L. and D. Dupuy, étranger, il y est refusé tout net, et même la corruption par l'argent ne fait pas fléchir les journaux. Dupuy cherche alors à « mondialiser » son emprise, et il choisit pour cela de faire réaliser par un porte

O. Welles, Dupuy évoque alors ce qui les unit : Welles [?] manquait toujours d'argent, se débattant contre des producteurs qui mutilaient ses oeuvres d'art. Cela ne lui arrivera pas avec moi, songea Dupuy, p.1100

. Ce-même-langage, est ce que croit Dupuy, confondant mensonge et falsification, comme nous pourrons le constater Mais Dupuy commettra deux erreurs, découlant de sa méconnaissance d'une part du caractère du 1098 Ibid., Purgatoire, op.cit., p.34 ; Purgatorio, op.cit., p.32-33 : « El doctor Dupuy escribía todas las proclamas que identificaban decadencia con democracia y exaltaban el ser nacional. Nunca explicaba si el ser cambiaba o si era siempre el mismo, ni de qué estaba hecho. Los gobiernos se sucedían y el ser nacional pasaba sin alterarse de una mano a otra. » 1099 Ibid, « [?] lo que usted dice sólo influye, por desgracia, dentro del país. Y el país ya está convencido. [?] Su columna ha sido traducida y enviada por nuestras embajadas a los diarios del extranjero, dijo el marino. Hemos ofrecido fortunas para que la publiquen

L. Mayoría-nos-ha-contestado-que-no-la-quieren, 210 ; Purgatorio, op.cit., p.204 : « Welles [?] andaba siempre corto de dinero, peleándose con productores que le mutilaban sus obras de arte. No le va a pasar eso conmigo, pensó Dupuy. Yo hablo su mismo lenguaje. » A la mémoire de ce grand homme qui ne cessera jamais d'exister, je présente mes excuses et vous souhaite à tous, Ibid., Purgatoire, op.cit., p, p.1107, 1100.

P. Ainsi and . Welles, en montre que mieux les artifices des tromperies verbales et visuelles, enseignant la circonspection au spectateur Ce sont là des valeurs éthiques ? ainsi qu'esthétiques bien sûr ? particulièrement appréciées par Martínez, qui l'ont décidé à faire jouer ce rôle capital à Welles dans Purgatorio : J'admire beaucoup Welles, pour moi il est éthiquement très estimable. Il m'a semblé que si l'épisode n'avait pas de vraisemblance, il ne pouvait pas avoir de force, et je me suis mis à étudier Welles ; aussi lorsque Dupuy lui rend visite je savais où il était et ce qu'il faisait, J'ai découvert qu'à cette époque, Orson Welles prêtait sa voix pour un film qui s'appelle Génocide, et il m'a semblé intéressant de lui rendre cet hommage, p.1108

. Ayant-rencontré-personnellement-welles and . Ce-choix-est-Également-motivé-par-la-personnalité-unique-du-cinéaste, J'ai pensé que la dictature, dans cette recherche de grandiose qu'elle voulait que soit le Mondial, imiterait le style nazi, mais poussé à l'extrême. J'ai connu Welles lors de la dernière corrida d'Antonio Bienvenida, lorsque j'étais en Espagne, en train de rédiger une note pour Primera Plana sur la Guerre Civile Je me suis approché de Welles et je lui ai demandé ce qu'il pensait des taureaux. Et il m'a dit : « Celui-ci n'est pas mal, ils l'ont amené aujourd'hui et il est un peu fatigué ». Welles en savait beaucoup sur les taureaux, presque autant que sur le cinéma. Il m'a semblé que c'était quelqu'un qui pouvait tirer dans n'importe quelle direction

D. Ibid, 17 minutes I've been lying my head off. The truth, and please forgive us for it, is that we've been forging an art story As a charlatan, of course my job was to try to make it real Not that reality has anything to do with it. Reality? It's the toothbrush waiting at home for you in its glass. A bus ticket. A pay check. And the grave In the right mood perhaps Elmyr has just a few regrets as I have to have been a charlatan, but we're not so proud either of us as to lay any superior claim to being very much worse than the rest of you. No, what we professional liars hope to serve is truth. I'm afraid the pompous word for that is art. Picasso himself said it Art is a lie. A lie that makes us realize the truth Oja's grand father, floating here in the air, has no comment, which is not surprising, because he never existed! To the memory of that great man [Picasso] who will never cease to exist, I offer my apologies and wish you all, true and false, a very pleasant good evening. » 1108 GALLEGO-DÍAZ, Soledad, interview de Tomás Eloy Martínez, « Hay diez años de mi vida que se han ido para siempre y que son irrecuperables », op.cit.: « Yo admiro mucho a Welles, para mí es éticamente muy valioso. Me pareció que si el episodio no tenía verosimilitud no podía tener fuerza y me puse a estudiar a Welles, así que cuando Dupuy le visita yo sabía dónde estaba, qué hacía. Descubrí que en esa época Orson Welles prestó su voz para una película que se llama Genocidio, y me pareció interesante devolverle el homenaje. » 1109 FRIERA, Silvina, «Tomás Eloy Martínez habla de Purgatorio, su nueva novela, Tuve que meterme en un tembladeral " », op.cit. : « Pensé que la dictadura en esa búsqueda de lo grandioso que quería que fuera el Mundial imitaría lo nazi, pero llevado al extremo. A Welles lo conocí en la corrida final de Antonio Bienvenida, cuando yo estaba en España, haciendo una nota para Primera Plana sobre la Guerra Civil. Me acerqué a Welles y le pregunté qué le parecían los toros. Y me dijo Este no está mal Welles sabía muchísimo de toros Nos conocimos hace diez años en el camarín de Antonio Bienvenida

L. Orsten and . Dijo-welles, sin dar señales de recordar a Bienvenida Así me llamaba Lucky Luciano, Orsten. Y yo a él lo llamaba Charlie. ¿Puedo llamarte Charlie? » 1117 Ibid

. Welles, Dupuy llevaba años sin pisar una sala de cine. » Nous réalisons ton documentaire, mais il n'y a pas de Coupe du monde, il n'y a pas de joueurs, il n'y a pas de matches de football. Il n'y a que la magie, p.1124

C. Dans-ton and L. Martiens, l'apocalypse, les prophètes marchant sur l'eau. Vous autres, vous croyez tout, même ce qui n'existe pas, p.1125

C. Fais-attention, Dupuy se sentit désorienté, il ne voyait pas où Welles désirait l'entraîner, p.1128

C. Je-te-propose-un-marché, Moi, je mets ma magie dans ce documentaire, toi, tu me paies avec ta propre magie

. Je-ne-comprends-toujours-pas and . Orsten, Tu ne comprends pas, Charlie ? Je te fais ce film gratis, avec la meilleure Coupe du monde qu'on ait jamais vue, et toi et tes commandants vous faites réapparaître les disparus, p.1130

. Welles-proclame-ainsi-ce-qui-le-différencie-de-dupuy, . La-sienne-est-créatrice,-celle-de-dupuy-destructrice, . Si, F. Le-mensonge-?-comme-le-démontre-le-cinéaste-dans, and !. ?. For-fake, est pas falsification, car il ne cherche aucun gain : le mensonge en est la finalité, et non le moyen pour accéder à un objectif intéressé Welles se distingue de Dupuy en se déclarant incorruptible : il refuse l'argent proposé, laissant entendre que sa magie n'a pas de prix, et surtout qu'il ne la mettra 1124 Ibid., Purgatoire, op.cit., p.217 ; Purgatorio, op.cit., p.211 : « Hacemos tu documental, pero no hay copa mundial, no hay jugadores, no hay partidos de fútbol. Hay sólo magia. Dejas de verlo, dejas de hablar y todo desaparece. Será una gran metáfora de tu país. » 1125 Ibid : « En ese país tuyo la magia puede funcionar, Charlie, los marcianos, el Apocalipsis, los profetas caminando sobre las aguas213 : « Lo que vamos a crear es ilusión. Como en el radioteatro de los marcianos. Sin discursos políticos, sin alabanzas patrióticas, yo no toco esas cuerdas. » 1127 Ibid, Ustedes lo creen todo, hasta lo que no existe. » 1126 Ibid No le gustaba ese desvío de la conversación. Iban por un mal rumbo [?]. » 1128 Ibid., Purgatoire, op.cit, pp.216-217

. Welles-no-se-inmutó and C. Cada-vez-entiendes-menos, « Te hago un trato, Charlie. Yo pongo mi magia en ese documental, tú me pagas con tu magia. Sigo sin entender, Orsten. ¿No entiendes, Charlie? Te hago la película gratis, con el mejor mundial de fútbol que se haya visto, y tú con tus comandantes hacen aparecer a los desaparecidos. » « Pourquoi est-ce que tu ne tues pas Carmona une bonne fois pour toutes, Père, qu'est-ce que tu attends ?, Ne me frappez pas, Mère, ne me tuez pas, p.1366, 1130.

C. Droit-de-vie-et-de-mort and . Carmona-qu, Les « doigts massifs [de Père], aussi puissants que des cèdres, qui caressaient le cou de Mère » 1367 lorsqu'elle profère ces menaces, sont autant de promesses d'une mort certaine. Ces « mains énormes » 1368 sont également imprégnées du souvenir des nombreuses castrations, que Père exerce avec fierté sur toutes sortes d'animaux, dont Carmona ne peut qu'éprouver la souffrance : 1366 MARTÍNEZ mano del amo, op.cit., p.11 : « " ¿Por qué no matás a Carmona de una vez, Padre, qué estás esperando? " . Y vos uncido a sus faldas suplicabas: " No me peguen, Madre, no me maten, Idem : « [?] dedos macizos [de Padre], potentes como alerces, que acariciaban el cuello de Madre [?] ». 1368 Ibid., p.37 : « enormes manos, 1367.

. La-puissance-physique-de, Père est donc vécue comme particulièrement mortifère par Carmona, et ce d'autant plus lorsqu'elle est mise au service de la cruauté de Mère

. Diana-a-compris-le-signal, Mais les chasseurs jouent avec elle : elle est cernée. Ils reculent un peu, trois hommes descendent de l'ambulance, l'immobilisent, la happent à l'intérieur. Puis ils referment les portières et la bâillonnent Arcángelo les a attendus dans la cabine. Avide, il peut à présent examiner sa proie, p.1397

M. and T. Eloy, 208 : « un fusilamiento en el obelisco durante los primeros meses de la dictaduratra de las tantas [muertes] que sucedieron entre El cantor de tango, op.cit., p.212. 1394 Ibid., Le chanteur de tango, op.cit., p.237 ; El cantor de tango Lo único que nos entretiene acá son los fusilamientos. Ponemos seis o siete perros contra la pared de adobe, atados, y hacemos formar el pelotón. A la orden de fuego, hay que dispararles a la cabeza. Los soldados son unos brutos. Siempre yerran. Ayer me puse yo a disparar. De seis perros que había le acerté a cinco. El otro estuvo desangrándose un rato largo. Cuando me cansaron los aullidos, mandé que lo remataran, p.1397, 1393.

D. Ha, L. Reculando, and . Cercan, Tres hombres bajan, la inmovilizan, la engullen. Y cerrando las puertas de la ambulancia, le clavan una mordaza Arcángelo ha estado aguardándola en el interior de la cabina. Ávido, puede al fin examinar su presa [?]. » Emilia aurait aimé lui avouer que le sexe avec Simón était mieux en rêve que dans la réalité, 1437.

. Aussi, lorsque Simón reparaît, ce désir enfoui surgit-il avec violence

. Ibid, . Le-roman-de-perón, . La-novela-de-perón, and D. Eran, Pero vos me contaste que al Viejo lo erotizaban los pies, y eso ya es una señal de imaginación Que se acostumbró a dormir con la Piraña poniéndole los pies en la cara y viceversa. ¿Haría lo mismo con Evita? Che, despertate. ¿A vos qué te parece? Yo qué sé. Depende. A lo mejor los pies de Evita no eran lindos No hubo nada en Evita que no fuera perfecto. » 1435 Ibid., Le roman de Perón, op.cit., p.148 ; La novela de Perón, op.cit., p.185 : « se daba vuelta para mirar las piernas ?y los pies, sobre todo los dedos de los pies? de las españolitas. » 1436 Ibid., Le roman de Perón, op.cit., p.295 ; La novela de Perón, op.cit., p.370 : « No creo que sucediera nada especial con el Viejo en la cama : « Emilia habría querido contarle que imaginar el sexo con Simón era mejor que haberlo vivido, pero a nadie se lo iba a decir, a nadie, porque ni siquiera se lo decía a sí misma. » semble important dans la mesure où l'on insiste également sur les marques laissées par le temps sur le corps d'Emilia, mais aussi sur les traces qu'ont imprimées sur son psychisme la disparition de Simón et les méfaits de son père. Ainsi, dans un processus d'inversion sur lequel nous reviendrons, si c'est Simón qui a été annihilé physiquement par la dictature, c'est Emilia qui en a été marquée, Lo cual bastó para poner a Diana en súbita disposición de amor [?]. » 1437 MARTÍNEZ et les marques de l'âge ne sont que les marques visibles de son purgatoire de trente ans. Ainsi, le mot de stigmate ne peut que s'imposer à notre esprit, p.296371

L. Mort-de-simón-au-même-Âge-que-le and C. , associée à un verbe qui ne peut qu'évoquer l'image du Christ cloué sur la croix (ainsi que la brutalité de cette mort), sont autant d'éléments qui rapprochent Simón de la figure christique, De même, Emilia utilise le terme de « calvaire » pour qualifier leur expérience : « [?] après le calvaire qu'ils avaient vécu ensemble, il était inconcevable qu'il l'eût remplacée, 1460.

C. Emilia, . Sa-crucifixion, and . Cependant, Simón n'est pas ici le seul « crucifié », puisque Emilia elle aussi s'intègre à l'expérience de ce martyre, mais sa passion ne s'achèvera qu'à la fin du roman : elle vit depuis la disparition de son époux un cauchemar symbolisé par le purgatoire, et au bout de trente ans, elle accède enfin à une sorte de « résurrection » (trois jours après avoir retrouvé Simón, et un dimanche), à son paradis. On peut par ailleurs remarquer une continuité dans le processus d'inversion que nous venons d'évoquer, car si l'on s'attache au symbolisme catholique, Simón est « crucifié » 30 ans auparavant, mais il réapparaît un vendredi, et le dimanche suivant c'est Emilia qui d'une certaine manière ressuscite, comme nous serons amenés à le constater plus en détail et comme nous y prépare également la narration : « Elle a été ressuscitée par l'espoir de revoir Simón, p.1461

. Celui-d-'evita, résigné aux traitements les plus cruels, semblait se révolter quand on le transportait de-ci, de-là, p.1472

. Ce-corps,-loin-d-'être-aussi-inerte-qu-'il-le, et ainsi son histoire continue, comme l'exprime le colonel, qui a alors sombré dans la folie : « Ce qu'elle avait été n'était pas renfermé dans ce passé-là. Dans aucun passé, d'ailleurs, car elle se tissait elle-même, jour après jour. Elle n'existe que dans l'avenir [?]. » 1473 De même, Galarza commence à tenir de véritables conversations avec le corps pendant la traversée vers l'Italie : Après avoir franchi l'équateur, Galarza commença à se sentir, sans aucune raison particulière, moins seul Personne, Son unique dérivatif était de descendre dans la cale et de converser avec « Personne ». Il y allait avant l'aube et restait souvent un moment après le lever du soleil

. Tu-aurais-dû-lui-demander-pardon, Il entendait la voix s'écouler entre les grues ou de l'autre côté de la coque, dans la mer, p.1474

S. E. Ibid and S. Evita, descubría más y más indicios de que los cadáveres no soportan ser nómades El de Evita, que aceptaba con resignación cualquier crueldad « Lo que Ella fue no está en esos pasados. No está en ningún pasado porque Ella iba tejiéndose a sí misma todos los días Existe sólo en el futuro. » 1474 Ibid., Santa Evita, op.cit., p.293 ; Santa Evita, op.cit., p.375 : « Después de cruzar la línea del ecuador, Galarza comenzó a sentirse, sin razón alguna, menos solo. [?] Su único entretenimiento era bajar a la bodega y conversar con Persona. Llegaba antes del amanecer y más de una vez se quedaba hasta después de la salida del sol. Le refería las incontables enfermedades de su mujer y la infelicidad de una vida sin amor Te hubieras separado " , le decía Persona Hubieras perdido perdón Oía fluir la voz entre las torres de la carga o al otro lado del casco, en el mar. » 1475 MARTÍNEZ, pp.5067386-387, 1473.

. Bien-que-morts, Evita et de Simón sont empreints de pouvoir, d'ordre politique pour le premier et sexuel pour le deuxième. En effet, nous avons vu comment la sexualité est synonyme de libération pour Emilia, et c'est précisément Simón qui réveille en elle un désir et un plaisir oubliés depuis longtemps ; c'est ainsi qu'au-delà de sa condition de défunt

M. , T. Eloy, and . Purgatoire, 124 : « Quiere que, cuando la penetre, el tiempo se quede fijo en su eje, la luz del día vea la misma luna menguante que está saliendo ahora, que los sufrientes dejen de sufrir y los muertos acaben con sus muertes. » 1479 MARTÍNEZ, Tomás Eloy, Santa Evita, op.cit., p.17 ; Santa Evita, op.cit., p.26 : « [?] a los generales triunfantes ya no les inquietaba Perón. El dolor de cabeza que los desvelaba eran los despojos de " esa mujer172 : « Ahora es un cuerpo demasiado grande, más grande que el país. Está demasiado lleno de cosas. Todos le hemos ido metiendo algo adentro: la mierda, el odio, las ganas de matarlo de nuevo, como dice el Coronel, hay gente que también le ha metido su llanto. Ya ese cuerpo es como un dado cargado. » López Rega, p.127, 1480.

. Cette and . Qu, Evita restera vide pour l'éternité. [?] Son corps restera vide, mais son apparence n'aura subi aucune transformation. Dans ses veines coulera le même fleuve de formaldéhyde et de nitrate de potassium qui le garde intact, son coeur se réveillera au même endroit du corps chaque matin de l'Histoire, rien ne ternira la béatitude de son visage, p.1481

. Cette-force,-vaste-comme-un-océan-et-aussi-intense-que-celle-d-'un-ouragan, est bel et bien celle que l'on suppose reposer dans ce corps inerte. López se propose donc de transvaser ce pouvoir d'un corps à un autre, grâce à des invocations : « [?] B A, c'est-à-dire la puissance d'une âme qui revient pour se vider dans une nouvelle apparence, B A, je suis ton corps, 1483.

«. Esta and . Cuerpo-de-evita-quedará-vacío-para-la-eternidad, Le roman de Perón, op.cit., p.271 ; La novela de Perón, op.cit., p.326-327 : « Que un alma ocupe a la otra. Pero no es tan sencillo. Son almas desiguales: ¿cómo hará el océano para caber en un río? Y luego, no todas las turbulencias de Evita deberán pasar a Isabel Si pasaran, López no podría manejarla, Pondría un huracán en marcha, pero desobediente. » 1483 Ibid., Le roman de Perón lleno. » 1484 Ibid Me resigné a ser víctima. » or c'est précisément à ce tournant du roman que le lecteur va percevoir que la victime sera au final Moori Koenig, 1482.

. En-effet-surgir,-comme-le-lui-fait-remarquer-un-autre-militaire, se défend d'être affecté par Evita, qui selon lui ne peut nuire à personne, les rôles vont pourtant peu à peu à s'inverser, et celui qui tenait l'autre à sa merci va s'avérer être la victime : « C'est cette femme qui veut ma mort. » 1487 Le colonel finit donc par lui attribuer une volonté, et une capacité de destruction certaine ; il se sent engagé dans un combat qu'il est en train de perdre, comme l'explique Cifuentes : « Il m'a affirmé qu'il allait dompter la jument avant qu'elle ne le détruise, nous avons pu constater la déchéance progressive du colonel, qui sombre dans la folie, la paranoïa et l'alcoolisme, une addiction liée au manque que produit Evita en lui : « " Personne " lui avait fait plus de tort que quiconque, et cependant il la regrettait, 1489.

S. Ainsi and . Le, Evita a été sous l'autorité du colonel, c'est pourtant le corps de ce dernier qui porte des marques de dégradation infligées par ce corps maudit ; dans un mouvement d'inversion, le corps du bourreau est devenu celui de la victime : Son pauvre corps torturé était couvert d'éruptions, de stigmates, de marques qui témoignaient de l'état de délabrement dans lequel il se trouvait, p.1490

S. E. Ibid and S. Evita, Usted ya no es el mismo. » 1487 Ibid309 : « Me dijo que iba a domar a la Yegua antes de que Ella acabara con él. » 1489 Ibid., Santa Evita, op.cit., p.241 ; Santa Evita, op.cit., p.308 : « Persona le había hecho más daño que nadie, y sin embargo la extrañaba. » 1490 Ibid433 : « ¡La están enterrando en la luna! [?] Los hijos de puta la enterraron en la luna. » évoqué les égarements d'Arancibia, que la folie pousse à croire qu'il peut ramener Evita à la vie, et finira par assassiner son épouse. De même, lors des nombreux transferts dont il est l'objet, le corps est impliqué dans un certain nombre d'accidents ; le premier a lieu alors que c'est Galarza qui en a la garde, Esa mujer es la que me quiere ver muerto.Moori Koenig] lut que Galarza avait transféré EM Matériel radio dans le fourgon du service de renseignements. Il avait reçu l'ordre de lui donner une « sépulture chrétienne, pp.202238305-1495, 1488.

. Mais-alors and . Galarza-ne, Plus tard, un autre incident, mortel cette fois-ci, se reproduira autour du corps embaumé lui-même, qui en ressortira miraculeusement parfaitement intact : En novembre 1974, son corps fut extrait de sa tombe, à Madrid, et ramené à Buenos Aires. Dans le fourgon qui le conduisait à l'aéroport de Barajas, deux gardes civils commencèrent à se disputer pour une dette de jeu. Au moment d'emprunter l'avenue du General Sanjurjo, et le véhicule alla percuter dans sa course folle les panneaux du Royal Automobile Club. La cabine prit feu, p.1497

F. Quant, Evita, une voisine qui lui tire les cartes le prévient : « Dans ton avenir, il y a une poursuite et le fantôme d'une femme morte. » 1498 Le corps semble donc entraîner dans le marasme tous ceux qui s'en approchent, les menant même parfois jusqu'à la mort. Le narrateur lui-même fait l'expérience de cette sorte de malédiction contre laquelle certains personnages l'avaient mis en garde

S. Ibid and . Evita, 329 : « Leyó que Galarza había trasladado a EM Equipos de Radio en el furgón de la SIE Tenía orden de darle " cristiana sepultura " en el cementerio de Monte Grande Al doblar por Pavón hacia Llavallol el vehículo mordió la banquina y volcó Un tajo de treinta y tres puntos atravesaba la mejilla izquierda de Galarza Se había salvado por milagro pero iba a quedar desfigurado. » 1496 Ibid., Santa Evita, op.cit., p.151 ; Santa Evita, op.cit., p.194 : « Al camión del capitán Galarza se le reventó una goma en la avenida Varela y la explosión repentina le arrebató el volante de las manos. El vehículo zigzagueó, trepó a la vereda y quedó inclinado, como pidiendo disculpas Mientras lo llevaban en un furgón al aeropuerto de Barajas, dos guardias civiles se pusieron a discutir por una deuda de juego. Al entrar en la avenida del General Sanjurjo, frente a los Depósitos de Aguas, ambos se atacaron a balazos y el vehículo, fuera de control, embistió las vallas del Real Automóvil Club. La cabina se incendió y los guardias murieron. Pese a la magnitud de los destrozos, el ataúd de Evita no sufrió el menor daño, ni siquiera un raspón, En tu futuro hay una persecución y el fantasma de una mujer muerta. » domaine de l'Histoire, dichotomie que le corps incarne en devenant alors objet de soumission ou bien outil de domination, pp.26550-5167, 1497.

. Ma-mémoire-fut-inondée-de-cendres-incandescentes, Dans le jardin, la nuit tomba. Le Général ouvrit les bras et s'écria : « Camarades ! » Sa voix était rauque et jeune, p.1502

M. , T. Eloy, and L. Roman-de-perón, La novela de Perón « [A]quello que coexistía conmigo dentro de un cuarto de Madrid, a solas, se llamaba Perón. No era un simple hombre Eran veinte años de Argentina, en contra o a favor Veía las manchas de su cara, la picardía de sus ojos chiquitos, oía su voz agrietada. Mi país entero pasaba por su cuerpo : el odio de Borges, los fusilamientos de la Libertadora, los gremios revolucionarios, la burocracia sindical, y aunque no lo supiera entonces, también pasaban por allí los muertos de Trelew. » 1501 Ibid, pp.277347-348

. Lo-sentí, . Oí, and . La-ciudad-como-un-torrente-de-lava, Sobre mi memoria llovieron las cenizas incandescentes En el jardín se hizo de noche El General abrió los brazos y exclamó: ¡Coompañeero! Su voz era ronca y joven, la de antaño. » journalisme ne peut certainement pas non plus se les permettre, car l'essence du journalisme réside dans l'affirmation : ceci a eu lieu, c'est ainsi que les choses se passèrent. Dès que l'Histoire trébuche sur des faits qui n'existent pas d'une seule manière, elle doit s'abstenir de les rapporter, ou elle cesserait d'être Histoire. Carmen Iglesias a avancé il y a peu que l'Histoire est aussi fondée sur le doute, car il n'y a pas de vérités absolues et parce que les documents eux aussi peuvent être manipulés. Il n'y a alors peut-être pas de certitudes, mais dans l'Histoire il y a un ordre, une logique, qui crée toujours l'illusion de vérité. La fiction évolue, en revanche, dans un territoire où la réalité n'est jamais prévisible : la réalité n'est pas obligée d'être comme elle l'était il y a un instant, Tout ce qui est maintenant de cette façon pourrait être différent en tournant la page, et sera sans doute différent lorsqu'on le relira à un autre moment

. Chaque-roman-crée, son propre univers de récits, ses crépuscules, ses pluies, ses printemps, son propre réseau d'amours et de trahisons Cet ensemble de lois n'a aucune raison d'être semblable aux lois de la réalité. Sa seule obligation est d'engendrer une vérité qui ait une valeur en ellemême , qui soit ressentie comme vraie par le lecteur. Ce n'est pas le monde de l'Histoire ni celui des journaux, mais c'est un monde nécessaire, p.1506

G. Général-perón-carpentier, R. Márquez, . Bastos, M. G. Comme-le-souligne, and . Zuffi, écrire la réalité, la fiction qui l'emporte sur l'Histoire, font de Martínez un autre de ces écrivains qui démythifient les dictateurs latino-américains. » 1507 Cette rectification de la réalité intervient donc car les faits historiques s'avèrent insuffisants à l'heure de la décrire : « Le romancier a besoin de découvrir d'autres faits qui enrichissent [la réalité]. A la vérité que l'Histoire 1506 MARTÍNEZ, Tomás Eloy, Ficciones verdaderas: hechos reales que inspiraron grandes obras literarias, avec la collaboration de Jennifer French « El periodismo pone en escena datos de la realidad que la cuestionan pero no la niegan Puede subrayar algunos acontecimientos nimios por encima de otros acontecimientos resonantes, puede dramatizar detalles triviales, pero siempre es pasivo (o, si se prefiere, siempre es fiel) ante la realidad. Mientras la historia reordena la realidad y al mismo tiempo reflexiona sobre ella, el periodismo convierte en drama (o en comedia) las notas al pie de página de la historia. En los textos del periodismo narrativo la realidad se estira, se retuerce, pero jamás se convierte en ficción. Por comprensiva y vasta que sea, por más avidez de conocimiento que haya en su búsqueda, la historia no puede permitirse las dudas y las ambigüedades que se permite la ficción. Tampoco, ciertamente, se las puede permitir el periodismo, porque la esencia del periodismo es la afirmación: esto ha ocurrido, así fueron las cosas. No bien la historia tropieza con hechos que no son de una sola manera debe abstenerse de contarlos o dejaría de ser historia. Carmen Iglesias ha postulado hace poco que la historia también está fundada sobre la duda, porque no hay verdades absolutas y porque también los documentos pueden ser manipulados. Quizá no haya certezas, entonces, pero en la historia hay un orden, una lógica, que crea siempre la ilusión de verdad. La ficción se mueve, en cambio, dentro de un territorio donde la realidad nunca es previsible: la realidad no está obligada a ser como hace un instante fue. Todo lo que ahora es así podría ser distinto al volver la página, y sin duda será distinto cuando se lo lea en otro tiempo. Cada novela crea, como se sabe, su universo propio de relaciones, sus crepúsculos, sus lluvias, sus primaveras, su propia red de amores y de traiciones. Ese conjunto de leyes no tiene por qué ser igual a las leyes de la realidad. Su única obligación es engendrar una verdad que tenga valor por sí misma, que sea sentida como verdadera por el lector, No es el mundo de la historia ni el de los periódicos, pero es un mundo necesario. Sin él, la vida y, en consecuencia La imagen mítica del caudillo, el modo cortazariano de escribir la realidad, la superación de la ficción sobre la historia, ubican a Martínez como otro más entre los escritores que desmitifican los dictadores latinoamericanos. » Bibliographie OEuvres de Tomás, pp.15-16, 1969.

L. Novela-de-perón, S. E. Madrid, and . Generales, ère édition: Buenos Aires, 1985.

J. Chroniques, Buenos Aires, Planeta, 1997 (réédition) Buenos Aires, Punto de lectura, 2007 (réédition), 1974.

. Lugar-común-la-muerte, M. A. Caracas, and . Editores, Buenos Aires, Bruguera, 1983 (réédition) Buenos Aires, Planeta, 1998 (réédition), 1979.

. Episodios-argentinos, Diciembre y después, 2002.

. Prologues and C. Fuentes, Tres discursos para dos aldeas, 1993.

M. , T. Eloy, . Sosnowski, Á. Saúl, and . Rama, La crítica de la cultura en América Latina, 1985.

M. and T. Eloy, « Periodismo y narración : desafíos para el siglo XXI », [en ligne], Facultad de ciencia política y relaciones internacionales de la

. Octobre-1997, . Guadalajara, . México, L. Dans-testimonios, B. Pasión-de-informar et al., Academia Nacional de Periodismo, pp.39-48, 2006.

M. and T. Eloy, « En busca del periodismo », discours de remerciement lors de la réception du Prix Ortega y Gasset en mai, pp.49-51, 2009.

S. Mendoza, Así es Caracas, 1980.

S. El-amor-elige, Buenos Aires, court-métrage dirigé par Rodolfo Kuhn, 1960.

. Bazán, Tucumán-Buenos Aires, court-métrage dirigé par Ramiro Tamayo, 1960.

. El-Último-piso, sortie: 5 juin 1962), film dirigé par Daniel Cherniavsky, scénario de Tomás Eloy Martínez et Augusto Roa Bastos, d'après le roman de Jorge Masciangoli, 100 minutes, couleur, interdit aux moins de 18 ans, Martínez et Roa Bastos y apparaissent comme figurants dans une scène dans un omnibus

. El-terrorista, 18 octobre 1962 à Buenos Aires), 77 minutes, noir et blanc, Argentine; film dirigé par Daniel Cherniavsky

. El-demonio-en-la-sangre, (sortie: 19 avril 1964), 102 minutes, noir et blanc, film dirigé par René Mugica

M. La-madre, 105 minutes, Argentine, film dirigé par Lucas Demare, scénario de Tomás Eloy Martínez, 1974.

N. and J. Pablo, « Dos modelos para la muerte : Historia y ficción en « Cómo murió Aramburu, 2003.

L. Valverde, Historia, memoria y corporalidad en La novela de Perón de Tomás Eloy Martínez, 2006.

L. Valverde, L. Parole, E. Le-pouvoir-dans-l-'oeuvre-de-tomás, and . Martínez, mémoire de Master 2 dirigé par le professeur Erich Fisbach, Université d'Angers, 2003.

Z. , M. Griselda, and D. Real, Los excesos de la Historia en la escritura de Tomás Eloy Martínez, Buenos Aires, Corregidor, 1973.

I. and A. Tomás, Eloy Martínez rinde homenaje a una ciudad indestructible, El País, pp.26-2004

F. , S. , E. Martínez-habla-de-purgatorio, and . Su-nueva-novela, Tuve que meterme en un tembladeral, 2008.

G. Pla, . Valeria, ». La-novela-es-un-acto-de-libertad, and I. , América Latina, España, Portugal: Ensayos sobre letras, historia y sociedad, Notas. Reseñas iberoamericanas, vol.17, pp.155-160, 2005.

H. , C. Rafael, and E. Martínez, El periodista tiene que ser leal al lector" » [en ligne], Símbolos de Libertad, 8-11 mai 2001, lors de l'atelier " Crónica: un género latinoamericano " , mené par Tomás Eloy Martínez et organisé par la FNPI (consulté le 08 mai 2012) disponible sur http

M. José and E. Martínez, gracias por escribir » [en ligne], Jornal de poesia, Fortaleza/ São Paulo, disponible sur http, 2000.

N. and J. Pablo, Espéculo: Revista de Estudios Literarios de la UCM, año VIII, Novela significa licencia para mentirphp> buscar Tomás Eloy Martínez en Webs UCM > entrevista con Tomás Eloy Martínez ? n° 22 Espéculo UCM), 2002.

A. Efe and «. Tomás, Eloy Martínez dice que Estados Unidos y el mundo estarán mejor sin Bush » [en ligne], 15 février, 2008.

A. and C. Escritor, Postales de la tarde en que Tomás Eloy Martínez se convirtió en recuerdo, pp.3-2010

C. , S. , and E. Martínez, Evita: el tiempo y el poder. El poder es una oscura pesadilla » [en ligne], tribunadigital.com.ar, 15 novembre, 2008.

D. González, E. Raúl, and . Martínez, autor de La pasión según Trelew » [en ligne], notichubut.com.ar, pp.31-2010

V. Flury, « Tomás Eloy Martínez gana el Premio Alfaguara » [en ligne], disponible surhttp://clubdelibros.com (archivo> Reportajes del, 2002.

A. Grasso and . Ficciones-reales, (consulté le 10 février 2010), disponible sur http, club de la serpientepas de date)

J. , J. Jairo, and «. Sagrado, de Tomás Eloy Martínez : la vigilia del amanuense y las voces errantes » [en ligne], dans Espéculo, Revista de estudios literarios, p.31, 2005.

N. and J. Pablo, El valor del testimonio y el testimonio del valor: La pasión según Trelew de Tomás Eloy Martínez » [en ligne], The Pennsylvania State University, 2010.

N. and J. Pablo, « Fervor de Buenos Aires » [en ligne], noticiasyprotagonistas.com (pas de date)

. Ouvrages-divers-essais and W. Benjamin, Discursos interrumpidos I, prologue, traduction et notes de, Jesús Aguirre, 1973.

W. Benjamin, El origen del drama barroco alemán, 1990.

W. Benjamin, Para una crítica de la violencia y otros ensayos, Iluminacions IV, 1990.

W. Benjamin, Personajes alemanes, introduction de José María Valverde, 1995.

W. Benjamin, Sur le concept d'Histoire, dans Ecrits français, 2003.

L. Breton and D. , La sociologie du corps, Paris, PUF, collection « Que sais-je ?, 2010.

H. White, The content of the Form: Narrative discourse and Historical Representation, El texto histórico como artefacto literario, 1990.

C. Histoire and J. , Histoire du corps. 3. Les mutations du regard. Le XX e siècle, 2006.

L. , F. Perón-y-su-tiempo, and . Iii, El régimen exhausto, 1953.

S. and J. José, Eva Perón, aventurera o militante, 1966.

A. Théorie-littéraire, Y. , and G. Elvire, Equipe de recherches sur l'Amérique latine (ERSAL), Pouvoir et écritures en Amérique latine, 2004.

G. Mas and E. , El retrato literario y otros motivos, 1973.

J. and H. Robert, Pour une esthétique de la réception, p.473, 2005.

J. , E. , and R. Walsh, La palabra y la acción, 2006.

P. and M. José, Estrategias de supervivencia : tres décadas de peronismo y literatura, 2007.

C. Singler and L. Roman-historique-contemporain-en-amérique-latine, Entre mythe et ironie, 1993.

R. Spiller, La novela argentina de los años 80, Frankfurt am Main, Lateinamerika- Studien, 1991.

M. Foucault, Histoire de la sexualité 1,La volonté de savoir, 1976.

N. Perlongher, Prosa plebeya. Ensayos, 1980.

S. and D. Faustino, Civilización y barbarie, 1845.

L. Esotérisme, . Rega, A. José, and . Esotérica, Secretos develados, Buenos Aires, Editorial Rosa de Libres, 1962. Films et documentaires: ARRUTI, p.98, 2004.

B. Annexe, . Eléments-biographiques-de-juan-domingo-perón, and . Eva, Perón est promu cadet. 1919 : naissance d'Eva Duarte, fille illégitime de Juana Ibarguren et Juan Duarte. 1924 : Perón est promu capitaine. 1926 : Perón intègre l'Ecole de Guerre. 8 janvier 1926 : Juan Duarte, le père d'Eva, décède. La famille légitime refuse à Juana Ibarguren et à ses enfants d'assister aux funérailles ; ils obtiendront finalement l'autorisation de suivre le cortège funèbre jusqu'au cimetière et d'assister à l'enterrement, 1910.

. Le-vatican, L. Le-portugal, L. France, and . Suisse, puis le Brésil et l'Uruguay) Evita baptisera cette tournée « la tournée de l'arc en ciel », pour symboliser le pont qu'elle lançait entre l'Argentine et le continent européen. 9 juin 1947 : Evita est acclamée par la foule madrilène sur la Plaza de Oriente et reçoit la Croix Isabelle la Catholique des mains de Franco. 14 juillet 1947 : Evita fait la couverture du magazine Time, Evita participe à une audience avec le Pape Pie XII au Vatican. 8 juillet, 1947.

M. Er, 4 juin 1952 : contre l'avis des médecins, Eva assiste au serment de la prise de pouvoir de Perón, qui a été réélu Elle fait sa dernière apparition publique en voiture avec son mari. 29 juin 1952 : Eva signe son testament, que Perón lira à voix haute le 17 octobre, 1952.