. Max-joue-au, ping-pong contre l'automate, 71 Fragments d'une chronologie du hasard

«. Au-début, je vois : ce garçon il joue. Après, je m'amuse. Après, je deviens furieux. Après, je suis fatigué et après

C. 'est-une-question-cinématographique-aussi, L'image se prolonge et dans sa durée, instaure la priorité du sensible sur l'intelligible. Cette image ne s'intègre pas dans une structure classique

F. Comme-le-remarque and . Niney, « [?] le film devient pour le spectateur non plus une représentation mais l'expérience d'une traversée des conditions humaines. Ainsi s'inaugure un trait persistant du cinéma moderne, p.511

L. 'image-devient-expérience, Cette image est le prolongement de l'idéal d'André Bazin 512 pour qui le propre de l'image cinématographique est d'être une empreinte de l'objet dans sa durée. Une image dans laquelle « c'est le temps en personne qui surgit », d'après l, p.511

G. Deleuze and L. , Image-temps, op. cit, p.358

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«. Ce-que, ensemble résolument hétérogène comportant des discours, des institutions, des aménagements architecturaux, des décisions réglementaires, des lois, des mesures administratives, des énoncés scientifiques, des propositions philosophiques, morales, philanthropiques ; bref, du dit aussi bien que du non-dit, voilà les éléments du dispositif. [?] Le dispositif a donc une fonction stratégique dominante [?] il s'agit là d'une certaine manipulation de rapports de force, d'une intervention rationnelle et concertée dans ces rapports de force, soit pour les développer dans telle direction, soit pour les bloquer, ou pour les stabiliser, les utiliser. Le dispositif, donc, est toujours inscrit dans un jeu de pouvoir, p.522

. Jean-françois, Bert attire l'attention sur le fait que pour Foucault, « tout l'intérêt de la notion de dispositif, est de lui permettre de penser les pratiques et, p.523

S. Sur-la-sémantique-structurale-de-algirdas-julien and . Greimas, Guy Lochard 526 , considère que : « [?] le potentiel de signification de cette unité lexicale (le dispositif) résulte de la conjonction de trois sèmes : -un sème de spatialité qui peut prendre forme sous les figures de la constellation, de la configuration ou de l'agencement ; -un sème de systématicité, renvoyant à l'exigence de cohérence entre différents paramètres ; -un sème d'intentionnalité agissante qui

S. Meunier, On chercherait en vain un rapport interpersonnel qui ne soit pas dépendant d'un dispositif. », les dispositifs ne sont pas isolables, ils « s'enchâssent au contraire les uns dans les autres, constituant un vaste réseau à l'intérieur duquel on est toujours situé. ». D'où l'inquiétude de certains par rapport aux dispositifs qui agissent comme « régulateurs » dans la vie réelle 528 . Des dispositifs en a toujours eu : l'église, l'école, la prison

. En-ce-qui-concerne-le-cinéma, il nous semble légitime de parler du dispositif de réalisation, vu que toute réalisation cinématographique procède d'un agencement d'éléments hétérogènes, tels des appareils techniques d'enregistrement des images et du son, l'implication des êtres humains, p.524

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M. Feodor, L. F. Dostoïevski, . Karamazov, . Paris, and . Gallimard, Folio classique La phrase citée n'existe pas sous cette forme concise dans le roman. L'idée et sa formulation sous différentes formes traversent le texte. Ivan Karamazov dit au starets Zosime : « Oui, je crois qu'il n'y a pas de vertu sans immortalité, pp.118-135, 2007.

. Aliocha, 740 : Dmitri à Aliocha : « Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par consé quent , tout est licite ?puisque "tout est permis". C'est vous qui m'avez en effet appris et souvent expliqué cela : si Dieu n'existe pas, il n'y a pas de vertu, et elle est inutile. » ; p. 808-809 : le diable dans l'hallucination d'Ivan : « ...comme Dieu et l'immortalité n'existent pas, il est permis à l'homme nouveau de devenir un homme-dieu, fût-il seul au monde à vivre ainsi. Il pourrait désormais, d'un coeur léger, s'af franchir des règles de la morale traditionnelle, auxquelles l'homme était assujetti comme un esclave. [?] Tout est permis, un point, c'est tout !... », souligné par l'auteur. Au fond, c'est une idée chrétienne, Dieu comme source de toute vertu, que Dostoïevski retourne, en la reléguant à son personnage athée. Jean-Paul Sartre reprend et retourne une deuxième fois cette même idée dans L'Existentialisme est un humanisme Dostoïevski avait écrit : « Si Dieu n'existe pas, tout serait permis. » C'est là le point de départ de l'existentialisme. En effet, tout est permis [?], et par conséquent l'homme est délaissé [?], pp.788-827, 1945.

«. Ce-que-l-'on and . Veut, faire subir un entraînement à la sémiosis ou interpréter un texte » 713 Les films de Michael Haneke incitent à une traversée de différentes interprétations, mais il serait dommage d'utiliser leur ouverture pour les ramener aux stéréotypes contre lesquels ils combattent. Christian Metz attirait déjà l'attention sur un pareil malentendu qui pouvait se fonder sur la séparation de signifiants des signifiés, pp.36-37, 1997.

L. Pianiste-par-françois-guillaume-lorrain, « La musique n'adoucit pas les moeurs » Le Point, 2001.

«. Pour-la-différence-entre, ». , «. , ». , and U. Eco, Lector in fabula 130 : « ...la vieille opposition énoncée par les formalistes russes entre fabula et « sujet ». La fabula, c'est le schéma fondamental de la narration, la logique des actions et la syntaxe des personnages, le cours des événements ordonné temporellement. (?) Le « sujet », c'est en revanche l'histoire telle qu'elle est effectivement racontée, telle qu'elle apparaît en surface, avec ses décalages temporels, ses sauts en avant et en arrière (anticipation et flash-back), ses descriptions, ses digressions, ses réflexions entre parenthèses, Cf. Iouri Tynianov, « Le sujet et la fable au cinéma Poétique du film, pp.197-198

«. Obsessionnel-haneke, ». , P. Mérigeau, and N. Observateur, disponible sur : http://archives .nouvelobs.com. 749 « Cinéma d'art contre ciné gadget, p.5, 2000.

. Caché-est-aimé-dès-le-début, A mi-parcours du Festival [de Cannes], la plupart des critiques donnaient le film de Michael Haneke favori pour la Palme. [?] Ce film énigmatique [?] se retrouve en tête des classements établis par les revues spécialisées Screen et Le Film français lundi 16 mai. L'avis des panels de critiques réuni par ces publications concorde 794 « Cinéaste du mal ?, 2009.

. Caché-par-le-nouvel and . Observateur, « Très bon accueil pour Caché d'Haneke » mai 2005 ; disponible sur: http://tempsreel.nouvelobs.com.. 799 « Un secret ravageur », Caché par Le Point, octobre, vol.disponible sur, 2005.

L. De-caché-surprend.-romain-le-vern-se-demande, inverse des autres opus du cinéaste, ne divise pas les spectateurs ? » 801 . L'unanimité n'est cependant pas absolue Alors que certains acceptent l'absence d'éclaircissement de l'énigme dans le film, d'autres s'obstinent à chercher la réponse et en trouvent une, trop rapide, à notre sens : « Mais restera alors entière la question de savoir qui a filmé. [?] L'ubiquité, le harcèlement ne peuvent être autres que ceux du cinéaste, soit. Mais d'avantage qu'une mise en abîme fastidieuse, c'est l'aveu d'un cinéaste qui révèle sa cruauté puérile, son plaisir à cadrer, à jouer des durées, à multiplier les miroirs. » 802 . L'interprétation de Positif est similaire, mais sans le coloris négatif des Cahiers du cinéma : « Michael Haneke a retrouvé la puissance d'évocation de ses premiers films autrichiens [?] pour autopsier le malaise d'une société bourgeoise, Comment expliquer le si grand engouement pour son nouveau film qui peu comme si Hitchcock avait lu ses entretiens avec Truffaut avant de commencer à faire du cinéma !, p.803

. La-réception-de-caché-est-facilitée, par la lecture axiologique fonctionnant sur l'axe historico-politique, basée sur le fait historique, inclus dans le récit du film : « Le réalisateur autrichien Michael Haneke révèle dans Caché un passé français qui ne passe pas. » 804 , « La barbarie dont il est question a ici des racines historiques. Les fantômes de la guerre d'Algérie sont visiblement encore là. Ils imprègnent le passé des protagonistes et constituent une des clés de l'énigme. Et l'on devine que c'est un sourd remords qui empoisonne le héros, celui du petit Occidental que l'Histoire et son cortège de terreurs et d'horreurs ont épargné. » 805 . Ainsi que : « Le trouble est d'autant plus grand, qu'il ne porte pas seulement sur un conflit entre deux enfants mais ressort des événements de la guerre 800

. Georges, Il apparaît comme une preuve que l'auteur ne se comporte en juge envers personne, sinon ce personnage d'un potentiel fortement négatif ne serait pas construit d'une manière si complexe

. Haneke-puisque-c, est là sa marque de fabrique -, mais les quelques lueurs d'espoir que le film réserve, malgré tout : la romance attendrissante de l'instituteur rougissant et de sa dulcinée villageoise ; le geste d'amour absolu de ce petit garçon qui offre un oiseau à son père tortionnaire, Ces éclats de bonté bouleversent... » 809

L. Michael, Haneke qui a été souvent interprétée comme pessimisme ou comme une obsession dans la recherche du mal, est enfin justifiée aux yeux des critiques par le sujet de son dernier film, Le Ruban blanc : « Michael Haneke est un rigoriste. Un exigeant. Un moraliste sombre. Dans ses films les plus réussis (Benny's Video, Caché) ou franchement discutables (Funny Games), il n'a fait que filmer la violence à l'oeuvre

. Chez and . Il-se-répand-comme-un-gaz-invisible, Il s'attrape comme un virus mortel Cette fois, il en traque l'origine. Il en dévoile les racines Il en mesure les conséquences. » 810 . C'est pourquoi, conclut un autre critique : « À ce titre, Le Ruban blanc, chronique d'une communauté de l'Allemagne du Nord protestante et roman de la gestation du nazisme, est un aboutissement logique dans la filmographie de Haneke. » 811 . Le « Mal » a retrouvé son pays d'origine, si l'on croit certains critiques, qui ne reprochent plus à l'auteur d'être « violent » ni « moralisateur ». L'axe historique sert à nouveau de base à la lecture de son dernier film, Longtemps soupçonné de fouiller le passé nazi de l'Autriche, avec Le Ruban blanc il le fait, pp.paraît-il

«. Les-reproches-et-les-malentendus,-c-'est-fait, Les articles dans la presse ne le contestent plus, ils commencent par l'exposer :bien des questions restent sans réponse", nous dit le narrateur [?] Il ne faut pas compter sur le cinéaste (et auteur du scénario original) pour dissiper ces énigmes [?] qui tient à ce que le spectateur fasse sa propre lecture, qu'aucune interprétation ne lui soit dictée, ce film impressionnant et implacable [?] assène un ton particulier, avec ses bourreaux aux yeux bleus et tignasses blondes

. Haneke-se-révèle-en-grande-forme, Son approche glaciale de ses personnages comme son sens du hors champ sont d'une efficacité redoutable pour mettre le spectateur mal à l'aise

«. Disons-le-tout and . Net, Haneke est un metteur en scène de grand talent, notamment lorsqu'il se rend libre de son propre système formel. [?] Durée et hors champ permettent à Haneke de se ranger du côté d'une mise en scène de la suggestion faisant appel à l'imaginaire et à l'activité du spectateur face à la représentation

L. Du-ruban-blanc-est-presque-unanime, « un chef-d'oeuvre et une palme d'or méritée » 817 ; « une leçon de grand cinéma » 818 ; « Michael Haneke triomphe avec ce qui est sans doute son récit le plus directement accessible, sans qu'il n'ait rien sacrifié de ses pratiques qui aiment entretenir le mystère, la provocation, la perplexité, Une toile de 813

L. Ruban-blanc and . Par-françois-guillaume-lorrain, Le Point 21, 2009.

. Et-métadiégétique, Ce ne sont que quelques points communs, des études approfondies pourraient en relever encore d'autres

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