N. Nativité-de and . Dame, en tout cas, ce que pourrait suggérer la fondation du mois de mars, dans laquelle on peut lire : « Pour Ferri de Void, prévôt de la Madeleine et notre conchanoine » ; il était donc encore vivant à ce moment-là. Ce qui n'était plus le cas lorsque la fondation du mois de septembre a été inscrite dans l'obituaire où on lit : « Pour maître Ferri de Void, autrefois notre conchanoine ». Dans la fondation du mois de juin, il apparaît comme chanoine de Verdun et doyen de Toul, dignité qu'il occupa entre 1334 et 1338. 421 Il avait également acquis une maison, en 1333, mais cette dernière était destinée aux chapelains de Saint-Jacques (AD55, 11F32, p.584

. Il-jouissait-d, une expectative de prébende de cette église depuis novembre 1362 au moins. 657 En 1379, on précise qu'il est maître ès arts et qu'il est étudiant en droit canon « depuis plusieurs années, p.256

. Meuse, indique clairement que son corps reposait dans cette église. 736 D'abord reçu par erreur en 1472, alors que son prédécesseur n'était pas mort, il fut mis en possession d'un

. Diocèse-de-châlons-en-champagne, Peut-être était-il originaire de cette localité ? 829 Collégiale qui se trouvait dans la paroisse de La Mothe-en-Bassigny, p.220

. Fasti and . Châlons-en-champagne, 1162 L'élection d'un nouvel évêque, prévue par le chapitre le 9 janvier 1475 (n.s.), ayant été annulée, suite à l'intervention du Téméraire ? le duc de Bourgogne ? et du pape Sixte IV, le roi de France, Louis XI, ordonna à Raoul Cochinart d'occuper la maison épiscopale et de saisir les sceaux de l'évêque jusqu, ce que Jean de Lenoncourt soit nommé administrateur du diocèse de Verdun (COURTEAULT (Henri), « Quatre lettres inédites de Louis XI, p.202, 1920.

. En-tant-qu, administrateur de l'évêché de Verdun, il résidait alors à Hattonchâtel, comme nous le prouve la lettre qu'il envoya au chapitre le 16 décembre 1482 (Ibid, p.209

. Actuelle-commune-de-nixéville-blercourt and . Dans-le-département-de-la-meuse-et-le-canton-de-souilly, 1202 En 1630, ce bénéfice fut annexé à la chapelle Saint-Martin de la cathédrale de Verdun (Pouillé, t. I, p. 654), ce qui n'est peut-être pas sans lien avec les différentes fondations de notre chanoine ? 1203 En effet, c'est dans son hôtel particulier que fut célébrée la fête du Coq en 1508 et le chapitre lui demanda, en mars 1520 (n.s.), d'inviter à dîner le frère cordelier qui avait prêché en la cathédrale concernant les indulgences, 1204 Sans doute était-il déjà chanoine le 28 janvier 1430 (n.s.), date à laquelle il acheta l'aumusse du chanoine « Ravinel » (AD55, 11F40 Peut-être cet achat pourrait-il trahir une réception peu de temps auparavant, pp.924-1205

J. Gilet, 371) fut mis en possession de son canonicat le 7 novembre 1444. 1206 C'est ce que pourrait indiquer sa succession, un chanoine étant reçu à son canonicat et prébende de Verdun ce jour-là

A. and B. Bmv, 5, f° 111bis r, 142r-v ; ms. 6, f° 154r ; ms. 183, f° 25r ; ms. 892/1, pp.63-64, 1093.

I. Eubel, . Mgh, and X. Ss, DHGE, III, col. 1068-1069 ; Histoire ecclésiastique d'Allemagne, p. 272 ; Clouët, III, pp.528-529

A. Girardot, ce nom de famille pourrait faire correspondre à l'anthroponyme italien « Salimbene

«. Conférence, L. Italie, and . Au-moyen-Âge, ), sans que cela signifie pour autant que notre chanoine était originaire de la péninsule italienne (on sait, en effet, p.11

A. De and G. , 1377 Cité comme tel dans une sentence de l'évêque de Verdun en mars 1446, où il apparaît en tant que notaire apostolique et impérial, il avait sollicité ce bénéfice auprès du pape Eugène IV en octobre 1439, le pape l'ayant chargé d'en déposséder Johannes Mercerii (403), privé de sa cure en raison de son adhésion au concile de Bâle. Probablement en futil donc pourvu dès la fin de l'année 1439 ? 1378 Une supplique, qu'il adressa au pape le 9 septembre 1439, afin d'obtenir un canonicat et prébende de la collégiale Saint-Sauveur de Metz, indique qu'il possédait alors des bénéfices au sein des diocèses de Châlons-en-Chamapagne et de Verdun ; peut-être possédait-il donc déjà cette chapellenie en la cathédrale de Verdun ? 1379 Cette date pourrait suggérer qu'il résigna sa chapellenie afin d, p.1400

. Peut-Être-ponton, écart de la commune de Dieue-sur-Meuse (Dictionnaire topographique Meuse, ou plutôt Pontoux, p.181

. Ancienne-commune-dépendant-aujourd-'hui-de-celle-de-saulx-lès-champlon, 1405 BMV, ms. 6, f° 256v. 1406 Déjà chanoine de Verdun en 1316, il est désigné comme prébendé de la cathédrale en 1319. 1407 Probablement n'était-il plus chanoine de la cathédrale au moment de sa mort, son canonicat n'étant pas mentionné au sein de son obit. Si cette absence pourrait s'expliquer par la possession de bénéfices verdunois plus prestigieux (archidiaconé d'Argonne), on remarquera que le pape le pourvut de nouveau d'un canonicat avec expectative de prébende de la cathédrale le 20 décembre 1326, ce qui suppose qu'il avait peut-être résigné ou permuté son précédent canonicat ?

D. Barrati, fut reçu à son canonicat et prébende avant le 5 août 1478, date à laquelle on évoque les charités à distribuer aux chanoines présents lors de sa réception. 1422 Sans doute est-il mort à la fin du mois de juillet, sa maison ayant été vendue à Jean Neulin (398) le 25 juillet 1478 ? 1423 Nous n'avons pas réussi à identifier cette localité. Peut-être s'agit-il de la commune de Norroy-le-Sec

. Pourvu, il était désigné comme chanoine de Verdun dans une lettre du pape Jean XXII en novembre 1330. 1426 L'épitaphier du chanoine Guédon indique la date du 28 octobre 1249, mais il y a une erreur dans le siècle, Jean de Saint-Mihiel ayant vécut dans la première moitié du XIV e siècle et étant mort en 1349. C'est, en effet, ce qu'indiquent les sources pontificales dans lesquelles il apparaît et ce que suggèrent également la proximité et la ressemblance de son monument funéraire avec celui d, mort le 19 septembre 1349. L'abbé Robinet, qui cite sa tombe dans le cloître, p.90, 1325.

. Le-chapitre,-non-content-de-lui-refuser-les-Émoluments and . Qu, il lui avait promis, exigea que Jean Thevenon rembourse les sommes qui avaient déjà été avancées. Mais, considérant qu'il avait été emprisonné en se rendant à Bâle, et « par grace et amittie et non autrement, le chapitre revint sur sa décision et lui accorda six florins du Rhin, en plus des vingt qu'il avait déjà reçus avec Petrus le Fievey

J. Suite-aux-protestations-du-chapitre and . Thevenon-fut-rapidement-libéré, mais Jean Thirion, sa femme et sa fille restèrent en prison. 1460 C'est, en effet, ce que pourrait suggérer une conclusion capitulaire du 4 novembre 1467, au sein de laquelle on peut lire : « Aujourdui messire Jehan Bouchie a apporté un seaulx de cuivre ou estoit l'image de Notre Dame et autour estoit Sigillum Ecclesiae ad Causas Capituli Ecclesiae Virdunensis lequel il a trouvé en lostel de feu messire Aucune des fonctions que nous lui connaissons ne semble justifier la possession de ce sceau ; aurait-il été official ou secrétaire du chapitre ?, p.178

M. Hugo-de-wineraige, fut reçu à son canonicat et prébende dès le 24 juillet 1499. 1463 D'après son épitaphe, mais on ne sait pas quel rôle il occupait dans la gestion de cette seigneurie, ni s'il partageait ce titre avec l'un ou l'autre de ses parents. Sans doute s'agit-il de Marchéville-en-Woëvre (voir liste des toponymes cidessus ), chef-lieu d'une seigneurie acquise vers 1400, p.141

L. I. Du-barrois and N. , mais rien ne permet de savoir si notre chanoine en faisait ou non partie. 1485 Il est étonnant qu'on ne trouve aucune trace de ce chanoine dans les sources capitulaires, pourtant abondantes à partir de la fin des années 1420. Peut-être le chanoine Guédon s'est-il donc trompé en relevant l'épitaphe de ce chanoine, p.808, 1758.

. Peut-Être-dombasle-en-argonne and . Hui-dans-le-département-de-la, Meuse et le canton de Clermont-en-Argonne ? 1489 Peut-être s'agit-il du même que Jean de Véel, chanoine prébendé de la collégiale Saint-Maxe de Bar en 1356 et chanoine de la collégiale Sainte-Marie-Madeleine de Verdun en 1367 (Étienne Fourier de Bacourt) ? 1490 Son premier anniversaire, Gilles de Bourmont, doyen de Saint-Maxe de Bar, et son testament (1344) », Bulletin mensuel des Sociétés des Lettres, Sciences et Arts de Bar-le-Duc et Commercy, p.115, 1914.

J. 1491-on-trouve-un-certain and . Waltrini, clerc du diocèse de Trèves, qui sollicite une dispense au pape Innocent VIII (1484-1492) pour la possession de plusieurs bénéfices dont un avec cure, ce dernier ayant été promu au rang de prêtre malgré une naissance illégitime (Repertorium Poenitentiariae Germanicum, VII, n° 4072). Toutefois, rien ne permet de faire le lien avec notre chanoine. 1492 Fut reçu à la prébende vacante par la

«. La-vigne-du and J. Wautret, située « derrière Saint-Airy » est encore évoquée en 1333 (a.s.) (Archives hospitalières de

R. Peut-Être-s-'agit-il-du-même-que and . Goutiet, pour lequel le duc de Lorraine avait réclamé une prébende ? qui lui avait été promise par le chapitre ? en juin 1489 (AD55, 11F40, p. 346) et qui entra en premier stage dès juin 1490 ? 1515 Reçu à un canonicat de la cathédrale avant le 6 septembre 1490, date à laquelle on évoque les charités à faire aux chanoines présents lors de la réception de « Mr Leufay ». 1516 Nous n'avons pas réussi à identifier ce personnage et ne pouvons donc pas préciser quel rôle il occupait au sein de la chapelle de René II, duc de Lorraine et de Bar. Sans doute ce dernier avait-il intercédé en sa faveur auprès du chapitre pour l'obtention d'un canonicat et d'une prébende de Verdun ? 1517 Attesté comme archidiacre de la Rivière en 1363

S. Guilbert-indique and . Qu, il y eut litiges, en 1405-1406, concernant son décanat ainsi que son canonicat et prébende de la cathédrale de Châlons-en-Champagne

L. Apparemment and . Franciscains, Quoi qu'il en soit, Jean-Vincent Jourd'heuil souligne la « similitude frappante » qui existe entre cette fondation et celle qu'il fit à Cherrey en 1399 ; « L'érémitisme et la vie régulière parfaite que Louis pensait avoir trouvé chez les Hiéronymites coïncide exactement avec les premières expériences d'Observance franciscaine en France, Jean-Vincent Jourd'heuil, « L'unique monastère hiéronymite du royaume de France : Notre-Dame de Cherrey (?) », op. cit.), 1430.

M. Parisse and . Qu, Toutefois, on peut en douter En effet, Milo d'Escordai était sous-diacre et il aurait donc pu participer à cette élection épiscopale. Si l'on pourrait imaginer qu'il était absent du chapitre à ce moment-là, on remarquera que son nom ne figure pas non plus dans l'état des maisons des chanoines en décembre 1243 et que son obit est inscrit de première main dans l'obituaire de la cathédrale, ce qui suppose qu'il mourut avant 1245. 1564 BMV, ms. 5, f° 98r. 1565 C'est ce que pourrait suggérer l'importante donation qu'il fit à la collégiale en 1234, pp.1245-1246

C. Le and . Pognon, 152), cette dîme fut vendue à notre chanoine en 1229 par Gautier de Sommaine (« Galterus de Sommarne »), ce dernier précisant qu'il en détenait une partie de Richerus Crucesignatus et de sa soeur (BMV, ms. 5, f° 89bis v). Or, la charte de 1234 précise que Milon acheta cette dîme à dame Puternia et à ses héritiers (Ibid., f° 101v) ; il s'agit de dame Puternee de Samogneux, p.95

. Malheureusement, rien ne nous permet de savoir s'il s'agit de notre chanoine. 1568 Sans doute l'abbaye cistercienne de Villers-la-Ville, actuellement en Belgique, dans la province du Brabant wallon. (551), dans l'obit duquel il figure (BMV, ms. 5, f° 138r ; ms. 6, f° 110v) ? 1570 C'est, en tout cas, ce que suggère sa pierre tombale

J. Bidelli-ou-À-un-autre-chanoine-ayant-porté-ce-nom-de-famille, 1575 C'est, en effet, ce que suggère une conclusion capitulaire de cette date, évoquant l'achat d'une aumusse par « M r Bidault » (Ibid, Or, on ne connaît aucun autre chanoine portant ce nom à cette époque. 1576 Fut reçu par procureur au canonicat de Waltrinus de Naves (738) le 10 décembre 1498. 1577 Reçu en août 1488, il résigna ses bénéfices de la cathédrale de Besançon avant le 10 mai 1497 et ne semble jamais avoir résidé en cette ville, p.926

1. Alors-quad55, le chapitre refusa d'accéder à sa requête, indiquant qu'il était « incapable de posséder ce bénéfice On ne sait pas à quel défaut ou à quel statut capitulaire pouvait faire référence le chapitre, mais Nicolas Buevini fut reçu quelques jours plus tard, le 6 février 1456 (n.s.), au canonicat vacant par la mort du cardinal Guillaume Huin (196) en vertu de lettres pontificales. Quoi qu'il en soit, il ne figure pas dans le dossier de l'élection épiscopale de Guillaume de Haraucourt (194) en octobre 1456 et peut-être ne fut-il pourvu d'une prébende qu'en 1457, date à laquelle il entra en premier stage ? 1579 Une conclusion capitulaire du 20 mai 1513 évoque des héritages à Morgemoulin pour l'anniversaire de « M r Nicole Buefvin » mais on ne peut savoir s'il s'agit bien de lui ou d'un homonyme, ni s'il s, pp.1456-599

S. La-chancellerie-apostolique-ne-semblait-pas-connaître-avec-précision-le-titulaire-légitime-de-la-chantrerie-de-verdun, il semble bien que le chapitre cathédral avait reconnu Nicolas Gilquin comme chantre depuis 1435 au moins En effet, une conclusion capitulaire du 30 juillet 1435 indique : « receuez certainnes (sic) lettres de monseigneur le chantre Or, on sait que Nicolas Gilquin était clerc des cérémonies du pape, ce qui ne semble jamais avoir été le cas de Nicolaus de Forlivio. 1589 En effet, il demanda à obtenir le sous-diaconat et le diaconat dans une supplique de 1432, ce qui suppose donc qu'il n'était encore pas dans les ordres majeurs lorsqu'il possédait ses bénéfices verdunois, clerc des cerimonies et cetera (?) » (AD55, 11F34, f° 13r 1590 Peut-être fut-il reçu à un canonicat entre 1486 et 1490 au plus tard, car il figure entre Guido le Bouhourdère (187) et François Walteri (143) dans une liste de chanoines en 1508 ? Les sources de cette période sont d'ailleurs très lacunaires concernant les réceptions aux canonicats de la cathédrale (AD55, 11F40, pp.607-608

D. Nicolaus, . Daix, D. Dechs, and E. De, ESCH) chanoine, ?-146. 1607 , puis ? 1466 1608 -? a) Né vers 1414 1609, p.1610, 1464.

. Noble-;-originaire-de-metz and . Membre, Avait au moins un frère, qui réalisa un pèlerinage en Terre Sainte e) Chanoine de Metz, 1428-1454 ? ; Trésorier de la cathédrale de Metz, 1435 (élection)- 1477 ; Chanoine de collégiale Saint-Thiébaut de Metz, ? 1436 ? f) Étudiant à l'université d'Heidelberg à partir de 1429, il obtint la maîtrise ès arts le 29 janvier 1432, avant de rejoindre la faculté de droit de l'université de Cologne en 1437, puis l'université de Pavie en 1438

A. , 1. Ad57, G. Germanicum, and V. , VIII, n° 1647, 4443 ; Repertorium Academicum Germanicum, n° 2147113093 ; PROST (Auguste), Notice sur la collection des manuscrits de la Bibliothèque de Metz, Paris, 1877, p. LI, LII n. 2, LV n. 1, CXXXIII-CXXXIV ; Tribout de Morembert, Clergé Metz 1445, p. 101 ; Parisse, Université, p. 33 ; FAIVRE d'ARCIER (Louis), Histoire et géographie d'un mythe, pp.602-71, 2006.

A. Girardot, ce personnage ? comme Nicolas et Warin Monnin (743) ? serait le fils de Simonin dit Monin (de La Porte) et de Florette dite Comère. Son surnom, différent de celui de ses deux frères, lui venait peut-être de sa femme ou de biens qu'il avait acquis à « Paroie » (peut-être « Parois », ancienne commune aujourd'hui rattachée à celle de Clermont-en-Argonne

M. Guillaume-de, qui fut chantre jusqu'en 1271 au moins, et Guillaume d'Argenteuil (192), qui est mentionné pour la première fois en cette qualité en 1292 ?, Résigne sa charge épiscopale dans les mains du pape Clément V, qui nomme alors Henri d'Apremont (216), en juin 1312, 1686.

A. Girardot-parle-clairement-de-cécité, mais on peut seulement lire « maculam, quam in oculorum altero ? » au sein des registres pontificaux. Peut-être Nicolas de Neuville avait-il simplement une tâche dans les yeux, entamant partiellement sa vision, ou encore souffrait-il de cataracte ? 1688 C'est peut-être lui le « messire Philippe », condamné au crochet en septembre 1485 et que le chapitre décide de priver d'un franchard de froment par semaine, commis par le chapitre « pour exercer son office tant qu'il serat au crochet ») (AD55, 11F34, f° 115r) ? (AD55, 11F40, pp.889-923

. Sa-maison,-située-dans-le-châtel, On peut supposer qu'il possédait cette maison avant d'accéder à un canonicat de la cathédrale, alors qu'il n'était que curé de la paroisse Saint-Médard de Verdun ? Quoi qu'il en soit, la conclusion capitulaire précise qu'un autre chanoine résisait alors en cette maison. 1692 Sans doute la paroisse Saint-Médard de Verdun, dont il était le curé, possédait-elle une relique de ce saint ? 1693 Selon plusieurs auteurs, il aurait succédé à Bertrand de Germiny (57), donc peut-être futil doyen dès 1401 ? 1694 Selon la date indiquée par la Gallia Christiana, sans qu'on sache si celle-ci est donnée en ancien style ou en nouveau style. 1695 Pourvu d'un canonicat et prébende de la cathédrale en 1360 au plus tôt, date à laquelle Yolandre de Flandre ? comtesse de Bar ? et son fils en avril 1369 (L.C. Urbain V, n° 24579)

À. Madeleine, élection de leur prévôt, intentèrent un procès en cour de Rome. C'est finalement leur candidat, Nicolaus Prioris de Savoneriis, dont l'élection avait déjà été confirmée par l'évêque de Verdun Jean de Bourbon

E. Jacobus-de, tandis que c'est Henri Jacquemin de Failleyo (225) qui lui succéda à la chancellerie le 12 février de la même année. 1741 Reçu par le chapitre le 7 novembre 1449 en vertu d'une permutation faite contre sa chapellenie de Saint-Richard en l'abbaye Saint-Vanne de Verdun. 1742 C'est ce que suggère la possession d'une chapellenie, 1455.

J. Esderne, 363) fut reçu à son canonicat et prébende de Verdun le 18 mars 1445 (a.s.)

. Ayant-refusé-de-faire-amende and . Le-tableau, On peut donc supposer qu'il fut « suspendu au crochet » ? selon l'expression généralement utilisée dans les sources locales ?, c'est-à-dire que son nom et sa faute furent probablement affichés et rendus publics dans la cathédrale. 1791 On trouve un certain Petrus Henrici de Donovillari ayant résigné son église paroissiale d'Aulnoy (Alneto) avant le 4 mars 1445 (Repertorium Germanicum, V, n° 2142), mais rien ne nous permet de savoir s'il s

J. Pietti, 1794 Nommé le 18 mars 1453 (a.s.) par le chapitre cathédral à l'écolâtrerie, sur recommandation de l'évêque de Verdun. 1795 Encore simple clerc, il reçut, le 17 décembre 1436, des lettres dimissoires du chapitre pour recevoir l'ensemble des ordres sacrés, mais on ne sait pas quand il fut ordonné prêtre. 1796 Nommé par Jean Artuson (324), chanoine quaternier, et mis en possession d'une aumônerie de la cathédrale ? vacante par la résignation de Simon Ponsard (689) ? le 9 septembre 1446. 1797 Il résigna sa chapellenie de Saint-Laurent avant le 2 juin 1447, date à laquelle Henricus Boghartis, clerc du diocèse de Liège, lui succéda (AD55, 11F34, f° 111r Sans doute résigna-t-il ce bénéfice afin de jouir pleinement de son canonicat de la cathédrale, auquel il avait été nommé le 26 mai 1447. f) Maître ès arts, il intégra la faculté de médecine de l'université de Paris vers 1397, p.791

H. George-de, (n.s.) sur nomination du chanoine tournaire, mais Pierre Valtrini en revendiqua la possession le 5 mars 1523 (a.s.) (AD55, 11F40, p.591
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/in2p3-01326320

. Cette-table-d, autel est déjà évoquée dans une conclusion capitulaire de décembre 1510, mais il fallut sans doute le temps de la réaliser et le chapitre exigea quelques aménagements avant de l'installer. 1832 Les quelques mots précédant ce nom (ou prénom ?) ont disparu et l'on ne peut donc pas savoir qui était « Simonet, ni quelles étaient exactement ses fonctions auprès de Petrus Romanus

. Ce-bénéfice-est-mentionné-au-sein, qui confirmait plusieurs possessions appartenant à la collégiale Sainte-Marie-Madeleine de Verdun Ce document, agrémenté d'une très belle représentation peinte du Noli me tangere, a été acquis le 25 juin 2011 à l'occasion d'une vente chez Millon&Associés à Paris (www.millon-associes.com), Diplomatics, coll. « Primer » (n° 7), s.l, pp.12-13, 2015.

S. Originaire-de, au diocèse de Châlons-en-Champagne e) Doyen de la collégiale de Clisson, au diocèse de Nantes, ? 1435 ? ; Chanoine de Châlons-en-Champagne avec demi-prébende, pp.1441-1471

. Doyen-de-châlons-en-champagne, Chapelain de Sainte-Walburge à Verdun, ? 1442 ? ; Chantre de Châlons-en-Champagne, pp.1441-1445, 1836.

S. Guilbert-indique and . Qu, il était réputé centenaire, qu'il aurait connu six évêques de Châlons-en-Champagne et treize papes (Fasti, Châlons-en-Champagne, n° 664) Petrus de Soppia étant mort en 1471, on peut donc supposer qu'il naquit vers 1371, Permuta ce bénéfice avec Petrus Clare contre le chantrerie de la cathédrale de Châlons-en-Champagne, 1836.

. Une-supplique-qu, il envoya au pape en janvier 1433, afin d'obtenir une dispense pour défaut d'âge, semble indiquer qu'il n'avait alors que 22 ans et l'on pourrait donc penser qu

. Bouyer-indiquent-qu, il serait né vers 1405 (Fasti, Toul, n° 560) et le Repertorium Academicum Germanicum situe sa naissance en 1406. C'est probablement l'une de ces deux dates qu'il faut retenir, notre chanoine possédant certains bénéfices dès 1416 et étant immatriculé à l'université d'Heidelberg en, pp.1425-1426

T. Gallia and . Xiii, Instrumenta, col. 575 ; Pouillé, t. I, p. 82 ; Aimond, Nécrologe, p. 158), cité comme maître des écoles en 1176 (BMV, ms, pp.751-121

«. P. Une-charte-du-cartulaire-de-la-cathédrale-indique-un-certain and . Decano, mais il y a probablement une erreur dans la datation de ce texte En effet, on peut lire à la fin : « indictio tertia ». Or, l'année 1180 est la 13 e du cycle de l'indiction romaine. Peut-être faudrait-il donc plutôt dater cette charte de 1185, qui correspond à la 3 e année de l'indiction (Giry, p. 196), mais aussi à la date de première attestation de Pontius comme doyen de la cathédrale ? 1867 Cité en cette qualité dans une charte du cartulaire de l'abbaye Saint-Airy de Verdun, dont la date de rédaction se situe entre 1191 et 1208 (Girardot, Notes « Catalogue cartulaire Saint-Airy, on peut assurer qu'il fut chancelier de Verdun avant 1201, date à laquelle Theodericus (703) était déjà pourvu de cette dignité. 1868 Cité comme tel en 1385 par Johannes de Austria dans le cadre de l'affaire qui opposait l'université de Paris au chancelier de cette ville, Jean Blanchart, Pontius était déjà mort à cette date (Et pari modo fuit de quodam scolari magistri Poncii cantoris Verdunensis ?). On peut supposer qu'il fut chantre de la cathédrale de Verdun au cours du troisième quart du XIV e siècle, p.1180

. Payer-la-taille, Peut-être était-il parent de Gerardus Morini de Mogria (167), reçu vers 1441, date à laquelle Raoul Morin figurait parmi les chanoines tournaires ? f) ? 1888

. Fidéjusseur-de-petrus-de-soppia, 603) lors de son entrée en premier stage en juin 1437 ; En 1445, alors que Jean Thierion, verger de la cathédrale, son parent, s'était réfugié en sa maison canoniale, les gens de la Cité de Verdun en fracturèrent les portes pour capturer l'officier de la cathédrale qui fut mis en prison ; La sentence prononcée par l'évêque

G. Fillastre-contre-les-magistrats-de-la-cité, le 5 mars 1446, précise que sa maison était contiguë au cloître et à la cathédrale 1889, pp.27-1448

. Archevêque-de-lyon, Maître g) Élu par une partie du chapitre à l'évêché de Verdun en 1278, après la mort de Gérard de Grandson (164), il fut opposé au frère de ce dernier, Henri (224), qui reçut également quelques sufffrages de la part des chanoines ; L'affaire, portée en cour pontificale, dura jusqu'en 1284, date à laquelle Raoul de Thourotte abdiqua ses droits dans les mains du pape Martin IV, pp.1284-1288

R. Martin and I. , Histoire de l'Église de Lyon, Lyon, 1770, p. 229, 275 ; Clouët, II, p. 492 ; Pouillé, t. I, p. 23, 90, Conciles et bullaire du diocèse de Lyon, des origines à la réunion du Lyonnais à la France en 1312, pp.507-508, 1905.

. Chanoine-de-la-collégiale-sainte-waudru-de-mons and . Au-diocèse-de-cambrai, ? 1342 ? ; Chanoine de Paris f) Maître ; Licencié en droit civil depuis 1342 au moins g) Une supplique, envoyée au pape en novembre 1344, indique qu'une chapellenie (de Sainte-Marie-Saint-Lambert-et-Saint-Blaise) était établie dans sa maison « claustrale » à Liége ; Soutenu par le roi de France pour l'élection au siège épiscopal de Liège en 1364

. Suppl and V. Clément, XIV n. 6, n° 175, 762 ; L.C.P.C. Clément VI, n° 663, La fonction épiscopale à Liège aux XIII e et XIV e siècles, pp.350-188, 1998.

. Fut-Élevé-en-l-'abbaye-saint-arnould-de-metz, Sceau personnel (1300) encore conservé ; Administrateur du comté de Bar jusqu'au début de l'année 1303, au moment de sa consécration épiscopale ; On possède toujours à Verdun le premier volume d'un somptueux bréviaire (inachevé) qu'il fit, 1909.

I. Eubel, Renaud de Bar était toujours qualifié d'electus en mars 1303 (Sauerland I, n° 74) et ne fut consacré que vers le mois de juin suivant (Fasti, Besançon, n° 333 ; ce que nous a également confirmé Kévin Schneider, doctorant en histoire médiévale à l, p.338

. Peut-Être-renaud-de-bar-conserva, année 1303 ? On remarque d'ailleurs qu'il conserva son canonicat, sa prébende et son archidiaconé de Besançon jusqu'au 6 novembre 1303. 1908 Son tombeau, redécouvert en 1521, contenait le corps du défunt, richement vêtu et mitré, ainsi que plusieurs objets, dont un petit calice et des anneaux en métal précieux. 1909 Concernant ce manuscrit, on renverra notamment à l'étude d'Alison Stones, Les manuscrits de Renaud de Bar », L'écrit et le livre peint en Lorraine, de Saint-Mihiel à Verdun (IX e -XVI e siècles). Actes du colloque de Saint-Mihiel, pp.25-26

. Toul, (permutation) ; Official de Verdun, ? 1407 ? ; Chanoine de Reims, 1407-?, puis 1414-1421, pp.1402-1418

. Toul, . Frantzwa, and . Metz, Colignon Chaudeney, se présenta en chapitre le 27 décembre 1457 pour faire valoir les droits de son fils, mais la décision fut remise au 9 janvier suivant. Le canonicat de Gérard Milet ne fut accordé à aucun des deux prétendants, mais à Louis Wichart, un autre fils de Colignon Chaudeney, « en consequence dune resignation faite des le 8 e mars 1455 » dit le chapitre. Pourtant, c'est bien Richard Wichard qui entra en premier stage en juin 1458 et non son frère. La seule mention postérieure de Louis Wichard est celle de sa réception comme écuyer du chapitre, un office laïque de la cathédrale (AD55, 11F40, pp.369-739

À. Il-succéda and . Th, entre le 13 avril 1223 et le 27 septembre de la même année (Regesta Honorii Papae III

J. Evrard, 129 n. 6), l'indique comme archidiacre de la Woëvre dès 1216, mais il s'agit d'une erreur. On notera d'ailleurs que R. de Porta est simplement qualifié de prêtre et chanoine dans une charte de juillet 1217 (BMV, ms. 5, f° 163v), ce qui confirme qu'il n'était pas encore dignitaire à cette date. 1957 Encore attesté comme archidiacre de la Woëvre en 1229, il le fut peut-être jusqu'en 1234, date à laquelle une bulle du pape Innocent III évoque le conflit qui l'opposait alors à Richard de Ellons

. Qu-'indique-alain and . Girardot, Ce qui semble d'ailleurs très probable puisqu'il fut choisi comme

L. Porte-n-'était-autre-que-le-neveu-de-godefroid, doyen de la cathédrale. 1960 D'après ce qu'indique sa notice obituaire dans le nécrologe de cette abbaye. 1961 Voir l'article posthume à paraître dans le Bulletin des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie de la Meuse sur cette famille, Sans doute ce nom de famille fait-il référence à la localité de Prény, 1962.

L. Chon and S. Neveu, Ancemont est encore cité comme chanoine de Verdun dans un aveu et dénombrement qu'il rendit le 8 octobre 1510 (Chantilly, Musée Condé, Archives du Clermontois, 1-E-007, « Froidos ») et l'on peut donc supposer qu'il conserva son canonicat par la suite, peut-être jusqu'à sa mort ? 1966 La conclusion capitulaire de son entrée en premier stage précise que, comme les deux autres chanoines prêtres se présentant avec lui en juin 1484, il ne touchera qu'un demi gros de prébende pendant cinq ans et qu, Lavallée, 1967.

. Abbaye-) and . Au-diocèse-de-reims, dont était originaire notre chanoine ? 1969 Pourvu par le pape Grégoire X le 22 septembre 1272 du canonicat et de la prébende vacants par

X. Le-pape-jean and . Conféra-son-canonicat-et-prébende-de-verdun, vacants par sa promotion à un canonicat de Laon, à maître Jean, recteur de l'église paroissiale de Saint-Mihiel, au diocèse de Verdun, le 30 avril 1277. Toutefois, on sait que AD55, 2G4 ; BMV, ms. 5, f° 4v, pp.161-183

. Bnf, f° 43r ; Eubel I, p. 502 n. 4 ; A. D. Thiéry, Histoire de la ville de Toul et de ses évêques, Paris, 1841, p. 238-240 ; Clouët II, p. 482 n. 2 ; Parisse, Clergé, pp.44-88

N. Aimond, et n. 5 ; Parisse, Clergé, p. 42 ; Noblesse et chevalerie, pp.34-257

D. Girardot, et n. 2 ; Fasti, p.847

V. Toul, Cathédrale », Congrès archéologique de France, XCVI e session et n. 1. jusqu'en 1506. On ne connaît en tout cas aucun chanoine dont le prénom commence par un V (ou un W) ayant comme nom de famille Henrici, Jacobus Librardi fut reçu au canonicat vacant par sa mort le 25 septembre 1506, p.230, 1933.

. Peut-Être, Ancerville), qui dépendait du diocèse de Toul (Dictionnaire topographique Meuse, p. 144) ? 1989 On notera qu'aucune mention obituaire ne semble lui avoir été consacrée dans l'obituaire de la cathédrale de Verdun, D'après les informations que nous a aimablement transmises Amandine Le Roux, que nous remercions, 1990.

J. Madignier, Alain Girardot indique qu'il serait mort seulement en 1326 (Droit, p. 92 n. 7), mais il s'agit probablement d'une erreur. En effet, l'auteur se fonde sur le mandement donné par le pape Jean XXII le 19 mai 1326 à plusieurs évêques pour que ces derniers confèrent à Guillaume Pinchon (801) le canonicat et la prébende vacants par la mort de Samson de Chaumont (Sauerland I, n° 495, Or, cela ne signifie pas forcément que ce dernier était mort en 1326, cette date constituant seulement un terminus ante quem

. Actuelle-commune-de-santiago-de-compostela, Saint-Jacques-de-Compostelle : voir liste des toponymes ci-dessus)

. Pourvu-du-canonicat-et-de-la-prébende-vacants-par-la-mort-de-nicolas-de-lenoncourt, en mars 1351, on ne sait pas s'il fut effectivement reçu comme chanoine par le chapitre ni à quelle date On peut cependant remarquer qu'à la mort de Conrad d'Avocourt, le 23 février 1354, il ne reçut que sa chantrerie, la prébende de ce dernier ayant été accordée à un autre, Johannes Masculi (398) Cela signifie donc peut-être qu'il était déjà chanoine prébendé de la cathédrale lorsqu'il reçut la chantrerie en 1354 ? Quoi qu'il en soit, Étienne Chevalier n'est qualifié de chanoine ni dans son épitaphe ni dans son obit, Pourvu le 23 février 1354 de la chantrerie vacante par la mort de Conrardus de Avocourt (85), on ne sait pas quand il fut reçu par le chapitre à cette dignité, 2003.

. Peut-Être-ce-nom and . Fait, Ugny-sur-Meuse, aujourd'hui situé dans le département de la Meuse et le canton de Vaucouleurs, mais qui se trouvait auparavant dans le diocèse de Toul et l'archidiaconé de Ligny ? 2008 Peut-être s'agissait-il de la même maison que celle évoquée dans une charte de 1257, Gincrey, issue.295, 2009.

. Actuelle-commune-d, Harréville-les-Chanteurs (voir liste des toponymes ci-dessus) Prieuré qui dépendait de l'abbaye de Saint-Mihiel

. Peut-Être, aujourd'hui dans le département de la Haute-Marne et le canton de Poissons ? 2019 On trouve un Simon Bellegrée, maître-échevin de la Cité de Metz en 1218, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Marne mais rien ne permet de savoir s'il avait des liens de parenté avec notre chanoine, p.40, 1903.

. Chanoine-de-la-collégiale-sainte-marie-madeleine-de-verdun, Un accord de 1348, passé entre les citains de Verdun et les deux principaux chapitres de la ville, mentionne le jardin que possédait alors Simonin Roland, apparemment dans le quartier cathédral 2047 ; Légua au chapitre tout ce qu'il possédait sur les péages de la ville de Verdun, à prendre quinze jours avant et quinze jours après la fête de la Nativité de Notre-Dame (date d'une des principales foires de la ville), pour la fondation de son anniversaire AD55, 11F32, p. 213 ; 11F90, n° 69 ; BMV, ms. 6, f° 278v ; ms. 756, 1333 2046 ? g) En 1333 271v ; L.C. Jean XXII, n° 18217 ; L.C. Benoît XII, n° 4313 ; J.P. Kirsch, Päpstliche Kollektorien in Deutschland, pp.11-13

W. Symon, 2048 ? a) Obit au 23 décembre d) ? 2049 g) Légua sa maison au chapitre BMV, ms. 6, f° 306v 694, pp.1243-1251, 2050.

. Malheureusement, on ne sait pas sur quelles sources se fonde l'auteur et l'on ne peut donc pas savoir s'il a extrapolé les initiales « Th. » ? comme nous les retrouvons partout ailleurs dans les sources ? ou s'il a réellement lu le prénom Theodericus en entier, Robertus de Porta (659), accéda à l'archidiaconé de la Woëvre entre le 13 avril 1223 et le 27

I. Frère-d-'henri and . Comte-de-bar, Beau-frère d'Aliénor d'Angleterre, fille du roi Édouard I er e) Trésorier de la cathédrale d'Évreux, ? 1292-1297 ? ; Chanoine de cette même cathédrale, et de Thomas de Blâmont (719), pp.1282-1291, 2058.

. Études-À-bar-le-duc-jusqu, Sceau personnel (1292) encore conservé aujourd'hui ; Élu par une partie du chapitre à l'évêché de Metz en novembre 1296 (face à Ferry, évêque d'Orléans et fils du duc de Lorraine), il abdiqua ses droits dans les mains du pape Boniface VIII en avril 1297 ; En 1302, il fut désigné ? avec trois autres ? comme régent du comté de Bar par son frère, Henri III de Bar ; Élu à l'évêché de Liège en mars 1303, il fut retenu à Rome en raison de ses dettes et ne fit son entrée dans la ville qu'en novembre de la même année ; C'est lui qui célébra la messe du couronnement d'Henri VII

. Résigna-son-canonicat-et-prébende-de-verdun-en-cour-de-rome-avant-le, date à laquelle Jean, roi de Bohème, envoya une supplique au pape en faveur de Nicolaus de Portu. 2057 On remarquera que Thiébaut I er, est qualifié de « cousin » de Jean, roi de Bohème et comte de Luxembourg, le 31 janvier 1343, pp.162-163, 1343.

. En-janvier-1301, le pape Boniface VIII lui donna collation du premier canonicat et prébende de Metz à vaquer, mais on ne sait pas à quelle date il

A. Girardot, ». Ce-chanoine-et-dignitaire-serait-peut-Être-un-«-arlon, «. Ou-un, and . Latour-en-ardenne, ce qui permettrait de faire le lien avec Theodericus de Arlon (Erlons) ou Theodericus de Turre (Latour), tous deux chanoines de la cathédrale au début du XIII e siècle. Cependant, ces deux chanoines sont qualifiés de sousdiacres dans leur obit, alors que Theodericus, chanoine, écolâtre et chancelier de Verdun, était prêtre), mais on ne peut savoir s'il s, On trouve un Theodericus, chanoine de la cathédrale et diacre en 1194 (BMV, ms. 751, p.113, 2065.

T. Gallia, XIII, col. 1260 ; Roussel II, p. 135 ; Pouillé, t. I, p.71

A. Theodericus-de, . Arlons, and E. Erlons, -1257 ? a) ? avant mars 1261 (n.s.), 1230.

N. Girardot, ». Le-blanc, and L. Latour, Contrairement à ce qui est indiqué dans l'obit de Thierry (BMV, ms. 6, f° 242r), celui de son oncle, Galterus Albi, ne se trouve pas aux calendes d'août, mais au jour suivant, le 2 août, où figure l'obit d'un certain Walterus, chanoine et diacre de la cathédrale

L. Gallia-le-désigne-sous-le-nom-de-theodericus-de-marceyo, mais on ne trouve jamais cette précision concernant son nom de famille dans les sources locales. L'abbé Robinet évoque quant à lui un certain Théoderic de Cutry comme doyen de la cathédrale de Verdun sous l, p.71

. Attesté-comme-doyen-de-la-cathédrale-enun-certain-th, decanus entre 1217 et 1221 (BMV, ms. 5, f° 27v, 89r, 121v, 123r, 163v) et la Gallia indique Theodericus de Marceyo comme doyen de Verdun en 1215 et 1226 au moins (t. XIII, col. 1260) On pourrait donc être tenté de donner Theodericus comme doyen de la cathédrale entre 1215 et 1226, mais on connaît la mention d'un certain R. decanus en 1223 (621) Plusieurs hypothèses sont donc envisageables : soit notre dignitaire fut doyen de la cathédrale à deux reprises, avec une période d'interruption qu'on ne saurait préciser, soit il faut imaginer un ou plusieurs autres doyens ayant porté le prénom de Thierry (voire le prénom de Thomas, comme pourraient également le suggérer les initiales « Th. ») entre 1215 et 1226. 2071 Sans doute ce nom de famille fait-il référence à la localité d'Arlon, 1219.

. Toutefois, canonicus Virdunensis, domum meam sitam in castello Virdunensis ante grangiam dominorum Virdunensis, legaui maiori ecclesie Virdunensis in perpetuum post decessum meum (?) actum Verbi Incarnati M°.CC°.XXX° mense maio. » (BMV, ms. 5, f° 165v) Par ailleurs, les autres sources qui mentionnent le chanoine Thierry indiquent des dates postérieures pour son canonicat. 2073 Indiqué comme sous-diacre au sein de son obit, on peut supposer qu'il l'était déjà en 1245-1246, au moment de l'élection épiscopale de Gui de Mello. C'est, en effet, ce que pourrait suggérer le procès-verbal de cette élection, au sein d) Peut-être était-il parent de Ferricus de Erlons (138) et/ou de Richardus de Ellons (645) ? g) En mai 1230, il légua au chapitre une maison qu'il possédait, située dans le Châtel ; Une charte d'avril 1266 évoque également la maison et le jardin qu'il possédait « en Gous », c'est-à-dire au niveau de l'actuelle rue Montgaud à Verdun, Une fondation obituaire évoque la vigne qu'il possédait AD55, 11F32, pp.395-63

D. Theodericus, 2074 ? a) Obit au 26 mai dans le nécrologe de l'abbaye Saint-Airy de Verdun g) Son obit indique qu'il participa au financement du pressoir de l'abbaye Saint-Airy et qu'il légua un res de froment à prendre sur les moulins Payen (moulins appartenant à l'abbaye de Saint-Airy jusqu'en 1479) pour fonder son anniversaire en cette église Nécrologes Saint-Airy, pp.167-645

. Theodericus, Thierrionnus, Thirionnus) GERARDI de VERTUSEYO 2075 chanoine, C. Grégoire XI, vol.13481, p.38857, 1375.

. Prêtre, Compagnon du trésor et prévôt de Lemmes en 1435 ; Trésorier, ? 1436- 1437 ? ; Président du chapitre en 1436 et 1437, 1418.

. Ce-nom-de-famille-fait-référence-À-la-commune-de-vertuzey and . Hui-rattachée-À-celle-d-'euville, origine géographique de notre chanoine. 2076 Pourvu d'un canonicat avec réserve de prébende de la cathédrale de Verdun par le pape Grégoire XI dès le 27 janvier 1371, il reçut la prébende vacante par la mort de Philippus de Sirocuria (613) le 6 juin 1375. 2077 On trouve un certain Terricus Lamberti Doren de Sancto Leodegario, clerc du diocèse de Trèves, pourvu de l'église paroissiale de « Regicurte », au même diocèse, en 1407 (Repertorium Germanicum, II, n° 9446), mais rien ne nous permet de savoir s'il s'agit de notre chanoine ou simplement d'un homonyme. 2078 Attesté pour la première fois en 1431, on peut supposer qu'il était chanoine de Verdun depuis quelques années déjà puisqu'une conclusion capitulaire de 1447 indique qu'il était alors le plus ancien chanoine de la cathédrale avec Petrus de Sponvilla (604) (AD55, 2G5). Or, ces deux clercs étaient opposés depuis 1418 au moins pour l'obtention d'un bénéfice du diocèse de Verdun (Repertorium Germanicum, IV, n° 13784) et furent probablement reçus comme chanoines peu de temps après. 2079 Olricus de Albomonte (726) fut reçu à son canonicat le 21 août 1454. 2080 Uniquement cité comme « prévôt » en 1440, on ne sait pas à la tête de quelle localité du chapitre il se trouvait alors. g) Fidéjusseur de Alexander de Vertonno (24) lors de son entrée en premier stage en juin 1437 ; En juillet 1438, il fut choisi, avec Nicolaus Lanerii senior (529), comme représentant des chanoines, chapelains et autres officiers de la cathédrale étant aussi curés pour solliciter un privilège de non résidence dans leurs paroisses 2082 ; En août de la même année, une réunion capitulaire se déroula dans son hôtel particulier ; En 1445, sans que cela nous renseigne sur l il fut commis avec d'autres chanoines pour faire la visite des églises paroissiales dépendant de la ville de Verdun et de l'archidiaconé de la Princerie h) = Theodericus de Sancto Ligerio

. Theodericus-(-therricus, T. Terricus, and E. Lesdarney, (résignation) a) Né vers 1430 b) Prêtre, 1463 c) Noble ; Originaire de Reims d) Neveu de Guillaume Fillastre, pp.1449-2083

J. Frère-de and . Lesdarney, 390) ; Peut-être était-il également

T. Chanoine-de, ? ; Official de Toul, ? 1462 ? ; Doyen de Toul, pp.1458-1471, 1474.

. Peut-Être-l, était-il déjà en 1425, date à laquelle l'abbé Robinet mentionne un certain Thierry parmi les curés de la paroisse Saint-Amant de Verdun (Pouillé, t. I, p. 342) ? 2082 C'est peut-être à cela que fait référence l'abbé Robinet lorsqu, p.92

L. Peut-Être, Écluse, section de la commune de Beauvechain (Belgique, Région wallonne, province du Brabant), à un peu plus d'une centaine de kilomètres de Tournai ? 2088 Il est plus précisément désigné comme archidiacre de Gand

L. Jean-de, fut mis en possession de son canonicat le 26 mars 1482 (n.s.), mais ce bénéfice fit l'objet de contestations dès le mois d'avril suivant et l'on ne sait donc pas exactement qui fut le successeur légitime de Thierry La Lance. 2094 Peut-être était-il né vers 1400 car l'abbé Gillant, qui indique faussement sa mort le 6 février 1400, p.161

X. Grégoire, Compte de Raoul de Louppy, Ulysse), pp.31-33, 18071.

. Cependant, tout porte à penser qu'il s'agit d'une erreur de lecture, l'auteur n'ayant pas développé une abréviation qui se trouvait sans doute sous la première

P. Desportes-mentionne-un-homonyme, mort en 1384, avant le 24 janvier (Fasti, Reims, n° 866) On ne peut pas assurer qu'il s'agisse du même que notre chanoine. 2100 Pourvu d'un canonicat avec réserve de prébende de la cathédrale de Verdun

S. Theodericus-de, H. Septfontaines-)-de, and . Chanoine, avant le 25 octobre 1401 2107 ? b) Prêtre 2108 ? c) Noble e) Recteur de l'église paroissiale de Holderchingen 2109 , au diocèse de Trèves, ? 1391 ? ; Église paroissiale d'Osperen 2110 , au même diocèse, 1391-? ; Doyen de la chrétienté de Luxembourg, au diocèse de Trèves, ?-1401 ; Chanoine de la collégiale Notre-Dame d'Yvois, au même diocèse, ?-1401 ; Chapelain de Sainte-Marie-Madeleine en l'église des Clarisses de Luxembourg, ?-1401, concurrent de Liébaud de Cousance (830) à l'évêché de Verdun ; Sceau mentionné en 1401, pp.1401-2111, 1399.

T. Theodericus-de-turrede-la and L. De, chanoine, ? 1213-1219 2112 ? a) ? avant 1243 2113 ? ; Obit au 31 août b) Sous-diacre d) Fils de Thierry (Thierri), seigneur de Latour-en-Ardenne 2114 ? ; Parent (oncle ?) de Joffridus de Norroy (311) 2115 ? 2107 C'est, en effet, ce que suggère la collation de plusieurs de ses bénéfices par le pape, mais on un autre document pontifical l'indique encore en vie le 8, p.3127, 2870.

. Parisse and . Clergé, n. 91) l'indique encore comme chanoine de Verdun en 1254, mais il s, p.44

. En and . Fait-référence, AD55, 14H51) ne mentionne pas Thierry, chanoine de la cathédrale, mais Theoderic et Thierry, tous deux chanoines de la collégiale Sainte-Marie-Madeleine de Verdun Archives départementales de la Meuse Inventaire sommaire de la série H, t. I : Ordres d'hommes, Bar-le-Duc Par ailleurs, Noël Becquart et Jean Colnat, p.280, 1958.

M. Selon and . Parisse, qui ne fait référence à aucune source pour justifier ce lien de parenté (Clergé, p. 43) Si rien ne nous permet de contester cette origine géographique et sociale, on notera simplement qu'une branche des seigneurs de Latouren-Ardenne s'installa à Verdun dès la fin du XII e siècle

. Verdun-;-lignage-qui-«-vient-d-'un-jocelin, et qui « est attaché à une maison voisine d'une tour privée », maison située près des Gros-Degrés (Girardot, Notes. « Les Latour »). pour fonder l'anniversaire de Simon de Briey

T. 2118-on-trouve-un-homonyme, «. Vaillant, and . Bourgeois-de-verdun, Peut-être notre chanoine était-il donc issu d'une famille locale, comme pourrait également le suggérer le nombre important de ses parents, reçu comme verger de la cathédrale en octobre 1526 (AD55, 11F40, pp.715-2119

L. Date-proposée-par-la-gallia and R. , Nous n'avons pas pu la vérifier, mais elle semble probable puisque la dernière attestation de

X. Le-pape-grégoire and . Lui-demanda, Grégoire X, n° 617 ; cité par Girardot, Droit, p. 874 et n. 2), mais on ne sait pas exactement quand il abandonna ce bénéfice On peut seulement indiquer que la première attestation de son successeur, Theodericus de Montecorneto (710), date de 1279. 2128 Pourvu de la princerie par le pape Grégoire X le 10 juillet 1275, ce dernier en investit maître Bérard de Naples, sousdiacre et notaire apostolique, au nom de Thomas de Blâmont. 2129 On peut supposer qu'il conserva sa dignité jusqu'en juillet 1303 au moins, date à laquelle le pape Boniface VIII, confirmant son élection à l'évêché de Verdun, le désigne encore comme princier de la cathédrale, 2130 Élu par une partie du chapitre le 31 mars 1303, il fut opposé à Wautier de Fromeréville (733), qui avait également reçu les suffrages de quelques chanoines. L'affaire fut portée à Rome, mais Wautier de Fromeréville abdiqua ses droits et Thomas de Blâmont fut confirmé à l'évêché de Verdun par le pape Boniface VIII en juillet 1303. Encore désigné comme élu de Verdun en novembre 1303 (Sauerland I, n° 84), il fut probablement consacré dans les premiers jours du mois de février 1304 (Ibid. et non en décembre 1303 comme le prétend Pierre Desportes, pp.1275-92, 1155.

R. Chanoine-de, Vidame de Reims, ? 1284-1303, pp.2134-1303

À. La-tête, évêque de Toul ? Conrad Probus ? contre les bourgeois de cette ville, il aurait été blessé par une flèche et fait prisonnier en 1284 ; En 1292, l'abbaye de Saint-Mihiel lui céda, à titre viager, les deux étangs « Réaulx », situés en contre-bas de Trougnon 2135 , et la moitié de l'étang de la Tuilerie à Nonsard 2136 ; Une charte de 1293 indique que les bois et étangs de Doncourt 2137 étaient sous sa protection ; En juillet 1295, il céda une rente annuelle d'un res de froment à prendre sur la terre de Neuvilly 2138 au chapitre cathédral, ce dernier lui ayant offert, en échange, la jouissance viagère de tout ce qu'il possédait en la villa de « Balecourt, Légua au chapitre le tiers des moulins et des étangs de Lemmes pour la fondation de son anniversaire AD55, B256, f° 235 ; 11F79, f° 242, pp.278-357, 2139.

. Bnf, 4885, p. 11457 ; NAF 22643, f° 177r, 194v ; NAF 22644, f° 54r, pp.1-016

R. Benoit and X. , « Vatikanische Regesten zur Geschichte Deutsch-Lothringens », Jahrbuch der Gesellschaft für lothringische Geschichte und Altertumskunde, t. X (1898), n° 291, , vol.499, issue.84, pp.92-97

I. Eubel, 530 n. 6, 531 ; Gallia, t. XIII, col. 1260, Instrumenta, col. 579 ; DHGE, IX, col, p.79

I. Roussel, 135 et preuve n° 25, pp.134-175

T. I. Pouillé, 69, 71 « Les sires et comtes de Blâmont, étude historique, Martimprey de Romécourt (Edmond), vol.874, issue.3, pp.93-96, 1890.

P. Lignages, 43 ; Poull, Bar, p. 197 ; Lorraine, p. 78 ; Fasti, Reims, n° 1155, 2132.

. I. 2133-pouillé, 2134 Pourvu d'un canonicat avec expectative de prébende de la cathédrale de Reims dès février 1257, on ne sait pas exactement à quelle date il fut reçu par le chapitre de cette ville ; sans doute avant 1284, p.238

P. Pégeot and M. Bouyer, il serait né vers 1425 (Ibid.), mais cette date semble peu vraisemblable puisqu'il figure parmi les étudiants de l'université de Cologne en 1436. S'il n'était pas inhabituel de recevoir quelques bénéfices ecclésiastiques à un jeune âge pour les enfants de grandes familles

M. Chanoine-de, Trésorier de la cathédrale de Toul ; Chantre de la collégiale Notre-Dame de Saint-Dié, au diocèse de Toul, ? 1444-1445 ; Chanoine de la même église, ? 1444-1495, pp.1460-1477, 1436.

?. Protonotaire-apostolique, 1448-1459 ? ; Petrus Gerardi (583) et Desiderius de Bistoff (95) lui accordèrent leurs votes lors de l'élection épiscopale de Verdun en octobre 1456

U. Parisse, et n. 1 ; Poull, Lorraine, p. 181, pp.33-43

. Une-supplique, pape par le chapitre en juillet 1272, indique qu'il était alors très âgé, mais sans qu'on ne puisse préciser ni son âge ni sa date de naissance (BnF, ms. fr, pp.4885-11457

S. Michel-parisse and A. Girardot, il serait originaire de Cernay-en-Dormois, localité aujourd'hui située dans le département de la Marne et le canton d'Argonne Suippe et Vesle. C'est ce qu'affirmait également l'abbé Clouët, sans exclure une autre origine possible, par exemple Sarnay (ou Sarney), hameau contigu à Vavincourt-en-Barrois (Clouët, t. II, p.485

S. Jacomin-de, également chanoine de la cathédrale vers la même époque, peut-être était-il parent de François de Saulx, citain de Verdun, qui fonda une chapelle en la cathédrale, pp.117-124

I. Clouët, n. 1), soit vers 1345, Il aurait apparemment permuté son canonicat de Verdun après cette affaire, p.411

. Ce-nom-de-famille, qui n'apparaît pas dans les sources contemporaines, nous est fourni par un inventaire des archives de la cathédrale, qui mentionne le testament de Walterius Waudrie, sous-chantre de Verdun

J. Chandelli, 337) fut mis en possession de son canonicat le 10 mai 1486. 2183 Peut-être Aulnois (département des Vosges, canton de Vittel) ou Aulnois-en-Perthois

. Le-chapitre-accepta-de-lui-réserver-une-prébende-le, (a.s.), mais on ne sait pas exactement à quelle date il fut reçu comme chanoine. 2186 Nicolas Bonmarien (503) fut mis en possession de son canonicat et de sa prébende le 10 décembre 1498, mais on ne sait pas pour quelle raison ces bénéfices vaquaient (mort, résignation ?, 1492.

. Cette-faveur-lui-fut-accordée-suite-À-la-demande-formulée-au-chapitre-par-«-m-r-le-marquis-de-bauden, dont il était peut-être le familier ? 2189 En effet, le chapitre cathédral ne gérait aucun établissement hospitalier et sa seule oeuvre de charité était le mandat des pauvres, pendant le temps du carême. Peut-être Warinus exerçait-il ses fonctions d'infirmier au sein d'un autre établissement ecclésiastique de Verdun ? 2190 Son canonicat et sa prébende furent conférés par le pape à Albertus de Toulon (760) le 3 septembre 1349, Peut-être ce nom de famille fait-il référence au village de Hennemont, 2191.

P. Il-apparaît and . Benardi, qui était déjà chanoine de la cathédrale en 1424 ; probablement Warinus de Hennemonte avait-il donc été reçu avant cette date ? 2193 Son canonicat, d'abord accordé par le chapitre à Johannes Arnoldi de Damvillers (323) le 3 juillet 1450, fut ensuite octroyé à Quinetus Moneti (91) en vertu de lettres apostoliques et metu censarum le 13 novembre 1452. 2194 Son nom ne figure pas parmi ceux répertoriés par le chanoine Guédon dans son épitaphier de la cathédrale, mais c'est une conclusion capitulaire du 22 mars 1466 qui nous l'apprend, et de Jean Henrrart (Henriart), prêtre et chanoine de la collégiale Sainte-Marie-Madeleine de Verdun, deux de ses exécuteurs testamentaires signalés comme ses héritiers dans une charte de 1452

. Fondateur-d-'une-chapellenie-de-saint-léonard-dans-la-cathédrale-en, Grande fondation obituaire de 200 francs, avec vigiles, « commandations », anniversaire et messe AD55, 11F32, p. 613 ; BMV, ms. 6, f° 166r, 242v ; ms. 19, f° 63v ; BnF, Lorraine 620, f° 134r-v ; Pouillé, t. I, p. 91, 185, pp.77-86, 1330.

A. Girardot, ce personnage ? comme Nicolas et Warin Monnin ? serait le fils de Simonin dit Monin (de La Porte) et de Florette dite Comère. Son surnom, différent de celui de ses deux frères, lui venait peut-être de sa femme ou de biens qu'il avait acquis à « Paroie » (peut-être « Parois », ancienne commune aujourd'hui rattachée à Clermont-en-Argonne

R. Évoque-un-vincent-warin-de-savigny-chanoine-et-curé-de-maizai-vers, Pouillé, t. I, p. 93 ; t. III, p. 419), mais cette date est probablement erronée En effet, on trouve la réception à un canonicat de Vincent Warin en 1545 seulement (AD55, 11F40, p. 625) et sa mort est signalée en 1569 dans l'épitaphier du chanoine Guédon (BMV, ms Quoi qu'il en soit, ce Vincent Warin de Savigny ne semble pas correspondre à notre chanoine. (résignation), Chanoine de la collégiale Sainte-Marie-Madeleine de Verdun, ? 1368 2213 ? f) Licencié en arts, 1368 g) Légua 50 francs d'or au chapitre pour la fondation de son anniversaire à la cathédrale BMV, ms. 6, f° 260v ; L.C. Urbain V, pp.149-150, 1500.

. Wericus and . Werricus, Waric) 2214 chanoine, ? 1233 ? e) Official du princier, ? 1233 ? g) Son sceau présentait la figure d'un lion debout h) = Werricus

. Il-conserva-probablement-son-canonicat-et-prébende-de-sainte-marie-madeleine and . Jusqu, à sa mort, comme semble le suggérer son obit : Warricus de Vitulo ecclesiarum Virdunensis et beate Marie Magdalene virdunensis canonicus. 2214 L'éditeur du cartulaire de l'abbaye d'Orval parle d'un certain Thierry. Toutefois, il n'est pas certain qu, puisse assimiler le prénom latin de Wericus (ou Waricus) à celui de Thierry. 2215 On trouve un Werricus ou Wiricus mais on ne sait pas s'il s'agit de notre chanoine ou de l'un de ses homonymes

M. Parisse and A. Qu, on le trouvait encore (comme chanoine de Verdun ?) en 1265 (Clergé, p. 43 n. 70 ; d'après BnF

J. Vinchon-le, fut reçu à son canonicat le jour de sa mort, le 16 juin 1537, Conserva cet office au plus tard jusqu'au 23 avril 1510, date à laquelle Pierre Cousin fut reçu comme secrétaire du chapitre (AD55, 11F40, p.742, 2245.

. Toutefois and . Qu, il l'était toujours en 1200 ou après. À noter qu'on trouve deux clercs prénommés Godefridus, désignés comme prêtres et chanoines de Notre-Dame de Verdun dans l'obituaire de la cathédrale, le premier au 25 mai (BMV, ms. 6, f° 185r)

M. Godin-de and . Chanoine, 2273 ? e) Chanoine de Saint-Jean-l'Évangéliste de Liège, ? 1262-1291 ? f) Maître g) C'est lui qu'Henri de Grandson (224), élu de Verdun, choisit en décembre 1284 pour recevoir en son nom la somme que lui devait l'Église de Liège pour la cession de la terre de, Les maîtres universitaires dans le diocèse de Liège. Répertoire biographique, pp.1140-1350, 1981.

B. Guido-de-boloniade and M. De, MONTFORT) chanoine ?, ? 13.. 2274 ? écolâtre ?, ? 13.. 2275 ? a) Né en 1316 ; ? le 25 novembre 1373 ; Obit au 27 novembre à la cathédrale d'Amiens et au 28 novembre à celle de Reims b) Sous-diacre c) Noble d) Troisième fils de Robert VII, comte d'Auvergne et de Boulogne e) Chanoine d'Amiens, ? 1323-1340, pp.1369-1373

. Chanoine-de-bayeux, ? 1331 ? ; Archidiacre de Hiémois, pp.1340-1342

. Archidiacre-de-meaux and . Au-diocèse-de-meaux, ? 1353 ? ; Archidiacre du Langrois, pp.1356-1363

V. Guido, (224) en 1284) Cependant, on ne trouve rien de tel dans les sources locales et, même s'il a effectivement possédé un bénéfice verdunois, rien ne nous permet de dire qu'il s'agissait d'un canonicat. 2274 C'est, en tout cas, ce que pourrait suggérer une lettre du pape Grégoire XI, datée du 7 février 1371, au sein de laquelle il confère à Guido Vayllandi (794) le canonicat et la prébende ainsi que l'écolâtrerie de Verdun résignés par Guy de Boulogne, cardinal-évêque de Porto. Cependant, aucun de ces deux personnages n'apparaît dans les sources locales et l'on peut douter qu'ils furent un jour reçus par le chapitre de Verdun, Comme l'écrit Pierre Jugie Ce dernier ayant été chanoine et princier de la cathédrale de Verdun entre 1331 et 1364 cardinal-évêque de Porto, motu proprio du pape Grégoire XI le 7 février 1371, on ne sait pas s'il fut effectivement reçu par le chapitre cathédral de Verdun, 1987.

X. En-mai-1326,-le-pape-jean and . Manda-plusieurs-Évêques-de-lui-conférer-le-canonicat-et-la-prébende-de-verdun-vacants-par-le-mort-de-sanson-de-calvomonte, Ce dernier étant mort en 1317, on peut supposer que la succession à son canonicat entraîna un conflit entre plusieurs candidats, justifiant alors le mandement donné par le pape à plusieurs prélats en faveur de Guillelmus Pinchon. Celui-ci n'étant jamais mentionné dans les sources locales

. Le-pape-précise and . Qu, il devra se démettre de son canonicat et prébende de Saint-Paulin de Trèves s'il accède à une prébende de la cathédrale de Verdun

P. Hugo and . Philippe-)-chanoine-?, 2308 ? e) Chanoine de Lausanne

?. Le, Inhumé dans la nef de la cathédrale b) Prêtre 2310 ? c) Noble ; Son épitaphe le qualifie d'ailleurs de seigneur (en partie) de « Marchéville 2311 , Wadonville 2312 et Buzey 2313 » d) Fils aîné de Geoffroy (Joffroy) d'Apremont et de Jeanne des Armoises, de Margot (religieuse de Saint-Pierre-aux- Nonains à Metz) Constance et Mahaut f) ? 2315, 1520.

A. Blanc and . Clerc-du-diocèse-de-lyon, pour prendre possession de son bénéfice à Verdun et pour accepter, en son nom, les statuts de l'église en avril 1482 On ne trouve cependant aucune trace de ce clerc dans les sources verdunoises et l'on ne peut donc pas assurer qu'il fut un jour chanoine de la cathédrale. 2309 Entré en premier stage en juin 1502, on ne connaît pas la date de sa réception et l'on ne sait donc pas s'il était déjà chanoine de la cathédrale de Verdun en 1500 ou avant. 2310 C'est, en tout cas, ce que suggère sa tombe

. Né-après, où il fut inhumé en la cathédrale ; Obit au 10 décembre c) Noble d) Fils de Joffroy I er , seigneur d'Apremont-Dun 2325 , et d'Élisabeth de Dampierre ; Frère de Guy d'Apremont, chevalier dont l'obit se trouve au 16 mai à la cathédrale, de Gobert VI d'Apremont-Dun (qui succéda à son père Joffroi I er vers 1222), et de son homonyme, Jean d'Apremont (816), 11872324.

. Mgh and X. Ss, 527-528 ; Wassebourg, f° 352v-355r ; Eubel, I, p. 337-338, 530 ; Histoire ecclésiastique d'Allemagne, BMV, issue.6, pp.270-365

A. Johannes-de, APREMONT) chanoine ?, ? 12.. 2327 ? c) Noble d) Frère puîné de son homonyme, Jean d'Apremont (815) Pouillé, t. I, p.89

B. Johannes-de, hui disparue qui était située sur l'actuelle territoire de la commune de Liny-devant-Dun, dans le département de la Meuse ; BMV, ms. 5, f° 116bis v) Peut-être était-il donc chanoine à cette date ? À moins qu'il ne s'agisse de son frère puîné ou d'un autre homonyme de sa famille ? 2324 L'abbé Robinet indique en tout cas qu'il n'avait pas l'âge canonique lorsqu'il fut élu à l, ce qui suppose donc qu'il n'avait pas encore trente ans à cette date, p.21, 2328.

. Qu, mais la création des distributions des heures date de 1227, sous l'épiscopat de son successeur. 2327 Indiqué comme tel par l'abbé Robinet, il fut peut-être chanoine de la cathédrale de Verdun dans la première moitié du XIII e siècle ? On ne le trouve pas dans les sources et l'on ne peut donc pas confirmer cette assertion de l'auteur ni préciser ses éventuelles dates de canonicat. Peut-être l'auteur confond-il avec Johannes de Asperomonte (325), nommé à l'archidiaconé d'Argonne en 1244 (qui n'était pas le frère, mais le neveu de l'évêque Jean d'Apremont) ? 2328 On trouve la mention d'un certain « JodeBaro

C. Johannes-de, CAVANCHO) 2332 chanoine ?, Päpstliche Kollektorien in Deutschland, vol.135, p.236

J. De and C. Commerceio, COMMERCY) 2335 chanoine ?, ? 1323 2336 ? L.C. Jean XXII, n° 17287

. Ayant-possédé-une-maison-dans-le, située à proximité de celle de Jean d'Apremont ? chanoine et archidiacre d'Argonne ? et mentionnée dans l'obituaire du chapitre, Johannes de Novocastro fut probablement chanoine de Verdun. On ne le trouve cependant jamais avec ce titre dans les sources locales et aucun bénéfice de la cathédrale de Verdun n'est mentionné dans la notice que lui consacrent P

. Toutefois, AD55, 11F34) et nous préférons ne pas écarter totalement le premier de nos listes prosopographiques. 2347 Sans doute était-il encore assez jeune lorsque le chapitre l'autorisa, en mai 1435, à pénétrer dans le choeur et à faire son devoir d'acolyte, à condition toutefois qu'il « se maintenist honnestement, autrement on le renvoieroit a lestude tant et si longuement quil fust souffisant » (AD55, 11F34, f° 7v) ? Cette dernière remarque nous indique sans doute qu'il n'était pas allé à l'université ou, en tout cas, qu'il n'avait encore obtenu aucun grade à cette date. 2348 On trouve un Jean de Revigny, cité comme doyen de Bar et chapelain de Saint-Jean-Baptiste en l'église Notre-Dame de cette ville, où il possédait également une maison en la rue Emmy en 1422 (AD55, 4H216, n° 1). Toutefois, rien ne nous permet de savoir s'il s'agit de notre dignitaire ou simplement d'un homonyme, est pas impossible que nous ayons confondu Johannes Cornnelli junior et Johannes Cornnelli senior (416) au sein de certaines conclusions capitulaires antérieures à 1439 2349 Cité comme prévôt de la collégiale de Montfaucon dans un acte du 26 avril 1427, on peut supposer qu'il était également archidiacre d'Argonne, comme le prescrivaient alors les statuts des chapitres de Verdun et de Montfaucon

P. Vasbourg, Deux candidats s'étaient déjà opposés en septembre 1530 pour devenir les coadjuteurs de a) ? le 27 septembre 1531 ; Obit au 29 août ; Inhumé dans la nef de la cathédrale ; Testament mentionné b) Prêtre e) Chapelain de Saint-Jean-l'Évangéliste en la cathédrale de Verdun, 1483-? g) Entré en premier stage en juin 1501, il en fut absous l'année suivante ; Peut-être s'agit-il du même que « M r Laurent » qui légua au chapitre, le 22 décembre 1525, « un Agnus Dei en argent ou (sic) il y a un couronnement de la Sainte Vierge et de l'autre costé un saint Jean », sculpture qui appartenait à Jeanne sa servante, « qui demeuroit en sa maison » 2352 ? ; Son aumusse fut rapportée en chapitre le 6 novembre 1531, 2353.

?. Le, Inhumé dans la nef de la cathédrale, devant l'autel de Notre-Dame à l'entrée du jubé 2357, 2358.

L. Mengin, est à un certain Martin Valet que le chapitre avait promis le canonicat et la prébende de notre clerc

. Vanne, . Mgh, and X. Ss, 529) indiquent la date fautive de 1403, peut-être en référence aux lettres qu'avaient envoyées le roi de France et l, alors que Liébaud de Cousance était malade, pp.362-52, 1745.

. Actuelle-commune-de-luxeuil-les-bains, C'est, en tout cas, ce que prétendent la plupart des auteurs, se fondant sans doute sur l'épitaphe du prélat rapportée par Wassebourg : Luxovii pillam qui sumpsit primo cucullam (f° 465r ; voir aussi Clouët, III, p. 398 et n. 1). Toutefois, Eubel indique qu'il était prieur de Fontaine, au diocèse de Besançon, au moment de son accession à l'évêché de Verdun ; ce qui ne serait pas vraiment contradictoire, puisque le prieuré de Fontaine était distant de seulement quelques kilomètres de l

. Aimond-semble-faire-le-lien-entre-ce-chanoine-et-un-certain-martinus and . Et-chanoine-de-notre-dame-de-verdun, dont l'obit appraît au 11 septembre à la cathédrale (BMV, ms. 6, f° 247r) ainsi que dans le nécrologe de l'abbaye Saint-Airy (Nécrologes Saint-Airy, n° 1072) On ne peut toutefois pas savoir s'il s'agit du même ou d'un homonyme. 2365 Il permuta son canonicat et prébende de Saint-Jean de Liège contre un canonicat et prébende de la cathédrale de Verdun avec Conrardus Nicolai de Budweis (87) avant le 5 octobre 1352, date à laquelle le pape Clément VI valida cet AD55, 11F32, p. 89, Jovis VIII a mensis octobri, vol.11, issue.211, pp.118-545

. Reçu-par-le-chapitre-le, mars 1509 (n.s.) en vertu de lettres apostoliques, qui lui donnaient provision de la chancellerie et qui érigeaient cette dernière en dignité capitulaire. 2381 Permuta ce bénéfice avec Martin Pinguet contre l'archidiaconé d'Argonne le 27 mai 1530

. Ville-aujourd-'hui-connue-sous-le-nom-de-panéas-ou-baniyasisraël and . Syrie, 2384 N'était déjà plus à la tête de ce diocèse en juillet 1513, date à laquelle son successeur est attesté. C'est, en tout cas, ce qu'indique Conrad Eubel, mais il conserva le titre d'évêque de Panéade dans les sources verdunoises au moins jusqu'en 1534. 2385 Refusant d'admettre cette situation, il souhaita malgré tout accéder au choeur, mais de nombreux chanoines s'y opposèrent, le menaçant de « tabourer » (ou « tambourer », c'est-à-dire battre le sol des pieds pour faire grand bruit, comme sur un tambour) voire de cesser l'office. 2386 On trouve un homonyme Malheureusement, rien ne permet de faire le lien entre ce personnage et notre chanoine. 2387 On ne trouve aucune information concernant sa prise de possession et l'on ne sait pas s'il avait déjà été reçu comme chanoine de la cathédrale en 1500, ce qui nous oblige à le classer parmi les incertains. g) Entré en premier stage en juin 1481, Nicolas Roberti Le Dandonnier, qui résigna la chapellenie de Sainte-Marie-Madeleine en la cathédrale de Verdun en 1547 et qui fut reçu à un canonicat en 1550 (AD55, 11F40 qui fut mis en possession le 2 avril 1482, p.777

M. Petrus and B. , de BRENNE) archidiacre d'Argonne ?, ? 143. 2396 -? a) ? en 1456 ; Inhumé en l'abbaye Saint-Victor de Paris b) Prêtre, p.1427

. Originaire-de-brennes, Chapelain de l'église Saint-Pierre à Langres, ? 1404 ? ; Curé d'une paroisse de Langres en 1420 2397 ? ; Chanoine de Reims, Chanoine et archidiacre de Metz, pp.1423-1432, 1429.

. Chantre-de-la-même-Église-doyen-de-la-cathédrale-de-beauvais, Chantre et chanoine de Beauvais, ? 1439 ? ; Chanoine de Bayeux 2393 Cité comme archidiacre dans l'état des maisons canoniales de décembre 1243, il fut probablement archidiacre de la Rivière, dignité pour laquelle il nous manque le nom de plusieurs titulaires dans la première moitié du XIII e siècle. 2394 Sa maison étant citée dans l'état des maisons canoniales de décembre 1243, date à laquelle il était probablement mort, on peut supposer qu'il fut archidiacre dans la première moitié du XIII e siècle. Son obit figurant dans la partie originelle de l'obituaire de la cathédrale, on ne peut toutefois pas assurer qu'il fut archidiacre en 1200 ou après cette date, ce qui nous oblige donc à le classer parmi les incertains, village aujourd'hui rattaché à la commune de Saint-Hilaire-en-Woëvre, pp.1420-1449, 2400.

. Promu-À-la-prévôté-de-la-collégiale and . Saint, Germain de Montfaucon le 28 mai 1432, on ne sait pas s'il fut reçu par le chapitre cathédral de Verdun à l'archidiaconé d'Argonne. En effet, Jean de Lisle (379) demanda un renouvellement de sa provision à cette dignité

. Mathieu-roeder-(-rocdere and . Roderici, ancien boursier du collège de Navarre nommé à l'évêché de Langres en 1420, aurait résigné cette cure en sa faveur (BdD, Studium Parisiense, n° 10046) On ne trouve cependant pas trace de cette nomination et de cette résignation, On sait seulement que Mathieu fut évêque de Tréguier, en Bretagne, entre 1417 et 1422, p.494

. Évoque-le-conflit, Un conflit est également mentionné en 1433 et 1434 au sujet du même archidiaconé avec Guillelmus Hugonis, chanoine de Verdun et archidiacre de la Rivière. Le 3 mars 1432, Johannes Croussardi de Yvodio (352) sollicita par supplique le canonicat et prébende de Metz vacants par la résignation de Petrus de Brena, qui les avait peut-être conservés jusque-là

. Walterus, . Galterus, ). Gautier, L. Blanc-)-chanoine, and ?. , 1156-1181 2416 ? a) ? sur la route de Jérusalem et inhumé en la cathédrale Saint-Pierre d'Antioche (actuellement en Turquie, à la frontière avec la Syrie) 2417 ; Obit au 2 août b) Diacre d) Oncle de Theodericus (703), qui fonda un anniversaire pour lui BMV, ms. 6, f° 223r 2413 Pourvu le 30 janvier 1352 du canonicat et de la prébende vacants par la mort de Symon Rolland (692), il résigna ses bénéfices verdunois avant le 8 mai 1354, date à laquelle Petrus de Confinio en fut pourvu. Probablement ne fut-il donc jamais reçu à Verdun et sans doute n'a-t-il jamais effectué son premier stage ? 2414 C'est, en effet