B. Tiens, Je l'ai croisé par hasardàhasardà la bibliothèque

U. Contre, une action est illustré par l'´ echange suivant. Celui-ci est toutàtoutà fait acceptable, alors même que toute possibilité d'avoir agi dans la situation visée est niée : 3.5. Conclusions Dans ce chapitre, j'ai tout d'abordélaboréabordélaboré une nouvelle typologie des prédicats d'´ etat, fondée sur le type d'intervalle de l'´ etat dénoté, et qui rend mieux compte de la distribution de tels prédicats que la distinction traditionnelle entre slp et ilp. Ensuite, j'ai distingué, parmi la classe des prédicats d'´ etat S (´ equivalents des slp), les (( prédicats d'´ etat pur )), qui dénotent unétatunétat indépendant de toute action, des (( prédicats d'´ etat endo-actionnel )), qui dénotent unétatunétat généré par une action

. Dans-ce-genre-d-'exemples, la proposition P que dénote la subordonnée temporelle est elle-même pertinente pour H ((( je suis tombée ce matin )) est positivement pertinent pour (( je vais rester )), et (( ma grand-m` ere a lu Husserl )) est négativement pertinent pour, Husserl est difficile ))). Et pourtant, cesénoncéscesénoncés sont toutàtoutà fait acceptables

. Le-contraste-est-du-même-type and . Qu, en (6.198b)-(6.198c), repris ci-dessous : (6.198) b. A. Pourquoi as-tu pris ce chemin ? B. ?Je voulaisévitervoulaiséviter des quartiers. c. A. Pourquoi as

. Le and . Qu, il devient non problématique de sous-entendre que les qualités implicites du référent sont non pertinentes lorsqu'une relation causale peut se concevoir entre le fait de satisfaire la prédication nominale modifiée A et le fait de satisfaire la prédication verbale B. La même hypothèse rendégalementrendégalement compte de ce que des N est meilleur avec les prédicatsprédicatsévaluatifs une fois qu'il est modifié par un marqueurépistémiquemarqueurépistémique comme bien précis

. Un-contexte-assertifàassertifà-un-contexte-non-assertif, Les néo-expressivistes ont contre-attaqué de diverses façons 14 Pardeì a leurs divergences, toutes les solutions proposées renoncentàrenoncentà l'idée centrale du premier expressivisme, ` a savoir que lesénoncéslesénoncés moraux n'ont pas de valeur de vérité Mais en général, les néo-expressivistes ne croient pas, cependant, ` a l'existence d'une réalité morale que seraient susceptibles de décrire lesénoncéslesénoncés moraux. Les néoexpressivistes se distinguent les uns des autres par le type d'objets que cesénoncéscesénoncés sont censés dénoter qui s'inspire lui-même de Gibbard (1996), propose de définir la dénotation d'unénoncéunénoncé axiologique comme une fonction qui envoie un ensemble de normes (ou de valeurs) vers une proposition factuelle ordinaire . 15 En gros, l'idée est qu'unénoncéunénoncé comme Il est sensé qu'Antoine livre bataille est une fonction qui envoie un ensemble de normes n vers la proposition factuelle Il est sensé qu'Antoine livre bataille selon n. Evidemment, une fonction n'est pas elle-même susceptible de vérité ou de fausseté. Seules les propositions compì etes sont susceptibles de vérité et de fausseté, et une fonction propositionnelle est une propositionincompì ete, Donc l'´ enoncé normatif ou moral, sous la définition de Dreier, n'est vrai ou faux que relativementàrelativementà un système ou l'autre 12 Sur cet argument, voir, entre autres, pp.169-174, 1972.

. De-fait,-ce-type-de-locuteur-ditêtreditêtre-en-mesure-d, identifier la réaction de l'expert au livre en question, tout en spécifiant que personne en général n'est capable de l'adopter. C'est au moins suggérer qu'il n'y a pas beaucoup d'? etres sagesàsagesà part lui. 36 Néanmoins, le sémanticien subjectiviste n'est pas encore vaincu, parce qu'il lui suffit de supposer que l'Evaluateur implicite est tantôt un pronom indexical dont la valeur est fixée par le locuteur (auquel cas (7.11) n'est plus contradictoire)

. Dans-le-cadre-gricéen, cette inférence peutàpeutà nouveau s'analyser comme une implicature conversationnelle

M. Est-passée-hier, On peut supposer qu'ellé etait jolie, mais personne ne l'a vue

O. Ensuite, . Peut-supposer, and . Qu, elle est non détachable dans la mesure o` u les prédicatsévaluatifscatsévaluatifs synonymes donneront lieù a la même inférence. Notons que les prédicatsprédicatsévaluatifs nonépisodiquesnonépisodiques (d'intervalle L?XL ) ne déclenchent pas la même inférence. Par exemple, le locuteur de (7.35) n'implicite pas que quelqu

. De-fait, vu section (3.2), les prédicats d'´ etat (X)L envisagent l'individu in abstracto

. Comme-on-va-le-voir, les prédicats [+prés.] recrutent aussi parmi ? les verbes d'achèvement (( vendlériens )) (persuader ) mais aussi les verbes d'achèvement (( ryléens )) (guérir ), p.50

. Ensuite, je vais expliquer ? par la pragmatique ? pourquoi certains verbes présupposent presque obligatoirement unévénementunévénement, alors que d'autres verbes proches par le sens le permettent, mais n'y sont pas obligés. Les paires suivantes permettent de concrétiser leprobì eme (suivant la typologie verbale de Ryle (1949), guérir (cure) est un verbe d'achèvement, mais soigner (treat) est un task verb

. Ceux-ci-montrent, entre autres choses, que Narration(S i , S j ) ne permet pas non plus l'anaphore (cf. (8.79)), mais queArrì ere-Plan(S i , S j )

M. Dormait, Il s'empara de la bague

. Kearns-voit-alors-un-paradoxe-dans-les-données, 155) De l'´ enoncé (8.151), elle déduit que l'´ evénement (( parasite )) n'est pas ponctuel, puisqu'il prend place en même temps que (( l'´ evénement (duratif) hôte )) (la lecture de la lettre) Mais de l'´ enoncé (8.153), elle déduit que ce genre de prédicat duratif ne peut pas prendre le progressif processif. Il lui faut donc supposer qu'un prédicat duratif n'exprime pas toujours un processus, ce qui lui fait abandonner l'idée qu'unévénementunévénement duratif a nécessairement un composant processif : [. . .] although the parasite shares the interval of occurrence with its host, and is not idealized to a moment, it does not have any component process Duration greater than a moment is not sufficient for internal structure, p.610

J. Voiràvoirà, sur ce point, ainsi que sur l'agrammaticalité de fut en train de, 1999.

. Mais-beaucoup-d, entre elles sont produites soit par des non-natifs ou par des linguistes qui les jugent agrammaticales, soit constituent des versions mal-orthographiées de formes traditionnelles ((( j'etais chez une amie, assise, ontétéontété en train de discuter )))

. Ce-que-souligne and . Parsons, c'est que la même phrase rapporte un changement d'´ etat différent sous l'une ou l'autre lecture. Les distinctions qu'opère Nash (1989) entre les différentes définitions desémotionsdesémotions sont ici assez utiles, uné emotion est identifiée avec les changements physiologiques et les sensations corporelles que provoquent un objet ou une situation, 2003.

. Solomon, Sous une seconde définition Latroisì eme définition, hybride, combine les deuxpremì eres Ce genre d'´ emotion qui superpose une réaction et uné evaluation est rapportée par les phrases du type (9.20)-(9.21) lorsque les deux lectures se voient simultanément vérifiées. Mais, fait important, les deuxémotionsdeuxémotions sont indépendantes . D'une part, on sait qu'il est possible de réagir physiologiquementàphysiologiquementà une situation sans l'´ evaluerémotionnellementevaluerémotionnellement. En effet, des expériences montrent qu'on peut entrer par exemple dans unétatunétat de peur physiologique sans en avoir conscience, et donc sans se former le jugement que la situation est effrayante. 19 D'autre part, il est banal d'´ evaluerémotionnellementevaluerémotionnellement une situation sans y réagir somatiquement. Un homme politique peut par exemple se déclarer (sincèrement) choqué par une catastrophe, sanséprouversanséprouver les réactions physiologiques caractéristiques de l'´ etat de choc. Puisque l'´ enoncé n'a pas les mêmes conditions de vérité suivant que le vpeo décrit l'un ou l'autre changement d'´ etat, il appara??tappara??t utile de distinguer deux prédicats différents, même s'ils peuventêtrepeuventêtre tous deux utilisés dans un mêmé enoncé. Par convention, je propose de dire que le prédicat indicé par r comme Choquer r décrit une réactionréactionémotionnelle, alors que le prédicat indicé par e comme Choquer e décrit uné evaluationémotionnelleevaluationémotionnelle. Les deux types de prédicats peuvent décrire une causation. Par exemple, sous la lecture (i), il est entendu que l'arrivée cause une réactionréactionémotionnelle, et sous la lecture (ii), on comprend que l'arrivée provoque uné emotionévaluativeemotionévaluative. Il arrive cependant que l'´ emotion ne soit pas causée par un procès du monde physique : (9.22) La possibilité qu'il vienne m'a choquée, 1976.

. La-possibilité-d-'avoir-que, Je suis calmé/ calme que P montre que le sujet en Que P ne dénote pas toujours le contenu d'uné emotionévaluativeemotionévaluative. En (9.30), la proposition spécifie plutôt, propose-t-on, la propriété explicative de l'´ evénement causant, c'est` a-dire celle qui explique pourquoi cetévénementcetévénement a provoqué l'´ emotion. En ce sens, lesénoncésàlesénoncéslesénoncésà sujet propositionnel comme (9.30) sont plus explicatifs que leurséquivalentsàleurséquivalentsleurséquivalentsà sujetévénementielsujetévénementiel : (9.34) Son arrivée m'a calmée

. Quoiqu-'un-peu-différente, explication de Ruwet est de la même veine. Son idée est que les verbes comme amuser sont les seuls verbes capables de figurer la situation o` u l'entité sujet est engagée dans une activité mentale qui porte sur l'entité objet (porte son attention sur lui, p.31

L. Pourtant and . Verbes, ( non agentifs )) semblent bien s'accommoder de ce genre de contexte, contrairementàcontrairementà ce que suggère Ruwet : (9.71) Vous mentez, Jeanne, reprit la sous-préfète en essayant, mais en vain, de terrifier Jeannette avec ses gros yeux noirs

. Il-semble-donc-difficile, incompatibilité des vpeo résultatifs dans les constructions agentives en supposant simplement que l'entité sujet de ces verbes n'a pas les propriétés d'un Agent dans la réalité. On peut néanmoins reformuler l'intuition des auteurs cités demanì erè a rendre compte des contre-exemples présentés. Plutôt que de dire que le sujet des vpeo résultatifs ne peut pas agir volontairement, on peut supposer que sans aide extérieure , ces vpeo sont incapables de présenter l'entité sujet comme un véritable Agent

. Disons-que-lorsqu, il y a essai, le verbe reçoit une lecture conative. (9.75) Pierre m'a consterné

. En-revanche and . Lesénoncéslesénoncés-qui-contiennent-soit-un-vpeo-agentif-ou-résultatif, soit un causatif physique (cf. (9.85)-(9.87)), au contraire, imposent la lecture itérative ((( Pierre est l'auteur d'actions qui m'´ etonnent/ m'ennuient/réveillent Marie ces temps-ci ))). Par exemple, il faut que le locuteur ait assistéassistéà plusieurs actions de Pierre

. Ces-exemples-ne-deviennent-bon-que-dans-un-contexte-magique, Soulignons que l'agrammaticalité de ces exemples dans un contexte normal remet encore en question l'analyse de Higginbotham (1983) suivant laquelle le Thème de voir, dans ce genre de phrases, est simplement l'´ evénement que dénote l'infinitif, et non l'entité sujet de l'infinitive. En effet, suivant l'hypothèse de Higginbotham (1983), il faudrait que lesénoncéslesénoncés (9.91) et (9.93) soient acceptables, puisqu'il est toutàtoutà fait plausible que l'´ emotion rapportée se lise sur le visage de l'Expérienceur objet, p.de Piñón, 1983.

. Pierre-est-dans-la-cuisine, Il est en train d'ennuyer son p` ere

. Pierre-est-dans-la-cuisine, Il est en train d'effrayer le petit

. Or, le progressif standard n'accepte sansprobì eme les vpeo que si l'entité sujet est engagée dans unévénementunévénement : (9.102) Ton canapé m'´ etonne

. De-sandström, En français, la relation Narration s'impose en présence, instancie avec lui un (( script )) (tels que les définissent Schank et Abelson, 1977.

. Dans-une-phrase-en-puis-comme, 127), un verbe causatif est donc obligé d'asserter toute la cha??necha??ne causale ; en revanche, avec alors, la phrase précédente peut se charger d'exprimer l'´ evénement causant. Dans ce cas, la phrase causative présuppose l'occurrence de l'´ evénement causant et n'asserte que son résultat (cf

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin. Puis il séduisit Marie

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin. Puis il embêta Marie. Ensuite, Paul se mêlà a la discussion

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin. Puis il encouragea Mariè a partir. Ensuite, Paul se mêlà a la discussion

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin. Puis il terrorisa le chat

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin. Puis il amusa le chat

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin Puis il trouva un mouchoir Ensuite Paul arriva. (9.142) Pierre entra dans le salon. Il se servit un verre de vin

. Pierre-entra-dans-le-salon, Il se servit un verre de vin. Puis il stimula Mariè a la tâche

C. Pourtant and . Prédicats-présupposentprésupposentégalement-unévénementunévénement, dont la description manque Si cette fois, le discours reste normal, c'est parce que la description manquante ? est facilè a deviner (en (9.142), on comprend que Pierre a soigné le chat, en (9.141), on suppose que Pierre a regardé ce qu

. En-résumé, En même temps, la majorité d'entre eux, ´ etant interprétatifs, exigent que cette description d'action soit accommodée si elle est absente (ce sont des prédicats interprétatifs), tout en rendant cette accommodation ardue, vu qu'il est très difficile d'en deviner la teneur. Ces vpeo résultatifs provoquent donc un sentiment d'incomplétude dans un discours o` u cette action ne se voit pas décrite par un autre constituant. En revanche, les vpeo agentifs peuvent asserter eux-mêmes l'action qui provoque l'´ emotion même s'ils restent vaguesàvagues`vaguesà son sujet

L. Elaboration and . Vpeo, en sdrt, la relation Elaboration prend place entre deuxénoncésdeuxénoncés S i et S j lorsque S j décrit demanì ere plus détaillée une certaine partie de v i . L'´ enoncé (5.30), repris ci-dessous, en est un exemple typique. (5.30) Jean fit un bon repas

P. Embêtée, Plus précisément, il a téléphoné 6 fois cet après-midi

L. Compléments-de-lieu, On peut rendre compte de la même façon de la raison pour laquelle les vpeo résultatifs acceptent assez mal les compléments de lieu non disloqués

. Si-le-locuteur-b-'ne-semble-pas-très-coopératif, i) présuppose l'occurrence de l'action causante, alors que A demande justement que B' lui décrive, (ii) ne permet pas d'accommoder cette description d'action implicite, qui est pourtant essentielle pour que le discours devienne pertinent pour les fins du discours. En revanche, les verbes [+prés.] trouver et guérir ainsi que quelques vpeo résultatifs ne sont pas interprétatifs, c'est-` a-dire permettent de former un discours complet même si la nature du procès présupposé n'est pas connue, ils peuvent servir bien mieuxàmieuxà répondrè a ce type de question : (9.53) A. Qu'est-ce que tu as fait ? B. J'ai trouvé un sac

. Ce-genre-d-'´-enoncés-est-meilleur, parce que les impératifs précédents introduisent un référent de discours pour l'´ evénement, accessiblè a l'anaphore comme le montre (9.176), et donne doncàdoncà celui-ci une existence imaginaire : (9.176) Fais

. Faire+inf, La construction faire+inf. départage parfaitement les verbes agentifs et résultatifs ; seuls les premiers entrent dans la construction

. Ainsi, adire celle o` u le verbe s'interprète comme essayer d'ennuyer. 40 Ce mêmé enoncé (8.259a) n'est pas acceptable sous la seconde lecture du verbe, o` u y trouve l'action de z ennuyeuse sans que z essaie de l'ennuyer. La difficulté viendrait alors de ce que les vpeo résultatifs commé etonner ne peuvent, sans aide extérieure, recevoir la lecture conative qu'exige faire+inf. : ´ etonner ne peut vouloir dire (( tout seul ))

L. Vpeo and . Le-foyer-d-'empathie, On vient de voir qu'il est plus facile de comprendre le comportement des vpeo dans les constructions agentives si l'on prend en considération leurs propriétés (( dynamiques ))

. Le-locuteur-de, 178) ou de (9.180) se présente comme cherchantàcherchantà comprendre la réaction de l'Expérienceur. En revanche

. Cela-estégalementestégalement-vrai-de-enquiquiner-ou-de-encourager, 184) Pierre a enquiquiné le chat, mais celui-ci s'en foutait

. Cela-n-'est-pas-toutàtoutà-fait-exact, En effet, ces verbes impliquentégalementimpliquentégalement un changement d'´ etat de l'entité objet, même si celui-ci n'est pas le changement recherché. Il s'agit tout simplement du changement d'´ etat qui consistè a subir l'action du sujet. Par exemple, en (9.185), même si Pierre n'a pas réussì a me faire lire Dhôtel, j'ai tout de même ressenti les effets de l'encouragement, et suis donc en ce sens (( objectivement )) encouragée. Une preuve de ce que ces verbes impliquent bel et bien un changement d'´ etat psychologique est qu'ils deviennent inacceptables dans un contexte o` u l'entité sujet ne peut influencer la vie

L. Tableau, 4) reprend quelques exemples de vpeo (non) implicatifs. Dans la section suivante, je vais montrer qu'il faut considérer que les vpeo agentifs sontégalementsontégalement ambigusàambigusà l'actif

A. Que, 198) et (9.199) sontcompì etement contradictoires, il n'est pas impossible de donner sensàsensà des phrases comme (9.200)-(9.203) Par exemple, (9.200) peutêtrepeutêtre utilisé dans une situation o` u l'entité sujet n'a pas séduit

. Ii, Séduire 2 consistè a séduire passivement

A. Présent, ont pas encoré eté abordées par ce biais Comme j'y ai fait allusion plus haut, les vpeo ontétéontété rangés dans les quatre classes aspectuelles classiques. A l'exception de Filip (1996), les auteurs rangent généralement tous les vpeo dans une seule et même classe aspectuelle. 46 Cette perspective homogène n'est tenable que si l'on s'en tient aux quelques verbes généralementgénéralementétudiés (to amuse, to frighten, to delight, etc.). D` es que l'on examine un plus grand nombre des quelque 400 vpeo

. Notons-que-la-lecture-de, 235) o` u presque porte sur le prédicat verbal ((( il a fait quelque chose qui s'appelle presque " m'embêter " ))) est non pertinente ici et est valable pour tous les prédicats d'activité (j'ai presque couru peut ainsi s'interpréter comme j'ai fait quelque chose qui s'appelle presque

. Remarquons-que-même-si, ´ enoncé (9.249) comme acceptable, celui-ci ne s'interprète pas de la mêmemanì ere que (9.250) (cf. note (48)) En effet, (9.249) veut dire que j'ai commencécommencéà m'embêter après 20 minutes, alors que (9.250) ne veut pas dire que j'ai commencécommencéà me calmer après 20 minutes. Sous cette réinterprétation, en x temps ne diagnostiqué evidemment plus la présence d

. Pierre-est-un-don-juan-repenti, Ce matin, il a failli séduire une dame dans le tram, mais il s'est finalement retenu, p.62

F. Bizarrement, sur base de son incompatibilité supposée avec l'adverbe halfway. 62 Comme je l'ai déjà souligné plus haut, presque P tend davantage, toutes choseségaleschoseségales par ailleurs, ` a présupposer unévénementunévénement que faillir P. Séduire ou calmer sont presque incompatibles avec la lecture zéro de presque. Mais comme ils autorisent la lecture zéro de faillir, et qu'ils ne tendent pasàpasà présupposer unévénementunévénement dans les phrases diagnostics classiques (négation, peut? etre que P, etc.), je les ai rangés parmi les vpeo d'accomplissement forts, et non pas dans la classe des vpeo d'accomplissement strictement forts. 63 Les accomplissements (( non canoniques )) sont les prédicats comme tuer un chat ou prouver un théorème, qui, comme on l'a vu dans la section 8.1.3, ressemblent sur certains points aux achèvements droits, 1996.

. La-bombe-que-la, Marine a lancée est en train de couler le bateau. ? le coulage du bateau est réaliséréaliséà un degré 1>d >0 cf. #La bombe de la Marine est en train de couler le bateau, mais celui-ci n'a pas encore commencécommencéà couler

. Sur-ce-point, séduire et calmer ressemblent de nouveau aux accomplissements, du moins lorsque l'´ evénement causant n'est pas présupposé par la phrase : (9.282) Pierre est en train de calmer le chat

. Lorsque-le-procès-causant, ou potentiellement causant) est présupposé, les choses sont moins claires. A priori, il semble que l'entailment ait lieu aussi. Par exemple, si (9.283) est vrai, alors il semble vrai que Marie est déjà partiellement séduite : (9.283) Cet exposé est en train de séduire Marie

. En-résumé, . Vu-les-similarités, and . Qu, ils présentent avec les accomplissements, les verbes comme séduire et calmer remettent clairement en question l'idée de van Voorst (1992) (p.74), suivant lequel (( les verbes psychologiques sont du côté desétats desétats ou des achèvements parce qu'ils sont incapables d'impliquer un processus conduisantàconduisantà un changement d'´ etat )) (je traduis) et ne décrivent pas un procès mesurable (p. 89). Certes, pour d'autres verbes, le rapprochement qu'opère van Voorst entre les vpeo et les achèvements est fondé

. Avant-de-passeràpasserà-la-classe-aspectuelle-suivante, attarder sur l'emploi des syntagmes adverbiaux introduits par en avec les vpeo d'accomplis- sement. Certains vpeo téliques, comme consoler, sont non implicatifs (cf. section 9.3.3), c'est-` a-dire impliquent seulement que l'Expérienceur change d'´ etat en tant que Patient de l'action du sujet ((( subisse les consolations ))), mais pas qu'il vive subjectivement l'´ emotion visée par l'entité sujet : (9.285) Après la mort de son poisson rouge, Papa l'a consolé avec une séance de cinéma, mais sans succès

. La-différence-d-'acceptabilité-entre-lesénoncéslesénoncés, 285) et (9.286) peut s'expliquer de lamanì ere suivante En tant que verbe causatif non implicatif, le prédicat de (9.285) ne décrit qu'un essai de consoler (l'action de consoler, i.e. consoler 1 ) et le changement d'´ etat simultané qui consistè a ? etre le patient de cet essai (` a bénéficier des consolations, i.e. ` a ? etre consolé 1 ). Or, les prédicats de ce genre ne sont pas téliques ; en témoigne l'incompatibilité d'un verbe ouvertement conatif avec l'adverbe en x temps

. Certes, un essai se termine naturellement lorsque le processus recherché est enclenché mais, crucialement, celui-ci n'est dénoté ni par un prédicat tel consoler 1

. Ainsi, est effet de Pierre sur l'allocutaire qui est dit cesser en (8.199), et non l'action de Pierre ; si le verbe aspectuel reçoit sa lecture zéro, c'est-` a-dire doit avoir toute la cha??necha??ne causale dans sa portée, 305))

. Enfin, tout comme les accomplissements strictement forts convaincre et guérir, ´ emouvoir et enthousiasmer sont difficilement acceptables avec se mettrè a (qui ne posent pas de difficulté avec calmer et séduire)

´. Méduser and ´. , toute une série de vpeo superlatifs ressemblent aux verbes d'achèvement droit (persuader, gagner ) sur plusieurs points

C. Eux, tendentàtendentà présupposer unévénementunévénement et refusent les adverbes orientés sur l'agent, (ii) ils refusent l'adverbe partiellement, du moins lorsque celuici est appliquéappliquéà l'´ evénement et (iii) ils sont peu compatibles avec le verbe aspectuel arrêter, même sous sa lecture présuppositionnelle. Par les propriétés (ii) et (iii), ces verbes se distinguent des vpeo d'accomplissement strictement forts, p.318

. Par and . De, 330) semble liéè a unprobì eme d'agentivité, et l'on est presque tenté, facè a ce genre de phrases, de voir dans en x temps un marqueur d'intentionnalité. Cela n'est pourtant pas le cas : une phrase comme Le mur s'est craquelé en 15 minutes est parfaite, et le mur n'est agent sous aucune définition que ce soit. 73 Pour expliquer cette illusion et ces contrastes, il est utile d'observer tout d'abord qu'appliquéappliquéà des causatifs [+prés.], l'adverbe en x temps désigne l'intervalle de l'´ evénement causé, et non celui de la cha??necha??ne causale au complet. Par exemple, la phrase (9.326) est fausse si Pierre a préparé son argumentaire pendant 2 jours et demi, et l'a soumisàsoumisà Mariè a la fin dutroisì eme jour

. Mais and . Qu, Sous l'interprétation la plus accessible, cetévécetévénement causant s'interprète comme une tentative (intentionnelle) de provoquer telle ou tellé emotion. Sous cette interprétation, il faut attribuer au verbe une interprétation conative : méduser doit s'interpréter comme essayer de méduser et réussir. Or, comme on l'a vu plus haut en (34), ces verbes résultatifs ont besoin d'unélémentunélément extérieur pour se voir attribuer une lecture conative, qu'ils ne peuvent avoir eux-mêmes

. De-fait and . Qu, il y ait marche, il faut que plusieurs micro-processus de type différent aient eu lieu. Or il se peut, en (9.336), que la séquence de micro-processus nécessaire pour qu'il y ait eu effectivement marche n'ait pas encoré eté remplie. En revanche, bougerétantbougerétant micro-homogène

. Ensuite, adverbe en x temps deviendrait mystérieuse. Enfin, on ne comprendrait pas pourquoi l'adverbe pendant x temps déclenche obligatoirement la lecture itérative s'il est appliqué au processus et nonànonà l'´ etat résultant, comme cela se passe généralement avec les prédicats téliques : (9.337) Pierre m'a ´ ebahi pendant 3 minutes, itératif) (9.338) Pierre a atteint le sommet pendant 3 minutes

. Enfin, les vpeo semblent parfois transmettre une information sur l'identité de celui qui prend en charge la description du changement d'´ etat psychologique. Ainsi, certains prédicats semblent difficilesàdifficilesà utiliser par l'Expérienceur au moment o` u iíií eprouve l'´ emotion ou est dans l'´ etat en cause : (9.383) Laisse-moi tranquille

D. Enfin and . Ere-plus-générale, il serait intéressant de voir si les particularités syntaxiques et sémantiques définissant chaque classe de vpeo peuventêtrepeuventêtre mises en rapport avec lamanì ere dont est conçu le changement d'´ etat psychologique rapporté. J'ai montré que teí etait bien le cas avec les prédicats convaincre et persuader, mais ce travail pourraitégalementêtrepourraitégalementpourraitégalementêtre mené pour les vpeo en général, p.423

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