L. Dans and . Troade, la peur mêlée de douleur d'Andromaque tente de vaincre la volonté inflexible d'Ulysse qui tente de retrouver Astyanax, à l'acte II

. Les-menaces-d, Ulysse ne semblent donc pas convaincre Andromaque qui subirait les tortures les plus extrêmes pour sauver son fils : « On vous fera mourir d'un horrible trespas 280 ». À l'acte III c'est au tour d'Hécube d'affronter Pyrrhe afin qu'il ne lui prenne pas Polyxène : Las ! ne me l'ostez point, p.281

D. Hippolyte, Phèdre affronte le héros éponyme ainsi que Thésée : d'abord à l'acte II les passions de Phèdre et Hippolyte s'affrontent à travers les personnages, Phèdre avoue son amour : O tourment de mon coeur, Amour qui me consomme ! (?) Je viens la larme à l'oeil me jetter devant vous, p.282

. Nostre-faute-est-cogneuë-et-bien-et-bien, . Il-faut-le-prevenir, and . Et-luy-donner-le-blâme, Accusons-le luy-mesme, et par nouveau mesfaict Couvrons habilement celuy qu'avons ja faict. C'est un acte prudent d'avancer une injure, Quand nous sommes certains que lon nous la procure Et qui ne jugera que ce n'ait esté luy Qui ait commis le crime, et qui s'en soit enfuy ? Personne n'est pour luy, qui tesmoigner s'esfforce. Accourer, mes amis, au secours, à la force, On force vostre Royne, accourez, le mechant Luy presse le gosier avec le fer trenchant. Il s'enfuit, il s'enfuit, poursuivez-le à la trace : Il a jeté d'efroy son espee en la place : Il n'a eu loisir de l'engainer, au moins Nous avons un bon gage, à faute de tesmoins. Helas ! consolez-la

. Appaisez-vous and . Madame, Las ! que pouviez-vous faire à telle violence, Laissez cette tristesse, helas ! que gaignez-vous De vous plomber ainsi la poitrine de coups ? D'outrager vostre face, et par impatience Offenser vos cheveux qui n'ont poinct faict d'offense ? Celle n'est

D. 'une-clemence-egale-tu-veux-sacrifier-une-fille-royale, Pyrrhe La tienne as immolé

D. Agamemnon and . Qu, il peut beaucoup, d'autant luy doit moins plaire, p.377

D. La and M. , Le Prince Mais ses fils respondront du péché paternel. David Mais ils sont innocents Le Prince Aussi estoient ceux-là Que le Tyran decolla. David Si cruel chastiment d'un cruel fault-il prendre ? Le Prince Pour le sang respandu, du sang il fault respandre, Encor cela ne baste à sa méchanceté, p.378

. Faisons-ce-qu-'il-faut-faire-et-leur-laissons-le-reste, Priam Mais ne tentons aussi leur courroux manifeste. Hector Leur courroux n'est à craindre en faisant son devoir. Priam Il est à craindre aussi ne faisant leur vouloir. Hector C'est d'eux que vient l'ardeur qui bout en nos gens d'armes. Priam D'eux vient aussi la peur qui se mesle aux alarmes. Hector Ce n'est à nous mortels de sonder leur secret, Priam Ils le font trop cognoistre et c'est à mon regret. Hector Rien ne nous prognostique une mes-avanture

P. Mais and . Hector-deffendre-sa-patrie-est-un-auspice-heureux, Priam Et la perdre est un acte infame et douloureux Hector Ne la sert-il pas bien qui pour elle s'expose ? Priam Mais il la sert bien mal quand il peut plus grand'chose. Hector Et que peut d'avantage un homme de valeur ? Priam Vivre pour le malheur d'elle en un temps de malheur. Hector Et n'est-ce pas mon bras qui me peut rendre utile ? Priam La prudence du Chef conserve mieux sa ville. Hector Le conseil sans la main est une ame sans corps. Priam La main sans le conseil jette aux vents ses efforts. Hector Ay-je rien negligé pour l'ordre de l'armée ? Priam L'ordre és jours malheureux se dissipe en fumée. Hector Que me faut-il donc faire afin de faire bien ? Priam Demeurer en sejour sans entreprendre rien. Hector Nos gens tous d'une voix demandent la bataille, Priam Le Chef qui les croid trop ne fait chose qui vaille

. Ibid, 155 et 156 : « O ma main, viens de tout ton élan, avec toute ta rage, avec toutes tes forces ! » 297 Ibid., v. 159 et 160 : « Brise cette poitrine, arrache ce coeur qui contient tant de crimes

O. Sénèque, 161 et 162 : « Que ma gorge sonne sous les coups répétés dont tu la briseras, que mes veines saignent, déchirées par les ongles que tu y ficheras

. Ibid, 163 et 164 : « Rouvre cette blessure en l'arrosant de flots de sang et sanie, 301 Ibid., v. 166 et 167 : « mon châtiment ». 302 Ibid., v. 167 : « crime ». 303 Ibid., v. 168 : « supplice

. Ibid, 173 et 174 : « (?) pousse en moi cette main pusillanime ; enfonce-là davantage (?)

. La-sérénité-d, Hippolyte se transforme en insensibilité, puisqu'il est comparé à une pierre : Ut dura cautes (?) intractabilis 590, p.583

. Ibid, 271 :v. « coeur austère et intraitable », v. 272 : « ce farouche adolescent», v. 273 : « cet homme insensible », v. 414 : « ce coeur farouche

. Ibid, 466 à 468 : « Le tout-puissant père a, dans sa providence, pour obvier à la mort dont il voyait l'activité dévoratrice

. Ibid, 233 à 235: « C'est lui que je veux suivre sur les cimes neigeuses des monts qu'il hante, sur les âpres rochers qu'il foule d'un pied agile

. Ainsi, excès une tempérance naturelle à l'égard de certaines choses, en viennent exactement à ce qu'ils condamnent, c'est-à-dire les passions. Par ailleurs, les passions peuvent troubler l'harmonie naturelle qui est un équilibre instauré par la nature par l'intermédiaire 592

P. Sénèque, v. 230 et 231 : « Il fuit avec exécration tout le sexe féminin, il voue farouchement sa vie au célibat (?)

. Ibid, 566 à 568 : « Je les abhorre toutes, j'en ai horreur, je les fuis, je les ai en exécration et, que ce soit par raisonnement, par instinct ou par une farouche folie, mon aversion me plaît, 595 Robert Garnier

P. Sénèque, 1197 et 1198 : « Ce sein impie s'est ouvert largement sous mon juste glaive et mon sang coule en libations expiatoires pour apaiser les mânes de ce vertueux héros. » 631 Florence Dupont

O. Que-c-'est-un-grand-heur-de-vivre-sous-un-prince-ami-de-la and . Loy, Qui la raison veut tousjeurs suivre Reine du bon et juste Roy ! Mais que c'est un malheur extresme, D'obeir à la volonté De celuy qui croit à soy-mesme, Plus qu'aux raisons de l'equité. A bon droit l'homme de bien tremble Sous un Monarque quand il joint La force et la malice ensemble

. Le-couteau-n, est si dommageable Dedans la main du furieux, Que la puissance est redoutable En un Seigneur injurieux. Son plaisir lui semble loisible ; Ses volontez n'ont point de loy, p.676

L. Prince-est-l-'«-ami-de-la and . Loy, mais le tyran, c'est le « furieux » selon l'opposition que fait ce Choeur de la fin de l'acte III

D. Dieu-tiennent-sans-plus-les-reines and . Les-rois, Conseiller C'est piété d'occire une femme meschante Aussi bien qu'un Tyran : de tous deux on se vante. Reine Considerez la bien ; elle est mere d'un Roy, L'espouse de deux Roys, et Reine comme moy. Conseiller Considerez la bien ; c'est une desloyale Qui dément par ses moeurs la maiesté Royale

J. Reine, voy plus de peril alors que plus j'y pense. Conseiller Vous pouvez l'amoindrir en vengeant vostre offense. Reine Ceste juste vengeance il faut laisser à Dieu. Conseiller Plus miserable en ses jours La poitrine a deschirée, p.793

. De-la-même-façon and D. Dans, à la fin du premier acte, les terribles conséquences engendrées par l'amour sont décrites, mais les dieux semblent ne pas être concernés : Hercule avoit vaincu les monstres de la terre ; Tout ce qui luy fist teste il le peut surmonter : Mais s'il fut

. Amour-n-'est-qu-'un-enfant, mais sa puissance est grande. C'est le plus grand des Rois puis qu'aux Rois il commande Et que de son servage il ne s'exempte rien. Dans les fleurs de beauté les serpens il nous cache ; Celuy qui les manie esprouve leur rigueur, La rose du plaisir delaisse à qui l'arrache Son espine poignante au plus profond du coeur. (?) Cependant que le sang ruisselle dans nos veines, p.794

. La-faute-se-situe-ici-au-niveau-du-mauvais-jugement-qui-détermine-le-développement-de-la-passion, La même signification de la faute liée au développement d'une passion a cours dans David : le héros, lui-même en est conscient : « Meurtrir un innocent ! ce forfait est extresme 845

«. Qui-fait-faire-est-fautif-comme-celui-qui-fait-846, » La faute est déjà commise par l'adultère, mais elle s'aggrave par le crime qui sert l'adultère. Elle ne peut rester impunie comme le souligne le Choeur à la fin de la tragédie : Face l'homme ce qu'il voudra, Pour s'aveugler en son péché, p.847

. Dictionnaire-de-théologie-catholique, . Sur-les-divisions-de-la-liberté, and ». Liberté, 863 Voir Dictionnaire de Théologie Catholique, op. cit., article « Liberté, pp.661-685

. Ibid, 900 Françoise Charpentier, Les débuts de la tragédie héroïque : Antoine de Montchrestien, op. cit., p. 193. 901 Voir Albert Bayet, Le suicide et la morale, p.68

. Pleust-À-dieu and . Gabéonite, Que nos ayeux t'eussent toute destruite, Et que jamais on ne t'eust pardonné, Selon que Dieu l'avoit mesme ordonné Au moins le Roy ton bourreau n'eust esté : Mais ce n'a point esté par cruauté, (Dieu j'en atteste) ou pour quelque avarice, Ainçois pour faire à Israël service, Et pour punir les mensonges rusez, Dont nos ayeulx se veirent abusez : Or maintenant est-ce raison qu'on vange Ceste gent serve, p.967

L. Bible-de-jérusalem and N. Testament, Et comment souffrez-vous que les songes vous troublent ?, Epître aux Romains, vol.3, issue.12

. Cornélie-est-dans-la-crainte, les dieux sont « si contraires a nous », lorsqu'elle reprend espoir, ils sont « benins ». Le personnage s'en remet aux forces divines, mais ses passions s'alimentent elles-mêmes

D. Hippolyte and . La-nourrice-et-le-héros-disent-les-dieux-bons, la pensée chrétienne est alors intégrée à la conception païenne, selon Charles Mazouer : En contraste avec des Dieux vengeurs, vindicatifs, envieux et méchants soumis à un destin aveugle et indifférents à la souffrance des hommes, Hippolyte met aussi en valeur un tout autre aspect de la divinité, en qui l'on peut se confier, p.990

. Pourtant, lorsque Phèdre affirme à la volonté des dieux et qu'elle n'est pas responsable, la nourrice lui rétorque

. Dans-la-conception-chrétienne, comme nous l'avons vu précédemment, l'homme est responsable de ses actes et donc il peut maîtriser ses passions pour ne pas aller jusqu'à la faute. C'est son 989 Robert Garnier, pp.657-668

L. Sénèque, . Lucilius, L. B. Paris, and . Lettres, 16 : « Dès lors, les misères se succèdent : teint plombé, convulsions des nerfs imprégnés de sang, maigreur de dyspeptique, plus lamentable que maigreur d'affamé, démarche incertaine et trébuchante, chancellement perpétuelle comme dans un accès d'ivresse ; sérosités s'infiltrant partout sous la peau, ballonnements d'une panse qui a pris le pli vicieux d'absorber plus que son compte ; épanchement d'ictères, pigmentation de la face ; suintement de corps en pourriture à l'intérieur, doigts noués, recroquevillés, système nerveux émoussé, détendu ; inertie ou palpitation d'organismes continuellement surexcités, 1031.

O. Seigneur and . Dieu, Rasserene ton oeil, sois pitoyable et doux, Nous t'avons offensé de crimes execrables Et connoissons combien nous somes punissables : Mais las ! pardonne nous, nous te crions merci, Si nous avons péché, nous repentons aussi, p.1035

. Jérémie, impératif, est fréquent dans tous les livres bibliques Certaines tournures de la prière et de la lamentation sont empruntées aux Psaumes en particulier : « aie pitié 1037 Les plaintes dans l'affliction permettent ainsi d'annuler le tragique par une atmosphère d'espoir, la prière atténuant le fatalisme Celui qui dans le contexte de l'époque lit la tragédie peut se substituer au psalmiste guidé par la grâce et par la révélation de la parole divine. La tragédie se conçoit alors comme une prière qui s'élève vers Dieu, puis vers le Messie en faisant appel, et en les utilisant telles que la souffrance, l'angoisse, la douleur. Il s'agit de faire passer un élan du peuple juif au peuple français qui s'est détourné de son roi et de son Dieu. La tragédie prouve également que l'histoire contemporaine n'est qu'une réitération du passé, jusques à quand 1038 Eternel 1039 mon Dieu 1040 de la faute et du châtiment, et que tout est dans la main de Dieu, mais à la 1035 Robert Garnier, les Juifves

. Je-vien-d-'y-contempler-tant-et-tant-de-constance, Qu'à mes propres yeux mesme à peine ay-je creance, Et que je sen mes sens de merveille abatus En l'admirable objet de ses rares vertus, p.1045

L. Dans-la-famine-ou and . Gabéonites, David finit par accepter le sacrifice des descendants de Saül, ayant ainsi présidé au sacrifice d'innocents. Même si ce sacrifice est expliqué et se veut une mise à l'épreuve de la famille de Saül, il ne faut pas oublier que la vengeance ne doit pas appeler la vengeance et qu'il s'agit

L. Et-qu-'au-rebours-on-voit-au-monde, homme preus qui en maux abonde : Mais nul ne doit d'homme vivant, Juger en aucune maniere, Si d'iceluy l'heure derniere, Ne l'en acertene devant. L'heure viendra , ne vous en chaille, Que ny force, ny fer, ny maille, Les fiers tyrans ne sauveront, 1046.

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