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L. Idées-du-roman-de-toda, Raba La nouvelle idée est la vision d'une jeune femme séduisante

L. Couronne and D. Dieu, inventée par la réalité humaine dans sa diversité La poussière 670 brûlante monte en tourbillons, pénètre le corps et les cerveaux On a soif, on étouffe

!. Altara and . Le-coeur-et-les-yeux-se-rafraîchissent, Au-dessus de ces terrasses de boue et de cette masse humaine puante, Dieu éclate comme une fleur monstrueuse de cactus ? jeune, sensuel et implacable, suçant et méprisant ses racines de boue ? hommes et terrasses. L'homme altéré, exténué, qui rampe dans la poussière, lève les yeux, l'aperçoit et sourit, Ce n'est pas Dieu

. Des-chiens-halètent-dans-l-'ombre and . De, trônant sur des ânes, des femmes musulmanes, le visage couvert d'une toile épaisse, noire, passent en traînant leurs babouches éculées? Tout à coup, géante, la coupole de la mosquée surgit, toute en faïence bleu-saxe ; elle resplendit sous le soleil, telle la tente d'un sultan fabuleux, dressée en pleine boue, ruisselante de soie et d'émeraudes. On sent que le dieu qui habite une telle coupole aime cette vie terrestre et les couleurs chaudes et les femmes enveloppées? L'art et la beauté

. Amita-lève-les-yeux-671, Boukhara ! Boukhara ! Comme il a désiré cet instant ! Il ressentait comme un péché envers l'austère Moscou cette escapade sensuelle. Ne s'est-il pas juré de renoncer à l'art et à la beauté et de se dévouer tout entier au devoir sévère de l'heure présente ? Oui? Oui? mais voilà, il goûtait maintenant avec délices ce doux fruit défendu : Boukhara ! Il

«. Jette-ton and . Dieu-terrible, sur cette jeune fille superbe qui marche sur la terre ? Rahel ! Son front est le mont Fuji à l'aurore, ses yeux sont doux et sans pitié comme les yeux d'une jeune lionne qui joue? Son coeur est une fleur merveilleuse de cactus au milieu de grosses épines. Et ses petites mains tendues te tiennent

. Ibid, 89-90 -Allons, mon vieux ! Allons, mon vieux ! fais ton caprice? Demain tu verras? Tu le nommeras Lénine

K. -allons, . Métrophanovna, and . Un, deux, trois ! Il lève l'enfant dans ses bras en riant ; mais, au moment de prononcer la formule rituelle soviétique

. -je-ne-te-baptise-pas-au-nom-de-la-croix, Aime d'un même amour les travailleurs de tous les pays, de toutes les races et de toutes les couleurs Hais de la même haine les rois, les spéculateurs et les prêtres de toute la terre. Sois un compagnon fidèle de Lénine, tiens toujours haut et ferme le drapeau de la science et combats jusqu'à la mort pour la troisième Internationale. Ton nom est Profsoïous ! La mère, réfugiée dans la cuisine, apparaît. Elle saisit l'enfant, allume un grand feu, chauffe de l'eau, y jette quelques feuilles de laurier bénites à l, du symbole du travail et de la vie

. Une-idée,-une-illusion-«-nikolaï-darian, Il verse du thé, apporte du pain, un peu de fromage, des fruits Azad raconte sa journée ; ses yeux et ses oreilles sont encore éblouis. Darian rigole sarcastique. -Pauvre Azad, tu es donc toujours naïf ! Des paroles, des paroles, des fabriques en l'air? Des Don Quichotte ! -Tais-toi ! s'écrie Azad, et il se met à pérorer Darian s'emporte

. Azad-s-'est-levé, Ses yeux brûlentNe ris pas, animal ! Tais-toi ! Tu mens ! Tu es un anarchiste, on t'a laissé sans travail?, tu te venges ! Non ! Non ! Tais-toi ! » Un besoin de clarté « Pantéli 689 , cher camarade et fils ! De plus en plus, en parcourant l'U.R.S.S. je sens cette chose inhumaine qui, déjà, me dévorait en Grèce. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas l'homme, ni la terre, ni le ciel, mais la flamme qui dévore homme, terre et ciel. La Russie. Amélioration du sort de la masse ou de l'élite, bonheur, justice, vertu, amorces populaires qui ne m'attrapent pas. Une 690 seule chose m'empoigne, p.689

. Souligné-par-moi-«-quelle-est-ta-vraie-pensée, Tu échappes à tous, tu défends avec flamme des idées que tu méprises Tu joues et en même temps tu es ensanglanté. Un tigre féroce est dans ton coeur. Ne serais

«. Quand and T. , tu peux voir à tes côtés une ombre de vieux moine, l'écuelle à la main Je suis là, je te précède, et quand tu es lâche

«. Géranos and . Tu-te-dégrades, tu commences à intervenir dans la mêlée des ombres. Ton esprit se trouble. Ton coeur se rétrécit. Tu ne peux donc plus envisager avec la même pitié le bien et le mal ?

T. Géranos-se, La voix se met de nouveau à siffler dans l'air comme un fouet

«. Tu-descends-un-À-un-tous-les-degrés, tu contemplais la ligne rouge ; puis tu t'es abaissé à la pitié envers tout ce qui vit et bouge sur la terre ; maintenant tu t'apprêtes à descendre au degré le plus bas ; tu interviens, tu sépares, tu dis : j'aime cette ombre-ci, je hais cette ombre-là

-. Compagnon-de-route,-un-cri-me-pousse-vers-le-nord, -Vers Moscou ? -Oui, chuchote la voix tout bas. -Tu interviens ? Tu interviens ? Géranos attend avec angoisse, comme si toute sa vie dépendait de cette réponse. Il demande encore une fois : -Tu interviens ?

-. Permettez, Je vais fumer. -Nous allons jurer tous de sacrifier notre vie à cette mission humanitaire ! s'exclame Azad. -Oui? Oui? répètent les voix évasives. -Mais pourquoi, diable, êtes-vous si pressé, camarade ?

-. Pissatéli, oubliez pas vos frères les Russes ! Dites à l'étranger que nous ne sommes pas des bandits, que nous aimons l'homme qui travaille et que nous croyons à la justice. L'homme aux grandes mâchoires ne veut pas sortir avec la bande Appuyé au buste de Lénine, il voit ces hommes s'en aller en se bousculant, lourdauds ou maigres

. «armature-politique-puissante, Armature économique faible Ma grande espérance : le moujik ; ma grande peur : le Russe américanisé ; il voit clair, il agit vite

L. Orient-n-'est-pas-un-tigre-végétarien,-mais-un-tigre-qui-crie, F. Liberté, and J. Sociale-l-', Orient 696 n'est pas un tigre végétarien. L'Orient veut du sang La guerre ! La guerre ! nous ne pouvons plus souffrir ? nous, les Indes, la Chine, le Siam, l'Afghanistan, la Perse, l'Arabie, l'Afrique. Nous, tous les peuples opprimés ! La machine, voilà l'arme de la révolution prolétarienne. La haine, voilà notre chef. L'amour va venir après? nous avons le temps ; Lorsque nos ennemis, les Anglais, les Américains, les capitalistes, seront pendus à nos arbres et dévorés par les mouches et les corbeaux de l'Asie et de l'Afrique, alors nous les aimerons bien ! La salle est secouée d'un rire formidable. Les délégués de l'Asie centrale tirent leurs yatagans, les brandissent en l'air, leurs yeux sont injectés de sang, Fraternité ! Fraternité ! Une jeune Hindoue

. Gandhara and . Le-président, Gandhara ouvre la bouche, mais les pleurs étouffent sa voix. On ne peut distinguer que quelques mots incohérents : -Anglais? faim? salaires? mourrons? Un Chinois menu, aux yeux froids et cruels

. -le-général-monte,-enfonce-ses-ongles-dans-la-tribune, Des cris brefs et stridents Son oeil macabre fixe un à un tous les délégués ; ses dents se serrent et se desserrent en grinçant. Il parle en scandant sinistrement chaque syllabe : -450 millions? âmes d'Orient? technique d'Occident? haine ramassée? La guerre ! La guerre sans pitié ! Tendre l'autre joue ? Aha ! Mâchoire contre dent ! Rachel exulte de joie ; Amita 697 , blotti dans un coin écoute, épouvanté. Ah où sont ses treize soldats et ses treize petits enfants fictifs et tout ce jeu inoffensif de son esprit qui voulait se divertir ?

. -cela-te-fait-du-plaisir, La guerre ! -Je ne suis ni pour ni contre les tremblements de terre. La guerre est là, je la constate ! -Et tu t'en réjouis ? -Et bien, oui ! L'homme marchera plus vite. -Vers la catastrophe. -Vers la solution. -Tu es un homme sans coeur. La Russie n'est pour toi qu'une tragédie intéressante? La Russie et toute la terre. Tu es dans ta loge, homme froid, et tu regardes. Joue-t-on bien ? Tu applaudis. Jouet-on mal ? Tu fais la moue ; Pourquoi ? Parce que tu n'aimes pas. Celui qui aime ne voit rien, p.196

. Souligné-par-moi, Kazantzaki critique l'art pour art, l'art qui n'est pas engagé dans un but concret, dans ce cas il s'agit de l'art superficiel, influence bergsonienne corps, des talons jusqu'à la crinière crépue, parle, parle, parle à sa race. Ses aisselles fument. Ses yeux montent et descendent. Sous ses pieds les étincelles jaillissent et toutes les têtes nègres s'allument. Les morts montent silencieusement sur la terre et s

!. Ah, !. Ah, !. La-guerre, !. La-guerre, and . Une-tour-rouge-haute, Lénine debout, sur le sommet, brandit une faucille. Il empoigne les rois, les chamans, les prostituées, les seigneurs et fauche

. Il-rit, Il regarde en bas la foule Il voit un homme gras? il s'abaisse, le saisit et crac ! Avec le talon il lui casse la tête. Il voit des éperons? il les mâche, les met en morceaux, les crache? il s'écrie

. La-danse-noire-Éclate, les femmes abattent des arbres, elles se ruent sur la bûche de Toda-Raba, elles allument les leurs Une vieille en transe saisit le tambour Les morts aiguisent sur les pierres leurs armes rouillées et s'élancent au-dessous, au-dessus, à côté des vivants. L'air devient épais et bleu de roi ; les vivants l'écartent des mains, en ramant, et se faisant un passage. En avant, marche, violemment, au collier des dents humaines, le Lénine noir. Les nègres descendent, toutes les bêtes fauves hurlent affolées. Hourrah ! Toda-Raba lève les bras, il brandit la bûche ardente, son drapeau. Loin, très loin, par-delà les mers, Lénine jaune va en avant et les masses jaunes roulent en tempête et descendent : « Frères ! Frères ! » Un enfant, chevauchant sur le cou de sa mère, bat en riant ses petites mains et crie : « Aho ! Pères

L. 'aube-se-lève and . Toda-raba-est-assis-sur-la-colline, Il voit la terre verte. Il pleut. La pluie tombe doucement et rafraîchit les mains de Toda-Raba et son dos enflammé Elle rafraîchit la terre. Les tombes dorment très calmes, très tendres, assoupies sous les gouttes tièdes ; L'odeur de la terre monte, monte, et les larges narines de Toda-Raba palpitent et se gonflent Le cerveau de Toda-Raba est une motte de terre qui fume. Il pleut. La terre boit? Les pierres rient? Il sent les grains de blé sous la terre tressaillir secrètement, joyeusement, s'entrelacer comme des frères, élaborer lentement, sous l'écorce dure de la terre, corps robuste étendu, les mains croisées, les yeux fermés, le front étincelant et lourd : Lénine !

. Toda-raba, tout à coup, éclate en pleurs. Il ne peut plus contenir sa joie

L. Petit-chinois-À-côté-de-toda, Raba s'impatiente, il le pousse : -Allons, allons, camarade, avance ! Laisse-nous voir aussi ! Les orteils raides du nègre se détendent

L. Fruits, un monde d'harmonie Dattes 704 , bananes, cédrats, mangues, caroubes ont une correspondance secrète avec la morale, l'art et les idées nés sur leur ombre

. Ils-singent-tout, Des Américains jaunes ? Pas même. Des singes jaunes ! -Goethe, lui répondis-je en riant, disait : » Je mange du porc et j'en fais Goethe. » L'homme blanc ricana

L. La-vie-est-un-miracle, jeune fille 707 qui avait offert à Bouddha les fleurs rouges me regarde en riant et me fait signe Je suis les tintements des anneaux de bronze qu'elle porte à ses chevilles. Elle va en avant, elle balance joyeusement les hanches

L. Mort, le couronnement suprême de la vie -Vous espérez la mort 708 ? -Oui, la mort féconde, plus vivante que la vie

. Mais and . Tamanoï, Ici les bouches des femmes restent immobiles, les yeux sont fixes et grands ouverts

. Siu-lan, Toutes ces têtes qui sortaient des guérites me paraissaient subir la torture horrible du carcan. Oui, toutes ces femmes, nos pauvres soeurs, portaient en carcan la porte, la baraque entière, Tamanoï, Tokyo, vous et moi, l'humanité entière? -Kughé san, dis-je à mon ami, demandez, je vous prie, à la plus âgée, quelle a été la plus grande joie de sa vie

-. Marier, Trouver un homme qui veuille l'amener à sa maison. Faire des enfants

V. Mais, juste en ce moment un appel désespéré se fit entendre du jardin. Nous nous retournâmes effrayés

. La-femme-démolit-les-barrières-entre-les-cultures, Quand pour la première fois je m'étais mis en contact avec cette race jaune, j'avais ressenti une répugnance corporelle invincible. Et voici maintenant que ce jeune corps odorant avait démoli toutes les barrières, rien qu'en soupirant. Est-ce l'amour, le désir, ou simplement cette odeur tiède de la femme qui va en avant et m'aide à comprendre ?

L. 'âme-humaine, la mobilisation L'âme humaine 712 est encore chargée de matière, elle ne peut rien pressentir ; elle a besoin des yeux du corps pour voir et de ses oreilles pour entendre, Je n'ai compris que plus tard les paroles et les silences de Joshiro et la vengeance qu'elle tenait entre ses petites mains au moment de notre séparation

«. Thomas, lui disais-je souvent en riant, à cause de ton incrédulité tu n'entreras point dans le royaume du ciel mais dans

U. Petit and T. , Un moine entre, fait quelques pas en chantant et nous suggère l'idée qu'il voyage. Il s'arrête. Il lève les bras dans un élan de joie : il a atteint le but de son long pèlerinage

L. Le-rideau-lourd-s-'écarte-et-sur-le-seuil-apparaît,-en-sa-vraie-forme and . Dieu-ou-le-démon-du-temple, Il avance, raide, cataleptique, pas à pas, comme s'il était poussé tout le long de son corps par des forces invisibles

L. Terreur-nous-Étreint, L'homme est écrasé ; il n'ose lever la tête et regarder en face le démon. La contemplation directe du mystère serait insupportable aux sens humains. L'âme serait prise de panique et n'oserait plus vivre

I. Kazantzaki-suggère-que, entité, dans la famille, la société, l'oecoumène. -Nos anciens artistes composaient des jardins comme on compose un poème. Travail difficile, complexe, très délicat. Chaque jardin doit avoir son propre sens à lui et suggérer une grande idée abstraite : la béatitude, l'innocence, la solitude ; ou bien la volupté, la fierté et la grandeur. Et ce sens doit correspondre non pas à l'âme du propriétaire, mais à l'âme vaste de ses aïeux ou mieux encore de toute sa race. Car, dites-moi

. Le-jardin-de-bouddha, Bouddha 714 ! Le mot tomba, sombre et doux comme une goutte de miel. Je n'ai jamais goûté dans ma vie un 714 Ibid, p.58

. Bonheur-si-calme and . Si-intense, « Dieu 715 n'est qu'un bondissement du coeur et une larme douce » -cette parole d'un mystique byzantin glissa dans ma poitrine et la

. Midi, Un jardin de rochers au fond d'un vieux cloître

. Je-creuse-la-terre, Je vois de mes yeux, je touche de mes mains : de la masse inorganique à la plante, de la plante à l'animal, de l'animal à l'homme

. Mais-toi, Choisis l'ancêtre qui est digne de monter de nouveau sur la terre

. Comment-pourrais-tu-Être and . Fort, éclairé, brave si toutes ces vertus n'agent pas ton grand corps entier de la race ? Comment pourrais-tu trouver ton salut, si ton sang entier n'est pas sauvé ? Un seul de ta race qui se perd t'attire à la perte

O. La-danse-et-la-chanson-À-la-gloire-de-l-'homme-et-de-la-femme, Kouni ne dansait plus des danses religieuses solennelles et froides ; elle dansait comme le peuple enivré dans les foires ; Elle ne chantait plus des hymnes hiératiques à la gloire de Dieu ; mais des chansons simples et osées à la gloire de l'homme et la femme

. Conquérir-la-terre, l'air, l'eau ; vaincre le temps et l'espace ; comprendre comment se groupent les fantômes qui montent de mon cerveau, que m'importe ?

. Un-ordre-retentit-en-moi, Creuse ! que vois-tu ? -Des hommes et des oiseaux, des fleurs et des pierres. -Creuse encore ! Que vois-tu ? -Rien ! une nuit épaisse, muette, sourde, comme la mort. C'est doit être la Mort, Creuse encore ! -Ah ! je ne peux plus percer la muraille noire

. Je-chemine-au-bord-de-l-'abîme-et-je-tremble, Deux voix luttent en moi : le cerveau : « Pourquoi perdre notre temps en poursuivant l'impossible ? Notre devoir est de reconnaître, dans l'enceinte des cinq sens

. Mais-une-autre-voix, nommons-la la sixième force, nommons-la le Coeur, résiste et crie : « Non ! Non !

. Nous-travaillons-et-peu-importe and . Qu, il existe un patron qui, vers le soir, nous versera le salaire, Nous ne travaillons pas au salaire : la vigne de cette terre est à nous

. Jette-un-regard-autour-de-toi, Tous ces corps que tu vois pourriront. Il n'y a pas de salut

H. Bergson, ?????, ???.??????? ??? ??????????, 1912. Salvatores Dei· ????????, 1927.

. ??-????-???-????????-??, ?????????????? · ??????? ?????????????? · ??????? -????, 1928.

?. ?????????-????-??-????????, ?????????? ???????? ??? ?????????? ???? ?????????. ?????, ????? ?????????? ????????? ????????? ?????????? · ??? ?? ??????? ??? ?? ????? ??? ?????? (1902-1956)· ?? ??????? ??? ?????? ??? ???? ??????, 1958.

T. P. Eckermann, ?????????? ????????? ?? ??? ??????, 1913.

. Ch and . Darwin, ???? ??? ???????? ??? ?????, 1915.

?. ?????? and . ???????, ??. ????????? ??????? ????, ?? ???????? ??? ???????, 1931.

. ????????-??????, ?? ?????????? ?????? ??? ????????, 1933.

. ??????? and . ?????, (????????? ??? ?? ??? ?????) ?????????, 1939.

. ???-???????????-?????????????-????????-??, ?. ?. ???????????, and ?. ????????????, ???????????' 1906-1948, pp.99-105, 1958.