. Alemania, Pero necesito que alguno de ellos, el viejo, la pareja, los niños, que alguno me haga una señal, necesito una señal. En ningún momento nadie me ha hecho un gesto. En ningún momento nadie me ha dicho: «Necesito ayuda»

, qui ne cesse de critiquer le fait que Theresienstadt ait été un camp de détenus « privilégiés » 112 et qui va même jusqu'à culpabiliser les juifs de ne pas avoir réagi, de ne pas avoir décidé de crier ou de lui faire un signe qui aurait pu lui ouvrir clairement les yeux, alors que l'on sait très bien que toute tentative de leur part se serait soldée par la mort : C. L. : Est-ce que c'était du théâtre que de vous fuir ? Précisément, ils se sentaient incapables de le jouer

R. Dr, Mais personne n'a essayé de dire quelque chose, personne n'a pris sur lui de dire : « Eh bien, je vais pousser quand même un cri et je vais quand même dire quelque chose

R. Dr and . :-c'était-la-mort-immédiate, Je ne sais pas comment on réagirait, je n'ai jamais été moi-même avec le fusil dans les reins, mais enfin cette passivité est quand même quelque chose qui est très difficile à avaler. C. L. : Vous leur imputez une culpabilité

R. Dr, Non, ce n'est pas à moi de juger, mais un étonnement, oui, certainement, que l'on puisse faire jouer une pièce de théâtre qui comporte plusieurs centaines de personnes

C. L. , Les Juifs étaient les acteurs, mais les metteurs en scène étaient les Allemands. Dr R. : Ah, la question ne se pose pas, pp.73-74, 1997.

, Prominenten", intégrés depuis longtemps à la société allemande, qui n'avaient pas réussi à émigrer ou qui, trop vieux pour recommencer leur vie, avaient renoncé à le faire, voulant se croire protégés par leur statut même (anciens combattants décorés de la Première Guerre mondiale, grand médecins, grands avocats, hauts fonctionnaires et hommes politiques de l'Allemagne pré-hitlérienne, représentants des organisations juives, artistes, intellectuels, etc.) et à qui il était difficile de faire subir immédiatement le "traitement spécial" administré aux Juifs de Pologne, des pays Baltes et d'Union soviétique. [?] La vérité est que ce "ghetto modèle, En avant-propos de la retranscription du dialogue entre lui et Maurice Rossel, Claude Lanzmann dit ceci : « Vidée de ses habitants tchèques, [Theresienstadt] accueillit, de novembre 1941 à avril 1945, les Juifs du Grand Reich (Autriche, protectorat de Bohême-Moravie, Allemagne), ceux qu'on appelait les, pp.9-11, 1997.

. Mouvement-intérieur, . Le, Q. De-boulgakova, . Fait-entrer-du-théâtre-dans-le-théâtre, and . Va-participer-de-cette-Énergie-active-qui-Émane-de-la-scène, Et tandis que le ton employé, ses attitudes et ses gestes théâtralisent un peu plus sa parole, la « voix » épistolaire de Boulgakov se charge, elle aussi, d'une dimension théâtrale plus importante, puisqu'elle se voit influencée par les réactions d'un destinataire maintenant incarné sur la scène (les guillemets qui, typographiquement, servaient à marquer cette « voix » épistolaire ont d'ailleurs disparu) : BULGÁKOVA: Usa tu imaginación. Imagina que soy Stalin. BULGÁKOV: Eres la mujer que amo. ¿Cómo voy a imaginar? ? Pero ella ya está buscando en su cuerpo el de Stalin. Sin convicción, Bulgákov acepta. Está bien, juguemos un rato. Supongamos que eres Stalin. Bugákov escribe. Ella intenta representar ante él las reacciones de Stalin. Tengo ante mí una carta del Comité Central del Teatro. En ella se deniega el permiso de representación a mi obra La Isla Púrpura. Bajo un par de renglones queda sepultado mi trabajo de años. No puedo escribir una palabra más sin preguntarme: cuanto vaya a escribir en el futuro

, Comme l'affirme la didascalie, Boulgakova hésite, cherche la bonne posture, le bon ton. Lorsqu'elle commence à parler, Boulgakov l'interrompt et lui montre comment faire. Il va même jusqu'à reprendre une de ses répliques : « Stalin jamás diría "Ni siquiera su amigo Zamiatin se ha atrevido a tanto, Le jeu entre les deux personnages ne s'installe pas si facilement

. Zam?, Commence alors une sorte de joute verbale entre les deux personnages. C'est l'occasion pour Boulgakov de mettre à l'épreuve sa capacité à convaincre et de travailler son argumentation. C'est d'ailleurs maintenant lui qui hésite, qui se reprend et qui cherche ses mots : BULGÁKOV: No he escrito La Isla Púrpura contra la Revolución, sino precisamente contra el Comité Central del Teatro? El Comité no es la Revolución, Mais ces hésitations initiales laissent rapidement la place à une parole affirmée de la part de Boulgakova : « (Interrumpiéndole.)

, Le tableau se termine dans un mutisme éloquent de la part de l'écrivain. La « voix » véritable de l'artiste semble s'être éteinte au profit d'une « voix » épistolaire complaisante avec le pouvoir : BULGÁKOVA: ¿Otra carta, Mijaíl? ¿Crees que una carta más nos sacará del infierno? No hay respuesta. Bulgákova escribe. Mañana iré al Teatro de Stanislavski. Deben de estar a punto de salir en gira anual por Europa. Les pediré que hagan algo por ti: les pediré que escriban nuestros nombres en la lista de actores que viajarán al extranjero. Son tus amigos. No puede serles indiferente tu suerte. No hay réplica. Bulgákov escribe. ¿No vas a leérmela? No hay respuesta. Bulgákov escribe. Leémela. Te ayudaré. Haré como que soy Stalin. No hay respuesta. Ella lo toca, pero Bulgákov ya no siente sus manos. (152) Stalin calla. Incluso me sería suficiente una semana fuera de la Unión Soviética, Les paroles échangées dans cette conversation deviennent alors une sorte de leitmotiv lancinant, traduisant l'obsession de l'écrivain dont la détresse s'apparente de plus en plus à de la folie

, Necesito salir de la Unión Soviética, aunque sólo sea por una hora. Stalin niega. A cambio, prometo convertirle a usted en mi primer lector. Igual que el zar Nicolás era el primer lector de Pushkin. Una hora

, BULGÁKOV: Sólo unos minutos. ¡Un minuto! ¡Pisar un suelo donde me sienta libre, pp.154-156

, BULGÁKOVA: ¿No me preguntas de dónde vengo? Silencio. Vengo del Teatro de Stanislavski. Silencio. Están preparando su gira anual, Les pedí que añadiesen nuestros nombres. STALIN: (A Bulgákov.) ¿Piensas que consiguió convencerlos? BULGÁKOV: ¿Los convenciste? BULGÁKOVA: Son viejos amigos tuyos. Has escrito cientos de frases para ellos. STALIN: (A Bulgákov

. Ce-phénomène-s'intensifie-dans-le-tableau-suivant, STALIN: ¿No se informó? BULGÁKOV: ¿No te informaste? (A Stalin.) No se informó. (A ella.) Hablaste con él sin saber quién era? [?] BULGÁKOVA: «Al recibir los pasaportes, tendrán que entregar sus carnés de identidad. Eso puede suceder en cualquier momento, en cuanto se suspenda la disposición especial que hay respecto a ustedes. Pero ya es tarde para que lleguen hoy. Vuelva el dieciocho por la mañana»

. Stalin-y-bulgákov:-y-tú-volviste-el-diecinueve, Stalin y Bulgákov escuchan con crecientes risas el relato de la mujer. Ella lucha por la atención de Bulgákov, pp.164-165

L. Dans-le-tableau-neuf and . Le-personnage-de, BULGÁKOV: (A su mujer.) No puedo. STALIN: «Sabes escribir mentiras. Escribe las mentiras que Stalin quiere oír». BULGÁKOV: (A su mujer.) No. (184) lien qu'il semble avoir perdu avec le monde. Lorsqu'elle surgit sur la scène, c'est pour lui apporter des nouvelles de l'extérieur et lui faire part de ses nombreuses tentatives pour obtenir des passeports de sortie du territoire. Boulgakova est un personnage qui a une dynamique contraire à celle du personnage de Staline qui, lui, cherche à entraîner Boulgakov dans une fantasmagorie qui l'isole et qui le coupe de la réalité, Staline envahit la parole des autres personnages s'intensifie encore puisqu'il parle maintenant à la place de Boulgakova : BULGÁKOV: Te dije que no era el camino correcto. Hay que ir directamente a Stalin

. Occupent-l'espace-sur-scène-«-bulgákov-escribe, Stalin se sitúa entre él y ella. » (158)-et dans l'attitude adoptée par l'écrivain-« Bulgákov no quiere seguir oyéndola. Para no oírla, escribe. Ya no la oye, aunque ella todavía mueve la boca. » (159)

, Lo mira fijamente hasta que Bulgákov le muestra unos folios manuscritos. ¿Una novela? ¿La segunda parte de La guardia blanca? (170) la liste : Pausa. Bulgákov no puede disimular su interés por la lista de Lenin. Stalin se la leerá morosamente, jugando con la curiosidad de Bulgákov

, No hay cielo como éste en ningún lugar del mundo. Sé cuánto amas esta ciudad, Mijaíl. ¿Te gustaría entrar en la lista de Lenin?, STALIN: Moscú está preciosa esta tarde

. Stalin-toma-la-pluma-de-bulgákov, «13?». Para romper la tentación, Bulgákov recupera su pluma y vuelve a escribir, pp.161-162

, Staline devient plus autoritaire. Les nombreuses didascalies indiquent qu'il dicte avec une grande fermeté le contenu des lettres que rédige l'écrivain. Boulgakova, elle, lutte avec plus d'efforts et s'inquiète de l'état toujours plus préoccupant de son mari

«. Es-como-si-esta-casa-estuviese-endemoniada, L. Como-si-el-demonio-estuviese-suelto-por, and . Casa, Ces mots vont faire mouche et provoquer chez Boulgakov un sursaut de résistance ou, du moins, vont lui permettre de se libérer un moment de l'emprise du dictateur : BULGÁKOV: (Para sí.) Como si el demonio? Stalin toma la mano de Bulgákov para obligarle a seguir escribiendo. STALIN: Si quiere usted responderme por escrito, ya sabe que mi dirección es: Moscú, Bolshaya Piorgovskaya 35, apartamento 6. Pero si prefiere telefonearme, mi número sigue siendo el 520327. Me haría enormemente feliz reanudar nuestra conversación. Firmado: Mijaíl Bulg? Bulgákov libera su mano y toma papel blanco. BULGÁKOV: (Para sí.) Como si el demonio estuviese suelto por la casa

, Le tableau huit fait entrevoir un espoir de salvation pour Boulgakov qui a temporairement abandonné la rédaction des lettres pour s'adonner à l'écriture d'une nouvelle oeuvre. Staline, qui craint de perdre la main, entre alors dans un jeu de séduction afin de récupérer son emprise et nous montre ainsi toute la complexité de la relation entre l'artiste et le pouvoir. L'artiste semble avoir autant besoin de la reconnaissance du pouvoir que le pouvoir a besoin d

. Perdóname, Es sólo que? Estoy rodeado de incompetentes? Te prometo que mañana mismo me ocuparé de esa nueva obra tuya. Deja que le eche un vistazo. (Abre el manuscrito.) Tu letra ha cambiado mucho durante estos años. Se ha vuelto muy apretada. Hay palabras que no entiendo. Nos estamos haciendo viejos, Mijaíl. Stalin lee en silencio. Bulgákov observa sus reacciones ante el manuscrito. Algunas son positivas; otras resultan más difíciles de interpretar, Bruscamente

, Mais les louanges et les encouragements de Staline cachent en réalité un talent de manipulation par le langage qui fera retomber Boulgakov sous son emprise : « [?] no olvides cuál debe ser, hoy por hoy, tu principal objetivo. (Aleja de Bulgákov el manuscrito y pone ante él la carta. » (178), La fin du tableau montre un Boulgakov en échec : « Bulgákov entierra el manuscrito bajo las cartas

, STALIN: ¿Ha conseguido hacerte creer que tú eres el culpable? ¿Y todavía se atreve a decir que yo te manejo? Te sientes culpable de estar conmigo en lugar de con ella, ¿no es así? Verdaderamente, esta mujer sabe cómo moverte los hilos, Si le tableau huit dramatise la lutte interne de l'écrivain, tiraillé entre la création véritable et le désir d'obtenir la reconnaissance du pouvoir

. Pausa, Éste queda en el aire, como aquél a quien el amante se le evapora entre los brazos, BULGÁKOV: Si al menos volvieras a llamarme? STALIN: ¿Estás intentando sobornarme, Mijaíl? BULGÁKOV: No, no. STALIN: Corromperme. BULGÁKOV: No. STALIN: Corromper a la nación, ¿es eso lo que pretendes? Se aparta bruscamente de Bulgákov, pp.186-187

, debería olvidarse que una sociedad sin disidentes, una sociedad satisfecha, incuba la barbarie. Probablemente, una sociedad sin satírico es ya, sin saberlo, una sociedad de censura, y se prepara a ser una sociedad bárbara. La sátira es difícil hoy, pero también hoy se necesitan satíricos. [?] la lucha contra la barbarie empieza por el gesto crítico hacia la cultura y hacia los que la producen. [Bulgákov y Kraus] trabajan contra el sacrificio del hombre al mito, sea éste la sociedad sin clases o el mercado libre. Ambos parecen monstruos, p.35, 2016.

R. Pero, Le cuesta hablar, está recuperándose del esfuerzo. Da la mano a Claudio. RAFA PADRE: Trabajo en equipo. Compartir información. Repartir responsabilidades. Delegar. Yo te la paso a ti cuando estás bajo el aro, tú me la pasas a mí cuando estoy libre de marca. A las ocho dan en diferido los Grizzlies contra los Clippers. ¿Pido una pizza, Rafa? ¿Te quedas a verlo? Claudio? GERMÁN: (Dejando de leer.) ¿Estás haciendo parodia? CLAUDIO: ¿Parodia? (436) deux niveaux de fictions et contribue à rendre un peu plus floue la limite entre ces derniers : GERMÁN: ¿Escribes lo que has visto o lo transformas? CLAUDIO: No lo pongo todo. No pongo el color del chándal. Me da igual que sea verde o azul. Silencio. GERMÁN: ¿Por qué en presente? ¿Por qué te has pasado al presente? CLAUDIO: Es como estar allí otra vez. Silencio. Germán vuelve a leer. RAFA PADRE: ¿Te quedas a verlo? Claudio? CLAUDIO: Acepto la oferta del hombre del chándal. Una hora después nos reunimos con él en el salón, aunque yo tardo en reconocerlo, ¿por qué tengo que cambiarle el signo? CLAUDIO: Porque lo has pasado al otro lado del igual. RAFA: ¿Y antes? CLAUDIO: Aquí la equis estaba multiplicando. RAFa: ¿Cómo multiplicando? CLAUDIO: Multiplicando al tres. Rafa mira el problema con perplejidad. RAFA PADRE: Tú debes de ser Carlos

A. Claudio and ;. Tu-padre-le-han-puesto-una-multa-de-tráfico, Siempre empieza planteándonos un caso, él lo llama «dilema moral», y luego nos explica el filósofo; Platón, Hegel, lo que toque. Todos quieren convencernos de que enseñan cosas útiles. Todos menos el de Matemáticas. Ése ya nos advirtió el primer día que las Matemáticas no sirven para nada. GERMÁN: Las matemáticas son importantes. También la Filosofía. Aunque ni las Matemáticas ni la Filosofía tengan respuesta para la gran pregunta. CLAUDIO: ¿La gran pregunta? GERMÁN: ¿Tolstói o Dostoievski? Ésa es la gran pregunta, la que resume todas las demás

, la última fila la scène de théâtre apparaîtrait presque comme un espace de jeu où les personnages naviguent d'une situation fictionnelle à une autre

, Par leurs gestes et leurs mots, les personnages sont en quelque sorte les chefs d'orquestre de la représentation, nous faisant passer par exemple de l'établissement scolaire où Germán se réunit avec Claudio à la galerie d'art où Juana tente de sauver son emploi : GERMÁN: No tienes que entregármelo hasta el lunes. ¿No quieres quedártelo y revisarlo? CLAUDIO: Prefiero dárselo ya

D. El-ejercicio-y-se-va and . Silencio, Germán coge el ejercicio y lee. Juana está desmontando una instalación y embalando piezas. Germán llega, deja su cartera y le echa una mano. JUANA: ¿Te parece arte para enfermos? GERMÁN: ¿Arte pare enfermos?

C. , GERMÁN: No se lo voy a enseñar a nadie porque es muy malo. No voy a hacer perder el tiempo a nadie con esto. CLAUDIO: Mejor no se lo enseñe a nadie, si es tan malo. GERMÁN: No se lo voy a enseñar a nadie, pero si alguien lo leyese como una novela? Se echa de menos? Falta incertidumbre, Conflictos. ESTER: ¿Ya se ha ido tu amigo? RAFA: Perdía el autobús. ESTER: Anda, tómate una aceituna

R. Padre, Tu madre y yo apreciamos lo que estás haciendo por ese chico. Cuando podemos ayudar, no debemos perder la ocasión de hacerlo. RAFA: Él también me ayuda

R. Padre, Él te ayuda en Matemáticas y tú a él con la Filosofía. ESTER: ¿Conoces a su familia? RAFA: No sé mucho de él. No habla mucho

R. Padre, Eso no está bien. Di a tus amigos que hablen con él. RAFA: Si es él el que no habla. CLAUDIO: ¿Conflictos? GERMÁN: Un personaje desea algo, pero encuentra problemas para realizar ese deseo. Le salen al paso rivales, pp.445-446

L. Parfois and . Télescopage, exemple suivant, il est fait allusion à l'humiliation qu'a subie le jeune Rafa en classe lorsque Germán a corrigé de manière brutale les erreurs commises au tableau : RAFA: Fue como dejarme en pelotas. Nunca me había sentido tan humillado. CLAUDIO: Concéntrate en esto y olvídate de ese gilipollas. [?] esto es una elipse, por este signo. Vamos a calcular los focos. ¿Qué es lo primero que tenemos que hacer? RAFA: Fue como dejarme en pelotas delante de toda la clase. GERMÁN: Sí que se lo ha tomado mal. CLAUDIO: No debió hacerle eso. Y menos insistir cuando la gente empezó a reírse, se fait non pas par une intrusion soudaine d'un dialogue externe mais par une alternance rapide des sources de paroles

, GERMÁN: Me limité a corregir sus errores sintácticos y conceptuales. RAFA: Me gustaría que se sintiese como yo me sentí. Le daba de hostias. Le daba de hostias y le quemaba el coche. CLAUDIO: No tiene coche, JUANA: ¿Dijiste a Rafa algo desagradable? A veces eres bastante ácido, pp.455-456

E. Dans, Les deux personnages parlent depuis cette situation. Lorsque Germán prend la parole, il s'adresse à Claudio depuis une autre situation, celle de ces moments où ils se réunissent après les cours pour parler littérature et travailler les rédactions. En répondant à son professeur, Claudio se resitue dans ce contexte. Ensuite, Juana prend la parole et fait passer l'action dans le cadre du foyer conjugal, où elle et Germán ont l'habitude de se pencher ensemble sur les écrits, nous sommes d'abord dans la maison des Artola, lors d'une séance de travail où Claudio fait réviser les mathématiques à Rafa

, C'est le cas par exemple lorsque Claudio réagit aux répliques d'autres personnages qui s'expriment depuis une situation qui leur est propre : JUANA: Él es más equilibrado. No entiendo por qué Claudio no abre el ordenador. ¿Qué diferencia hay entre un ordenador, un cajón, una puerta? GERMÁN: ¿Por qué Claudio no abre el ordenador? Claudio no sabe qué contestar. JUANA: ¿No será que?? Lo que, Le télescopage des actions est également perceptible dans certaines didascalies qui impliquent les personnages de telle sorte que les limites entre les différents niveaux disparaissent

, En su punto de vista. Por cierto, ¿ha leído ya el artículo de Rafa? Hemos hecho una apuesta. RAFA: Diez pavos a que no tiene huevos de publicarlo. Germán tiende a Juana La Antorcha abierta por el artículo «La pizarra vacía». JUANA: «La pizarra vacía». Lo lee. Rafa Padre y Ester también se acercan a leerlo. Le hiciste escribir su redacción en la pizarra y fuiste borrando las frases que tenían errores [?] (462) a un aro del que cuelga una redecilla. Sin embargo, eso es lo que hacen, cada sábado por la tarde, C'est le cas aussi lorsque plusieurs personnages se réunissent autour d'un même objet alors qu'ils appartiennent à des situations distinctes. Dans l'extrait suivant, l'article dans leur maison et celui où Juana lit l'article chez elle

, Tiene algo en la piel, ¿no? ¿Qué le pasa a tu viejo en la piel? (Silencio.) Yo a Kant me lo paso por los cojones. Y a Séneca, y a Santo Tomás de Aquino. Yo si un listillo le hace daño a mi padre, le doy de hostias al listillo y al padre del listillo. Ésa es mi filosofía. La filosofía de Rafael Artola. (Silencio.) Bueno, ya está bien de Filosofía. Ahora vamos a repasar los números imaginarios. Última clase del curso: los números imaginarios. Y como se te ocurra mover el culo de esa silla, te comes los apuntes, ¿me has entendido, poeta 136 ? Por fin los he pillado, esos putos números imaginarios. Es como jugar sin balón, Germán, que l'on soupçonne d'avoir délibérément humilié son élève afin d'alimenter le propre récit de Claudio 135

, GERMÁN: ¿Qué te ha pasado en ese ojo? CLAUDIO: ¿Quería verme, pp.468-469

. Dans-la-pièce, les personnages sont affectés par un événement ou par une situation qui engendre en eux des frustrations et qui devient la source de 135 En effet, avant l'incident, Germán fait remarquer à Claudio que Rafa est un personnage sans conflit, qui manque de relief : « [?] se ve que no sabes qué hacer con él. Sí, Claudio, tienes un serio problema con este personaje

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