. Force-est-de-constater and . Qu, une telle attitude fait de la Grèce le dépositaire d'un art universel et éternel qui allait, au fil des années, s'exporter partout en Europe

. Dans-la-tradition-judéo-chrétienne-fait-homme,-en-restant-dieu and . Dans-la-personne-de-jésus-christ, C'est ce que révèle l'évangile selon Jean dans le Nouveau Testament : «Au commencement était la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire

N. T. Jean, . Dieu-incarné-en-jésus-christ, and . Fils-de-marie, Il semble qu'un débat existe sur la compréhension de l'incarnation dans le milieu chrétien, lequel a des marques confessionnelle, protestante et catholique. L'interrogation se dispose selon la manière de comprendre, au coeur du mystère de l'incarnation, le rapport à Dieu d'une part, le rapport des données créationnelles de l'autre. Dans cette perspective, la théologie protestante, majoritairement et dès les Réformateurs, n'entreprend pas d'abord de méditer les « processions » et « missions » en Dieu même, à quoi se rattachait son « incarnation » ; croyance, accentuant du coup l'écart entre réalisation de Dieu et celles des hommes. Dès lors une distinction plus forte s'établit entre le « issu de la chair de Marie » et le « conçu de l'Esprit », l'historicité de l'homme Jésus et la confession christologique, ou encore les « espèces » sacramentelles (les éléments matériels : eau, pain, vin) et leur insertion ou leur prise en charge dans un ordre symbolique. Une telle conception entend reconnaître ou donner une force et une dignité plus grandes aux deux termes en jeu : la transcendance de Dieu s'en trouve en effet valorisée (Dieu ne fait pas nombre avec ce en quoi il s'incarne, il lui reste hétérogène, et on en appelle à une réception qui regarde au-delà de ce qui est simplement présenté), mais la contingence s'en trouve également accentuée (la matérialité, l'historicité et la relativité des lieux ne sont pas supprimées ou divinisées, mais sont partie intrinsèque des mystères à recevoir et à méditer) En perspective protestante, parler d'incarnation ne doit donc pas atténuer la tension, voire le conflit, entre la vérité de la foi et les réalités de l'histoire ou de la création. Il n'y a pas de discours légitime sur l'incarnation en dehors de la « mémoire » toujours réactualisée d'un passé, irréductiblement antécédent et insondable, ni sans l'attente « espérante » d'un surcroît : c'est ainsi seulement que peut se jouer une habitation présente du monde réel et que l'humain soit, selon l'expression traditionnelle des théologies de l'incarnation « assumé ». En doctrine, on rappellera ici qu'il n'y a pas d'incarnation sans renvoi à la croix, son mystère et son incognito (et réciproquement bien sûr, ce qui est parfois négligé en protestantisme), inscrit dans une généalogie historique même le réel et sur l'horizon large Bibliographie Auteurs Grecs Aristote, p.625, 1996.

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