Remerciements

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Comme le veut la tradition, je vais tenter de satisfaire au difficile exercice de la page des remerciements, peut-être la tâche la plus ardue de ces années de thèse. Non qu'exprimer ma gratitude envers les personnes en qui j'ai trouvé un soutien soit contre ma nature, bien au contraire. La difficulté tient plutôt dans le fait de n'oublier personne. C'est pourquoi, je remercie par avance ceux dont le nom n'apparaît pas dans cette page et qui m'ont aidé d'une manière ou d'une autre. Ils se reconnaîtront. Pour les autres, non merci. Ils se reconnaîtront aussi...

La première personne que je tiens à remercier est Cédric DUMAS, mon chef, qui a su me laisser la liberté nécessaire à l'accomplissement de mes travaux, tout en y gardant un œil critique et avisé. Nos continuelles oppositions, contradictions et confrontations ont sûrement été la clé de notre travail commun. Plus qu'un encadrant ou un collègue, je crois avoir trouvé en lui un ami qui m'a aidé aussi bien dans le travail que dans la vie lorsque j'en avais besoin. Kakebuke à toi et à ta famille.
Si il est beaucoup de personnes que l'on qualifie à tort de sage ou de savant, ce n'est pas le cas avec Gérard HÉGRON. Il sait, invente, transmet; il écoute, comprend, tempère. Il a toujours montré de l'intérêt pour mes travaux et répondu à mes sollicitations lorsque le besoin s'en faisait sentir. J'espère que cette thèse sera un remerciement suffisant au soutien et à la confiance sans cesse renouvelée dont il a fait preuve en mon égard.
Je les remercie particulièrement tous les deux d'avoir fait de moi leur Padawan lorsque le conseil des Jedi émettait des doutes quant à mes aptitudes.

Je remercie Pierre LECLERCQ et Philippe PALANQUE de m'avoir fait l'honneur d'être les rapporteurs de cette thèse. J'éprouve un profond respect pour leur travail et leur parcours, ainsi que pour leurs qualités humaines. Le regard critique, juste et avisé qu'ils ont porté sur mes travaux ne peut que m'encourager à être encore plus perspicace et engagé dans mes recherches.
Merci à Henri BRIAND, Claudie FAURE et Jean-Daniel FEKETE d'avoir accepté de faire partie de mon jury. Leurs remarques et commentaires ont jeté un courant d'air frais qui m'a permis de clarifier certains points de ce manuscrit.
Je remercie tout particulièrement Jean-Daniel pour nos fréquentes discussions sur de nombreux sujets, allant du futur de l'IHM au Rock'n Roll, mais aussi pour son implication dans mes travaux. Sa manière bien à lui de pousser continuellement à la remise en question m'a été d'une aide précieuse.

«Faire une thèse» est une échappée solitaire au milieux de compagnons de fortune (ou d'infortune). On ne se rend pas toujours compte à quel point ils peuvent être importants dans le travail et dans la vie, jusqu'au jour où nos chemins se séparent.
Je ne remercierais pas Pierre DRAGICEVIC, Frédéric JOURDAN, Didier BOUCARD et Mohammad GHONIEM. Je me contenterais de regretter les moments que l'on a passés autour des incomparables Morteaux/Pommes de terre de Fred. et Nathalie, les plans bière/guitare avec Piotr, les délires Polovolovoï de Daïdieure et la voix calme et détendue de Moh. «May the Spiral be with us, guys».

Merci à Christian COLIN pour l'intérêt qu'il a porté à mon travail, ainsi qu'à Pierre MACÉ et Louis-Paul UNTERSTELLER pour ce qu'ils sont, ce qu'ils savent et ce qu'ils donnent.

Je remercie en vrac les membres (passé et présent) du Département Informatique de l'EMN, dirigé par Pierre COINTE. Tout particulièrement Narendra «la modestie», Philippe «la raquette», Martin «la souris à un bouton», Remi «le maître du jeu», Hervé « ClassLoader», Andres «la raclette», Yann-Gaël «Design Pattern», Mohammed «le cousin», Abdallah «le prince», Samir «le bon», Gustavo «le smile», Christine « l'indispensable», Sylvie «l'indispensable aussi». Merci aussi à ceux qui s'y sont arrêté un instant dans leur parcours et dont la rencontre a été plus qu'un simple «bonjour-au revoir»: Stéphane «Allez les verts» CONVERSY, Geoffrey «Mais y sont où les canaris» SUBILEAU, Frédéric «le spéléo.» FÜRST, Jairo «Yé lé toue» ROCHA.
Merci aussi à ceux du fond du couloir, Christian «la classe» JANIN, Laurent «pète un plomb» MENU-KERFORN, Kaddour «pas toujours de bonne humeur» FELLAH et tous les membres du SIC, ainsi qu'à Anthony «j'ai l'image et le son» DIAZ.

Merci aux membres du Département Informatique de l'IUT de Nantes pour leur accueil, leur soutien et leur confiance renouvelée lors des derniers mois de ma thèse. Merci à Maurice, Sébastien, Jean, Dalila, Anne, Noëlle, Christine, Pierre, Nassim, Henri, Thierry, etc.
Merci aussi aux personnels du laboratoire CERMA de l'École d'Architecture de NANTES, tout particulièrement à Daniel SIRET (Oui, je sais Daniel, le terme d'architecture n'est pas adapté aux systèmes informatiques...).

Cela va de soi, je remercie évidemment ma famille pour son irremplaçable et inconditionnel soutien. Ils ont été présents pour écarter les doutes, soigner les blessures et partager les joies. Cette thèse est un peu la leur, aussi. Merci Raymonde, Jean-Jacques, Véronique, Antoine, David, Marie, Lucas.
Merci aussi à Bertrand d'être toujours à côté de moi.

Un soir de décembre 1996... Quel chemin parcouru depuis ce temps là où on a fait germer LES SUPER HÉROS! Merci à Benjamin, Bruno, Eloi, Fabrice, Florian, Germain, Jérôme et Lionel pour notre Skak'n Roll (et tout ce que l'on met dedans) sans lequel j'aurais eu du mal à garder l'équilibre. Merci aussi à toute la tribu qui nous suit dans cette aventure qui, je l'espère, n'est pas prête de s'arrêter.

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Loin, loin, loin, loin, loin...

Le plus fort de mes remerciements est pour Vanessa. Merci de m'avoir tenu la main jusqu'aux dernières lignes de ce mémoire. En plus de me supporter dans des conditions «normales», ce qui n'est déjà pas une mince affaire je le conçois, elle a du subir mon humeur de barbu en fin de thèse et se mettre en retrait. Et pourtant, quelle présence indispensable. Merci d'être là tous les jours.

Enfin, merci aux Beatles sans qui je n'aurais jamais tenu le coup tout au long des jours et des nuits de rédaction de ce mémoire...
«... I've got no kick against modern jazz
Unless they try to play it too darn fast
And lose the beauty of the melody
Until they sound just like a symphony

That's why I go for that rock and roll music
Any old way you choose it...»

À Georges Béchade, mon grand-père.

stuf
2005-09-06