. Dans-la-deuxième-partie, nous détaillerons quels sont les éléments co(n)textuels qui concordent ou non avec l'offre et la demande de l'imparfait et qui donnent lieu aux effets de sens typiques et stylistiques observés dans chacun de ses emplois

. La-nécessité-d-'exprimer-une-récence, aspect parfait qui signifie l'accompli) pourrait donc rendre compte de l'usage obligatoire de l'imparfait en français pour exprimer un passé récent. (49 ) Brossier et Louis sont dans une chambre d'hôtel accompagnés de deux jeunes femmes. Brossier avait éteint l'électricité. Seule restait allumée l'une des lampes de chevet. Louis regardait par la fenêtre la pluie tomber avec plus de force que tout à l'heure. -Et vive la quille ! Vive la quille ! Vive la quille ! chantonna Brossier. -Vive la quille, répéta doucement l'une des brunes. En bas, devant l'hôtel, *s

. Compte-rendu-d, La Croatie tentait en vain d'en profiter sur deux frappes non cadrées de Niko Kovac (64) puis Sokota (68). (Midi Libre, p.683, 2004.

. Cf, [Caudal & Vetters 2003] et, 2003.

M. Alonso and M. Schumacher, Malheureusement pour Renault, un problème contraignait Trulli à renoncer après quelques hectomètres seulement, le premier abandon de l'Italien cette saison Tandis que, devant, Ralf Schumacher partait en tête devant Button Et que, derrière, David Coulthard (McLaren-Mercedes) était pris dans un accrochage, Bush a également découvert, par la grâce de la « catastrophe », que La Nouvelle-Orléans n'abritait pas que des rupins [...] (Le canard enchaîné, p.670, 2005.

&. Ce-n-'est-cependant-pas-le-cas-de-de-saussure and . Sthioul, Suivant ces études, un imparfait atténuatif comme dans : Ex. Je voulais vous demander un service, p.109, 2005.

. Qu, est-ce qu'il lui fallait ce matin à la petite dame ? (Valin [1964] cité par Wilmet, p.416, 2003.

E. Dans, un présent, produisant ainsi un effet de politesse : (39) Nous ne savons pas si Cunégonde accepta la demande en mariage que lui adressa Constantin. Mais si elle acquiesça à sa demande, ils furent (à coup sûr) les plus heureux des humains, tant ils étaient faits pour s'entendre, p.223, 2001.

. Selon and . Qu, explicite ce test, ce n'est pas exactement la présence d'un méta-procès modal, mais plutôt celle d'une énonciation : l'imparfait ne porte pas ici sur le procès, mais sur la modalisation du procès

. La-phrase:-*-s-'il-est-vrai-que-tout-le-monde-vivait-comme-un-français, il faudrait deux planètes de plus pour subvenir aux besoins de l'humanité est par contre impossible. [1996] sur le conditionnel préludique en finnois, nous proposons de différencier cinq types de séquences textuelles correspondant à cinq types d'activité ponctuant le jeu symbolique des enfants 33 Cette distinction nous permettra de décrire plus finement le co(n)texte préludique. Voici les cinq séquences de jeu que nous avons identifiées : 1. Les séquences où les conditions extérieures du jeu (lieu, accessoire ...) sont négociées. Notons ces types de séquences, les séquences A. Soient les exemples : (71) Pour jouer au jeu de l'école avec sa maman, A cherche un lieu adéquat. A. j'vais dans la chambre de Victor B. ah non c'est ici là A. non c'est ici, p.899

. Au-jeu-de-l-'école, A joue le rôle de la maîtresse et sa maman celui de l'élève. A interrompt le jeu pour chercher un crayon. A. j' vais prendre un crayon B. ouais A. donne-moi un crayon, p.901

. Au-jeu-de-l-'école, A qui joue une élève a été blessée gravement par une camarade de classe. B va soigner A (à l'hôpital)

. Ici, Les imparfaits que l'on trouve dans le jeu symbolique sont donc des imparfaits descriptifs. Par contre les 28 imparfaits que l'on trouve dans la phase de négociation ne servent pas d'arrière-plan et s'avèrent être des formes préludiques. Nous avons donc finalement 100% des imparfaits préludiques qui sont employées lors de la phase où les conditions de jeu sont mises au point (séquence B) Ces résultats rejoignent donc finalement les observations de Musatti et Orsolini. Le passé composé s'utilise majoritairement pendant le jeu symbolique quand A dicte une histoire à sa maman (12 occurrences) et pour renvoyer à des actions accomplies dans le cadre du jeu. Le présent prospectif s'utilise, comme le présent, dans presque toutes les séquences. Par contre, l'impératif n'apparaît pas du tout dans la phase de négociation : cela rejoint les observations de Musatti & Orsolini, ] qui ne trouvent que peu de formes impératives dans les séquences B par rapport aux séquences C où ils sont majoritairement utilisés, pp.627-121, 1993.

. Demande and . Co, texte préludique L'imparfait peut apparaître à deux endroits différents : (i) dans les séquences qui précèdent le jeu et où sont discutées les situations à réaliser (79) et (ii) dans les séquences du jeu lui-même, lorsqu'il s

A. ?. Tu-tu-tu-fais-la-lettre, B. Nan, and A. A. La-lettre, n non/ trop fatiguée moi je voudra faire une l'histoire (avec un changement de ton) et là tu disais je veux on y va dehors les enfants B. (rire) et là je disais ba allez on va dehors les enfants On observe que l'imparfait porte le plus souvent (24 occurrences sur les 28 imparfaits préludiques) sur le procès décrivant la situation à réaliser : en (79) le procès savait pas : B ne doit pas savoir que A est la maîtresse et en (80) B doit dire : « on va dehors les enfants ». La situation envisagée peut concerner l'allocutaire et A s'adresse alors à B à la seconde personne. Ces énoncés fonctionnent comme une demande

. Au-jeu-de-l-'école,-a-joue-le-rôle-de-l-'élève-et-b-celui-de-la-maîtresse, A. tu me tu m'emmenais à la directrice B. ah oui tu veux que je t'emmènes à la directrice ? A. oui B. allez viens j'vais t'emmener à la directrice, p.903

B. Demande-confirmation-du-souhait-de-a-en-demandant-si-elle-veut-Être-emmenée-«-À-la-directrice, autres cas, plus rares, les énoncés préludiques sont à la première personne : la situation à réaliser concerne A elle-même. Soit l'exemple : (82) Au jeu de l'école, A joue le rôle de l'élève et B celui de la maîtresse. C'est l'heure de la récréation. B. et tu as vu ce qu'il y avait à la cantine à à manger ? A. < début séquence B > bon mon papa il a dit bon / qu'est-ce qu'y a ? / bon je sais pas hein bon on va rentrer dans l'école / t'as m-m-et voilà on va y aller / et puis voilà B. mm A. pasque moi je voulais pas y aller tout seule parce que je voulais pas me perdre B. te perdre où ? A. euh me perdre euh, p.902

A. Semble-alors-demander-À-b-son-consentement-sur-la-situation-À-réaliser:-ici-le-fait-que-a-ne-veut-pas and . Dans-le-jeu, Ces observations recoupent celles de Musatti & Orsolini [1993] qui avaient constaté que l'imperfetto préludique était en majorité dans des énoncés à la seconde personne plutôt que dans des énoncés à la première personne. Notons enfin que l'imparfait s'applique parfois au verbe dire employé dans le sens de décider et accompagné du pronom personnel on : (84) Au jeu de l'école, A décide de la distribution des rôles. A. tu sais quoi B. non A. ba je suis le maître / tu dis pas je suis la maîtresse mais en fait t'arrives mais en fait i faut pas prendre / faut prendre comme XXX B. bon A. rien B. ba ba je sais plus du tout ce qu'il fallait, p.898

. Le-futur-simple, A et B décident de jouer aux vaisseaux spatiaux avec des legos. A. donkeu / j'pourrai t'attaquer et toi tu seras un gentil B. non mais c'est : m : moi qui qui voulait faire le méchant A. ah bon c'est nous deux l

. Le-présent-périphrastique, A et B décident de jouer aux vaisseaux spatiaux avec des legos. B. mais si on euh on fait la guerre ? A. nan on va pas faire la guerre // ouais on va faire la guerre. B. maint'nant i faut pas qu'on s'tue ?, p.898

P. Kamp and &. Rohrer, le passé simple permet d'introduire un nouvel événement succédant au dernier événement introduit. Moeschlera] parle quant à lui de trait directionnel en avant. Pour de Saussure, le passé simple signifie l'ordre temporel positif grâce à son instruction, p.252, 1983.

P. Kamp and &. Rohrer, le plus-que-parfait introduit un événement situé dans le passé de l'événement (ou l'état) qui marque le dernier point de référence. Pour Moeschler Pour Molend?k, pp.256-253, 1983.

&. Molend?k and . Swart, imparfait signifie la simultanéité globale De Saussure estime qu'en usage descriptif, l'imparfait donne les instructions 1. R :=E0 et 2. R ? E, selon lesquelles l'événement recouvre le point R donné par le dernier événement : il implique donc selon lui une directionnalité nulle, p.242, 1999.

. Ainsi, [entra < s'était levée], et en (3) l'imparfait donnait ne fait pas stagner le temps, mais au contraire permet de le faire progresser : [alluma < donnait] Ce type d'exemples a donné lieu à plusieurs réaménagements possibles de la thèse de l'interconnection entre temps verbal et relation temporelle En premier lieu, l'abandon du traitement en termes de relations temporelles : de Saussure renonce ainsi pour le plus-que-parfait à l'instruction de l'ordre temporel négatif : il conclut que le plus-que-parfait ne donne pas d'instruction sur l'ordre temporel, ce temps admettant tous les types de relations temporelles [de Saussure En second lieu, la valeur par défaut : ce serait par défaut, c'est-à-dire si rien dans le contexte ne contrevient à l'instruction sur l'ordre temporel, que le temps dénoterait la relation temporelle prévue. C'est l'attitude adoptée implicitement par Kamp & Rohrer [1983] qui, sans renoncer à leur analyse, admettent que, dans certaines conditions, le passé simple ne permet pas de faire avancer le temps (notamment dans un exemple comme (1)) 6 . C'est aussi l'attitude de de Saussure concernant le passé simple et l'imparfait. Pour ce dernier, le passé simple implique l'ordre temporel positif, sauf dans certaines conditions qui empêchent cette instruction de s'appliquer : (i) lorsqu'aucun point R n'est disponible dans l'environnement cognitif du destinataire (par exemple dans les emplois dits autonomes : Victor Hugo écrivit les Misérables dans la misère), (ii) dans le cas de relations conceptuelles et notamment dans le cas d'une encapsulation 7 (par exemple : Socrate mourut empoisonné. Il but la ciguë.) [de Saussure Quant à l'imparfait, il donne par défaut l'instruction directionnelle nulle en usage descriptif (l'imparfait décrit des états de faits), mais il permet un ordre temporel positif ou négatif dans certains usages interprétatifs (l'imparfait construit un sujet de conscience qui « observe la scène » de l'intérieur) [de Saussure En troisième lieu, le trait faible : les temps verbaux se caractérisent par des traits faibles sur l'ordre temporel qui peuvent être annulés par des éléments cotextuels porteurs de traits plus forts, est le cas notamment de l'imparfait narratif qui implique le plus souvent une progression temporelle [de Saussure & Sthioul, pp.246-247, 1998.

. Ainsi, être abandonnée, s'est développée et affinée à partir des contre-exemples qu'on 6. Kamp & Rohrer [1983] citent également le cas d'énoncés au passé simple en rapport d'élaboration . Nous notons [P 1 P 2 ] la relation d'élaboration entre P 1 et P 2 , et [P 1 , P 2 ] la relation d'intermination temporelle entre P 1 et P 2 : Ex. L'année dernière Jean escalada le Cervin. Le premier jour il monta jusqu'à la cabane H. Il y passa la nuit. Ensuite il attaqua la face nord, p.260, 1983.

. L. Ex, été de cette année-là vit plusieurs changement dans la vie de nos héros. François épousa Adèle, Jean-Louis partit pour le Brésil et Paul s'acheta une maison à la campagne, p.261, 1983.

. Pour-de-saussure, encapsulation est une relation conceptuelle particulière proche de l'inclusion ou de l'élaboration selon laquelle des procès inclus dans un premier procès contribuent à l'enrichissement de la représentation de ce premier procès [de Saussure Ainsi, dans l'exemple suivant : Ex, pp.245-226, 1998.

. La-logique-non-monotone-utilisée-par-la-sdrt-est-celle-du, commonsense entailment que l'on peut traduire par implication selon le sens commun. par des procès (progression, régression, coïncidence, recouvrement, incidence, indétermination temporelle) des relations logiques qui peuvent être établies discursivement entre ces mêmes situations (élaboration, explication, résultat, comparaison rétrospective ) Les relations temporelles logiques sont en général compatibles avec plusieurs relations temporelles référentielles possibles (la relation d'explication peut impliquer une relation de recouvrement ou de régression.). Voici les principales compatibilités que l'on peut retenir : Explication : régression, recouvrement Résultat : progression, incidence Élaboration : régression, recouvrement, coïncidence Comparaison rétrospective : régression

. Ex, Marie a pénétré (P 1 ) dans la pièce et s'est assise

. Ex, Pierre a finalement pris (P 1 ) une décision, mais auparavant il a demandé (P 2 ) l'avis de ses conseillers

L. Coïncidence, Le procès P 1 et le procès P 2 se déroulent référentiellement (quasiment) dans le même temps

. Ex, Marie chantait (P 1 ) et Pierre l

L. Recouvrement, Le procès P 2 englobe référentiellement le procès P 1 ([P 1 ? (P 2 )])

L. 'incidence, Le procès P 2 surgit référentiellement dans le cours du procès P 1 (

. Ex, Marie chantait (P 1 ) quand Pierre téléphona

. Ex, Marie a acheté P 1 une nouvelle voiture et Pierre a fait P 2 agrandir sa maison

. De-nouveau-le-téléphone-sonna, !. Cette-fois-ci,-elle-alla-décrocher.-allô, and !. Allô, -Qui est à l'appareil ? C'était une voix d'homme nerveuse. -Une... amie de Bellune. -Attendez... ne quittez pas, je vous en prie... L'homme parlait avec quelqu'un. Elle entendait un murmure de voix Je suis bien au domicile de M. Georges Bellune ? Une voix plus feutrée que la première, Elle raccrocha (P1). Elle longeait (P2) les jardins du Trocadéro. Chaque soir, elle suivait le même chemin, p.567

. Ici, absence de tout connecteur, c'est un scénario pragmatique qui force l'interprétation d'une relation de progression

. En-bref, aspect aoristique signifient la progression temporelle Cette interprétation découle, selon Gosselin, de la saillance de la borne initiale du procès qu'implique l'aspect aoristique : À l'aspect aoristique, comme c'est la borne initiale du procès qui entre la première dans la fenêtre [ouverte par l'intervalle de référence], c'est elle qui acquiert la saillance la plus forte, et c'est à partir d'elle -et d'elle seulement -que se crée l'effet de succession. Linguistiquement, la succession marquée par l, p.141, 2005.

U. Connecteur, Jésus-Christ] écrasa le bout de son cigare, pour l'éteindre, puis fourra le fumeron empesté dans une poche de sa blouse, p.474

. Enfin, Ce temps possède aussi de nombreux emplois communs avec l'imparfait : emploi hypothétique, emploi d'atténuation, emploi préludique, emploi en discours indirect. Les deux temps peuvent ainsi exprimer modalité et dialogisme. Cependant, le morphème -r-du futur qui compose également le signifiant du conditionnel limite également les usages du conditionnel par rapport à l'imparfait : il lui interdit les usages monologiques et contraint fortement les emplois temporels de ce temps (presque uniquement en discours indirect) Il serait donc également intéressant de voir jusqu'à quel point l'ultériorité du conditionnel restreint les emplois de ce temps par rapport à l'imparfait. Ce serait donc l'ensemble des instructions de l'imparfait ([+passé], et pas seulement l'une ou l'autre de ses instructions, qui feraient de ce tiroir un temps caméléon pouvant se fondre des paysages co(n)textuels divers

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L. Classifications-des-temps-verbaux and .. , 68 2.1.3.1 Temps absolus et temps relatifs Temps déictiques et temps anaphoriques, p.76

.. Le-multiple-en-discourstexte, 268 4.2.1 La production de sens en discours

L. Emplois-dialogiquesautre-en-discours and .. , 328 5.2.2 L'imparfait en discours indirectn)textuelle pour une énonciation passée329 5.2.2.2 L'offre de l'imparfait, p.333

M. Monologisme, 337 6.2.1 L'emploi d'atténuation 337 6.2.2 L'emploi forain, p.351

.. Construction-du-tour-préludique, sens résultatifs : reality-switching et/ou self-effacement ?, p.375

.. La-relation-référentielle-de-régression, 401 7.2.2.1 La demande de la relation de régression

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