A. Bazin, utilise dans son article « Peinture et Cinéma » où il parle, entre autres, des films sur l'art de Luciano Emmer (in Qu'est-ce que c'est le cinéma ? II. Le cinéma et les autres arts, repris in Qu'est-ce que c'est le cinéma, pp.187-192, 1959.

. De, ses amants, a déjà fait l'objet de deux articles en langue française : « Luciano Emmer ? Jean Cocteau Venise et ses amants Cocteau l'Italien, Atti del Convegno internazionale in onore di Pierre Caizergues Romantici a Venezia " à " Venise et ses amants, 728 Nous nous permettons de signaler que notre recherche Schena Editore Analyse d'une métamorphose Cahiers Jean Cocteau, nouvelle série n° 6, « Cocteau avant le Potomak, pp.195-208, 2007.

L. Voici-ce-qu-'on-peut-lire-dans-la-première-biographie-«-de-référence-»-sur-le-poète, ». Kihm-jean-jacques, . Élisabeth, C. Henri, and J. Cocteau, Cocteau écrit le commentaire d'un film de Luciano Emmer sur les tableaux de Carpaccio Sous prétexte de raconter La Légende de Sainte Ursule (c'est le titre du film), il développe tous les thèmes qui lui sont chers depuis Plain-Chant : l'irréel L'homme et les miroirs, pp.310-440, 1948.

. Bianchi-pascoli, ». Sulla-via-di-damasco-miracolo-di-san-gennaro, and . Vlad-roman, Romantici a Venezia e Isole nella laguna. [?] L'anno più fecondo della mia collaborazione con Emmer fu il 1948 in cui realizzammo ben cinque cortometraggi : Il dramma di Cristo, La leggenda di Sant'Orsola (da Carpaccio), Il Paradiso perduto (da Bosch) La mia collaborazione con Luciano Emmer FRANCIA DI CELLA Stefano et GHEZZI Enrico Mister(o) Emmer l'attenta distrazione, p.70, 1947.

«. Mario, . Bianchi-pascoli-romantici, ». Venezia, D. Bianco-e-nero, . Scénario et al., Emmer e Gras sanno l'arte di vedere con la camera. [?] E dalle torri, dai platani, dai cipressi di questa fantasia, vicino è il passo alle evocazioni dei Romantici a Venezia, p.73, 1948.

. Gras-qui-porte-le-titre-romantici and . Venezia, Romantiques à Venise), voilà qu'enfin il vient d'être édité en DVD par la Cineteca di Bologna (la Cinémathèque de Bologne), dans un coffret contenant les films d'art tournés par Emmer au début de sa carrière

D. Gabriele, Annunzio » ; le troisième précise : « Récital de Gino Cervi » et, enfin, à la fin du générique, un quatrième revient sur le sujet en ajoutant : « Consultation artistique et littéraire

G. Dalla and T. Et-giuliano-da-cascina, Finalement, chose la plus étonnante, la didascalie « Wagner », qui apparaît en surimpression quand commence l'épisode dédié au 752 SCREMIN Paola, a cura di/édité par, Parole dipinte. Il cinema sull'arte di Luciano Emmer/Films sur l, p.2010

. Aux-yeux-de-cocteau, complémentaire, tous traits confondus comme dans un seul personnage et, pour cette raison, ils tombent ensemble dans le piège que Venise leur tend : « Un homme à fine taille de femme et à barbe de soie, une femme qui fume le cigare, habillée en homme, voilà le couple Alfred de Musset-George Sand. Il débouche ce couple par l'arche sombre du pont des Soupirs. Il entre dans le piège ». Pour eux, l'appât est représenté par la fenêtre de Desdémone, d'où ils contractent « le drame de la jalousie », de la même manière que Fabbri l'indique dans son commentaire 793 . Cependant, si Cocteau reprend l'image de la fenêtre de Desdémone qui coïncide

». Desdémone, le développement narratif est de toute autre nature. D'abord, il ne se perd pas en décrivant les différentes liaisons avec la ville lagunaire présentes dans les tragédies de

. Fabbri, Il se concentre seulement sur Othello et fixe son attention sur le nom italien « Mauro » ? « Maure » en français ? car il est convaincu que ce glissement sémantique est l'origine vénitienne du drame shakespearien : « Venise. L'histoire d'Othello est arrivée à un certain M. Mauro, drapier de Venise. Shakespeare en a fait un Maure » (PD I, p. 32) En revanche, des chercheurs ont remarqué que : [?] l'un des palais

. La-fenêtre-de-desdémone, Ils perçurent comme un présage fatal. Le drame de la jalousie », in idem, cit, La finestra di Desdemona. Sentirono come un presagio fatale. Il dramma della gelosia »)

. Elsa-e-wanda, Palazzi e Famiglie] uno dei palazzi Moro è chiamato " casa di Otello " . [?] [La famiglia Moro] diede a Venezia famosi amministratori e capitani ed ebbe un doge, Cristoforo (1462-1471) Un libello contro il Moro raccontava la tragedia coniugale che aveva colpito uno dei membri della sua famiglia, p.325

C. Péninsule, Jean Cocteau aurait effectué son premier voyage à Venise avec sa mère, en 1903 selon Michel Décaudin et Jean Touzot ; en 1904 selon Pierre Caizergues. Le doute persiste, tout comme d'ailleurs sur la réalité même de ce séjour. Dans ses « Dernières remarques » sur l'étude d'Elena Fermi Jean Cocteau et l'Italie, Pierre Chanel revient sur la question en déclarant : « Inutile de reprendre 'l'invention, 1903.

C. En-septembre, toujours en compagnie de sa mère, un voyage en Italie du nord Jusqu'à présent, nous ne connaissons pas la date du départ. Néanmoins, nous savons qu'après une étape aux îles Borromées (Isola Madre, Isola Pescatori, Isola Bella) sur le Lac Majeur, le lundi 14 il est à Milan et, comme il l'écrit à Jacques Renaud le jour même 931 , le mercredi 16 au soir il sera à Vérone

C. Le-jeune-poète-raymond-laurent-pierre, L. Pierre, and . Renaud, se suicide, à deux heures du matin sur la dernière plate-forme de l'église de La Salute à Venise, 930 CHANEL Pierre Cahiers Jean Cocteau, cit., p. 42. 932 Dans la « Chronologie italienne » qu'Elena Fermi a établie pour sa thèse Jean Cocteau et l'Italie, la chercheuse indique la chronologie suivante avec comme étapes : « 14-29 septembre : Premier voyage en Italie avec sa mère, avec étapes à Milan Dans les cinq essais publiés par Elena Fermi sur le même sujet, elle ne mentionne jamais la promenade aux îles Borromées, Dans la nuit du 23 ou celle du 24 septembre 933 Dernières remarques Cocteau avant le Potomak Vérone (les 15 et le 16), ¨Padoue (le 17 à l'Hôtel Savoie) et Venise du 18 au 28 (d'abord au Grand Hôtel puis à l'Hôtel Regina) Du fait de leur localisation et des moyens de transports de l'époque, il est plus plausible que Cocteau les ait visitées soit avant son étape à Milan (car le lac Majeur est situé au nord-ouest de la ville, pp.145-931, 1886.

. Décorateur, Mischa Scandella Costumière : Vittoria Guaita Organisation générale : Sergio Benvenuti, Allessandro von Norman, Giancarlo Bernardoni Mise en scène : Michelangelo Antonioni Production : RAI TV 2 RETE Durée, p.128

. Aujourd-'hui-marta-est-passée-me-prendre and . Oui, Elle a été très gentille... très, très gentille Elle a été parfaite. Oui, j'avais cette impression, mais elle n'est pas égoïste Tu as raison, comme toujours. Comment? J'ai ma robe en satin noir. Oui, je la porte encore. Non, je n'ai pas fumé... seulement trois cigarettes Je te le jure, c'est comme ça Tu es très bon... oui. Toi aussi tu n'es pas sorti. Tu es resté à la maison toute la journée. Quel procès ?, Je n'entends plus rien... Allô... Allô... Tu m'entends ? Allô... je suis ici, ici, oui... Oui ! J'ai fait tes valises. Je te l'ai déjà dit. J'ai mis tes lettres, mes lettres, tout. Tu peux les faire emporter

.. Très-pénible, Chéri, ne t'excuse pas, c'est moi, c'est moi qui ne

M. , .. .. Tu-es-gentil, and . Oh, Oui, moi non plus je n'aurais pas imaginé être aussi forte. Non, ne m'admire pas trop... Non, je ne sais pas moi même ce que je fais

. Je-m-'habille, je sors, je rentre, je fais tout comme un automate... Peut-être que demain je serai moins courageuse

. Qu-'est-ce-que-tu-veux-que-je-te-dise, C'était toujours convenu entre nous que nous aurions agi avec clarté, non? J'aurais trouvé criminel que tu ne me dises rien jusqu'à la dernière minute Alors le choc aurait été trop fort, mais là, au contraire, tu vois, j'ai eu le temps de m'habituer, de comprendre, de... Quelle comédie ?... Pourquoi veux-tu que je te joue la comédie, moi ? Mais non, pas du tout... Mais je suis très calme... Mais c'est comme ça, je te le jure, Du reste

. Comment-?-ohétait-autrement and . Eu, Et puis, tu sais Mais quand la chose arrive, c'est toujours un gros coup, tu sais ?... Non, n'exagère pas Tu vois, je te le répète, j'ai eu le temps de m'habituer à tout. Tu avais pris le soin de me câliner, de me bercer... C'est épouvantable, Tu vois, trop de choses étaient contre nous... Il fallait ou renoncer à cinq ans de bonheur ou accepter les risques. J'ai risqué et aujourd'hui je paye cher tout le bonheur que j'ai

A. .. Oui, . Allô, . Oui, . Je-paye-cher-mais-je-ne-renie-rien, R. .. Tu et al., Ça a été une vraie folie, mon amour [on entend la voix de l'homme comme si c'était un bruit de fond] Mais non, ne t'excuse pas, ne t'excuse pas... Tout est ma faute... Tu te souviens de ce dimanche, du dimanche à Versailles... C'est moi qui ai voulu venir, c'est moi qui t'ai empêché de parler... C'est moi qui t'ai dit que j'étais prête à tout accepter, tout, tout... Mais non, laisse-moi finir... C'est moi qui ai téléphoné, c'est moi qui t'ai cherché la première... Tu ne te souviens pas ? Non, mon trésor, c'était le mardi, Oui, un mardi vingt sept et ton télégramme était arrivée le lundi vingt six... Tu ne te souviens pas ? Je connais ces dates par coeur... Comment ? Non, je ne sais pas... mais je crois que je resterai là

S. and .. .. Alors, Attends un instant, Je dis... Alors demain matin tu trouveras tes valises chez le concierge... Envoie Giuseppe pour les récupérer, compris ? Non, je... ce n'est pas important

. Je-resterai-ici, ou j'irai passer quelques jours à la campagne

. Micia-?-micia-est-comme-une-Âme-en-peine, É. Elle-me-regarde,-elle-dresse-les-oreilles, and M. , tu sais ? Elle me regarde avec un air réprobateur, comme si c'était de ma faute si tu n'es plus là Je trouve que le mieux serait que tu la prennes, chéri, car elle serait malheureuse ici... Mais non, tu ne dois pas t'inquiéter... Ce n'est pas un chien pour femme, tu comprends ? Je m'en occuperais mal Je ne la sortirais pas. C'est mieux qu'elle reste avec toi... Mais non, elle m'oubliera vite... Soit tranquille... Ça va, chéri, pour ça nous verrons... Ce n'est pas si compliqué, je t'en prie... Ne te fais pas de souci pour ça... Tu n'auras qu'à dire que c'est le chien d'un ami, Micia est très attachée à Giuseppe, dis-lui de passer la chercher... Je t'en prie... Ça va, chéri, ça va... Quels gants ? Oh, les gants... Les gants, je ne sais pas, j'ai l'impression de ne pas les avoir vus. Je ne sais pas si je les ai mis dans la valise

. De-toute-façon,-ne-t-'inquiète, Si je les trouve

. .. Dis-moi,-mon-amour and . Les, Les miennes, brûle-les ! Mais écoute, mon amour, je vais te demander une chose... peut-être que c'est une chose idiote... Écoute, je voulais te dire, si tu les brûles... Oui, ça me ferait plaisir... que tu gardes les cendres dans l'étui en tortue, tu sais, celui que je t'avais donné pour les cigarettes et que

. Pourquoi-tu-ne-dis-plus-rien-?-maintenant, . Oui, and . Oui, Là, c'est fini, je ne pleure plus Je te disais que je serais contente d'avoir les cendres, tu comprends ? Merci, mon amour... Non, ce n'est pas tard pour moi, ce n'est rien, Mais je comprends, tu dois travailler... Il faut te coucher tout de suite

A. Oui and . Ta-voix-est-claire, comme si tu étais dans ma chambre avec moi... Allô... je ne t'entends plus... répète, dis-moi... C'est étrange, on dirait que ton appareil résonne d'une façon bizarre

. Je-te-vois, . Tu, and . Le-rouge-dieu, et puis tu as tes manches de chemise relevées jusqu'aux coudes, dans ta main gauche tu as l'appareil et dans la droite un crayon et tu dessines des coeurs, des étoiles sur le buvard Tu ris, hein ? J'ai des yeux à la place des oreilles... Oh, ne me regarde pas, je t'en prie ! Si tu savais... je ne te dis pas quand je me suis retrouvée nez à nez avec moi-même dans la glace Oh, mon trésor, mon trésor, mon amour, tu m'es très cher mais on ne peut pas dire que j

. Monsieur, Il n'est pas là ? C'est vrai je suis idiote, je savais qu'il ne rentrait pas ce soir, sûrement il m'appelait du restaurant, Quelle idiote... Merci beaucoup

. Excusez-moi, . Elle, and . Deuxième-appel-allô-?-?-allô, c'est toi, mon amour ? On a coupé... [voix masculine] Non

. .. Et-oui,-je-comprends-allô, . Allô, and . Oui, Tu as été très bon, très bon de me rappeler Rien, je t'assure rien. Mais tu te trompes, je te jure que je n'ai rien. Non, non, non... mais quel ton, quel ton... j'ai le même ton qu'avant... Seulement, tu comprends, je parle, je parle, je parle sans penser que tout va finir et que je vais retomber dans le noir, le silence... Écoute, mon amour. Moi je ne t'ai jamais menti, pas vrai ? Oui, je sais, mais là je t'ai menti, oui, tout à l'heure, au téléphone, je t'ai menti... tout ce que je t'ai dit est faux... Je sais bien que je n'ai rien à attendre, et que ça ne servira à TROISIÈME APPEL

. Amore, [plusieurs fois] Sì, lo so, è spaventoso, non avrò mai il coraggio, amore, non avrò mai il coraggio amore, Senti, ascolta amore, dopodomani voi due sarete a

. Marsiglia and . Ebbene, promettimi almeno questo amore, che non andrete nello stesso albergo dove andavamo noi due... Oh, grazie amore, grazie amore mio... No, no, non voglio più vederti, no... No, non ci

. Sì, Amore mio santo Sì, lo so, sarò forte, sarò forte... Fai presto, però... Interrompi te... Fa presto, fa presto

B. A. Dans-son-texte and !. ». Gordon, Looked to the winged Lion's marble piles, / Where Venice sate in state, throned on her hundred isles The complete poetical works Et ainsi dans la traduction française : « [?] Et partout rayonnaient les traces glorieuses / Des longs siècles passés, où maint pays conquis / Du grand Lion ailé respectait la puissance, / Et ses palais de marbre, et la magnificence, McGann Jerome J., Oxford, at the Clarendon Press, pp.1874-174, 1980.

L. Mouvement-de, et devient plus intense sur le mouvement du récepteur Le chien commence à gémir Elle se lève du lit, suivie par la caméra qui se rapproche d'elle. Elle allume le lustre central et va vers le chien à gauche du cadre, suivie par la caméra en plan américain

. Avec-l-'eau, La caméra, qui a suivi en plan américain son mouvement en panoramique, montre Magnani toujours depuis la chambre. Le téléphone sonne Elle revient dans la chambre en courant, elle ne sait pas où poser la gamelle du chien, et elle s'allonge sur le lit. Avec ce mouvement, la caméra recule légèrement

!. Voix-de-la-femme-rien, Allô c'est toi Allô c'est toi, Je n'entends rien !... Je n'entends

. Elle-replace-le-récepteur-À-droite, Ce faisant, elle se lève légèrement et la caméra la suit en gardant le premier plan

. Voix-de-la-femme, Allô ? Tu me sembles très loin... Oui, je t'entends très mal

. Voix-de-la-femme, Tu m'avais appelée ? Ah, j'étais avec Marta, Ça doit être... Onze heures et demie

. Voix-de-la-femme, Mais tu n'es pas chez toi ?... Alors, regarde l'horloge. Non, Dix heures ? La musique continue

. De-droite-À-gauche, en plan rapproché, la caméra découvre l'intérieur d'une cellule. Par ce mouvement, on voit d'abord le mur de droite, ensuite la fenêtre à barreaux au centre du mur de face et, enfin, le mur de gauche, jusqu'à voir, par un travelling arrière

. Plongée-quasi-totale, En plan rapproché, il y a le rebord d'une fenêtre à barreaux sur lequel court un rayon de lumière de gauche à droite

. Avec-le-même-cadrage and . Qu, au plan 12, détail sur les inscriptions. On y voit le buste d'un homme avec barbe et chapeau (de profil gauche)

. Au-premier-plan, travelling oblique vers la droite le long du mur extérieur à la cellule, à partir de la porte cadrée au plan 11. Ensuite, deux fenêtres à barreaux, la porte d'une autre cellule et une nouvelle fenêtre à barreaux, sur laquelle la caméra s'arrête

:. Voix-off, s'étendaient sur des siècles Une gloire moribonde souriait aux temps passés, tandis que les colonnes du Lion ailé, submergées

». and I. Byron-george-gordon, sujet se réfère le verbe « regarder ». L'extrait est tiré de Childe Harold's Pilgrimage, Canto IV-I, composé entre 1812 et 1818 Dans son texte, Byron a écrit : « [?] and a dying Glory smiles / O'er the far times when many a subject land / Looked to the winged Lion's marble piles, / Where Venice sate in state The complete poetical works Et ainsi dans la traduction française : « [?] Et partout rayonnaient les traces glorieuses / Des longs siècles passés, où maint pays conquis / Du grand Lion ailé respectait la puissance, La dernière phrase du texte en langue italienne est incompréhensible, car nous ne savons pas à quel, pp.1874-174, 1980.

. Doucement-sur-la-droite-avec-un-feu-de-proue, Travelling avant vers la fenêtre en demiplongée

:. Voix-off, le long de ton chemin, parmi les pavés ou au fond d'un verre ? L'as-tu vu sur les fleurs des prés

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, gros plan d'Ursule profil gauche. À l'arrière-plan, détail du long cortège le long d'un quai

. Détail-de-la-septième-toile-du-cycle, Arrivée à Cologne ». En plan rapproché, au centregauche , détail du sommet d'un arbre avec des branches. À droite, un oiseau appuyé sur une branche

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, au centre-gauche mâts d'un bateau (il s'agit d'une galère vénitienne), avec nombreux haubans Au premier plan, au centre, mât oblique sur lequel il y a un homme (on ne voit pas sa tête)

. Détail-de-la-quatrième-grande-toile-du-cycle, Au premier plan, à gauche, une femme en train d'essuyer ses larmes avec un foulard, la tête voilée et penchée vers la droite (il s'agit de la reine de Bretagne, la mère d'Ursule). À droite, derrière elle une femme profil gauche regarde devant soi, Rencontre et Départ des Fiancés

. Détail-de-la-même-toile, Au premier plan, à gauche Etherius agenouillé profil droit et Ursule agenouillée, elle aussi profil droit. Penché devant elle, son père le roi de Bretagne (en plan moyen) lui pose sa main gauche sur l'épaule droite (il s'agit du salut avant le départ des fiancés). À l'arrière-plan

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché Au centre de celle-ci, un tapis précieux est étalé. À gauche, à l'arrière-plan du monde devant une fenêtre où, là aussi, l'allège est recouverte par un tapis précieux. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal en diagonale gauche vers le bas, jusqu'à cadrer, en plan d'ensemble, au centre, Ursule suivie par deux femmes en train de s'embarquer dans une chaloupe pour rejoindre le bateau mouillé au large (il s'agit d'une galère vénitienne) Etherius vient d'y monter

. Rome, Voix off : Les voiles des navires qui les amènent à

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché le grand mât et haubans d'une galère vénitienne en train de prendre le large. À gauche, à l'arrière-plan, voiles, mâts et haubans d'une autre galère. Ensuite, sans solution de continuité, long travelling : avant frontal en arrière ; après, d'abord en diagonale droite vers le haut, et, dans sa partie terminale, à la verticale vers le haut jusqu'à cadrer, en gros plan, p.un blason

. Fondu-enchaîné, Détail de la cinquième toile du cycle : « Songe de Sainte Ursule ». En plan demie-figure, Sainte Ursule dans son lit comme pendant le travelling diagonal vers la

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, au centre bas du cadre il y a la couronne d'Ursule. Elle est posée sur la descente de lit

. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal vers la droite, jusqu'à cadrer les demijambes recouvertes par une veste et les pieds nus de quelqu'un (il s'agit de l'ange)

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, premier plan de Sainte Ursule en train de rêver

. Détail-de-la-même-toile, En plan moyen, la chambre d'Ursule. À gauche, une partie du lit avec son pied de lit, où elle est en train de rêver (mais on ne voit pas son corps) Au centre, à l'arrière-plan, le tabouret avec la petite écritoire comme au plan 2. À droite, presque en figure entière (on ne voit pas ses pieds)

. Détail-de-la-même-toile, Au premier plan

. Détail-de-la-sixième-toile-du-cycle, En plan rapproché, au centre-gauche, il y a la partie haute d'un imposant château (il s'agit du château Saint-Ange), composé de trois niveaux : en bas, un mur défensif rond crénelé, où l'on voit des gens. Celui-ci protège, au milieu, un corps de bâtiments carré crénelé qui soutient, au centre, tout en haut une tour crénelée. À droite, statue sur le sommet d'une colonne et, Rencontre des Pèlerins avec le Pape

. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal oblique en bas vers la droite, jusqu'à cadrer, à droite, la partie gauche du château où il y a, le long du mur crénelé, un groupe de trompettistes. À droite

. Détail-de-la-même-toile, arrière-plan à gauche, trois grandes galères vénitiennes (deux amarrées au quai et une plus loin), avec les grands mâts et les grand-voiles amenées. À droite, de la végétation. À l'avant-plan, cortège des Vierges qui suit la route en forme sinueuse Au centre-droite, détail d'une hampe qui coupe le cadre en deux parties. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal vertical vers le bas qui suit la hampe. Une fois la hampe terminée entre les mains d'une Vierge, le travelling continu en diagonal droite vers le bas, jusqu'à cadrer, à gauche

. Détail-de-la-même-toile, En plan moyen, à droite, groupe du cortège papale. À l'avant-plan, tout à gauche, premier plan d'un franciscain Au milieu, en demie-figure, groupe de cinq évêques, avec leurs chapes brodées et mitres. À l'arrière-plan, d'autres religieux. Parmi eux, à l'opposé du franciscain, il y a un dominicain. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal oblique avant vers la gauche, jusqu'à cadrer

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, premier plan de Sainte Ursule en train de rêver

. Détail-de-la-même-toile, En gros plan, au centre, tête de l'ange profil gauche

. Détail-de-la-huitième-grande-toile-du-cycle, En plan rapproché, à partir du centre vers la gauche, enfilade d'arbres en perspective. À droite, détail du tronc cassé d'un arbre, qui a quelques feuilles. À l'arrièreplan , la partie haute de bâtiments. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal d'abord vers le haut et, une fois les branches des arbres rejointes, en arrière vers le bas, jusqu'à cadrer, en plan rapproché, le martyre des Pèlerins par la main des Huns. À gauche, au premier plan, enchevêtrement serré de têtes, de bras et de corps, Martyre des Pèlerins et Funérailles de Sainte Ursule

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, gros plan de deux visages de Vierges en train de subir leur martyre

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, un soldat des Huns en train de couper avec son épée la tête, en gros plan, d'une Vierge penchée sur la gauche

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, un soldat des Huns, au premier plan à droite, en train d'égorger avec son poignard le Pape Cyriaque

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, détail de la flèche plantée dans la poitrine du Pape à gauche, En haut

. Détail-de-la-même-toile, En plan de demi-ensemble, détail du martyre des Vierges. À gauche, au premier plan, détail d'un tronc d'arbre et d'une épée. À droite, soldat à mi-corps avec bouclier dans la main gauche et lance dans la main droite. Au milieu et au centre, en plan américain, dos d'un archer en train de tirer sa flèche vers la gauche et

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, soldat en plan américain avec poignard dans sa main droite en train de tuer quelqu'un qui est hors cadre. À l'arrière-plan

. Détail-de-la-même-toile, En plan de demi-ensemble, à l'avant-plan pointes de lances de formes différentes avec, au milieu, un arbre. À l'arrière-plan, grands remparts et

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, détail d'un drapeau des Pèlerins (une croix sur fond blanc), entouré par des arbres. À l'arrière-plan

. Détail-de-la-même-toile, Plan rapproché des Huns. À l'avant-plan à droite, archer en demie-figure en train de tirer sa flèche, en bas vers la gauche. Son corps est de profil gauche (on ne voit pas son visage, caché par ses cheveux) Il porte un chapeau à plume Au milieu à gauche, en plan moyen, autre soldat avec bouclier dans la main gauche et épée dans la mains droite, Il porte, lui aussi

. Détail-de-la-même-toile, Au centregauche , en plan moyen Sainte Ursule agenouillée, de profil droit en train de prier Derrière elle, deux Vierges agenouillées : l'une, celle en avant-plan en train de prier et l'autre, à côté, en train de pleurer. À droite, jambes de soldats et, à l'extrémité, pointe d'une flèche qui vise la Sainte. Ensuite, sans solution de continuité, travelling diagonal arrière vers le haut, jusqu'à cadrer, en plan de demi-ensemble, le martyre de Sainte Ursule. À l'avant-plan, à gauche Sainte Ursule agenouillée, profil droit et en train de prier, visée par la flèche de l'archer du plan précédent, en plan américain à droite, Plan rapproché de Sainte Ursule avec deux Vierges

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, au premier plan

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, au premier plan, Sainte Ursule agenouillée, de profil droit et en train de prier

. Détail-de-la-cinquième-toile-du-cycle, Comme au plan 50, en plan moyen, la chambre d'Ursule. À gauche, une partie du lit avec son pied de lit, où elle est en train de dormir (mais on ne voit pas son corps) Au centre, à l'arrière-plan, le tabouret avec la petite écritoire comme au plan 2. À droite, presque en figure entière (on ne voit pas ses pieds)

. Détail-de-la-huitième-grande-toile-du-cycle, En plan rapproché, Sainte Ursule dans son lit de mort en figure presque entière, sa tête à gauche de profil droit. À l'arrière-plan, deux murs différents contigus. Celui plus à droite a, au centre, une plaque en marbre avec l'image d'un blason. Ensuite, sans solution de continuité, travelling diagonal arrière vers la gauche, jusqu'à cadrer, en plan de demiensemble , les funérailles de sainte Ursule. À l'avant-plan, au centre, deux têtes d'évêques avec les mitres, profil droite. Ils portent, sur leurs épaules, le catafalque où est posé le corps de Sainte Ursule, qui occupe la partie droite du cadre. À l'arrière-plan, à gauche des bâtiments avec végétation et, à droite, Martyre des Pèlerins et Funérailles de Sainte Ursule

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, au premier plan, toit d'une église avec clocher

. Détail-de-la-quatrième-grande-toile-du-cycle, Au centre, en plan rapproché légèrement en oblique, détail d'un tapis précieux étalé sur une balustrade Au-dessus, on voit les jambes de quelqu'un assis derrière lui. Ensuite, sans solution de continuité, travelling diagonal vers le bas à droite, jusqu'à cadrer au centre, en plan rapproché, détail d'un écriteau accroché sur une colonne en marbre (il s'agit de la base du pennon central qu'on ne voit pas) sur lequel on lit « VICTORI CARPATIO VENETI OPUS MCCCCLXXXXV » (Vittore Carpaccio fait à Venise 1495). À côté de l'anneau qui tient l'écriteau il y a, légèrement sur la gauche, un scorpion. À droite de la colonne, Rencontre et Départ des Fiancés

. Ouverture-en-fondu, Le mot « FIN » apparaît, écrit en caractères blancs sur fond noir

. La-musique,-jouée-par-les-cuivres-et-le-violon, se termine en léger crescendo. penchent par dessus les créneaux en trois directions différentes Il y a trois drapeaux : deux qui sortent des créneaux et un sur le sommet du toit Derrière celui-ci, on voit une deuxième tour, avec des hommes mais sans drapeaux. Et encore derrière celle-ci on voit, de profil, une série de trois tours similaires. À droite, au premier plan détail d'un tronc d'arbre. À l'arrièreplan , différents toits de maisons, sommets de tours et d'un clocher. À gauche

. Détail-de-la-quatrième-grande-toile-du-cycle, Rencontre et Départ des Fiancés ». En plan rapproché, à droite, détail d'une hampe avec un drapeau à franges au vent. À la base, il y a une espèce de cuvette encastrée sur la pointe d'un toit (il s'agit du sommet d'une tour). À gauche, deux drapeaux dont les hampes sortent d'un mur d'enceinte (il s

. Détail-de-la-même-toile, En plan de demi-ensemble, au centre-gauche le sommet d'un clocher, avec cinq drapeaux qui sortent de ses arcades. À droite, la pointe d'un clocher et le toit d'une maison avec deux hampes où sont accrochés deux drapeaux à franges. Ensuite on aperçoit la structure d'un palais en marbre polychrome

. Détail-de-la-même-toile, En plan de demi-ensemble, à gauche, à l'arrière-plan, partie de la façade d'un palais en marbre avec, au centre, une fenêtre jumelée où il y a des gens en train de regarder dehors. À droite, en plan rapproché, groupe d'hommes. La partie haute, à gauche, est composés de trompettistes ; en bas, des hommes appuyés à la balustrade d'un escalier en marbre ; au centre un jeune homme debout qui tient dans sa main droite un parchemin

. Détail-de-la-même-toile, un palais avec des créneaux, derrière lesquels il y a des gens, ainsi qu'en bas, devant le palais et qui sortent du portail, en bas à gauche. À gauche, des bateaux amarrés au quai (il s'agit d'une caraque, vaisseau rond dont le mât porte une très grande voile carrée, une batela ? bateau ? de type coa di gambero ? queue d'écrevisse ? dont les pièces d'entrave sont légèrement surélevées et d'une galère vénitienne) et, à l'arrière-plan, toits de maisons et d'une église avec clocher. Ensuite, commence un travelling : avant en diagonale gauche vers le bas lequel il y a un homme, avec une voile amenée. À droite, nuages et deux branches avec feuilles

. Détail-de-la-quatrième-grande-toile-du-cycle, Au premier plan, à gauche, une femme en train d'essuyer ses larmes avec un foulard, la tête voilée et penchée vers la droite (il s'agit de la reine de Bretagne, la mère d'Ursule). À droite, derrière elle une femme profil gauche regarde devant soi, Rencontre et Départ des Fiancés

. Détail-de-la-même-toile, Au premier plan, à gauche Etherius agenouillé profil droit et Ursule agenouillée, elle aussi profil droit. Penché devant elle, son père le roi de Bretagne (en plan moyen) lui pose sa main gauche sur l'épaule droite (il s'agit du salut avant le départ des fiancés). À l'arrière-plan

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché Au centre de celle-ci, un tapis précieux est étalé. À gauche, à l'arrière-plan du monde devant une fenêtre où, là aussi, l'allège est recouverte par un tapis précieux. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal en diagonale gauche vers le bas, jusqu'à cadrer, en plan d'ensemble, au centre, Ursule suivie par deux femmes en train de s'embarquer dans une chaloupe pour rejoindre le bateau mouillé au large (il s'agit d'une galère vénitienne) Etherius vient d'y monter

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché le grand mât et haubans d'une galère vénitienne en train de prendre le large. À gauche, à l'arrière-plan, voiles, mâts et haubans d'une autre galère. Ensuite, sans solution de continuité, long travelling : avant frontal en arrière ; après, d'abord en diagonale droite vers le haut, et, dans sa partie terminale, à la verticale vers le haut jusqu'à cadrer, en gros plan, p.un blason

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, premier plan de Sainte Ursule en train de rêver

. Détail-de-la-même-toile, En gros plan, au centre, tête de l'ange profil gauche

. Détail-de-la-huitième-grande-toile-du-cycle, En plan rapproché, à partir du centre vers la gauche, enfilade d'arbres en perspective. À droite, détail du tronc cassé d'un arbre, qui a quelques feuilles. À l'arrièreplan , la partie haute de bâtiments. Ensuite, sans solution de continuité, travelling frontal d'abord vers le haut et, une fois les branches des arbres rejointes, en arrière vers le bas, jusqu'à cadrer, en plan rapproché, le martyre des Pèlerins par la main des Huns. À gauche, au premier plan, enchevêtrement serré de têtes, de bras et de corps, Martyre des Pèlerins et Funérailles de Sainte Ursule

. Détail-de-la-même-toile, En plan rapproché, gros plan de deux visages de Vierges en train de subir leur martyre

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, un soldat des Huns en train de couper avec son épée la tête, en gros plan, d'une Vierge penchée sur la gauche

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, en plan rapproché, un soldat des Huns, au premier plan à droite, en train d'égorger avec son poignard le Pape Cyriaque

. Sainte and . Ensuite, sans solution de continuité, travelling diagonal arrière vers le haut, jusqu'à cadrer, en plan de demi-ensemble, le martyre de Sainte Ursule. À l'avant-plan, à gauche Sainte Ursule agenouillée, profil droit et en train de prier, visée par la flèche de l'archer du plan précédent, en plan américain à droite

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, au premier plan

. Détail-de-la-même-toile, Au centre, au premier plan, Sainte Ursule agenouillée, de profil droit et en train de prier

. Détail-de-la-cinquième-toile-du-cycle, Comme au plan 51, en plan moyen, la chambre d'Ursule. À gauche, une partie du lit avec son pied de lit, où elle est en train de dormir (mais on ne voit pas son corps) Au centre, à l'arrière-plan, le tabouret avec la petite écritoire comme au plan 3. À droite, presque en figure entière (on ne voit pas ses pieds)

. Détail-de-la-huitième-grande-toile-du-cycle, En plan rapproché, Sainte Ursule dans son lit de mort en figure presque entière, sa tête à gauche de profil droit. À l'arrière-plan, deux murs différents contigus Celui plus à droite a, au centre, une plaque en marbre avec l'image d'un blason. Ensuite, sans solution de continuité, travelling diagonal arrière vers la gauche, jusqu'à cadrer, en plan de demiensemble , les funérailles de sainte Ursule. À l'avant-plan, au centre, deux têtes d'évêques avec les mitres, profil droite. Ils portent, sur leurs épaules, le catafalque où est posé le corps de Sainte Ursule, qui occupe la partie droite du cadre. À l'arrière-plan, à gauche des bâtiments avec végétation et, à droite, un mur dont le haut est délabré et, en continuité, un autre mur avec, Martyre des Pèlerins et Funérailles de Sainte Ursule, 1998.

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. Musset, Alfred de; 27; 66; 395; 404; 408; 538; 558, p.560

P. Picasso, 48-54; 62; 64; 70; 74; 75; 89; 114; 129; 138-142; 145; 147; 162; 175, pp.193-196

E. Prampolini, 138; 140; 143, pp.260-267

. Ramirez, Francis; 84; 95; 167; 193; 215; 240; 241; 273; 496, p.502

C. Rolot, 84; 95; 159; 161; 167; 193; 215; 219; 240; 241, p.496

. Rondolino, Gianni; 71; 302; 342, p.380

R. Rossellini, 15; 19; 20; 72; 172; 174-178; 184-190; 191; 212-213; 219; 229, pp.281-285

. Santoro, Cosimo; 284; 341; 342; 343, p.344

A. Savinio, Andrea de Chirico); 126; 128, pp.249-257

. Sert, Misia; 32; 41; 71, p.206

I. Stravinski, 41; 48; 54; 425; 524 T Tacchella, Jean-Charles, vol.220, issue.221, p.396

J. Touzot, 28; 29; 92; 112; 113; 171, p.523

P. Uccello, Paolo Di Dono); 18; 107; 111; 178

. Virgile, Publio Virgilio Marone); 100; 101

R. Wagner, 37; 395; 400; 404; 408; 538; 558, p.560

F. Weisweiller, 75; 91; 124; 149; 154; 156; 200; 203; 218; 286; 527, p.529

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