F. D. Première-partie, Dire le tout, l'infini et l'indéfini Chapitre 3 : La Variatio de Lucrèce Lucretius on atomic motion, a comentary on De rerum natura, p.203, 1947.

L. R. Ce-risque-est-parfaitement-bien-considéré-dans-l-'étude-de and ». De-la-poussière-dans-la-lumière, Etudes sur la vision dans l'antiquité classique, Cf. SETAIOLI A., « La similitude comme instruments de démonstration chez Lucrèce », Pallas 130. L'auteur conclut à la même réserve de Lucrèce sur l'analogie et en démontre également l'influence sur Virgile, p.159, 2005.

K. E. Deuxième-partie-voir, Avoir une vision d'ensemble de l'infini Chapitre 5 : Conceptualiser l'infini CAT. 64. L'épyllion des noces de Thétis et Pélée fait clairement allusion à cette oeuvre alexandrine, pp.307-314, 2007.

G. A. Selon-l-'auteur-de-la-troisième-partie-voir and . Fama-deum, Embrasser l'infini Chapitre 7 : Épicure, héros de l'infini 1092 LUCR. I 80-101 et p. 312 et « Lucrèce : tradition poétique et combat éthique Le jardin romain. Epicurisme et poésie à Rome, Mélanges offerts à Mayotte Bollack Sur l'analyse de ce passage et la critique de la pietas, voir GIGANDET, Fama Deum 1094 LUCR. V 1203 : placata posse omnia mente tueri. 1095 Toutes les occurrences de ce terme sont employées lors de critiques de la religion. Mais Lucrèce utilise également un vocabulaire sacré et religieux pour parler des apports bénéfiques de l'épicurisme qu'il place au dessus des oracles de la Pythie : qua prius adgrediar quam de re fundere fata / sanctius, et multo certa ratione magis quam, Lucrèce et les raisons du mythe Lucrèce et les raisons du mythe, pp.24-174, 1998.

S. C. Voir and M. Infinito-lucreziano, De rerum natura, I 951-1117, pp.44-1098, 1978.

. Aen, VII 609-610 : centum aerei claudunt uectes aeternaque ferri / robora, nec custos absistit limine Ianus ; I 293-294 : compagibus artis / claudentur Belli portae. Cf. Ennius : Belli ferratos postes portasque, vers cité par Servius, Aen. II, vol.661, p.454

B. C. Titi-lucretii-cari, De rerum natura libri sex, éd., trad. anglaise et comment, et BROWN P. M., Lucretius : De Rerum Natura book III, pp.793-100, 1947.

. Troisième-partie, Lucrèce, peintre et chantre de l'infini Des Enéades la génitrice, plaisir des hommes et des dieux, Vénus nourricière, sous les astres glissants du ciel, Toi qui sans cesse peuples la mer porte-navires et les terres frugifères, Puisque par toi toute espèce d'êtres vivants Se forme, paraît et contemple la lumière du soleil, C'est toi, déesse, toi que fuient les vents, toi que fuient les nuages du ciel Ainsi que ton arrivée, c'est pour toi que la terre artiste De douces fleurs fait surgir

. Alors, bondissent à travers les gras herbages Et traversent les fleuves impétueux, tant pris par ta grâce

. Enfin, les monts et les fleuves déchaînés, Les demeures porte-feuilles des oiseaux et les plaines verdoyantes, Tu lances à tous l'amour caressant dans le coeur

. Et-puisque-toi-seule, Que sans toi rien ne paraît aux rivages divins de la lumière Et que rien n'arrive de joyeux, ni d'aimable, J'aspire à t'avoir pour alliée dans l'écriture de mes vers. Car je m'efforce de les composer sur la nature des choses, Pour un des Memmiades, cher à nous deux, puisque toi, déesse, en tout temps

F. P. Sur-l-'équilibre-entre-les-deux-dieux-et-le-début-et-la-fin-du-poème,-voir, ». Lucretius-conclusions, G. M. Lucretius, . Oxford, and . Oup, 1198 LUCR. I 31. 1199 LUCR. I 32-33 ; 41. 1200 Nous reviendrons plus longuement sur les allégories de Vénus et de Mars, représentant deux infinis, dans notre étude sur l'absolu de l'espace p. 449 et suivantes. 1201 LUCR. VI 1138-1286, Cf. VI 1144 : Inde cateruatim morbo mortique dabantur. L'adverbe cateruatim nous paraît ambigu : porte-t-il sur les êtres vivants ou sur la maladie et la mort ? 1202 LUCR. III 31-93 et plus encore les supplices infernaux sur terre, pp.201-978, 2007.

T. Rome, . Et-recherches, and I. Lille, 1220 LUCR. II 557-559 et III 842 Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1234 LUCR. V 380-395. Nous avons là d'autres exemples de destructions diluviennes du monde. Mais nous avons aussi une autre fin envisagée, n'en déplaise à E. de Saint-Denis : celle du feu qui assoiffe et dessèche. Cette image nous paraît devoir être reliée à l'amour qui est ardent et brûle, donc détruit, comme celui de Mars pour Vénus, MONET A. (éd.), Le Jardin romain, épicurisme et poésie à, pp.201-222, 2003.

. Troisième-partie, Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1246 SCHRIJVERS P. H., « Le regard sur l'invisible : étude sur l'emploi de l'analogie dans l'oeuvre de Lucrèce, pp.255-288, 2007.

R. A. Voir, . J. Histoire-et-imaginaire-de-la-peinture-ancienne-v-e-siècle-av, . Rome, P. B. Ecole-française-de-rome, . Eichel-lojkine-p et al., L'auteur note que les images picturales lucrétiennes n'ont pas qu'une fonction mnémotechnique : elles permettent de mieux lire les principes Il nous semble que l'auteur a, dans ce cas, l'intuition de la préconception épicurienne et de la puissance de la poésie dans l'acquisition de connaissances que nous développons plus bas, p. 485 et suivantes. 1248 LUCR. I 14. 1249 Il ne s'agit pas de prétendre que Lucrèce dresse une exégèse allégorique dans cet hymne. Comme l'exprime fort bien A. Gigandet qui se fonde sur les mythes qu'exploite Lucrèce, le poète à travers l'allégorie « ne dit pas la vérité du sens mais la vérité sur le sens ». Voir GIGANDET A., « L'interprétation épicurienne des mythes est-elle allégorique ?, L'allégorie de l'antiquité à la renaissance congrès et conférences sur la Renaissance Lucrèce et l'épicurisme, pp.369-379, 1963.

. Troisième-partie, Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1271 SCHRIJVERS P., Lucrèce, horror ac diuina uolouptas, Études sur la poétique et la poésie de Lucrèce, Amsterdam, A.M. Hakkert, vol.9, pp.195-324, 1970.

D. D. Voir-Également and . La-parole-et-la-musique-chez-philodème-de-gadara, Dire l'évidence, Paris, L'harmattan Mais l'auteur conclut que Philodème distingue la dimension consolatrice de la parole et la dimension purement sensuelle de la musique au nom de la canonique épicurienne. Son entreprise s'insère dans le rejet épicurien de l'éducation traditionnelle. La musique possède un caractère a-rationnel pour Philodème : les mélodies ne peuvent rendre compatissantes des âmes qui ne le sont pas (col. 147) Lucrèce ne nous paraît pas entièrement partager l, pp.177-194, 1997.

S. J. Voir and . Tel-un-dieu-parmi-les-hommes, D'après l'auteur, l'amitié épicurienne est l'objet d'un désir naturel et nécessaire : l'ami est considéré comme un alter ego naturel ; le moi doit s'effacer pour respecter l'autre et pour qu'une confiance réciproque soit établie, Selon les auteurs, les amis ont échangé leurs atomes constitutifs. Nous pensons que ce vide infini mis en évidence entre les amis permet ce respect et cet échange, pp.159-167, 1989.

B. P. and G. A. Fama-deum, l'auteur insiste sur « les boucles » du poème ; MÜLLER G., « The conclusions of the Six Books of Lucretius, Lucrèce et les raisons du mythe, pp.395-408, 1998.

K. , T. Poetics-of-latin-didactic, . Lucretius, . Vergil, . Ovid et al., « making a texte of the universe : perspectives on discursive order in the De rerum Natura of Lucretius377 : l'auteur exploite la fusion éventuelle du poème avec l'Univers ; FOWLER P. « Lucretian conclusions : le poème a une construction périssable. ; MÜLLER G., op. cit., p. 251- 254 : l'auteur s'attache à démontrer le lien entre la peste d'Athènes et l'argumentation éthique de la philosophie épicurienne : toute chose est mortelle, Lucretius, Oxford, OUP Lucretius and the poetics of the void, pp.78-209, 2002.

J. Voir-notre-Étude-sur-le-vocabulaire-de-la-totalité-de-celle-dressée-par, V. Kany-turpin, I. De-architectura, P. P. Boyance, . Lucrèce et al., Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1322 Il est évident que la transmission du texte au fil des siècles a engendré des redites fautives. Mais cette technique est si présente dans le poème que toutes ses répétitions ne sont pas une preuve de l'inachèvement de l'oeuvre. Elle correspond au modèle poétique de Lucrèce, Empédocle et à la doctrine épicurienne qui veut que l'on ait constamment celle-ci à l'esprit. 1323 SCHRIJVERS P. H., Lucrèce, horror ac diuina uolouptas, Études sur la poétique et la poésie de Lucrèce Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 130-131, GIGANDET A., Fama deum, Lucrèce et les raisons du mythe SHUSTERMAN R. (ed.), L'infini, pp.126-148, 1315.

C. La-totalité,-de-l-'imaginaire-au-symbolique, C. Seyssel, and . Vallon, Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini degitur hoc aeui quod cumque est! nonne uidere nihil aliud sibi naturam latrare, nisi ut qui corpore seiunctus dolor absit, mente fruatur iucundo sensu cura semota metuque 1345 ?, pp.269-293, 1998.

. Il-est-doux-sur-la-mer-grande, quand les vents agitent l'étendue liquide De regarder depuis la terre les grands efforts d'autrui, Non parce que la souffrance de quelqu'un est un plaisir agréable, Mais parce que les maux dont on est soi-même exempt

. Scipion-en-retire-des-bénéfices-pour-la-pratique-politique and A. J. Voir, Mais ce traité est rédigé en 54 avant notre ère, au moment où est apparemment édité le poème de Lucrèce par l'orateur-philosophe. Nous pensons donc que Cicéron a pu s'inspirer du poète pour décrire cette vision cosmique, Le songe de Scipion de Cicéron et sa tradition, Les Etudes philosophiques Ut Ait Lucretius : die Lukrezrezeption in der lateinischen Prosa bis Laktanz : « die Dichtung dez Lukrez, seine Ausdrucksweise, schient Cicero also zu schätzen, ihn aber inhaltliche korrigieren bzw übertreffen zu wollen, pp.455-469, 2001.

. Troisième-partie, Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini Car dès que ta philosophie a commencé à dire haut et fort La nature des choses, née de ta pensée divine, Se dispersent les terreurs de l'esprit, les murs du monde S'écartent

. Apparait-la-majesté-des-dieux-ainsi-que-leur-calme-séjour, Que n'ébranlent les vents, que de pluie les nuages N'arrosent, que la neige épaisse au gel cuisant De sa blanche chute ne profane et que toujours un ciel sans nuages Recouvre et qu'une lumière répandue illumine d'un large sourire : La nature en outre leur fournit

. Epicurisme-et-poésie-À-rome, Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1355 LUCR. I 8-9. Voir BROWN P. M., Lucretius : De Rerum Natura book III, Commentary, Warminster, Aris & Phillips Ltd 1356 E. de Saint-Denis entend diuina uoluptas sans connotation au divin et s'il écarte à juste titre les traductions comme religieuse ou mystique, il choisit l'expression divine volupté au sens de complète, parfaite, Voir SAINT- DENIS E. (de), « Lucrèce, poète de l'infini Information littéraire Il nous semble que la connotation divine est bien présente et qu'il faut comprendre diuina uoluptas comme volupté de dieu car parfaite. Voir p, pp.173-95, 1963.

E. Et-en, eau se meut et s'écoule sous une si légère impulsion Parce qu'elle est formée d'éléments arrondis et petits

. Le-miel-se-comporte, comme un fluide newtonien classique mais il s'écoule plus lentement que l'eau et s'écoule avec moins de turbulences Il oppose une plus grande résistance au mouvement. Cela provient du maillage des molécules d'eau et de sucre plus denses. L'image lucrétienne pour la poésie nous semble fort bien convenir et en adéquation avec la physique épicurienne et la recherche de l'ataraxie. Voir notre développement p. 505 et suivantes. 1365 Quarum pose une difficulté. C. Bailey lit quorum en indiquant que res est envisagé comme un neutre rerum natura libri sex, éd., trad. anglaise et comment, p.1021, 1947.

K. R. Hakkert, Comment peut-on être dieu ? La secte d'Épicure Épicure nourrit ses disciples à la fois de sa parole et de son pain, dans la mesure où l'écot auquel il astreint tous les membres de la secte sert de base à une redistribution équitable en fonction des besoins. Et il rend service à ses disciples par son enseignement. L'auteur se fonde sur le verbe chraô et ses dérivés dans un fragment d'Herculanum, Memorie Épicuree, col XXV Militello. 1372 LUCR. III 12. Voir SCHRIJVERS P. H., Lucrèce, horror ac diuina uoluptas, Études sur la poétique et la poésie de Lucrèce, Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, pp.137-138, 1970.

. Philodème, 141 : la musique est un plaisir et un enrobage En ce qui concerne la poésie, cf

G. A. Voir, tradition poétique et combat éthique, Le jardin romain

. Epicurisme-et-poésie-À-rome, 182 : l'auteur estime à juste titre, selon nous, que l'entreprise lucrétienne réplique aux trois objections du maître : la poésie peut dénoncer le muthos tout en s'en servant, 2003.

. Troisième-partie, Lucrèce, peintre et chantre de l'infini Quand ce qui est doux pour quelqu'un, pour les autres devient amer, C'est parce que pour celui-là à qui il est doux, des corps très lisses doivent Entrer de façon resserrée dans les conduits de son palais, Mais au contraire, pour ceux à qui le même aliment est désagréable à l'intérieur de la bouche

L. Ii, Voir CLAY D., «Lucretius' Honeyed Muse» Le jardin romain, Epicurisme et poésie à Rome, vol.3, pp.398-407, 2003.

. Troisième-partie, Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1384 LUCR. III 191-195. Voir notre étude plus haut, p. 500. Les commentateurs s'attachent davantage à étudier le rôle illustratif de ce passage par rapport à l'argumentation générale de Lucrèce, Voir BROWN P. M

. Cette-Énigme-est-censée-Être-résolue-par-les, K. Voir, . Lucrèce, and . De-rerum-natura, note 44, p. 508. L'ambition de Lucrèce est peut-être de participer à sa manière à la résolution d'une énigme aussi difficile, Le jardin romain. Epicurisme et poésie à Rome, Mélanges offerts à Mayotte Bollack, pp.194-196, 1993.

. Bien, auteur relie les passages physiques sur le miel et la fonction poétique par le biais du goût et du Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini rapprochement sapor/sapientia, il ne prend pas en compte l'extrait du livre III sur les capacités adhérentes du miel en comparaison avec la fluidité de l'eau. 1387 GIGANDET. A. « Lucrèce : tradition poétique et combat éthique, Le jardin romain

. Epicurisme-et-poésie-À-rome, Mélanges offerts à Mayotte Bollack, Nous ne pensons pas que Lucrèce renonce au caractère oraculaire de la poésie, p.182, 2003.

C. Le and . Gigandet, La poésie, comme il le soutient, n'est plus là pour rendre les oracles des dieux Mais d'après moi, il peut rendre l'oracle d'Épicure, semblable à un dieu. 1388 AQUIEN M., Dictionnaire de poétique, Paris, livre de poche, ARSTT. Poét. 1447 b. L'auteur fait de la métrique la marque de la poésie. Pourtant il dénie à Empédocle qui utilise l'héxamètre, le nom de poète pour lui accorder le titre de naturaliste. 1391 ARSTT. Poét. 1458 a. ?????? ?? ????? ???? ??? ?? ???????? ?????. ????????? ??? ??? ????? ? ?? ??? ?????? ????????, ???? ???????·?????????? ?? ? ?????????? ??????? ??? ? ????????. ????? ?? ??? ???????????? ?? Troisième partie : Embrasser l'infini Chapitre 9 : Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1394 AQUIEN M., Dictionnaire de poétique, pp.7-9, 1390.

. Notre-Étude-sur-le-lexique-de, 1398 La proximité de ce passage avec l'éloge de la poésie ne peut être que significative, comme le remarque également GIGANDET A. in « Lucrèce : tradition poétique et combat éthique Le jardin romain Epicurisme et poésie à Rome, Mélanges offerts à Mayotte Bollack : le langage est une physique car il « est d'abord dans les corps ». Le langage reflète la physique car il est issu de la physique atomique, La naissance de la physique dans le texte de Lucrèce, Fleuves et turbulences, p.186, 1977.

. Troisième-partie, Lucrèce, peintre et chantre de l'infini 1406 CIC. De or. III 152-170. 1407 VARR. L.L. VI 36-39 : Quare si etymologus principia uerborum postulet mille, de quibus ratio ab se non poscatur, et reliqua ostendat, quod non postulet; tamen immanem uerborum expediat numerum. 1408 Philodème, Des Poèmes, livre IV col. VI 12-20. Traduction de G, Arrigheti in « L'épicurisme de Philodème et de Lucrèce face aux théories littéraires hellénistiques : quelques problèmes Le Jardin romain, pp.141-143

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