C. Baudelaire, Lettre à Jules Troubat du 5 mars 1866, Correspondance, pp.1860-1866

C. Baudelaire, Lettre à Madame Aupick du 10 août 1862, Correspondance, pp.1860-1866

. Cf, Charles Baudelaire Les Paradis artificiels, OEuvres complètes, p.231

M. Lemaire, forces [?] L'esprit critique n'est pas en mesure de tenir tête à la réification absolue, laquelle présupposait, comme l'un des éléments, le progrès de l'esprit qu'elle s'apprête aujourd'hui à faire disparaître, p.31, 1978.

. Qu, ces écrivains accusent la culture même de n'avoir pas pu empêcher la catastrophe humaine Une nouvelle forme de littérature naît à cette période, qui essaye de décrire l'indescriptible, une littérature qualifiée par Jean Lyotard de « lazaréenne » 952 Un exemple, en est bien sûr Primo Levi, qui démontre la difficulté, voire l'impossibilité d'écrire après Auschwitz. Pour autant, elle seule, la littérature, semble être celle à même de dire la dignité humaine, et la souffrance, l'écrivain rappelle les vers de Dante à un de ses compagnons d'Auschwitz : « Pensez à votre conception : vous n'avez pas été faits pour vivre comme des bêtes, mais pour suivre vertu et connaissance » 953, p.951, 1947.

T. Adorno, Prismes, critique de la culture et société, p.26

M. Cf and . Touret, Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II ? après, Presses Universitaires des Rennes, p.153, 1940.

L. Dante, Enfer (chant XXVI), cité par Primo Lévi, Si c'est un homme, p.88, 2005.

A. Robbe-grillet, . Pour-un-nouveau-roman, L. Paris, and . Éditions, pour lui, comme pour nous, c'est le langage qui parle, ce n'est pas l'auteur ; écrire, c'est, à travers une impersonnalité préalable ? que l'on ne saurait à aucun moment confondre avec l'objectivité castratrice du romancier réaliste ? , atteindre ce point où seul le langage agit, « performe », et non « moi » : toute la poétique de Mallarmé consiste à supprimer l, pp.181-182, 2012.

. Dans-le-démon-de-la-théorie, Antoine Compagnon résume d'ailleurs le travail de Barthes et des autres critiques structuralistes par le refus de la référence, par la critique de la valeur en général (car ils refusent l'existence des oeuvres consacrées) et la mort de l'auteur : « À la sécheresse du structuralisme appliqué, à la glaciation de la sémiologie scientiste, à l'ennui qui se dégage des taxinomies narratologiques, Barthes opposa très tôt le plaisir de l' " activité structuraliste " et le bonheur de l' " aventure sémiologique " . [?] Ne faites pas ce que je dis, faites ce que je fais, 1998.

. Nourrie-de-marx, . Freud, and . De-saussure-ou-des-formalistes-russes, quels que soient ses noms, « critique textuelle, structuralisme littéraire, sémiotique, théorie de la production littéraire, de l'oeuvre ouverte, des paragrammes, de la lisibilité et de la scriptibilité » 999 , met l'accent sur la structure, le système, susceptible d'expliquer le fait littéraire. En cela, elle tend à démystifier l'oeuvre littéraire, à la disséquer en ses divers éléments, à l'aide de méthodes venues de la linguistique ou des sciences sociales, pour mieux s'affirmer elle-même comme une discipline à part : « C'est au nom de la science qu'une certaine critique va s'en tenir à des trucs et appliquer des méthodes quasi mécaniques qui éliminent dans l'acte critique toute découverte de l'esprit intuitif, 1000.

A. Compagnon, Le démon de la théorie : littérature et sens commun, 998 Ibidem, pp.280-280, 1998.

G. Lanson, Essais de méthode, de critique et d'histoire littéraire, p.38, 1965.

M. Merleau-ponty, Sens et non-sens, pp.34-35, 1966.
DOI : 10.14375/NP.9782070743551

G. Cf and . Gusdorf, Les Sciences humaines sont-elles humaines ?, Paris, publication de la Faculté des Lettres de l, pp.335-336, 1967.

M. Foucault, Les mots et les choses, une archéologie des sciences humaines, p.397, 1966.

S. Doubrovsky, Pourquoi la nouvelle critique ? Critique et objectivité, p.404, 1966.

S. Doubrovsky, Pourquoi la nouvelle critique ? Critique et objectivité, XI 1032 Ibidem, p. XI 1033 Ibidem, p.1034

S. Doubrovsky, Pourquoi la nouvelle critique ? Critique et objectivité, p.1035

P. Cf and . Forest, Le Seuil, collection Fiction et Cie, 1995, p. 299 L'écrivain (devant qui donc serait-il responsable ?) Si son oeuvre visait à construire, on pourrait lui demander des comptes. Mais puisqu'elle s'affirme destruction pure, il échappe au jugement. Tout cela demeure à la fin du siècle, passablement confus et contradictoire. Mais lorsque la littérature, avec le surréalisme, se fera provocation au meurtre, on verra l'écrivain, par un enchaînement paradoxal, mais logique, poser explicitement le principe de sa totale irresponsabilité, 1960.

S. Les-existentialistes-insistent-sur-la-nécessité-de, homme ne vit pas seul, il est en « situation », soumis à des conditions sociohistoriques Dans une situation donnée, c'est à lui de lutter pour sa liberté. Qu'il s'agisse de la liberté individuelle ou de conservation de l'ordre social, tout écrivain est, selon Sartre, « engagé » d'une façon ou d'une autre. Ainsi, dans Qu'est-ce que la littérature ? (1947) Sartre assigne à l'écrivain le devoir de « traduire », de dévoiler le monde contemporain, en ce sens qu'il présente aux lecteurs les situations dans leur totalité, afin que chacun assume sa responsabilité dans la société, La fonction de l'écrivain est de faire en sorte que nul ne puisse ignorer le monde et que nul ne s'en puisse dire innocent, 1068.

. Dans-la-première-intitulée and . Qu, est-ce qu'écrire ? Sartre investit l'écrivain d'une double mission : il doit non seulement refléter les réalités sociales, mais aussi déchiffrer les raisons des inégalités et des injustices qui s'y cachent : « L'écrivain peut vous guider et s'il vous décrit un taudis, 1069.

. En-même-temps,-ce-qui-caractérise-chaque-Écrivain-est-son, Chez Sartre, le style ne doit pas assombrir les idées, et il prend pour cela l'exemple de Giraudoux : « Je sais que Giraudoux disait : La seule affaire c'est de trouver son style, l'idée vient après. Mais il avait tort : l'idée n'est pas venue » 1070 . Trouver une forme, une écriture en adéquation avec l'idée que l'écrivain se

J. Sartre, Qu'est-ce que la littérature ?, p.140

F. Kafka, « l'oeuvre de Kafka est une réaction libre et unitaire au monde judéo-chrétien de l'Europe centrale ; ses romans sont le dépassement synthétique de sa situation d'homme

. Tchèque and . De-fiancé-récalcitrant, de tuberculeux, etc. comme l'étaient aussi sa poignée de main, son sourire et ce regard que Max Brod admirait tant, 1076.

. La-mission-de-l-'écrivain-est-de-sauver-la-littérature, car comme toute expression humaine, rien n'assure son éternité Il attire ainsi l'attention sur la responsabilité de l'écrivain à perpétuer ce bien de l'humanité : « Mais après tout, l'art d'écrire n'est pas protégé par des décrets immuables de la Providence ; il est ce que les hommes le font, ils le choisissent en se choisissant. S'il devait se tourner en pure propagande ou en pur divertissement

. De-toute-Évidence, qui s'engage et qui redevient un miroir du monde Malraux semble rejoindre Sartre dans Les voix du silence (1951), où il précise que l'art et la littérature assurent à leur manière la liberté et la perpétuité de l'homme ; pour l'écrivain l'art est un « anti-destin » : Mais l'homme est-il obsédé d'éternité, ou d'échapper à l'inexorable dépendance que lui ressasse la mort ? Survie misérable qui n'a pas le temps de voir s'éteindre les étoiles déjà mortes ! [?] Il n'y a pas de mort invulnérable devant un dialogue à peine commencé, et la survie ne se mesure pas à la durée ; elle est celle de la forme que prit la victoire d'un homme sur le destin, et cette forme, l'homme mort, commence sa vie imprévisible, le philosophe entend militer pour une littérature qui retrouve ses racines dans le réel Ce que j'ai fait aucun animal ne l'aurait fait », c'est dire « Nous avons refusé ce que voulait en nous la bête, et nous allons retrouver l'homme partout où nous avons trouvé ce qui l'écrase, 1078.

. En-affirmant-cette-idée-d-'un-Écrivain-et-d-'une-littérature-engagés, Sartre s'érige contre les idées défendues par une partie des auteurs du XIXe siècle qui se seraient intéressés davantage à euxmêmes qu'à leurs oeuvres, en privilégiant l'apparition de nouvelles formes d'expression : « La réflexion sur la création a fini par apparaître plus importante que la création elle-même parce que le créateur, qu'il soit écrivain, peintre ou musicien, s'est voulu démiurge en accordant un statut privilégié de révélateur des essences » 1079 . Paul Valéry consacre une grande partie de son oeuvre critique à l'analyse du processus de la création, au point d'ignorer la dimension sociale de l'art, Chez lui, l'essence de l'art est tout ce qui importe : « J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience 1076

J. Sartre, Qu'est-ce que la littérature ?, p.293

A. Malraux, Les voix du silence, OEuvres complètes, p.899

J. Butler, Le récit de soi, p.7, 2007.

. Autobiographie and . Non, est un privilège réservé aux importants de ce monde, au soir de leur vie, et dans un beau style. Fiction d'événements et de faits strictement réels ; si l'on veut autofiction d'avoir confié le langage d'une aventure à l'aventure d'un langage en liberté

F. Rencontres and . De-mots, allitérations, assonances, dissonances, écriture d'avant ou d'après la littérature, concrète, comme on dit musique » ; Serge Doubrovsky, quatrième de couverture 1096 Cf. Elisabeth Seys, Ces femmes qui écrivent, p.280, 2001.

D. Labouret, . Littérature-française-du-xxe-siècle, and C. De, et il s'agissait d'une sorte d'autofiction. Quand André Breton écrit Nadja, c'est aussi le cas. Et encore quand Céline donne D'un château l'autre et ses livres suivants Ou Joyce quand il écrit Portrait de l'artiste en jeune homme. L'autofiction était pratiquée, mais n'était pas conçue comme un genre, p.137, 1900.

. En-l-'occurrence, S. Théories-de-philippe-lejeune, and . Doubrovsky-sur-l-'écriture-intime, des auteurs comme Sartre et Malraux s'y dédient dans leurs ouvrages Les Mots Dans Les Mots, Sartre constitue son portrait, plus exactement le processus qui l'a amené à la carrière d'écrivain. Mais le titre de l'oeuvre indique que l'objet de l'oeuvre reste l'écriture en elle-même, le rapport de l'auteur au langage et moins la vie de l'auteur lui-même : « J'étais Roquentin, je montrais en lui, sans complaisance la trame ; en même temps j'étais moi, l'élu, annaliste des enfers, 1964.

M. Dans-les-antimémoires, un destin personnel, sans pour autant respecter un quelconque ordre chronologique ni une vérité historique stricte, car ce qui l'intéresse, ce ne sont pas les événements, mais plutôt les enseignements que l'être humain tire de son existence De la même manière, il continue à utiliser la fiction puisqu'elle représente un moyen de connaissance de soi et du monde : « Il reste que l'analyse de l'individu, outre l'action qu'elle exerce sur nous lorsqu'elle est celle d'un grand artiste, nourrit une action de l'esprit qui m, 1967.

M. Touret, Histoire de la littérature française du XXe siècle, tome II ? après, p.482, 1940.

«. Mon-père-lisait-seulement-le-journal-de-la-région, Il refusait d'aller dans les endroits où il ne se sentait pas à sa place et de beaucoup de choses, il disait qu'elles n'étaient pas pour lui Il aimait le jardin, les dominos, les cartes, le bricolage » 1202 ; sa mère est davantage intéressée par la littérature et prête beaucoup d'attention au langage : « Ma mère, elle, tâchait d'éviter les fautes de français, elle ne disait pas mon mari, mais mon époux. Elle hasardait quelquefois dans la conversation des expressions dont on n'avait pas l'habitude, qu'elle avait lues ou entendues dire par des gens de bien » 1203 . Pour la mère de l'écrivaine, l'éducation demeure, le socle, la fondation d'un bel esprit : « S'élever, il faut meubler son esprit) et rien n'était plus beau que le savoir

. Encore-une-fois, adolescence marque la séparation entre l'écrivaine et sa mère, car cette dernière arrête de la pousser vers l'étude, en se faisant davantage de soucis pour sa vie intime : « Nous savions toutes les deux à quoi nous en tenir : elle, sur mon désir de plaire aux garçons, moi, sur sa hantise qu'il m'arrive un malheur, c'est-à-dire coucher avec n'importe qui et tomber enceinte, 1205.

A. Pour and . Ernaux, époque de son adolescence est une époque de révolte, refusant les conventions sociales de sa classe. Pour sa mère, la seule révolte possible est la révolte contre la pauvreté et le seul moyen de lutter contre elle, est le travail. Elle considère parfois sa fille comme quelqu'un d'étranger, une menace pour sa classe : « Si on t'avait fichue en usine à douze ans

G. Mauger and A. Ernaux, ethnologue organique de la migration de classe », dans Fabrice Thumerel, Annie Ernaux : une oeuvre de l'entre-deux, p.194

. Voir-abdelmalek and . Sayad, La double absence : des illusions de l'émigré aux souffrances de l'immigré, 1999.

L. Qu-'il-s-'agisse-de-la-place and . Honte, Annie Ernaux offre une vision métaphysique de la littérature, presque religieuse, au vu des termes utilisés pour décrire la littérature : don de soi, corps de mon corps, pureté ; en même temps, elle affirme dans L'écriture comme un couteau : « Je vis, je pense et je sens de façon matérialiste, sur fond de néant, et c'est d'ailleurs ce qui me pousse à laisser le témoignage d'une trace dans l'histoire. Ne pas être venue au monde pour rien, inutilement » 1282 . Malgré l'aspect utilitaire de sa littérature, elle se garde néanmoins de prendre la place d'un sociologue ou d'un scientifique en expliquant qu'« il n'est pas de son intention de l'analyser comme les sociologues, sans exprimer l'émotion qui est à l'origine de l'écriture, 1283.

. Dans-ses-récits, existence sociale par une écriture qui la réjouit et qui lui fait peur en même temps (« C'est là la jouissance, l'effroi de l'écriture, ne pas savoir ce qu'elle fait arriver, advenir » 1284 ), mais qu'elle trouve nécessaire (« Cela dit, prendre comme objet d'écriture un réel généralement ignoré de la littérature, ou traité de façon accessoire m'est apparu également comme une nécessité » 1285 ) Elle oblige ainsi par son écriture à regarder le monde, à observer ce qui nous entoure, le monde que souvent

. Entretien-d-', Annie Ernaux avec Marie Million-Lajoinie (sociologue) aux sujets des journaux extérieurs Annie Ernaux : une oeuvre de l'entre-deux, p.261

P. Fort, Violaine Houdart-Merot, Annie Ernaux, un « engagement d'écriture, p.8, 2015.

«. Mais-si-un-roman-est-aussi-embêtant and . Qu, un bouquin scientifique, bonsoir, il n'y a plus d'Art » 1299, pp.15-1861

W. Marx and L. La-littérature, Ces discours plus ou moins déclinistes surviennent à une époque soumise aux changements économiques dans le monde éditorial, le livre étant considéré un bien de consommation comme un autre : « Désormais, la valeur de la littérature française se mesure à l'aune de sa présence sur le marché de la mondialisation, et L'Enfer du roman. Réflexions sur la postlittérature, 2005.

. Cf, Gisèle Sapiro, La sociologie de la littérature, p.37

O. Cf and . Bessard-banquy, « Fins de la littérature ou crise de la lecture ?, Dominique Viart, p.179

J. Voir and . Bouveresse, La Connaissance de l'écrivain : sur la littérature, la vérité et la vie, littérature en péril, 2007.

W. Cf and . Marx, Est-il possible de parler de la fin de la littérature ?, Dominique Viart, pp.30-31

. Voir-ottmar-ette, les textes programmatiques qu'il a publiés dans la revue Lendemain, Literaturwissenschaft als Lebenswissenschaft. Eine Programmaschrift im Jahr der Geisteswissenschaften, 2007.

L. Voltaire and . Servan, OEuvres complètes, Correspondance générale, pp.654-655, 1766.

N. Wolf and . De-quoi-robbe, Grillet est-il la fin ?, Dominique Viart, pp.87-88
DOI : 10.3917/arco.viar.2012.01.0079

L. Nouvelle-critique and R. , Barthes semble être le guide intellectuel et spirituel (« je n'ai produit que des essais, genre ambigu où l'écriture le dispute à l'analyse » 1342 ), connaîtra un grand succès dans les années 1960, une période marquée à la fois par le prestige de la littérature, par le foisonnement des nouvelles formes d'écriture, mais aussi par l'essor des nouvelles technologies. Le Nouveau Roman et la Nouvelle Critique confirment la tendance de la littérature à ne plus « servir » la société, gagnant ainsi en autonomie et créant son propre champ social et sa propre histoire, contre l'histoire réelle du monde social, La littérature va vers elle-même, vers son essence qui est la disparition, 1343.

J. Mecke and «. L. , Historicité de l'historicité de la littérature contemporaine, Dominique Viart, pp.115-116

. Mêmes-dominations-À-la-même-Époque, Cette attitude quasi-scientifique, le désir d'objectivité ressortent précisément de l'écriture d'Annie Ernaux : La dispositio plate de l'écriture chez Annie Ernaux, qui s'annonce en modestie quasiment alittéraire , comme une sorte de voie négative (« Je souhaite rester, d'une certaine façon, audessous de la littérature », dans Une femme ; « Horreur d'imaginer un livre sur elle. La littérature ne peut rien », dans Je ne suis pas sortie de ma nuit), mais qui ne lâche rien sur sa nécessité, 1348.

A. Ernaux-dépasse-ainsi-son-for-intérieur, sa subjectivité afin de devenir ethnographe de son milieu d'origine et reconstituer le cadre social de sa jeunesse, avec ses règles, ses expressions de langage et ses conventions Qu'il s'agisse de la détermination sociale ou de la sexualité, les deux représentent pour l'écrivaine des mécanismes puissants pour l'expression des réalités sociales

M. Sheringham and A. Ernaux, le temps et l'archive dans Les Années, Dominique Viart, p.180

J. Meimoz, A. Ernaux, ». Et-mémoire-collective, D. Viart, and L. Demanze, Fins de la littérature ?, tome I, pp.192-193

D. Viart and . Fictions, La littérature contemporaine et la question du politique, Formes de l'engagement littéraire XVème ? XXIe siècles, p.297, 2006.

I. Citation-tirée-de and . Charpentier, Quelque part entre la littérature, la sociologie et l'histoire?L'oeuvre autosociobiographique d'Annie Ernaux ou les incertitudes d'une posture improbable, ConTEXTES), p. 10 BIBLIOGRAPHIE I. SOURCES APOLLINAIRE, Guillaume, OEuvres poétiques, 1962.

B. and H. De, Introduction aux « Études des moeurs, p.1835

R. Barthes, Le degré zéro de l'écriture, 1969.

R. Barthes, Introduction ?? l'analyse structurale des r??cits, Communications, vol.8, issue.1, 1981.
DOI : 10.3406/comm.1966.1113

B. and S. De, Le deuxième sexe, 1949.

B. and S. De, Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958.

B. , L. De, . Oeuvres-complètes, S. Bruxelles, and . Nationale, 1845, volume VII BONALD, Louis de, OEuvres complètes, Paris, l'Abbé Migne, 1859, 1864, volumes II et III BONALD, Écrits sur la littérature), 2010.

B. , P. , and P. Jean-claude, Les héritiers, les étudiants et la culture, 1964.

B. and P. Jean-claude, La reproduction, éléments pour une théorie du système d'enseignement Paris, 1970.

P. Bourdieu, La domination masculine, Actes de la recherche en sciences sociales, vol.84, issue.1, 1998.
DOI : 10.3406/arss.1990.2947

B. and R. De-la, Les Contemporaines ou aventures des plus jolies femmes de l'âge présent, Leipzig, édition Büschel, 1781, volume II BRETONNE, Rétif de la, L'Andrographe : ou idées d'un honnête homme sur un projet de règlement, p.1782

B. and R. De-la, Genève : Slatkine, 1979, volume III BRETONNE, Rétif de la, Le paysan perverti, 1994.

C. De, C. , and J. , Cinq mémoires sur l'instruction publique, 1994.

C. , F. De, L. Du-christianisme, and . Lyon, Imprimerie Ballanche père et fils, 1804, tome V CHATEAUBRIAND, François René de, Essai sur les révolutions, p.1852

V. Cousin, Discours prononcé à l'ouverture du cours de l'histoire de la philosophie, p.1816

D. and J. Le-rond, Discours préliminaire de l'Encyclopédie, 2000.

D. and P. H. Thiry, La théologie portative ou Dictionnaire abrégé de la religion chrétienne, p.1768

L. and F. De, Paroles d'un croyant, 1920.

L. , P. , X. Leclerc-buffon, and G. , Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique, Paris, éditions Administration du grand Dictionnaire universel, p.1866, 1875.

M. , J. , O. Paris, and L. Grecque, Latine et française, p.1829

M. , S. Oeuvres-complètes, . Paris, . Gallimard, and . Collection-bibliothèque-de-la-pléiade, tomes I et II MALRAUX, André, L'homme révolté, 1951.

P. and P. Joseph, De la justice dans la révolution et dans l'église, p.1860

P. and P. Joseph, De la capacité politique des classes ouvrières, p.1873

R. and M. De, Discours sur la religion, la République et l'esclavage, 2016.

R. , J. Oeuvres-complètes-paris, . Gallimard, I. Bibliothèque-de-la-pléiade, and J. Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, 1964.

. Genève, °, édition en ligne www.rousseauonline.ch, pp.1780-1789, 2012.

S. and C. Henri-de, Le Nouveau Christianisme et les écrits sur la religion, 1969.

S. , G. De, T. I. De-la-littérature, I. Staël, and G. De, considérée dans ses rapports avec les institutions sociales, Paris, édition critique par Paul Van Tieghem, Des circonstances actuelles qui peuvent terminer la révolution et des principes qui doivent fonder la république en France, 1959.

V. and A. De, Journal d'un poète, Paris, les éditions d'Aujourd'hui, p.1885

Z. , É. Oeuvres-complètes, and I. , Le scandale de l'Assommoir, pp.1877-1879, 2006.

A. and T. Wiesengrund, Prismes, critique de la culture et société, traduction de Geneviève et Rainer Rochlitz, 2003.

A. Bouvier-florence-clerc, M. Barthélémy, and . Kohlhauer, L'homme comme projet inachevé, 2013.

B. and P. De, De la littérature française pendant le XVIIIe siècle, p.1824

A. Bégué, État présent des études sur Rétif de la Bretonne, p.1848

P. Bénichou, Le sacre de l'écrivain 1750 ? 1830 : essai sur l'avènement d'un pouvoir spirituel laïque dans la France moderne, 1996.

B. and C. Du, Qu'est-ce que la littérature ?, 1945.

B. and G. Polier-de, Pensées chrétiennes mises en parallèle ou en composition avec les « Pensées philosophiques, p.1747

J. Bouveresse, La connaissance de l'écrivain sur la littérature, la vérité et la vie, 2008.

E. Bury, Littérature et politesse : l'invention de l'honnête homme 1580 ? 1750, p.364, 1996.

C. and L. La, Comédie humaine, document d'histoire ? » in Revue historique, 1964.

G. Cohen, Essai d'explication du « Cimetière marin » (précédé d'un avant-propos de Paul Valéry au sujet du Cimetière marin), 1933.

C. , A. , and U. Baudelaire, Sainte-Marguerite-sur-Mer, Équateurs, p.2015

G. Lanson, Essais de méthode, de critique et d'histoire littéraire, 1965.

W. Lepenies, Les trois cultures (entre science et littérature l'avènement de la sociologie, des sciences de l'homme, 1990.

L. Day and «. L. , écriture dans l'entre-deux temporel : une étude de l'Événement », in Fabrice Thumerel, Annie Ernaux : une oeuvre de l'entre-deux, 2004.

L. and J. De, Observations sur les savants incrédules et sur quelques-uns de leurs écrits, p.1762

M. , G. , and A. Ernaux, ethnologue organique de la migration de classe Annie Ernaux : une oeuvre de l'entre-deux, 2004.

R. Morin, Les pensées philosophiques de Diderot devant leurs principaux contradicteurs au XVIIIe siècle, 1975.

F. Thumerel and A. Ernaux, une oeuvre de l'entre-deux, 2004.

O. , J. Lecture, and . Critique, Annales de la Faculté des lettres et sciences humaines de Nice, Réflexions et recherches de nouvelles critiques, 1969.

S. , C. Augustin, . Causeries-du-lundi, G. Paris, V. Frères et al., Les Grands Écrivains français : études des Lundis et des portraits : XIXe siècle : philosophes et essayistes, 1860.

G. Sapiro, « Figure de l'écrivain irresponsable : le procès de Céline

A. Schaffner and R. Tettamanzi, Céline à l'épreuve. Réceptions, critiques, influences, 2016.

A. Sayad, La double absence : des illusions de l'émigré aux souffrances de l'immigré, 1999.

E. Seys, Ces femmes qui écrivent, p.2012

T. , F. , and A. Ernaux, une oeuvre de l'entre-deux, 2004.

A. Vaillant, Histoire de la littérature française du XIXe siècle, 2006.

A. Viala, Lettre à Rousseau sur l'intérêt littéraire, p.370, 2005.
DOI : 10.3917/puf.viala.2005.02