, 414 Todorov, Tzvetan. Op.cit., p. 60 et 61, 415 Rousseau, Jean-Jacques. OEuves opltes, toe IV. Paris : Gallimard, p.12, 1961.
, Ces études sont énoncées dans le quatrième article du deuxième chapitre de la seconde partie du huitième livre LLaatile sititule « Des études que doivent faire les maîtres ». 522 Ibid., p. 369. 523 Ibid, 524 Charles Rollin quantifie cette formation continue personnelle : « Il est incroyable combien une heure ou deuu does gulieeet haue jouu à ltude et loi au out dduue aae, pp.442-369
, 758 Compayré 764 Ibidem. 765 Ibid., p. 320. 766 Nous découvrons une classification identique chez Fénelon. Celui-ci distingue trois sortes de mensonges : « le mensonge innocent » que « les dieux ne peuvent condamner ; le « mensonge des méchants » propre aux « scélérats » menés par la volonté de répandre le mal ; ainsi que le mensonge par omission proche du « secret ». De me ue pou 'olli, le eesoge est pas atgoiueeet ddfii oe gatif. I Fénelon, 760 Ibidem. 761 Ibidem. 762 Ibidem. 763 Rollin, Charles. Op. cit, pp.312-451
, 1013 Bossuet, Jacques-Bénigne. OEuves opltes, volue euf, cit, vol.4, p.345
, 1026 Ibid 1027 Voir par exemple in Fénelon. De LÉduatio des filles, Ibidem, vol.4, pp.251-329, 1029.
, Cette conception se retrouve chez La Chalotais pour qui éduquer revient à « ttaaille, bonheur [de la jeunesse] à celui des autres et contribuer par conséquent au bien général de la société
, Tome 3 1038 Ibidem. 1039 Charles Rollin pousse même son idée jusquuà affie « uuuue iliatio odde pou le jeu [?] est [souvent] une marque de vivacité » intellectuelle et que le maître ne peut pas « atteede eauoup ddaadeu pouu ltude de la pat dduu eefaat, das et âge atuuelleeeet if et gai, sil est toujours triste, morne, et indifférent, même pour le jeu, Charles. Op. cit, vol.4, issue.4, pp.253-345
, 1304 E usaat de la louage oe dduu oee flatteu pou dddeloppee la etu, 'olli est à ote ouuaat des recommandations féneloniennes qui signalent combien les « maîtres » peuvent « empoisonne[r] par la flatteie [?] [le] eau atuel » du disciple, Fénelon, François de Salignac de la Mothe. Les Aventures de Télémaque. Op. cit., p. 19. 1305 Rollin, Charles. Op. cit, pp.67-337
, OEuves opltes, Toe IV, p.53
, 1683 Durand, Béatrice. Op. cit., p. 93. 1684 Vargas, Yves. Introduction à lÉile de Rousseau « E effet, sil pouait se ddteeiee à s eegagee, il seeait ddjà e uuil doit deeei, 1686 Rousseau, Jean-Jacques. Émile. GF, op. cit., p. 53. 1687 Rousseau, Jean-Jacques. OEuves opltes, volume IV. Manuscrit Favre. Op. cit, pp.55-274, 1685.
, OEuves opltes, volume un Discours sur les sciences et les arts, Op. cit, vol.14, pp.73-496, 1690.
, OEuves opltes, Ittodutio à lÉmile par Pierre Burgelin, Tome IV. Paris : La Pléiade, 1961, p. CXXX. 1714 'appelos ue das la ppeie ditio de louuuage, ditio Favre, Émile fait seulement sa première apparition dans le troisième livre du traité, p.74, 1969.
, à 425. Mall, Laurence. Émile ou la figure de la fiction. Oxford : Voltaire foundation, 1739 Hamon, Philippe. Poétique du récit, pp.411-117, 1740.
, Émile comme « le premier traité d'éducation sous forme romanesque », Jean-Louis Lecercle caractérise le disciple tel le protagoniste principal de l'ouvrage
, est-à-dire sans goûts vraiment significatifs et surtout sans génie déterminé, bref, un enfant sain et normal psychologiquement, sinon il esseeait ddtte eeeplaie, Rousseau, Jean-Jacques. OEuves opltes. Toe IV. Op. it., Introduction par Pierre Burgelin, p. CXXI. 1753 Rousseau, p.55
, Il y a u paalllise ideet eette le ppoessus ddhuuaaisatio ppogessie du ppotagoiste ? du traité au roman ? et la taasfoatio dduu eefaat e hoe, gââe à la fleeio philosophiue aisi conçue ? du ouisso à lhoe lie Une mise en abyme se fait jour à travers l'évolution formelle de l'oeuue duuatie. De e u'Éile olue de l'tat d'efaat à elui d'hoe lie gâe à l'duuatio, de même Émile, traité d'éducation, adopte peu à peu les marques génériques du roman, pp.42-106
, 1764 Ibid., p. 294. 1765 Martin, Christophe. « Faie ioleee à la atue ?? Éducation négative et tentation expériementales dans lÉmile», pp.39-208
, Fictions d'expérimentation pédagogique au XVIII e siècle, Paris : Classiques Garnier, 2010.
, OEuves opltes, 102. 1849 Ibidem. 1850 Rousseau, Jean-Jacques. Deuxième Lettre à Malesherbes. OEuves opltes Discours sur les sciences et les arts, p.1192, 2003.
, « " oleil ddÉmile : apppedde à soieete au lie III Éduquer selon la nature
, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Op. cit, Ibid. Émile. GF. Op. cit, pp.204-206, 1936.
, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Op. cit., p. 204, Ibid. Ibid. Ibid, pp.123-127, 1940.
, Essai su loigie des oaissaes huaies Paris : Libraires associés, 1787, p. 27 et 28 Histoie des dotties de lduatio. Volume II, Compayré, Gabriel Condillac, Étienne Bonnot (de). Cous dtude pou listtutio du Pie de Pae. Volume I. Paris : édition Dufart, pp.150-163, 1775.
, Cous dtude pou listtutio du Pie de Pae Il a ie das litelligeee ui e fût aupaaaat das les sees, Depuis Locke et Condillac, qui ont fait de cet axiome la base de la philosophie, la plupart des métaphysiciens ont établi que les impressions des sens étaient les matériaux nécessaires et exclusifs de tous les actes intellectuels Adelon, p.245, 1982.
, Etienne Bonnot (de) Cous dtude pou listtutio du Pie de Pae. Paris : Dufart, Tome IX, 1800, p. 280, Condillac Condillac Ibid. Ibid. Ibid. Ibid. Ibid, pp.472-286, 1831.
, a contrario il ne manque pas d'observer que l'éducation des Lumières, telle que la conçoit Condillac, s'est « émancipée des préjugés 2023 du siècle précédent à l'endroit du théâtre » 2024 . Ainsi, l'abbé ne laisse rien de côté dans cette monumentale progression instructive, si ce n'est l'idée d'une médiation, 2022.
, « Fonctions métalinguistiques et fonctions didactiques dans la grammaire de Condillac», Sgard, Jean. Condillac et les problèmes du langage, pp.178-186, 1982.
, 2115 Ibidem 2117 Pour obtenir davantage d'informations sur la notion de dyssynchronie, consulter les travaux ci-dessous mentionnés. Chauvin, Rémy. Les Surdoués. Paris : Stock, 1975. Dufour, Véronique. Intelligence et adaptation, les enfants intellectuellement précoces en situation d'inadaptation. Paris : thèse de doctorat en psychologie clinique, pathologique et psychanalytique Cellier, Hervé. Précocité à l'école : le défi de la singularité, édition Fabert, traduction par Michel Soëtard, pp.177-425, 1826.
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, Siaud-Facchin, Jeanne. L'Enfant surdoué. L'aider à grandir, l'aider à réussir. Paris : Odile Jacob 1782, note 1, p. 21.), « la superstition et le fanatisme Elle défend également les idées d'égalité, de liberté et de république, même si elle continue de les rattacher à un roi : « Mais dans les gouvernements libres, les intérêts du roi ne peuvent jamais être séparés de ceux du peuple, Discours sur l'éducation de M. le dauphin et sur l'adoption, pp.41-1790, 1981.
, Mémoires (1825) Paris : Mercure de France, édition présentée et annotée par Didier Massot Thâtte à lusage des jeues peesoes, pp.1779-1780, 2007.
, Les sept pies hoisies dduu ou deuu aates ee ppose, diffetes de celles déjà publiées dans Le Parnasse des Dames, formaient un volume in-octavo, sous le titre de Théâtre à lusage des jeues peesoes, et aaee su la page le titte de leele de la gouueate : Pouu laie, tu te osuues. Lditio tie e gad oe ee jui , seeleea ee i jous
, cit., p. 231 et 232. 2180 Il n'y a rien de surprenant à ce que Stéphanie de Genlis fasse son entrée en littérature par la porte du théâtre. Celle-ci lui donna accès à des mises en scène privées, tremplin de sa carrière littéraire débutante : 2226 Genlis, Stéphanie (de) Adèle et Théodore, Discours. Op. cit, pp.105-465, 1985.
, elui dduue ddaahe dialogue, la lettte appelle uue poose, liteeloutio peed plaae das uu espae ppi, das le ade se de laaiti, de la ofideeee, de la complicité, Les jeux intertextuels dans Adèle et Théodore, pp.20-102, 1994.
, Sa désapprobation s'adresse aussi à D'Alembert et Diderot qu'elle considère comme « de mauvais écrivains » dont elle relève les « incorrections de style ». Elle attaque également Rousseau à qui elle reproche l'absence «d'opinions fixes » et « de principes invariables Op. cit., p. 163. La futilité de pareils reproches contribue à dévaloriser le jugement critique. 2231 L'étude du genre fournit des leets de eoaissaae des sigifiatios de l'oeuuue et oieete le leeteu dans son interprétation : « La conception générique préliminaire qu'un interprète se fait d'un texte donné, est constitutive de tout ce qu'il comprend de ce texte par la suite, et [?] il ee est aisi tat ue ette oeptio générique n'est pas modifiée» Paris : Points, Broglie, Gabriel (de) Hirsch, E. D. Validity in Interpretation. New Haven Cité par Robert Scholes dans « Les modes de la fiction, pp.74-79, 1967.
, Adèle et Théodore, Vendôme : PUF Paris : éditions Grasset Genlis, issue.de, pp.17-373, 1941.
, Stéphanie (de) Adèle et Théodore, Émile. GF. Op. cit. Genlis, pp.336-336, 2302.
, être la mère d'un honnête homme, parce qu'elle le formera elle-même à la vertu ; elle le portera pour ainsi dire au plus longtemps dans son sein ; elle prolongera les douleurs de l'enfantement et la gloire de la création Elle lui doeea so ââe aps l'aaoi oui de so sei ; elle seea la e de ltte ui aie et ui peese ». I Geelis, Stéphanie (de). Essais. Op. cit., p. 11. 2322 Gougeaud-Arnaudeau, Simone. Entre gouvernants et gouvernés
, capitaine d'artillerie, du 3 juillet 1779. C'est de la sorte que le chevalier de Bonnard caractérise sa rivale, celle à cause de laquelle il n'obtint pas « ce poste auquel il pouvait légitimement prétendre au bout de trois ans de bons et loyaux services en qualité de sousgouverneur Thâtte dduatio, Gougeaud-Arnaudeau : édition Marandan, 1813. 2411 Genlis, Stéphanie (de). Mémoires. Op. cit, pp.1744-1784, 2410.
, Institution du prince au XVIII e siècle. Paris : Centre International d'études du XVIII e siècle, Ibidem, p.169, 2003.
, Stéphanie (de) Adèle et Théodore, pp.53-2427
, 2455 Saint-Pierre, Jacques-Henri-Bernardin (de) Études sur la nature, pp.95-440, 1990.
, Harpe, comédie, fêtes, leçons, écrits, éducation de prince, cent-vingt volumes publiés ; un grand nombre de manuscrits perdus ou mis en réserve ; productions philosophiques épurées, refaites, châtrées ; uue aaitt ifiie d'ouuuages de ai, ouses, ooages? » 2565 Bochenek-Franczakowa, Regina. « L 'éducation du prince fait pour régner selon Madame de Genlis : réalité et fiction, Cest uu vrai phénomène Études sur le XVIII e siècle. Portraits de femmes. Bruxelles : éditions de l'université, p.99, 2000.
, puisqu'elle a accepté une place d'hommes et qu'on ne peut lui reprocher de n'avoir pas tenu sa place de femme, Grimod de la Reynière, Alexandre. Le " oge dAthalie, 1787.
, âme où la relation s'ouvre fréquemment sur le modèle de l'asymétrie pointe l'espoir que la maîtrise magistrale restreigne cet écart et établisse une filiation au service de l'élévation du disciple jusqu'à la hauteur du gouverneur. Si l'on en croit l'analyse de Georges Steiner, la relation éducative s'apparente à un « échange, [?] un éros fait de confiance réciproque et, en vérité, d'amour (le 'disciple aimant' de la cène)
, la relation éducative peut générer des réactions dysphoriques paradoxales par lesquelles l'élève refuse de marcher aux côtés de son guide. L'étudiant échappe alors à l'éducateur en 2600 Steiner, Georges. Lessons of the masters Traduction française de Dauzat, Pierre-Emmanuel. Maîtres et disciples Pais : Galliad, folio essais Ce tttoigage soulige la peesistae dduue atteetio pou lau-delà dans les pratiques éducatives du XIX e siècle. refusant son autorité par une réelle dissidence. Tel fut le cas d'Arthur Rimbaud qui choisit de rompre avec le modèle des doctrines transmises et confiées par son maître, tout en entretenant une correspondance, liaison éducative rebelle, en sécession avec Izambard : Au fond, vous ne voyez en votre principe que poésie subjective : votre obstination à regagner le râtelier universitaire ? pardon ! ? le prouve, Mais vous finirez toujours comme un satisfait qui n'a rien fait, n'ayant rien voulu faire. Sans compter que votre poésie subjective sera toujours horriblement fadasse, p.84, 1883.
, autres espèrent la même chose, ? je verrai dans votre principe la poésie objective, je la verrai plus sincèrement que vous ne le feriez ! ? Je serai un travailleur : c'est l'idée qui me retient, quand les colères folles me poussent dans la bataille de Paris, ? où tant de travailleurs meurent pourtant encore tandis que je vous écris ! Travailler maintenant, jamais, jamais
, Pourquoi ? Je veux être poète, et je travaille à me rendre Voyant : vous ne comprendrez pas du tout, et je ne saurais presque vous expliquer. Il s'agit d'arriver à l'inconnu par le dérèglement de tous les sens. Les souffrances sont énormes, mais il faut être fort, être né poète, et je me suis reconnu poète. Ce n'est pas du tout ma faute
, Le coeur supplicié Mon triste coeur bave à la poupe
, autrefois comme pour se convaincre ou se persuader soi-même de l'accomplissement effectif du plein affranchissement Bien que Rimbaud s'en défende dans le discours de sa missive, son maître a laissé des empreintes poétiques dans son esprit, l'originalité de 'l'homme aux semelles de vent' consiste à s'être construit dans un mouvement antagoniste
, Effectivement, pour atteindre 'l'esprit', c'est le 'coeur' qui a parlé au coeur, conquis par la générosité, l'affection et l'implication du magister 2607
, apparaît ainsi que le socle porteur de l'édifice des rapports à l'autre, c'est-à-dire tel un facteur déterminant de la destinée humaine, du fatum. Par sa leçon d'humanité, le maître réveille les 2603 Camus, Albert, p.43, 1994.
, La Poétique, traduction, introduction et notes de B. Gernez. Paris : Les Belles Lettres, 1997. (Introduction, traduction et annotations de M. Magnien
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