L. Barré, J. Landescq, E. Mellois-artiste-peintre, . Ancelot, . Fulgéras et al., En note de cette pétition figure la note suivante de la main de Paul Lacroix : « le défaut de temps n'a pas permis de réunir un plus grand nombre de signatures, p.176

A. Duprat and . Un-réseau-de-libraires-royalistes-À-paris-sous-la-terreur, Consulté le 4 avril 2007. 177 L'étude de Filippo Benfante sur la librairie Ménard-Desenne, encore à l'état de gestation, pourra sans doute apporter des éléments de réflexion prolongeant le travail d'Annie Duprat : les Desenne appartenant en effet au réseau royaliste qu'elle décrit, tandis qu'Émile Eustache Ménard est le père du républicain Louis Ménard. Dans l'attente d'une étude exhaustive de cette librairie, nous consulterons l'introduction de Louis Ménard, Prologue d'une révolution : février-juin 1848, présenté par Filippo Benfante et Maurizio Gribaudi, Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, en cours, pp.11-65, 2000.

. Adp, dossier n° 6416, déclaration du 31 août 1830 Seul l'évêque Guillon de Beauvais se rend au tribunal de commerce faire reconnaître sa créance. Voir également sur ce point, infra : chap. V, § I, C, vol.713

A. Firmin-didot, Réponses aux questions?, ouv. cité, p.3

N. Felkay, Balzac et ses éditeurs?, ouv. cité, passim ; voir surtout : Balzac, imprimeur et défenseur du livre, ouv. cité, notamment l'article de Jean-Yves Mollier, « L'imprimerie et la librairie en France, pp.17-38, 1995.

A. Firmin-didot, Réponses aux questions?, ouv. cité, p.5

D. Hébrard and . La, Pour Honoré de Balzac, « De l'état actuel?, p.51

G. Duchêne and . Études-sur-la-féodalité-financière, La spéculation devant les tribunaux, pratique et théorie de l'agiotage, pp.114-116, 1867.

L. Maillard and . Cité-des-intellectuels, Scènes cruelles et plaisantes de la vie littéraire des gens de lettres au XIX e siècle, pp.89-92, 1905.

C. Ginzburg and «. Signes, traces, pistes. Racines d'un paradigme de l'indice », dans Le Débat, Morphologie et histoire, vol.6, pp.3-45, 1980.

. Voir-supra-passim, Voir également, Viera Rebolledo-Dhuin

. Outre-le-dossier-de-la-cour, Assises (AdP : D2U8/1), nous disposons donc de plusieurs publications imprimées, notamment périodiques. La Presse mentionne par exemple cette affaire dans une dizaine d'articles entre septembre 1866 et mai 1870, Voir Annexe XV.B

. Adp, PV de l'interrogatoire de Berthomé par Duret, pp.16-1866

A. Nyáry, Les droits des Arpad (Crouy-Chanel de Hongrie), traduit du hongrois, préfacé par Germain Sarrut, p.1862

«. Idem, M. L-'arrestation-de, H. Dupray-de-la-mahérie, and . Barby, 692 Idem, « Le bras économique de l'Église. Le vénérable Duprey de la Mahérie est-il un génial escroc ? », dans L'Action, 29 juin, Plus fort que Robert Macaire. La confession d'une victime de Dupray de la Mahérie reproduit en Annexe XV.C. 694 Idem Dupray de la Mahérie et le "Bras économique de l'Église" », dans L'Univers, 1910.

. Le, Bras économique de l'Église". Les pensionnaires de Mme Duret, 1910.

». Le-"-crédit-de-france, Action, 1 er juillet 1910, reproduit en Annexe XV.C. Les deux premiers points concernent sans doute la States Bank, déjà mentionnée. La multiplication des nomenclatures sociétaires pour une même entreprise témoignent de la confusion des journalistes, des juges et peut-être même de Dupray ? qui sait parfaitement jouer l'amnésique néanmoins (Idem, L'Action, 13 juillet 1910) ? quant au foisonnement de ces spéculations. 703 AN : F7/15953/1, « "Bonnes oeuvres"? », art. cité, L'Action, 1 er juillet, Dupray de la Mahérie engraissait les congrégations romaines », dans Le Matin 704 Idem, « Quelques chapitres du roman de Dupray de la Mahérie. Quelques démêlés avec la justice. Un testament bizarre. Le "Bras économique" et le plumeau Rome au secours de M. de la Maherie », dans L'Action, 1910.

«. Idem and . Le, Bras économique de l'Église"? », art. cité, dans Le Petit parisien, juillet, vol.30, pp.1-2, 1910.

«. Idem, M. Le-roman-religieux-de, and . Dupray-de-la-mahérie, Cet homme prétendait consoler le monde catholique du krach de l'Union générale grâce aux cinquante millions du dernier, p.29, 1910.

». and L. Matin, 710 Idem, Henry Barby, « Dupray de la Mahérie est optimiste. Dans quelques heures, dit-il, je pourrai disposer de 60 millions », dans Le Journal, 21 juillet 1910 raconte la libération haute en couleurs de Dupray, Procédés de Justice. Le cas de M. Duprey de la Mahérie. Déclaration de M e Monceau [Manceau], avocat de l'octogénaire », dans L'Action, 22 juillet 1910 décrit ses premiers jours, une fois recueilli chez Hutinet et Duray, 1910.

P. Larousse, Grand Dictionnaire Universel?, ouv. cité, t. XVII, p. 452 ; Théodore Labourieu, Le Petit Vapereau, lanterne biographique et satirique

P. Élégant, chronique des salons, des théâtres, de la littérature et des arts est publié à partir du 16 septembre 1837 (Bibliographie de la France, 23 septembre 1837, Le premier numéro de la Gazette des familles : annales universelles des villes et des campagnes paraît le 6 janvier 1838, pp.468-493

M. Rude, Adolphe Perreau) Confidences d'un journaliste?, ouv. cité, p. 60. 33 BnF : notices n° FRBNF32891999, FRBNF32892000 : Le Cabinet de lecture

L. Voleur-littéraire and . Le-cabinet-de-lecture-réunis, 1847-1848 ; Le Voleur, le Cabinet de lecture, le Cercle et la Gazette des familles, 1847-1850. dissolution prenant effet le 15 mai 1846 suite à une lettre de Videcoq père à son notaire, M e Leroux, en date du 28 mars 1846 par laquelle il lui demande d'« avoir la bonté de faire le nécessaire pour la pièce ci-jointe [la dissolution de la société, puisque] je ne m'en occupe plus, p.52

. Adp, dossier n° 11537, déclaration du 19 avril 1854, rapport du syndic en date du 10 septembre 1855 Seul le dossier de faillite mentionne explicitement les dettes sociales qui pèsent sur Charles Désiré Videcoq, tant M e Leroux a honoré l'exigence de discrétion formulée à son égard par Videcoq père (AN : MC/ET, 1278.

M. Adp, . Et, and . Xlix, rapport du syndic en date du 10 septembre 1855 Nous préservons ici l'orthographe du syndic1278 : l'acte de création de société enregistré le 28 juin 1842 est explicite sur l'estime paternelle ? pourtant obsolète quatre ans plus tard : « Mr Videcoq père voulant donner à son fils ainé qui depuis plusieurs années l'aide de tous ses soins dans la gestion de sa maison un témoignage de la satisfaction qu'il éprouve de sa conduite et de son zèle pour ses affaires après avoir pris l'avis et le consentement de mad e . Videcoq son épouse, a proposé à son fils aîné de l'associer à l'exploitation de sa librairie, 1854.

. Adp, dossier n°15640, déclaration du 13 janvier 1859, rapport de syndic après union en date du 16 novembre 1860. Sergent s'équivoque, il ne s'agit pas d'un brevet d'imprimeur mais de libraire qu'Edmond Augris obtient le 30 avril 1858, en remplacement de son ancien maître Pierre Louis Parmantier. En outre

. Adp, D11U3 : sur les 39 dossiers de faillite indiquant le prix d'achat du fonds, 32 concernent des libraires brevetés qui paient en moyenne 73 675,72 francs contre 20 653,82 francs pour les 7 libraires non brevetés. Le rapport des montants médians paraît cependant plus proche de la réalité : les libraires brevetés paient ainsi 20 500 francs, ceux qui n'ont pas de brevet 10 000 francs

. Adp, dossier n° 7151, déclaration du 10 décembre 1866 ; voir également : AN : F18/1750, dossier François Cournol : pour le syndic de la faillite l'accusé a travaillé comme commis chez Louis Hachette et Vincent Bourselet

. Adp, dossier n° 156, déclaration du 4 juin 1862, rapport du syndic enregistré le 6 décembre 1862. Il n'est pourtant officiellement breveté qu'en 1865. Voir Sophie Grandjean-Hogg, L'évolution de la librairie?, ouv. cité, vol.387, issue.1, pp.35-65

P. , C. Guyot, C. De, and . Nicolas, Prosper Roidot estiment à 3 000 francs leur brevet et leur mobilier industriel (AdP : D11U3/386, dossier n° 131

. Adp, dossier n° 6286, déclaration du 19 juin 1866, bilan déposé le 18 juin 1866 ; D11U3/1872, dossier n°13201, 1870.

. Adp, acte de décès d'Auguste Poulet-Malassis, Paris VII e arrdt, 11 février 1878

A. Poulet-malassis, AdP : V4E/1820, acte de mariage de Julien Lemer, XV e arrdt Adolphe Bossange perd l'aînée ? âgée de huit ans ? de ses quatre filles nées de Louise Juliette Galand, avec laquelle il s'unit peut-être entre 1833 et 1844, au plus tôt à 36 ans. Auguste Poulet-Malassis épouse son employée, Françoise Daum, lors de son exil bruxellois, Notes et souvenirs intimes, 1893.

. Adp, dossier n° 5465, déclaration du 1 er décembre 1865, rapport de syndic en date du 15 février 1866 ; V3E/M324, acte de mariage, Paris XI e arrdt

C. Amérique, F. Colomb, . Cortez, C. Pizarre, B. Humboldt et al., Sur l'ascension sociale de Joseph Bry, voir supra chap. I, § II.B. 331 Voyages en Bry aîné, 1854 ; Voyages en Afrique par Bruce, Soulignons que lors de la seconde faillite, aucun de ces amis ne sont inscrits comme créanciers aîné, 1855. 332 OEuvres de Dante Alighieri. La Divine Comédie. Traduction nouvelle, précédée d'une introduction contenant la vie de Dante et une clef générale du poème, par Sébastien Rhéal? avec des notes d'après les meilleurs commentaires, par Louis Barré, illustrations par Antoine Étex, 1854.

T. Rousseau-réimprimées-d-'après-les-meilleurs-textes-sous-la-direction-de-louis-barré, B. Johannot, C. Nanteuil, J. Paris, and . Bry-aîné, OEuvres complètes de La Fontaine, réimprimées d'après les meilleurs textes sous la direction de Louis Barré, Louis Barré traduit notamment Walter Scott pour les Veillées populaires de Joseph Bry entre 1849 et 1857 ; il dirige également avec Jean-Pierre Houzé l'Encyclopédie nationale des sciences, des lettres et des arts : résumé complet des connaissances humaines, pp.1856-1857

«. L. Sur-ce-thème,-voir-notamment-florence-magnot-ogilvy, économie de l'amitié dans la seconde partie des Confessions de J.-J. Rousseau : étude d'un dysfonctionnement du système du don », dans Revue d'histoire littéraire de la France, pp.353-368, 2005.

. Adp, dossiers n° 8722 et 8723, déclarations du 16 novembre 1867, vérifications des créanciers commencées les 20 mars 1868 et 24 février 1906 Parce que Lefèvre se présente pour deux sommes différentes lors de la vérification des créanciers de 1868 et que ses successeurs, comme Georges Hachette, se rendent également à celle de, p.35, 1906.

. Adp, Affaire de Crouy-Chanel, Delamothe-Berthomé, Dupray de la Mahérie, « Mémoire justificatif de Dupray de la Mahérie écrit par lui-même et destiné à son avocat pour sa défense », s.d, 1866.

I. Idem, P. De, and . Valentin, Dupray de la Mahérie par le juge d'instruction Henriquet, 30 juin 1866. 342 BnF : 4-FM-11169, p.28

M. Oettinger, P. Royer, /. Paris, . Bruxelles, /. Bohné et al., Bohné édite également avec Lacroix et son associé Van Meenen : Charles Joseph de Ligne, Mémoires du Prince de Ligne : suivis de pensées et précédés d'une introduction par Albert Lacroix, Voyages et découvertes dans l'Afrique septentrionale et centrale : pendant les années 1849 à 1855, trad. de l'allemand par Paul Ithier, pp.1860-1861, 1860.

. Adp, Schnée prête 1 290,77 francs, Lacroix exactement 6 871,60 francs ; la somme représente 24 % des créances. Le nombre d' « amis » passe, avec eux, vérification des créanciers commencée le 31 juillet 1862, p.10, 1862.

G. Weber, Histoire universelle, trad. de l'allemand par Jules Guilliaume, pp.1875-1876

M. Cortot, . Institut, I. Paris, and S. D. De-decourchant, AdP : D11U3/77, dossier n° 6608, déclaration du 16 novembre 1830, bilan établi par les faillis le 16 novembre 1830. 405 Idem Note pour MM. Fruger et Brunet, en réponse à un moyen de défense pris par l'avocat de M. Cortot, Paris, Imprimerie de Decourchant, s.d. [1837-1838], p. 2. 406 BnF : 4-FM-12861, Factum. Auzou, Genella et Morel, Précis pour MM. Auzou?, ouv. cité, p. 5 : « M. Cortot n'a pas donné d'argent comptant ; mais il a rendu à Fruger et Brunet 20,666 francs de leurs billets ; il a reçu un billet de 666 francs payable le 5 juillet 1830 qui a été acquitté. M. Cortot a donc payé MM, Fruger et Brunet, en 20,000 fr. de leurs billets. » ; 4-FM-12860, Factum. Delangle et Collot, Quelques mots pour les syndics [définitifs] Fruger et Brunet, appelans [sic] contre M. Cortot, intimé Les syndics intiment un procès à Cortot afin de récupérer la propriété des oeuvres de Ségur au bénéfice de la masse. 407 BnF : 4-FM-12861, Factum. Auzou, Genella et Morelen dehors des trois derniers) les papetiers faisant ? au moins une fois ? plus de 25 000 francs de créances sont par ailleurs ceux qui interviennent le plus souvent dans les faillites de libraires, on recense ainsi : Auzou, pp.13-16, 1837.

M. Aurenche, Édouard Charton et l'invention du « Magasin pittoresque ». 1833-1870, 2002.

. Adp, bilan établi par Louis Mame le 3 septembre 1830 et vérification des créanciers commencée le 13 janvier 1831 : Alexandre Lachevardière est d'ailleurs nommé syndic de la faillite Mame-Delaunay ; AdP : D11U3/79, dossier n° 6666, déclaration du 3 décembre 1830, vérification des créanciers de Martin Bossange commencée le 29 mars 1831 ; AdP : D11U3/87, dossier n° 6948, déclaration du 10 mars 1831, vérification des créanciers de Jean Hector Bossange commencée le 28 mai 1831 ; AdP : D11U3/68, dossier n° 6308, déclaration du 4 juin 1830, vérification des créanciers d'Adolphe Bossange commencée le 14 février 1837. Si Lachevardière n'hésite pas à demander à Belin-Mandar 1 547,40 francs

. Adp, déclaration du 1 er décembre 1853, dans son rapport du 3 avril 1854, le syndic explique que « Mr Ducessois [?] avait acquis de Madame de Montmerqué qui l'avait acheté de Madame Vve Janet Louis Théodore Ducessois, qui succède à Charles Nicolas Richomme ? son grand-père ?, est le neveu par alliance de la veuve de Louis Janet, et peut-être son second mari, voir supra dans le présent chapitre, § II.A.2 ainsi que la généalogie : Annexe XIII, 11250.

S. Rossignol, . Traité-Élémentaire-d-'hygiène-militaire, A. Paris, and . Johanneau, Johanneau, Notice sur les pilules de Bontius, purgatives et dépuratives (1847) : l'édition de 1876 ne peut-être que celle d'un descendant, Alexandre Johanneau mourant en 1867. Néanmoins le clan Johanneau compte au moins un médecin : Jean Baptiste Isidore Bourdon, docteur en médecine, époux d'Alexandrine Johanneau, elle-même fille d, Éloi Johanneau, vol.344, pp.1876-1901, 1857.

A. Rabbe, C. Vieilh-de-boisjolin, and F. De-sainte-preuve, Biographie universelle et portative des contemporains ou Dictionnaire historique des hommes vivants et des hommes morts depuis 1788 jusqu'à nos jours, Paris, Chez l'éditeur, 1836, t. II, p. 2168-2171 : en 1811, Éloi Johanneau est nommé censeur impérial de l'imprimerie, fonction qu'il remplit pendant trois ans ; AdLoir-et-Cher : 5 Mi 59, R4 et 5 Mi 59/R5, actes de naissance de Éloi, né le 2 octobre 1870, et d'Alexandre, né le 14 novembre 1787, à Contres, de Éloi Paul et Anne Charenton. Nous tenons à remercier ici Gaëlle Mercier des Archives départementales du Loir-et-Cher pour son aide précieuse dans la recherche de cette filiation

L. Entre and . Halévy, Poésies européennes ou imitations en vers, Paris, A. Johanneau, 1833. Notons que Léon Halévy est celui qui introduit à la légion d'honneur Isidore Bourdon

A. Gratiot and . Messieurs-les-socialistes, Une solution s'il vous plaît, Paris, Guillaumin & C ie , 1848. Profondément républicain, Amédée Gratiot prône un socialisme modéré et suggère avant

G. Gratiot-n, apparaît que trois fois comme créancier de Leneveu, en 1847, pour 367 francs, de Bry en 1855, pour 1 151 francs (qu'il ne vient pas réclamer) et de Huillery, en 1870, pour 19 336,80 francs ; Amédée attend, pour sa part

. Adp, dossier n° 12949, déclaration du 16 janvier 1856 ; Libredit (AN : F18/1802, Pierre Hyacinthe Mérantier breveté lithographe le 26 novembre 1847 démissionnaire le 23 août 1851

. Adp, Il édite par ailleurs quelques livres parmi lesquels celui d'Henry Spiegel, Orgueil et amour, Paris, Bourmancé éditeur, 1838. 468 Idem : lors de l'acte de mariage ssp entre Juste Bourmancé et Adèle Sanctus, en 1844, « est intervenu M. Jantot Baguenault, banquier à Paris, lequel, en reconnaissance des services rendus par le père de la Delle Sanctus à la maison de banque Baguenault et C ie dont il était le chef a constitué à la dite dame, une somme de 15 000 francs payée le jour de la célébration du mariage, pp.26-1894, 17286.

C. Bouquin, «. Influence-des-relations?, and ». , Lemercier aurait dans un premier temps financé sa boutique grâce à l'aide des Péreire tandis qu'il sous loue un, p.742

G. Cogeval, . Walusinski-et-anne-de, and . Mondenard, Photographier l'architecture?, ouv. cité Furne et Tournier se chargent de quelques missions photographiques en Bretagne et en Italie, Influence des relations?, pp.215-216, 1994.

. Adp, bilan établi par le failli le 11 septembre 1830, vérification des créanciers commencée le 4 janvier 1831 494 Respectivement : AdP : D11U3/71, dossier n° 6429, déclaration du 2 septembre 1830 ; D11U3/72, dossier n° 6431, déclaration du 3 septembre 1830 ; D11U3/71, dossier n° 6416, déclaration du 31 août 1830 : notons que, selon cette hypothèse, Mongie est plus proche de Rapilly que de Mame ou Méquignon, 495 Respectivement : AdP : D11U3/176, dossier n° 11537, 1866.

. Adp, Eugène Sautrez ne publie que deux ouvrages dont un de lui ; AdP : D11U3/516, dossier n° 5851, déclaration du 5 mars 1866, le bilan déposé le 5 mars 1866 par Eugène Dumont comporte 16 créanciers porteurs de 2 023,45 francs contre le failli et un actif de 2 300 francs

. Adp, er juin 1855 ; D11U3/1797, dossiers n° 12438 et 12439, déclaration 12 juin 1855 ; D11U3/325, dossier n° 17494, déclaration du 3 septembre 1860. ? 594 ? s'investissent que très peu dans la librairie. À côté d'eux, figurent encore des hommes actifs mais plus ou moins en marge de la librairie, à l'instar d'Élie Gauguet, ancien professeur versant plutôt dans l'investissement immobilier, et de ceux qui contractent au plus 700 francs de dettes auprès d'un seul de leurs confrères, tels Henri Tournier, avant tout photographe, ou encore Joseph Lapeyrère ancien prêtre, 12408.

. Si-les-passifs-de-martin-bossange and J. De, Lapeyrère comptent tous deux près de 200 créanciers, porteurs d'un million et demi de francs pour l'un et du tiers de cette somme pour l'autre, ces libraires sont en tout point diamétralement opposés et

. Changeons-de-point-de-vue, Ce groupe, constitué de 693 individus, est, comme nous l'avons déjà souligné, le plus hétérogène, relativement aux montants octroyés par les autres fournisseurs. Dix-neuf libraires, soit à peine 3 % des individus, apparaissent à plus de dix reprises, cumulant 286 créances, soit 17 % des dettes des faillis, et font ensemble près de deux millions d'avances, soit 32 % des sommes prêtées

P. Baudrier, R. Richard, O. Reilly, and ». Dans-revue, AdP : V4E/6248, mairie du IX e arrdt montre que Robert Richard, incarcéré pour avoir brandi le drapeau rouge pendant l'insurrection de juin 1832, adopte différentes identités et prénoms, parmi lesquels ceux de Pierre Romain. Celui-ci ? principal actionnaire du Temps, prétendument mort en 1832 ?, homme « profondément politique », laisse une « veuve », Mme Colombel, qui se remarie bientôt, le 1 er janvier 1834, AdP : D11U3/1789, dossier n° 10914, déclaration du 22 avril 1853, dans son rapport du 26 octobre 1853, le syndic note que : « Pendant et de littérature, musique, 2011, n° 72, en ligne : RAL,M, www.lechasseurabstrait.com/revue/IMG/pdf_RReilly2.pdf, consulté le 22 juin 2011 et « Les métamorphoses de Robert Richard O'Reilly », dans Généalogie en Yvelines avec Jacques Coste. 500 Respectivement : AN : F18/1767, Jean Élie Gauguet breveté libraire le 4 février 1859 ; ET/CIII, 953, 9 décembre 1865, vente d'immeubles par Gauguet à Vincent ; AdP : D11U3/525, dossier n° 6286, déclaration du 19 juin 1866 et D11U3/1872 déclaration du 12 octobre 1865 : Lapeyrère doit 538 francs à l'abbé Migne. Nous ignorons si l'investisseur de la rue Morère, Jean Élie Gauguet, qui rédige plusieurs ouvrages religieux, de grammaire, ou de comptabilité imprimés chez lui ou chez son frère, est le même que l'homonyme, ami d'Élysée Reclus, participant à la colonisation sud-américaine : Frédéric Martinez, « Apogeo y decadencia del ideal de la inmigración europea en Colombia, siglo XIX », dans Boletín cultural y bibliográfico Reclus colonialiste ? », dans Cybergéo. Revue européenne de géographie, pp.312-313, 1997.

. Aucune-faillite-d, AN : F18/1742 : Arsène Françoise Charlotte Caille, brevetée libraire, en remplacement de son défunt mari, le 11 novembre 1852 pour le commerce de librairie portugaise) et ce, jusqu'aux années 1930, sous la raison V[iuv]a J.P. Aillaud, Guillard e Ca puis Aillaud, Alvès e Ca et enfin Aillaud e Bertrand (notices de la BnF) Rappelons avec Laurence Fontaine, Histoire du colportage en Europe. XV e -XIX e siècle, Paris, Albin Michel, en particulier chap. III et annexe, pp.69-94, 1925.

N. Felkay, Balzac et ses éditeurs?, ouv.cité, p. 190 et 205. 515 AN : F18/1761, François Patrice Frédéric Emler

A. Tardieu, . Histoire-généalogique-des-tardieu, and . Herment, Alexandre Boiste, fils du bailleur de fonds de Méquignon-Havard, lié à Depélafol, et d'autre part, le beau-frère de Martin Bossange, ce qui expliquerait notamment que Gosselin fasse quelques avances à Gabon, proche des Méquignon, à moins que Gosselin n'ait fait cette créance à cause de Louis Fantin, voir infra dans le présent paragraphe et généalogie en Annexe XIII. 517 AN : F18/1754, libraire breveté le 2 octobre 1822, certificat de capacité signé le 15 juillet 1822 par Saintin, p.160, 1893.

N. Felkay and . Balzac, 519 BnF : 8-FM-135, Factum. Charles Gosselin, Note pour M. Barba, défendeur, contre M. Gosselin, demandeur, Paris, impr. A. Bailly, 1846. 520 AN : F18/1744, Gustave Émile Cavanagh dit Barba, libraire breveté le 5 janvier 1857, rapport du préfet de police, Piétri, en date du 13 mai 1854, p.209

Q. Sue and . Paraissent, Gosselin exige encore plusieurs sommes, allant de 220 à 3 700 francs, à ceux qui diffusent ses livres

. Malgré, . Gosselin, . Depélafol, . Fantin, and . Thoisnier, Desplaces et Mame Delaunay permettent de douter de l'absence d'escompte du premier, d'autant qu'il participe à la circulation d'effets entre Tenré et Videcoq

S. Gravier-achète, en 1815, le brevet de son ancien patron, Louis Fantin ? qui ouvre néanmoins une autre boutique deux ans plus tard 526 ? en s'associant à son compatriote

J. Rey and 5. , Bien qu'ils ne s'entendent pas très bien avec leur prédécesseur 528 , Rey et Gravier font sans doute crédit aux libraires liés à la médecine, comme Gabon ou Johanneau, qui reçoivent de leur part respectivement 260 et environ 13 000 francs, parce que Louis Fantin est issu de ce milieu 529, Cela expliquerait en outre le prêt fait par Aillaud à Gabon, p.521

. Adp, dossier n° 7220, déclaration du 26 mai 1847, bilan établi par le failli le 23 mai 1847, vérification des créanciers commencée le 21 juillet 1847

N. Felkay and . Balzac, 523 Ibidem. 524 BnF : 4-FM-30866, Factum. Tenré fils et C ie Réponse de Messieurs Tenré fils et C ie , au rapport du syndic de la faillite Videcoq, sur les relations de commerce qui ont existé entre leur maison de Banque et le failli, Tenré fils et C ie enregistrent plusieurs traites tirées sur eux par Videcoq pour le compte de « Ch. G. », p.208

L. Feuilleton-de-la-bibliographie-de-la-france, 164, fait paraître l'annonce suivante : « MM. Théodore Albert Rey et Germain Eugène Belhatte ont l'honneur d'informer MM. les libraires qu'ils viennent d'acquérir le fonds de librairie de feu Pierre Joseph Rey, ancienne maison Rey et Gravier, qu'ils continueront d'exploiter sous la raison Rey et Belhatte, pp.24-1851, 1851.

«. Adp and . Mr, Charles Schwartz banquiers [sic] demeurant à Paris rue de l'Éperon n° 8 [?] créancier gagiste de MM. Lécrivain et Boubon [sic] [?] d'une somme de neuf mille quatre cent vingt quatre francs 65 cent[imes] [?] cède et transporte par ces présentes à MM. Penaud Jolly et compagnie [libraires, rue Visconti n° 22] qui acceptent ladite créance avec tous ses accessoires, ses droits ses charges et privilège, sic] sur les marchandises de librairie le gage moyennant la somme de neuf mille cent francs, p.560

P. Féval, L. Paris, L. , and L. Hachette, 1863, t. I, p. 3. 561 AN : F18/1825, libraire breveté le 28 janvier 1823, rapport de Genaudet en date du 23 janvier 1823. Le dossier nous a été transmis par Marie-Claire Boscq, que nous remercions chaleureusement

P. Larousse, 563 Ibidem : « Pigoreau s'était marié avec une de ses cousines, dont il avait eu quatorze enfants. » ; Libredit recense plusieurs libraires de ce nom, parmi lesquels Hippolyte Désiré Bazouge, marié à Alexandrine Flore Pigoreau, soeur de Mme Schwartz, et qui accole le nom de sa femme au sien bien qu'il n'y ait aucun Bazouge sur la place (AN : F18/1731, Grand dictionnaire universel?, pp.1005-1011

. Amcrécy-la-chapelle, C. Mariage-entre-jean, L. Schwartz, and . Pigoreau, Louis Le Marchand, imprimeur en taille-douce, « beau-frère de l'épouse à cause de Thérèse Charlotte Pigoreau ». 564 AN : F18/1825 ; Chronique de la Bibliographie de la France, 63 e année, 2 e série, Ch. Schwartz [?] prédécesseur de la maison Schulz et Thuillié » ; Libredit, pp.31-1874, 1841.

J. Julien-ledoyen-n, exerce que trois ans : breveté libraire le 12 juin 1851, en remplacement de Charles Schwartz, il cède son brevet le 13 mars 1854 à Louis Eugène Thuillié. Rappelons, en outre

Q. Brierre and . Nous-remercions-chaleureusement, AdP : V4E/6137, mairie du VIII e arrdt., 27 mai 1885, acte de décès de Charles Jean Crapelet. Nous ignorons à ce jour si Roch Romain Ledoux, François Étienne et de Paul Charles Marie Ledoux sont liés ; il est néanmoins possible que les deux premiers au moins le soient, voir infra dans le présent chapitre, § II.C ainsi que la généalogie

C. Tenré-fils, R. De-messieurs-tenré-fils-et-c-ie, ?. Paris, I. J. Paris, and . Gros, Deuxième mémoire pour le syndic de la faillite Videcoq, sur la contestation avec MM. Tenré fils et C ie , banquiers à Paris, Paris, impr. J.-B Gros, s.d. [octobre 1854] ; voir aussi : Riolet, À Monsieur Battarel, syndic de la faillite de M. Videcoq fils aîné Réponse de Messieurs?, ouv. cité, p. 4. 616 La fuite de Thorel date du 1 er décembre 1850, il meurt un mois après, acte de décès d'Édouard Désiré Gustave Thorel. Bien que le premier prénom diffère par rapport à celui du libraire breveté, recensé dans Libredit, pp.4-30866, 1851.

A. Pilon-n, ensemble de son crédit : il déclare devoir à Gélis 10 000 francs, qui ne peuvent être pris en compte dans la vérification des créanciers, faute de paiement, 671 Charles Baudelaire, Correspondance, ouv. cité, t. II, lettre à Gélis en date du 2 mai 1861, pp.146-147

C. Baudelaire, Correspondance, ouv. cité, t. II, lettre à Poulet-Malassis au début du mois de septembre 1861, pp.89-90

C. Baudelaire and . Correspondance, dans une lettre du 8 septembre 1860 à Auguste Poulet- Malassis, interroge la possibilité que son éditeur prenne une boutique à Paris : « Et une boutique ? autre question, p.91

C. S. Haynes, Lost illusions?, ouv. cité. 695 Jean-Yves Mollier

/. L-'un-plein-de-désespoir and . Plein-de-joie, Tant y furent qu'un soir à l'entour de ce pin / L'homme tendit ses rets Le Chat de grand matin / Sort pour aller chercher sa proie. / Les derniers traits de l'ombre empêchent qu'il ne voie / Le filet ; il y tombe, en danger de mourir : / Et mon Chat de crier Il voyait dans les lacs son mortel ennemi. / Le pauvre Chat ditCher ami, / Les marques de ta bienveillance / Sont communes en mon endroit / Viens m'aider à sortir du piège où l'ignorance / M'a fait tomber. C'est à bon droit / Que seul entre les tiens par amour singulière / Je t'ai toujours choyé, t'aimant comme mes yeux. / Je n'en ai point regret, et j'en rends grâce aux Dieux. / J'allais leur faire ma prière ; / Comme tout dévot Chat en use les matins. / Ce réseau me retient ; ma vie est en tes mains : / Viens dissoudre ces noeuds. ? Et quelle récompense / En aurais-je ? reprit le Rat. / ? Je jure éternelle alliance / Avec toi, repartit le Chat. / Dispose de ma griffe, et sois en assurance : / Envers et contre tous je te protégerai, / Et la Belette mangerai / Avec l'époux de la Chouette. / Ils t'en veulent tous deux Le Rat dit : "Idiot ! / Moi ton libérateur ? Je ne suis pas si sot Puis il s'en va vers sa retraite. La Belette était près du trou. / Le Rat grimpe plus haut ; il y voit le Hibou : / Dangers de toutes parts ; le plus pressant l'emporte. / Rongemaille retourne au Chat, et fait en sorte / Qu'il détache un chaînon, puis un autre, et puis tant / Qu'il dégage enfin l'hypocrite. / L'homme paraît en cet instant. / Les nouveaux alliés prennent tous deux la fuite. À quelque temps de là, notre Chat vit de loin / Son Rat qui se tenait à l'erte et sur ses gardesAh ! mon frère, dit-il, viens m'embrasser, Réseaux de crédit et organisation professionnelle « Quatre animaux divers que j'oublie / Ton naturel ? aucun traité / Peut-il forcer un Chat à la reconnaissance ? / S'assure-t-on sur l'alliance / Qu'a faite la nécessité, pp.penses-tu

J. , L. Fontaine, L. Chat, ». Le-rat, and V. Livre, Fable XXII, Fables ? contes et nouvelles, pp.332-333, 1991.

S. Juratic and ». La-librairie-parisienne?, cité ; voir supra, chap. II, § I

. Adp, dossier n°6426, déclaration du 2 septembre 1830, vérification des créanciers commencée le 28 janvier 1831 : 16,28 % exactement. 15 Ibidem : Depélafol doit 451 577, 94 francs (72 % de ses dettes) à 19 banquiers ou autres rentiers (48 % de ses créanciers)

. Adp, déclaration du 22 octobre 1830, bilan établi par le failli le 19 octobre 1830, vérification des créanciers commencée le 20 janvier 1831 : si le passif de Depélafol compte 39 créanciers, Thoisnier-Desplaces est redevable envers 175 personnes. Les créanciers de quartier représentent 18 % de ces individus, et portent ensemble 15,5 % des sommes prêtées. Sont, en outre, recensés 70 banquiers (40 % des créanciers) prêtant ensemble 739 922, pp.80-51

. Adp, déclaration du 3 septembre 1830, bilan établi par le failli le 3 septembre 1830, vérification des créanciers commencée le 13 janvier 1831 : le passif de Louis Mame, évalué à 980 095,91 francs, compte 94 créanciers ; les 27 créanciers de quartier attendent ensemble 394 096,16 francs (29 % des créanciers, 40 % des créances) contre 372 624,66 francs pour les 33 banquiers (35 % des créanciers, 38 % des créances) Parmi ces derniers, p.31

J. Servet, Rappelons, avec l'auteur, que le terme d'intérêt vient du latin inter est, « être entre » (p. 145), que « les dons [et, pour nous les prêts non revendiqués par exemple] peuvent supposer, engager, maintenir, assurer, etc. la confiance » et que la confiance ne relève pas d'un seul calcul rationnel : « le besoin de considération et celui de l', pp.319-370

J. Daumas, 50 AN : F18/1754, Charles Richard François Denn, libraire breveté le 2 octobre 1822, rapport du commissaire de police de la librairie, Districts industriels? Genaudet, en date du 17 août 1822 et rapport du préfet de police en date du 26 août 1822. 51 AN : F18/1828, Adrien Hippolyte Augustin Thoisnier-Desplaces, libraire breveté le 23 mars 1824, pp.148-152

L. Fontaine and É. Morale?, « L'apparence est le premier langage. [?] A fortiori pour le marchand migrant, le souci de son apparence est un des moyens pour attirer la confiance : elle est son premier "capital", le reflet de son avoir et, par là-même, elle témoigne du crédit qui peut lui être accordé. » 61 Nous rejoignons ici la critique formulée par Jean-Claude Daumas Districts industriel?, pp.281-282

J. Servet, Banquiers aux pieds nus?, art. cité, p. 339. 63 Maurizio Gribaudi, « Réseaux égocentrés?, p.89

. Balathier-de-bragelonne and . Née-huette, Mélanie Augustine de30, pp.541-640

. Charlieu, André Drouot de88, p.693

B. Métiers-du-livre and .. , héritage des corporations ?, p.51

I. Le-commerce-de-librairie-au-xix-e-siècle and .. , 110 A. Un métier contraignant ?, p.110

I. La-librairie-en-mutation and .. , 185 A. L'industrialisation ou l'avènement des entreprises d'édition, p.186

I. Relire-la-«-crise-de-la-librairie and ». , 309 A. Portrait de groupe : l'éviction des petites entreprises immatures ?, p.309

I. Chapitre, .. L-'envers-de-la-faillite-les-libraires, and .. Dans-la-littérature, 343 I. Le commerce et l'argent, p.345

I. Le-libraire and .. Du-libraire-escompteur-au-spéculateur-de-librairie, 390 A. La librairie et l'escompte, p.390

V. Chapitre and .. Réseaux-de-crédit-et-organisation-professionnelle, 645 I. La librairie, une économie localisée ?, p.648