. Enfin, une énergie E F est définie telle que tout atome ou ion, dont l'énergie est inférieure à E F , est considéré comme stoppé

A. Benyagoub, F. Levesque, F. Couvreur, C. Gibert-mougel, C. Dufour et al., Zeit. Für Phys Bloch, Zeit. Für Phys The Theory of Atomic Structure and Spectra, Appl. Phys. Lett. Nucl. Instr. Meth. B175 Ann. Phys. Bohr, Mat. Fys. Medd. Dan. Vid. Seldsk Brandt, M. Kitagawa, Phys. Rev. B25 Phys. Rev. Lett. Phys. Rev. Phys. Rev, vol.77, issue.47, pp.3197-417, 1915.

D. Schenkel, A. V. Hamza, and A. , Synergy of Electronic Excitations and Elastic Collision Spikes in Sputtering of Heavy Metal Oxides, Physical Review Letters, vol.80, issue.19, p.4325, 1998.
DOI : 10.1103/PhysRevLett.80.4325

. Etude-de-la-pulvérisation-du-dioxyde-d, uranium induite par des ions lourds multichargés de basse et très basse énergie cinétique; effet de la charge du projectile. RESUME: L'irradiation d'un solide par un faisceau d'ions peut conduire à l'émission d'atomes, de molécules ou d'agrégats, neutres ou ionisés, traduisant la mise en mouvement des atomes à proximité de la surface. L'étude de la pulvérisation permet alors de mieux comprendre l

. Dans-le-cas, au dessus de la surface, peut conduire à une forte excitation électronique dans un domaine de vitesse où les collisions élastiques avec les atomes de la cible sont à l'origine du ralentissement de l'ion incident. L'etude de l'effet de la charge initiale de tels ions sur le processus de pulvérisation, a été réalisée par la mesure absolue des distributions angulaires d'émission d'atomes d'uranium depuis une surface de dioxyde d'uranium. Les expériences ont été réalisées en deux étapes, la collection des particules émises sur un substrat durant l'irradiation étant suivie d'une analyse