se mettent à chercher la princesse. Mais c'est Huet qui la trouve. La fille lui demande le gîte, mais Huet doit demander la permission à son maître. Jehan accepte après avoir précisé que son abri ne peut offrir grand confort : il ne compte qu'un seul lit et peu de nourriture. Huet décrit à Jehan la princesse comme la plus belle fille qui soit. La fille entre, on la prie de s'asseoir, on s'excuse de ne pouvoir lui offrir grand-chose, Tout le royaume se désole. La fille implore qu'on la jette en mer avec son fils plutôt qu'on les fasse brûler. Sa demoiselle veut les accompagner. Le prévôt accepte. Sur la nef sans voile ni gouvernail qu'on lui a donnée

, Huet pousse ensuite Jehan à tuer la jeune fille puis à la jeter dans un puits. Jehan, sous l'emprise du diable, s'exécute. L'ennemi lui découvre alors son identité et s'en va joyeux. Jehan s'en remet à la Vierge. Il fait brûler sa maison et sa robe puis jure de ne plus manger de viande et de se déplacer désormais à quatre pattes. Il trouve refuge dans un arbre creux. Non loin de la forêt, une femme est sur le point d'accoucher. Son mari, Robert, va chercher Gertrus, la sage-femme. Celle-ci met l, Huet pousse Jehan à se coucher dans le même lit que la fille malgré les doutes de Jehan quant à sa capacité à se détourner de la tentation

, Dieu dit à sa mère d'aller le réconforter. Elle descend en compagnie de saint Jehan

. Gabriel, De son côté, le roi s'apprête à aller chasser. Arrivé sur les lieux, il se lamente : il n'était pas venu depuis la disparition de sa fille. Mais les veneurs repèrent une bête au creux d'un arbre : on prie donc le roi d'oublier sa fille et de penser à cette belle prise qui s'annonce

, On comprend alors que la bête traquée est en fait l'ermite en pénitence. Jehan recouvre la parole et raconte de façon très précise son histoire. Devant ce repentir si complet, le roi pardonne l'ermite. Alors Jehan baptise l'enfant puis demande à retourner sur les lieux de son ancienne demeure pour prier pour la fille et demander à Dieu des nouvelles de celle-ci. La cour et la famille de Robert s'y rendent tous pour prier dévotement. Dieu entend ces prières et envoie de nouveau mort de sa (fausse) fille. Thibert, accompagné de Renier, Godefroy et Morant sont chargés de décapiter Berthe dans la forêt. Maliste exige d'avoir pour preuve de sa mort le coeur de la jeune femme. Les trois hommes accompagnant Thibert sont pris de pitié pour Berthe et la laissent s'enfuir par le bois. Thibert, furieux, jure de les faire pendre à leur retour à Paris. Pour obliger Thibert à se taire, ils menacent de le tuer, La famille de Robert passe par la forêt pour se rendre à l'église afin de baptiser l'enfant

, Michel, Gabriel et Berthe aperçoit en songe Dieu et la Vierge se présenter à elle et lui dire d'espérer. Berthe s'éveille et se jure de garder sa véritable identité secrète afin de préserver sa virginité. C'est alors qu'elle rencontre Simon, riche bourgeois, qui la mène chez lui. Il lui offre le gîte et la soigne avec sa famille, Aiglante et Ysabel : les femmes apprécient l'humilité et les capacités de Berthe dans les travaux de couture

U. Messager-devance-la-reine-pour-prévenir-le-roi-de-sa-venue, Au château, les méchants mettent en scène leur émoi : Maliste pleure de voir sa maîtresse alitée. En réalité, elle se rend dans la chambre afin de rassurer sa fille. Pépin présente ses deux enfants, Rainfroy et Heudry, à leur grand-mère ; ensemble, ils retournent vers le château. Mais Maliste leur défend l'entrée de la chambre. Aliste, quant à elle, a peur que le subterfuge n'échoue. Elle pense fuir à l'étranger avec le trésor royal. De fait, Blanchefleur force le passage. Elle n'est pas dupe de la substitution : Berthe, même malade, l'aurait accueillie à bras ouverts

, On écoute les confessions des usurpateurs : Maliste est emmenée en prison avant d'être brûlée, Thibert, quant à lui, sera pendu

, Blanchefleur regagne la Hongrie, pensant avoir perdu sa fille et sans héritier. Elle ramène malgré 57

, On conseille à Pépin de reprendre rapidement une femme. Mais, très attristé par la machination dont il a été l'objet, Pépin refuse. Il quitte Paris pour Le Mans, afin de se changer les idées, Blanchefleur raconte l'aventure à Floire. Le roi rejette Heudry. De leur côté

C. , Ysabel et Aiglante se rendent à pied à la messe. Elles doivent passer par la forêt. Elles entendent le clairon sonner : une troupe de chasseurs approche

. Berthe-esseulée-;-qui-chasse-le-cerf-mais-pépin, Séduit par la jeune femme, il veut en faire sa maîtresse. Berthe refuse, le roi insiste. Alors Berthe lui découvre sa véritable identité : elle n'est pas la nièce du riche bourgeois Simon, mais la fille du roi de Hongrie. Le roi lui, se fait passer pour le maître d'hôtel du roi. Ensemble, ils retournent chez Simon. Pépin demande à s'entretenir avec lui en privé. Simon fait venir Constance. Ensemble, ils discutent des origines de Berthe. Simon affirme d'abord qu'il s'agit de sa nièce avant de raconter comment il l'a recueillie, il y a neuf ans et demi. Le roi reconnaît la coïncidence dans la temporalité des événements. Pour confirmer ses intuitions

C. Simon, . Demandent-À-berthe-d'où-elle, and . Vient, La jeune femme fait volte-face : si elle a affirmé être l'épouse du roi, c'est pour défendre sa virginité. Le roi repart vers Le Mans, escorté par Simon. Là-bas, il révèle au bourgeois sa véritable identité. Simon rapporte les faits à sa femme

. Aussitôt, Blanchefleur et Floire se mettent en route. La reine refuse de s'arrêter jusqu'à ce qu'elle ait vu sa fille. Chez Simon, les parents reconnaissent la princesse

, a qui sa mére fist entendant que Osanne, sa femme, avoit eu trois chiens, et elle avoit eu trois filz, dont il la condampna a mort, et ceulx qui la dorent pugnir la mirent en mer ; et depuis trouva le roy ses enfans et sa femme. »-Source principale : romans Osanne, femme du roi Thierry, roi d'Aragon, s'apprête à accoucher. La mère du roi tient à être la seule à l'assister

L. , la mère fait venir une demoiselle à qui elle demande de tuer les triplés mis au monde par Osanne : elle lui promet de la couvrir de richesses. Arrivée à la forêt, la demoiselle n'a pas le courage de tuer les enfants qui lui sourient. Aussi décide-t-elle de les abandonner sur l'herbe en les recommandant à Dieu. La belle-mère

L. and L. Voit, Elle suggère de condamner Osanne au bûcher. Le roi se laisse gagner par la rage de sa mère et accuse sa femme. La reine se défend et dit qu'elle a été trahie. La mère demande le témoignage de la demoiselle, qui confirme l'accusation. Osanne est conduite en prison. La mère garde elle-même la clé afin qu'Osanne meure de faim. Dans la forêt, un charbonnier trouve les enfants, les recueille et les présente à sa femme. Le couple, sans enfants, se réjouit de pouvoir les élever, La mère explique qu'il ne fallait pas en attendre davantage d'une épouse non issue d'un noble lignage

L. Dieu, . Anges, and . Saint-jehan, Ils la rassurent : elle sera vengée. La belle-mère revient voir Osanne

, Il se lance à la poursuite d'un sanglier, mais se perd. Les veneurs sonnent le clairon, mais ne retrouvent pas le roi. Ils rentrent en ville, pensant que le roi a déjà regagné le palais. Le roi se lamente mais rencontre le charbonnier qui l'emmène chez lui et lui offre un excellent repas, très fiers de recevoir le souverain. Celui-ci voit les trois enfants. Le charbonnier raconte qu'il les a trouvés il y a douze ans et a donné à chacun une nourrice pour les élever. Alors le roi se met à pleurer. Le charbonnier se confond en excuses, pensant avoir offensé le roi. Le roi lui ordonne de venir en Saragosse avec ses fils. Sur le chemin, le roi et le charbonnier retrouvent les veneurs. Puis, une fois au château, le roi fait appeler Bethis, la demoiselle qui a abandonné les enfants. Elle confirme l'histoire. Le roi, pour remercier le charbonnier, lui fournit une rente. C'est alors qu'un messager vient annoncer qu'une grande guerre se trame contre le royaume. Thierry appelle à lui ses d'obéir. Le père de Robert envoie alors Pieron et Huchon à Robert. Mais il leur crève les yeux. Face à ce nouveau scandale, l'un des barons conseille de bannir le fils indigne. Huchon est chargé de crier l'annonce dans toute la Normandie. Boute en Couroie rapporte la nouvelle à Robert. Mais ce dernier ne s'inquiète pas : ils sont bien cachés, en pleine forêt. Robert va se promener et rencontre un groupe d'ermites qu'il tue gratuitement. Il croise ensuite un valet qui se dirige vers le château d'Arques, ou est conviée à dîner la duchesse, sa mère. Il suit le valet jusqu'au château pour rendre visite à sa mère, s'étant assuré de l'absence de son père. Mais tout le château prend peur à l'annonce de sa venue. La duchesse se retranche dans sa chambre. Elle accepte que son fils la tue, étant responsable de ses mauvaises actions. Robert lui explique ses bonnes intentions envers elle, mais ne comprend pas en quoi elle serait responsable de sa méchanceté. La mère raconte à son fils comment elle en vint à demander au diable de l'aider à concevoir un enfant. Robert entend désormais se repentir : il part. Le duc revient, voit son épouse éplorée. Elle lui conte l'affaire. De retour en son fort, Robert explique à ses acolytes son intention de changer de vie, Osanne réclame la pitié de ses bourreaux, qui cèdent. On lui laisse le choix entre la noyade ou de dériver sur une embarcation sans voile ni gouvernail. Osanne opte pour la seconde proposition. Les chevaliers reviennent auprès de la mère pour lui annoncer qu'Osanne est morte. Elle leur promet la richesse et va annoncer la nouvelle au roi

, Dieu descend avec Nostre Dame et ses anges auprès de l'ermite, à qui il explique que, pour faire pénitence, Robert doit se déguiser en fou, se taire, manger la nourriture des chiens

À. Rome, mal à l'aise, elle s'éloigne. Non loin de là, l'empereur commence à avoir faim ; son écuyer installe des nappes pour un pique-nique. Aidé par un chevalier, l'écuyer sert l'empereur. À quelque distance, des jeunes gens voient le fou et le maltraitent

, Le fou arrive alors près de l'empereur qui prend pitié de lui : sous la noirceur se trouve le visage d'un beau jeune homme. Le souverain appelle son chien pour lui donner des restes

L. 'empereur-veut-offrir-un, Il devra s'en débarrasser dès la bataille finie, et les reprendre si le combat reprend. La guerre éclate : les païens sont écrasés par l'armée de l'empereur. Une fois la bataille finie, le monarque demande qui est le mystérieux chevalier qui a défait le camp adverse. Sa fille, muette, désigne le fou. Sa mère confirme ses dires mais l'empereur ne les croit pas. On passe à table. Mais les païens reviennent. L'empereur s'apprête mais prévient qu'on garde le chevalier blanc s'il réapparaît. La bataille recommence. De nouveau le chevalier blanc sauve la troupe. Un chevalier de l'armée de l'empereur le suit, lui lance sa lance, le blesse à la hanche mais le chevalier ne s'arrête même pas. Il disparaît. L'empereur fait alors crier dans tout le pays que celui qui viendra vêtu d'une armure blanche et blessé à la hanche sera marié

. Amoureux-transi-de-la-fille, Le monarque s'étonne seulement que cet ancien ennemi l'ait si vaillamment défendu. Face à l'imposture, la fille retrouve l'usage de la parole afin de révéler l'identité du véritable héros. Elle mène toute la compagnie au pré où elle a vu le chevalier enterrer le fer de lance. Elle explique comment ses armes ont disparu sitôt enlevées : le pape y reconnaît là un miracle. On se lance à la recherche de Robert. La fille affirme qu'on le trouvera auprès de Louvet, le chien. L'empereur s'adresse au fou, qui se tait toujours. C'est alors qu'arrive l'ermite qui lui annonce que sa pénitence est accomplie. Robert retrouve la parole. L'empereur lui donne sa fille. Mais Robert préfère devenir ermite, il fait commander par son écuyer une armure blanche et se blesse luimême à la hanche. Dieu descend de nouveau avec Nostre Dame, saint Jehan et les anges pour aller trouver le même ermite

Q. Clodoveus, pour la rebellion de ses deux enfans, leur fist cuire les jambes, dont depuis se convertirent et devindrent religieux. »-Source principale : Vita Bathildis / Vita Baltechildis Regine (Bibliothèque François Villon de Rouen

, Deux chevaliers du roi Clodoveus lui conseillent de se marier

. Lorraine and C. .. Bourbon, Les chevaliers évoquent également une femme de haute renommée, Bautheuch, hébergée par le maréchal de France du roi, Erchenoal. Toutefois, son lignage leur est inconnu. Le roi demande donc à son sergent d'armes d'aller le chercher pour s'entretenir avec lui. Erchenoal suit le sergent. Au palais, il explique au roi que la jeune femme lui fut vendue jeune enfant. Elle serait extraite de lignée royale, de la Saxe précisément. Le maréchal parle en termes élogieux de Bautheuch

L. Erchenoal and . Chercher, Bautheuch pense avoir offensé le roi : elle s'étonne qu'il veuille la voir. Lorsqu'il la voit, le roi admire la beauté de la jeune femme. Ils discutent : le roi est maintenant séduit par la piété de Bautheuch. Après avoir demandé l'avis des chevaliers, le mariage est décidé

F. Parigot and . Sergent-du-roi,-mène-le-monarque, Le roi ensuite demande à Bautheuch comment elle entrevoit son avenir. Celle-ci répond qu'elle méprise l'argent et qu'elle entend faire aumône le plus possible afin de réduire la pauvreté. Le roi lui donne-t-il un aumônier, Genais, connu pour sa bonté. Le roi lui donne mille livres à distribuer selon les conseils de Bautheuch puis s'en va. Bautheuch recommande à Genais de distribuer son argent aux abbayes de tous les ordres-Cordeliers, Augustins, Carmes et Jacobins ; ainsi qu'aux laïcs indigents. Le roi vient demander à Bautheuch comment se déroulent ces bonnes oeuvres : l'argent confié à Genais est déjà bien employé. Clodoveus fait ensuite par à Bautheuch de son souhait de se rendre en terre sainte. Bautheuch encourage son époux à réaliser son voeu

, François Parigot est envoyé de Flandres en Normandie, tandis qu'un autre sergent se rend en Orléans et en Anjou. Lors du conseil des barons, le duc d'Orléans est invité à s

, Il choisit le duc de Normandie pour régent. Les autres barons sont d'accord avec ce choix

E. Toutefois, L. La-possibilité-de-mettre-le-véritable-futur-régent-sur-le-trône, . Fils, and . Roi, Bautheuch va chercher le réconfort dans la prière avec sa demoiselle, Ambroise, tandis que Genais reste avec les enfants. Le fils aîné convainc son frère de se débarrasser de la tutelle de leur mère et de prendre entièrement le pouvoir. Seule, Bautheuch se lamente et espère que le roi revienne rapidement. Justement, le roi demande à Lievin d'aller annoncer son retour prochain à la reine, lui confiant pour preuve son anneau. Le fils entend cette nouvelle. Ils se demandent s'ils doivent aller par devant leur père et demander sa pitié merci, ou l'empêcher de revenir. Par orgueil, les deux enfants optent pour la deuxième solution. Ils déploient leurs hommes sur tout le territoire. Lievin, qui a vu ces préparatifs de guerre, prévient Bautheuch, qui demande à Lievin de courir prévenir le roi. L'un des barons de Clodoveus optent pour les pourparlers. Mais les enfants menacent de leur couper la tête et vont jusqu'à nier l'existence de leur père. Le roi décide donc d'assaillir son propre royaume et demande à Bautheuch de se tenir prête à intervenir, Cette solution est validée par tous. Le résultat est annoncé au roi. Genais mène les fils devant les barons : l'aîné les remercie pour leur décision

A. , Le repas chez Audry se termine, l'évêque et ses clercs sont ravis. Ils vont dire leurs heures. Un cousin du bourgeois vient le prier de lui prêter de l'argent car doit vingt mars d'or à un marchand. Audry lui donne bien volontiers. Un autre cousin d'Audry veut marier sa fille. Il va demander au bourgeois prodigue de payer sa dot. Un homme de la cité vient à son tour lui demander vingt livres tournoi qu'il doit rembourser. Cette fois, Audry ne peut plus prêter d'argent : il n'en a plus, Il le rencontre en chemin : le bourgeois venait justement le chercher. L'évêque salue alors ses clercs, qui retournent manger dans l'hôtel de l'évêque

. Juifs, A. Là-encore, and . Ne-peut-l'exaucer, Lui qui a tant donné à tous, personne ne veut lui prêter d'argent. Il est contraint de se tourner vers un usurier juif, Moussé. Ce dernier accepte, à condition qu'Audry ait un garant. Mais tous les amis et la famille d'Audry se sont détournés de lui, parce qu'il n'a plus d'argent. Le juif refuse alors le prêt. Audry jure sur Jésus de lui rendre son bien au jour dit, sans quoi il se mettra à son service. Les deux hommes se rendent à l'église pour sceller le pacte devant la Croix

A. Lui, . Lui-prête-mille-livres, L. Pour, . Marchand-doit-quitter-le-pays-pour, and . Commercer, Joscet s'en réjouit. De son côté, quelques mois plus tard, Audry est pris d'un malaise. Gobin en est effrayé ; le bourgeois explique à son serviteur qu'il a oublié la date où il devait rembourser le Juif. Cela signifie qu'il n'a pas tenu la parole qu'il avait juré sur Dieu et qu'il devra désormais être l'esclave de Moussé. Le terme du prêt échoit le jour même. Perdu pour perdu, Audry demande malgré tout à Gobin d'aller chercher un écrin dans lequel il placera l'argent du prêt. On jette l'écrin à la mer, en espérant qu'il trouvera son chemin jusqu'à Moussé. En se promenant sur le Pierre lui demande ensuite d'aller chercher une béguine pour le soigner

, Lorsqu'ils sortent de l'auberge, les mendiants rencontrent Pierre qui, à leur plus grande surprise, leur fait l'aumône et leur demande de prier pour lui. Ils entament une patenôtre. Un marin débarque, nu. Il cherche de quoi se vêtir lorsqu'il croise Pierre qui lui donne un bel habit. Aussitôt, l'homme le vend à un bourgeois, en le marchandant pour vingt livres. Alors Pierre, qui somme Galot d'aller par la ville faire l'aumône aux pauvres selon leur état de pauvreté, vient à croiser l'habit qu'il a donné, posé sur une perche. Il comprend que le marin l'a vendue et ne peut s'empêcher de se mettre en colère. Pleurant de colère, il est pris d'un profond sommeil. Dieu redescend auprès de lui explique à Pierre qu'en vêtant le marinier, c'est lui-même qu'il a vêtu. En se réveillant, Pierre décide de se faire mendiant. Galot revient, ayant dépensé tout l'argent de son maître, Nostre-Dame et des anges. Ils s'assoient à quelque distance du lit de Pierre, tandis qu'à son chevet se trouvent déjà les diables venus réclamer l'âme du vil pécheur. Les anges voient que Pierre est encore en vie et entament donc un débat. Le premier diable raconte sa vie : voleur et violeur, Pierre mérite l'enfer. Le deuxième rappelle l'affront qu'il fit à un pauvre qu'il chassa

. Jérusalem, Sur la place du marché de la ville sainte, Pierre et Galot attendent qu'un marchand arrive

, Une fois seul, il fait une longue prière. Dieu redescend auprès de lui pour lui annoncer qu'il est pardonné par ses bienfaits. Zoile a entendu les chants des anges venus avec Dieu. Il se regagner le château. Là-bas, la reine est justement prise de douleurs. Anne et Françoise l'emmènent dans sa chambre. À leur retour, les sergents trouvent le palais vide et se doutent que la reine est en train d'accoucher. Les douleurs sont telles que la reine pense mourir. Mais, sur les conseils d'Anne, la reine prie Nostre Dame et donne finalement naissance à une fille. Les demoiselles emmènent l'enfant chez la nourrice tandis que la reine remercie la Vierge, Zoile apparaît et achète le changeur pour cent besans. Galot se sépare de son maître. Pierre se met au service de Zoile, qui lui demande divers travaux de bûcheronnage ou de lessive. Pierre peine à effectuer ces tâches qu'il n'a jamais exécutées

À. Jérusalem, . Le-roi-s'apprête-À-revenir-chez, and . Lui, Il a hâte de retrouver son épouse : quatre ans sont passés depuis qu'il est parti. Mais un messager arrive, mandaté par le comte Duriaume, qui administrait le royaume pendant l'absence du souverain

K. La-tristesse-le-dispute-À-la-joie and . Qu, Au château, on se réjouit du retour du roi. Quelques années plus tard, les comtes s'inquiètent que le roi n'ait pas d'héritier mâle. Il devrait penser à se remarier. Mais le roi n'accepte qu'à condition que la nouvelle épouse soit en tous points semblable à celle qu'il a perdue. Pendant une saison, les chevaliers se lancent à la poursuite de l'épouse idéale : elle n'existe pas. Le premier chevalier propose alors au roi d'épouser sa fille

, On fait venir sa fille pour lui proposer le mariage. La jeune femme refuse mais le roi ne l'entend pas ainsi. Alors Ysabel louvoie : elle demande un mois pour se préparer au mariage

L. Seule and . Jeune-femme-se-lamente, Anne la soutient mais ne sait où la cacher. Ysabel décide donc de fuir. Anne lui jure de la suivre jusqu'à la mort. Elle suggère qu'elles se déguisent en hommes pour éviter le danger d'être une femme sur les routes. Ysabel ajoute qu'il d'aller chercher des vêtements d'homme dans sa chambre. Pour tromper la vigilance de Françoise, Anne prétexte d'aller à la chasse aux oiseaux avec Ysabel, Elle court voir Anne, demoiselle de sa mère et véritable mère adoptive pour elle, afin de lui faire part de l'infâme projet

, Dieu envoie Gabriel sous forme humaine pour les guider. L'ange montre à Usère un bateau qui les conduira en Grèce. Les deux hommes auprès des dames prennent d'abord peur. Gabriel se propose d'être leur interprète auprès du marin, puisque celui-ci parle latin. Anne demande même à ce qu

. Gabriel-accepte, . Le-groupe-monte-sur-le, and . Bateau, Une gentille hôtesse va préparer leur chambre. Dans son palais, l'empereur de Constantinople demande à l'écuyer, Testu dit Gobaille et son compagnon Grain de paille, de se rendre à l'auberge : il doit s'entretenir avec ses hommes

A. Celle-ci-lui-répond-qu'elle-doit-revenir-bien and V. , Anne leur répond qu'ils sont mercenaires et qu'ils cherchent des maîtres. L'écuyer se présente à son tour. La maîtresse revient, informe l'écuyer que les gens qu'il cherche ne sont pas là ; l'écuyer leur demande de leur dire que l'empereur les cherche si elle les voit. L'écuyer retourne à l'empereur et lui apprend que s'il n'a pas trouvé les hommes demandés par l'empereur, il a rencontré des mercenaires semblant dignes de confiance. Un messager arrive et dit à l'empereur qu'il doit aller défendre sa terre contre une attaque. Le monarque appelle ses chevaliers, on lève les armées ; il demande également à son écuyer d'aller chercher les mercenaires dont il a parlé

, La bataille fait rage. L'empereur de Constantinople est blessé mais les rois d'Arabie et des Tartares se rendent. Anne confie les prisonniers à Usère puis revient secourir l'empereur. La Turquie finit par capituler. On fête la victoire. On confie à Isabelle les vaincus pendant que le comte et l'empereur se retirent pour prendre du repos. Gabriel dit à Ysabel d'offrir les cinq prisonniers à la fille de l'empereur afin de lui faire honneur, Turquie, ses alliés sarrasins et tous ses alliés marchent sur les terres de l'empereur

, Mais Ysabel se retire rapidement, prétextant qu'elle doit d'abord se débarrasser de son armure

, L'empereur comprend ce que suggèrent ses vassaux et appelle donc Ysabel à lui. Il l'interroge sur son lignage. Ysabel répond qu'il est noble, célibataire et vierge. L'empereur lui offre donc sa fille, mais Ysabel demande à reporter les noces. Le comte lui dit qu'il ne convient pas de refuser une telle offre. L'empereur demande qu'on aille apprêter sa fille pour le mariage qui doit se tenir immédiatement, tant que l'assemblée des barons est présente. La cérémonie a lieu. Ysabel s'apprête, mais demande à Anne de l'accompagner dehors. Elle lui demande conseil. Elle aurait grande honte si elle devait découvrir aux autres qu'elle est une femme, son comte et ses deux chevaliers ne tarissent pas d'éloge sur les prouesses d'Ysabel

, Arrive alors la nuit de noces. L'empereur demande en secret à un religieux d'écouter à la porte de la chambre des jeunes époux. La fille de l'empereur demande à Ysabel pourquoi il paraît si inquiet. L'époux révèle alors son identité de femme. Pour preuve, Ysabel pose les mains de la fille sur sa poitrine. La fille de l'empereur lui jure le silence. Mais le religieux a tout entendu et va rapporter le scandale à l'empereur. Pour confondre l'époux, le religieux propose trois tests censés prouver son véritable sexe. Le premier consiste à enfermer le couple dans une chambre avec des vierges et d'y jeter des fruits. Si l'époux se jette dessus comme les autres, c'est une femme vierge. Le deuxième consisterait à mettre l'époux en après les autres. Les écuyers de Dacien se glissent dans la chambre du souverain et le tuent, Michel dire à Ysabel d'avouer la vérité à son épouse lors de la nuit de noces et lui assure que celleci saura garder le secret

. Mauduit and . Seigneurs-en-vue-d, une nouvelle élection, tandis que les chevaliers restent sur place pour accueillir les arrivants. La réunion des comtes aboutit à l'élection de Dacien. L'un des seigneurs suggère néanmoins que le chef des armées pourrait avoir un lien avec la mort de l'empereur, mais personne ne prend ses doutes au sérieux. Tous ensemble, les comtes vont informer Dacien de son élection. Le nouvel empereur demande à ce que tous l'accompagnent à travers l'Europe afin d'être acclamé par le peuple. Le fils de l'ancien empereur se plaint de l'indifférence générale quant à la mort de son père. L'un des chevaliers lui propose de l'enterrer à Cologne

, Le fils de Philippe se rend auprès du pape pour l'informer de son départ de Rome. Il donne également au pape le trésor de son père afin que son diacre, Laurent, l'offre aux pauvres. Godefroy, serviteur du fils de Philippe, amène un premier sac rempli de richesses. Laurent le distribue à travers la ville. Godefroy va en chercher un second. Il est suivi du fils qui cette fois fait ses adieux au pape et à Laurent. Ce cadeau, espère-til, Lors de la fête, l'empereur fait part de ses premiers projets : persécuter les Chrétiens, leur confisquer leurs biens et les tuer. Il demande à un écuyer d'aller en faire le cri sur la place du marché. Laurent entend la nouvelle et la rapporte au pape

. Dacien-interroge-le-pape-sur-l'emplacement-du-trésor, Un sergent va crier la nouvelle à travers la ville. Laurent entend le cri et se désespère à nouveau : il se sent désormais orphelin, mais il continuera de distribuer le trésor. Un sergent de Dacien l'entend parler, l'arrête et le mène à Dacien. Face à l'empereur, Laurent feint l'ignorance, puis se risque à l'humour

. Ypolite and L. Celui-ci-le-mène-dans-une-cellule, Lorens lui propose de recouvrir la vue grâce au baptême. Le miracle a lieu. Ypolite revient, et demande à son tour à Lorens où se trouve le trésor de Philippe

L. Le-marché and . Ypolite, Dacien fait de nouveau venir Lorens à Gondebaut est furieux. Encore une fois, le conseiller intervient : il ferait mieux de ne pas se mesurer aux Francs, connus pour leur cruauté. Gondebaut cède donc mais ne fait pas porter le trésor aux Francs : il leur appartient de venir le chercher

. Nigomire, Robert en informe Clovis qui lui recommande de bien garder son fils. Le roi demande également à ses sergents d'aller chercher le trésor de Gondebaut

. La-rébellion-de-la-ville-de-melun, Clotilde arrive alors et informe son époux de la mort de Nigomire. Clovis lui reproche d'avoir fait baptiser l'enfant. Clotilde lui rétorque qu'au contraire, elle se réjouit que le Seigneur ait rappelé l'enfant aussi tôt auprès de lui. Aurélien se retire

. Ysabel-va-chercher-la-sage-femme-katherine-par-l'entremise-de-robert, Clovis revient de Melun et rend visite à son épouse. Comme ce nouveau fils ressemble à son père, on le nomme Clodomire. Le nourrisson est cependant malade. Clovis impute de nouveau le mal au baptême qu'il a reçu, mais Clotilde le rassure. Ysabel vient prendre l'enfant pour le mettre dans son lit

, Dieu demande donc à Nostre Dame et à Jehan de descendre sur terre auprès de la reine

. La-cohorte-céleste-exauce-la-reine, La demoiselle s'apprête à retourner vers sa dame mais elle constate que l'enfant rit : il est donc guéri. Elle va annoncer cette bonne nouvelle à la reine

. Aurélien-revient-de, Mais un prévôt vient annoncer que les Saxons et Alamans ont envahi leurs terres

C. La-reine-lui-présente-son-fils-guéri-;-tandis-que-le-roi and . Mahon, Du côté franc, Huchon vient annoncer que les soldats alamans arrivent droit sur eux. Alors les chevaliers se mettent en ordre de bataille. Aurélien dit à Clovis que leurs hommes sont en nombre inférieur et que la seule solution d'espérer la victoire, c'est que Clovis prie le dieu de son épouse. Clovis, avant de céder, demande à Aurélien quelle attitude, lui, compte adopter. Alors Clovis prie Jésus. La bataille continue, mais bientôt le roi alaman meurt

, Connestable et Rousselet ont parcouru plus de trente lieues, sans succès. Sabine révèle alors les propos mystérieux d'Alexis lors de la nuit de noces : il est probablement parti en pèlerinage. Les parents et Sabine se désolent mais résolvent de partager ensemble leur peine, Connestable et Rousselet sont envoyés auprès de ses amis

, De son côté, Alexis arrive à Edesse et se rend au trésor de l'abbaye pour admirer le saint crucifix que Dieu donna à Gabaron, roi d'Edesse. Le sacristain lui montre en échange d'un florin d'or

, Le mendiant s'en va se demandant s'il doit garder ou vendre la robe. Alexis décide d'habiter l'aître de l'église sainte Marie pour honorer la Vierge. Pendant ce temps, Eufémian, Rousselet, Connestable, Musehault et Huchon le Fort parcourent le monde à sa recherche et particulièrement les lieux saints, sans succès. Les pauvres arrivent à l'aître Nostre Dame pour demander l'aumône. Le troisième mendiant remarque un homme à genoux, face contre terre. Le reconnaissant comme l'un des leurs, ils attendent avec lui l'heure. Huchon et Musehault, passant près de l'aître, se proposent d'aller prier la Vierge, car c'est un jour de grand pardon. L'espoir d'y trouver Alexis les gagne. À la sortie de l'église, Huchon donne l'aumône aux trois mendiants qui attendent

L. 'écuyer-essaie-de-donner-l'aumône-À and A. , Deux bourgeois s'apprêtent à le défendre, pensant que le sacristain veut lui causer du tort. Mais celui-ci les rassure et leur dit de louer Alexis, que Dieu appelle auprès de lui. Le religieux fait entrer Alexis dans l'église, et se place derrière lui. Ne voulant pas céder à l'orgueil, Alexis se résout à fuir une nouvelle fois, jusqu'en Tarce. Il rencontre un marin qui accepte de l'emmener. Le voyage en bateau commence, mais un orage survient. Alexis doit débarquer à Rome. Il se présente donc à son père dont il requiert la charité. Eufémian accepte, car il se rappelle que son fils doit connaître le même sort que ce pauvre homme. Mais il ne reconnaît pas Alexis. Eufémian fait installer un grabat et lui sert un repas à table. Alexis refuse tant d'égards. Guiot et Joscet, deux hommes d'Eufémian, maltraitent Alexis. Ils lui reprochent en outre de voler, de boire, de s'adonner à la luxure. Alexis prie pour se donner du courage face à ces oeuvres du diable. Dieu estime que les souffrances d'Alexis ont assez duré. Il dépêche Gabriel auprès de lui pour lui annoncer que le repos éternel l'attend bientôt et qu'il sera délivré du monde. Dieu précise également qu'Alexis doit coucher sa vie par écrit, mais il la refuse, estimant n'en être pas digne. Huchon lui donne de force et repart avec Musehault pour Rome. Alexis remercie Dieu de ne pas l'avoir fait reconnaître et se débarrasse de l'aumône superflue en la donnant aux pauvres

. Pierre, Les cardinaux les rejoignent puis tous disent leurs heures. Un ange descend. Les empereurs sont sous le choc, mais un cardinal les rassure

L. 'ange-demande-d'aller-chercher-«-l'homme-de-dieu, Alexis, de son côté, rend son dernier soupir. Le lendemain, lors de la réunion, le pape s'en remet à Dieu par la prière avec tous les présents pour trouver l'homme désigné par l'ange. Dieu vient chercher l'âme d'Alexis avec la Vierge et les anges avant de regagner le paradis. Michel se rend auprès d'Eufémian à qui il dit d'aller contempler le corps du saint. Le pape annonce la nouvelle aux empereurs. Chez Eufémian, le pape lui reproche d'avoir caché un homme saint. Eufémian s'en défend et interroge Lorens pour en savoir plus. Celui-ci ne sait pas mais évoque l'homme que son maître lui confia par charité : l'homme vit dans le dénuement et il décrit ses habitudes chiches. Eufémian se rend sous les escaliers où vivait le mendiant. Il revient vers le pape et les empereurs pour confirmer qu'il s'agit bien d'un saint. L'homme tient une lettre qu'Eufémian dit ne pas avoir réussi à lui arracher. Archadès demande alors à placer le corps sur un lit richement décoré. Les serviteurs s'attèlent volontiers à la tâche : ils recouvrent le corps Alexis d'un drap d'or puis l'emmènent dans la salle. Honoires réussit à arracher la lettre des mains du saint. Le Pape désigne le premier cardinal pour la lire. Eufémian reconnaît ainsi son fils et se pâme de douleur. Aglais s'évanouit aussi et déplore le manque de pitié de leur fils envers eux. Elle embrasse son enfant et pleure. Sabine, quant à elle, renouvelle son voeu de chasteté en mémoire de son époux devenu saint, Personne, parmi les présents, ne saisit ces propos mystérieux. Tous se donnent rendez-vous le lendemain pour mener l'enquête